(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Mer 23 Déc - 16:39
nobody move, nobody get hurt
ft. belial
T'avais fait de tour des tables, le tour des habitués, et des clients dont tu arrivais encore à te souvenir le visage après ce que tu avais déjà avalé. Qu'est ce qui t'avait poussé à glisser sur cette pente aujourd'hui, Osvald, tu n'en savais rien. Peut-être un premier cocktail un peu trop fort, ou un mauvais mélange en début de soirée. Mais ça faisait beaucoup de verre, au moins plus que d'habitude, et trop pour que tu saches encore te tenir. Pas que tu fasses particulièrement attention d'habitude, mais tu veillais globalement à rester dans un état acceptable. Belial t'avait toujours un peu fait bader, même si tu ne le montrait pas particulièrement en public.
T'en étais finalement arrivé aujourd'hui au point de tituber le long du comptoir, et de ne te rendre compte qu'une fois à la sortie du bar que t'avais pas la moindre idée d'où ton sac de livraison était. Un peu de lucidité t'aurai aidé à le retrouver sur ton épaule, plutôt que de venir secouer tes partenaires de beuverie encore présents à cette heure avancée. Et au fur et à mesure que tes interrogatoires ne te mènent nul part, tu sens ta patience atteindre ses limites.
Le pauvre gars sur qui ta colère tombe est probablement aussi beurré que toi, et t'as peut-être un vague souvenir de lui avoir vendu de la poudre plus tôt dans la journée. Ou qu'importe ce que c'était censé vouloir dire, avec la disparition de Time. Ton poing fini par lui tomber dans la figure, entraînant avec lui quelques coupes et une chaise. Quand il se relève, une traînée de sang sous le nez, t'as l'impression que l'odeur métallique de sa blessure vient te titiller les narines. Est-ce aussi le cas de ceux qui viennent s'amasser autours de vous, cherchant la meilleure place pour assister au spectacle?
Tu leur aurai donné le meilleur show, s'ils étaient restés. Parce qu'à peine les badauds rassemblés près du lieu de l'incident que la foule se disperse. Et tu te rends bien compte, au vu du point qu'ils fixent au dessus de ta tête, que c'est quelque chose d'autre que ton visage déformé par la colère qui les fait fuir. Un simple volte-face te donne les infos dont tu as besoin.
Heeey Beliaaaaal! Quelle surprise de te voir par ici. Quoi de beau, mon pote?
La bravoure de l'ivresse est la seule à pouvoir te faire articuler quoi que ça soit. Pourtant, on voit dans ton regard que t'es pas en confiance. C'est pas de la peur, trop diluée par les émanations d'alcool, mais cette sensation de malaise, un peu inquiétante dégagée par l'aura du patron qui trouble ton attitude de petit con trop sûr de lui.
T'aurais pas vu mon sac par hasard? J'étais certaine de l'avoir laissé traîner sous cette chaise. Bizarre.
Ta pauvre excuse s'accompagne d'un haussement d'épaules mollasson. Mais t'as pas besoin de voir à travers le masque de Faust pour savoir que ça ne t'épargnerait pas un très mauvais quart d'heure.
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Belial A. Faustian
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Mer 23 Déc - 22:41
Rare, cela était l’adjectif qui décrivait parfaitement les débordements en ton casino. Tu avais très rapidement mis en place tes propres directives pour palier à ceci allant de l’expulsion dans le meilleur des cas au décès concernant l’autre extrême. La vraie question était de savoir s’il était préférable de vivre en eux connu l’une de tes sanctions plutôt que de pouvoir trouver le repos éternel. Tu avais néanmoins l’impression que pour ton plus grand plaisir bien des individus étaient des plus têtus, inaptes à faire preuve d’un sentiment de conservation. Il y avait ceux qui réclamaient en âme et conscience la douleur et ceux qui ne faisaient que l’amener vers eux en guise de répercussion fasse à leurs agissements idiots. Osvald lui rentrait dans la catégorie des idiots à tes yeux qu’importe le talent qu’il avait en d’autres activités pour votre humble organisation. Tu te réglais tout le temps cependant lorsqu’il fallait lui faire remarquer ses erreurs. À défaut de lui faire comprendre ce qui n’était acceptable tu lui offrais les parfaits châtiments. Tu faisais juste attention généralement de ne pas le blesser plus que nécessaire afin qu’il puisse toujours assurer ses fonctions mais un accident cela arrivait toujours…
Ce soir tu avais envie justement d’un accident alors que tu avais fini par arriver face à une scène qui venait de se produire. Deux individus entrain de se battre et par le plus grand des hasards l’un d’eux était Osvald… Bien. Tu désignas d’un simple signe de tête le second individu qu’un de tes gardes vint récupérer alors que tu faisais du fabricant de poudre ton amusement personnel.
« - Pourquoi qui a-t-il d’important en ta sacoche ? »
Tu l’avais agrippé par le col, le tenant vulgairement et sans la moindre once de respect. Tu te demandais comment tu allais le châtier pour cette fois même s’il était préférable malgré tout qu’il retrouve son précieux avant d’en venir à son châtiment. Tu lui donnas cet ordre d’une voix glaciale et autoritaire.
« - Va trouver toi-même ta sacoche mais dépêche-toi, plus tu vas passer de temps plus je vais pouvoir réfléchir sur la façon de te réprimander. »
Une de tes mains gantées s’écrasant le long de sa nuque, l’agrippant comme le ferait un père aux penchants violents avec son rejeton. Tu lui laissais partiellement la liberté de ses mouvements, prêt à serrer bien plus fort en cas de potentielle fuite. Il n’échappera à ton pouvoir tôt ou tard, cela il devait le savoir et parfois le tout était bien pire que n’importe quelle violence physique. En réalité tout pouvait être bien pire avec toi là où tu n’avais de limites…
« - Dit moi je me demande, penses-tu avoir besoin de tes deux oreilles ou tes deux yeux pour réaliser ton travail Osvald ? De même pour la totalité de ta dentition. »
Les premières idées commençant à fuser en ton esprit névrosé alors qu’il avait tout intérêt à rapidement retrouver ses affaires. Le temps tournait paradoxalement et il ne faisait qu’un peu plus aggraver son cas chaque instant où tu n’avais totalement à te concentrer sur lui.
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Jeu 24 Déc - 19:20
nobody move, nobody get hurt
ft. belial
Le gars d'en face disparaît entre les bras musclé d'un des hommes de main du patron, et tu ne sais pas si tu dois le plaindre, ou espérer être à sa place. Belial n'est pas connu pour sa tendresse, et encore moins pour être le genre de personne avec qui on peut discuter. Mais le mélange de whiskey et de tequila te chuchotes que vous vous connaissez assez pour sortir que tu puisses sortir d'ici vivant. Peut-être.
Sa voix glaçante, d'une certaine manière, te rafraîchi la mémoire. Ou étais-ce en décollant de quelques centimètres quand il t'attrapa par le col, que la peur te remit les pieds sur terre?
Autoritaire, incisif, et définitivement terrifiant. Pourtant, sa poigne de fer refermée sur ton col t'arrache un sursaut amusé. Pas besoin d'être un génie pour deviner que ce rire est nerveux. Un mélange de terreur et de ton esprit éméché divagant, quand il ressert les doigts contre ta nuque, lançant les premières menaces.
Dépêches-toi, dépêches-toi... C'est toujours vite avec toi, mais tu sais, je pense que c'est ça le problème. Comment tu veux ... pff... qu'on retrouve Time si on prend pas le temps... pfffff....
Le hoquet d'hilarité ne semble pas se calmer, et il t'es de plus en plus difficile de t'empêcher de vocaliser cet état. Et si tu sais, au fond, que c'est une catastrophe, rien ne te calme. Tu sais que finira par perdre plus que ton honneur auc yeux des témoins de cette scène pathétique si tu n'arrêtes pas. Alors t'essayes, vraiment, mais ça ne fait que monter quelques larmes, qui pourraient autant être liée à la peur qu'à ta blague.
Aller, Belial, pfffff... arrête d'être si littéral un peu... Je peux jeter un oeil par ici sans que t'ai besoin de me scarifier du sais... pffff
T'oses pas le regarder. Et le directeur du casino doit savoir, que plus que l'amusement, c'est la terreur qui t'anime. Il doit sentir le tremblement régulier de ton corps entre ses doigts, même sans rencontrer tes prunelles. De toute façon, t'es censé chercher ton sac, alors il n'est clairement pas encore le moment de lever la tête. Et qu'importe toute l'attention que tu mets à fixer le carrelage, dans ton état, ce n'est pas une réussite. Tu arrives tout de même à trébucher, faute d'y voir clair, et ce n'est qu'en t'amortissant sur la sacoche qui était à ton épaule depuis tout ce temps, que tu retrouve l'objet de tes convoitises.
Oh, bah. Tiens. Regardes. La voilà. Super. Comme ça on aura fait vite. Pas besoin de me découper en rondelle. Vraiment, je pense que le meilleur service que tu puisse te rendre, si tu tiens à couper des oreilles, ça serait les tiennes. Comme ça j'entends toujours ce que tu demandes, et toi, t'entends plus mes blague. 100% gagnant.
Peut-être que la réalisation commence à te frapper seulement maintenant, mais tu ne te sortira pas de ce pétrin avec quelques jeux de mots. Ou tout du moins, c'est peut-être un tout autre type de ces derniers qui pourraient t'aider. Est-ce la poudre qui glisse de ton cabas qui te rappelle celle que tu peux disséminer dans l'esprit des autres? Tu tentes le coup, sur le seul doute qui peut encore laisser une porte ouverte à ton pouvoir.
Tu dois te demander si ça vaut vraiment la peine de tacher ton carrelage pour un bouffon comme ça, hein? Et tu sais quoi, je pense que tu aurais raison.
C'est vrai que tu fais pas mal pitié, avec tes yeux rouges et ton cul sur le sol. Mais sans un peu de magie, tu te doutes bien que ce n'est pas l'émotion qui te fera pardonner.
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Belial A. Faustian
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Sam 26 Déc - 18:16
Pathétique, tu ne trouvais pas d’autres mots pour le décrire au fur et à mesure alors que les secondes s’écoulaient doucement mais sûrement. Tu le voyais patauger dans son alcoolémie et sa peur clairement lisible, le tout donnant un mélange des plus extravagants. La scène devait être des plus amusantes à observer d’un regard extérieur même si de la pitié devait exister concernant le cas de Osvald. Il n’était clairement pas le couteau le plus aiguisé du tiroir comme il était possible de le dire. De surcroît il ne cessait de répéter les mêmes erreurs, de continuer à toujours plus s’enfoncer alors que toi aussi tu avais bien des cartes à jouer pour le châtier. Tu avais doucement rigolé face à ses actes, le voyant enfin remarquer que sa précieuse sacoche ne l’avait quitté depuis le début. Un rire aussi mauvais que tourmenté par ta propre névrosé et ce sadisme latent qui n’attendait qu’une chose, pouvoir enfin s’exprimer.
Tu étais prêt à le traîner jusqu’à ton bureau, les options se formant en ton esprit alors qu’il ne tarda à avoir comme un miracle, temporaire mais bien présent. Sa dernière prise de parole fut quelque peu curieuse à tes yeux alors que tu eus un soupçon d’hésitation. Tu n’avais pas autant pratiqué Osvald que tu l’avais fait avec d’autres individus comme Blanche, des individus aux pouvoirs semblables aux tiens. Des êtres à la magie apte de modifier la réflexion, la logique, le mental et tant de choses psychologiques. Tu avais toujours été capable de remarquer quand Blanche usait de tout ceci mais dans le cas de ton invité indésiré cela était plus complexe. Allais-tu tergiverser ? Ou lâcher du leste afin de ne lui imposer un bien trop grand châtiment…
Tu raffermis donc ta prise sur le malheureux commençant à le traîner jusqu’à ton bureau ayant fini par avoir un éclair de lucidité en cette brume psychotique.
« - Effectivement je ne vais pas tâcher mon carrelage pour pire qu’un bouffon là où ils ont eu au moins le don d’être divertissants. »
Tu ne pensais ceci, il était toujours amusant d’accabler chaque être qu’importe son caractère. Osvald était dans la phase la plus délicieuse de ta pratique favorite, celle où le gibier anticipait avec effroi son futur destin. Son pouvoir l’avait sauvé de certaines possibilités là où tu avais chassé les châtiments physiques de ton panel. Tu n’allais pas tâcher ton carrelage mais son choix de mots fut pauvre.
« - Mais tu sais que je peux faire bien pire que torturer physiquement quelqu’un. »
Lui faisant passer le palier d’une porte, celui de ton bureau la main toujours ancrée contre sa nuque. Tu lui fis ensuite prendre place sans guère plus de cérémonies sur une chaise alors que tu te trouvais en son dos. Derrière le dossier de celle-ci, tes deux mains s’écrasant sur ses épaules que tu vins agripper avec une rare poigne.
« - Que vais-je faire de toi ? Je ne rapporte que rarement tes errances mais je suis convaincu qu’Alastor serait curieux que je lui raconte tes péripéties en mon casino, notre casino. »
Un signe de possession en lien avec la secte que vous formiez. Tu lui posas ce dernier avertissement qui était plutôt une obligation pour sa survie alors qu’il empestait l’alcool.
« - Oh et j’ose espérer que tu ne vomiras pas dans mon bureau vu ton ivresse sinon je m’assurerai que tu l’éponges toi-même à défaut de t’y noyer. »
Poison dans tes mots qui contamine jusqu'au comportement du monstre qui te fait face, qui te sauve la mise une fois de plus. Tu laisses s'échapper un soupire soulagé d'entre tes lèvres, quand il acquiesce à ta proposition. Une fraction de seconde, tu as eu peur. Senti comme un doute dans sa façon de se tenir. Dans le silence qui a précédé sa déclaration. Ton instinct te dit de ne pas retenter ta chance. Qu'importe le sort qui t'attendait, tu l'accueillerais avec gratitude, que la question de sa raison de sa clémence ne remonte pas trop à la surface de la conscience.
La vérité, c'est que tu t'attendais à un bannissement. A te faire niquer sur les prochaines livraisons de poudre. A faire la plonge. Peut-être même devoir lui cirer les pompes au sens propre comme au figuré. Tu n'avais pas pensé qu'il considère un autre type de torture. Ta bouche se fige en une grimace tendue, quand il t'attrapes pour te faire passer le pas de la porte de son bureau. Ton cul s'écrase sur une chaise qui était probablement déjà prévue pour te faire sentir petit en comparaison au maître des lieux.
Tu n'avais pas eu le courage de le regarder dans les yeux tout ce temps, Osvald, mais le savoir en dehors de ton champs de vision ne te rassurait pas. Léger frisson qui traverse ta colonne vertébrale, le changement d'air te fait doucement sortir du brouillard et disparaître cette confiance déraisonnable. Ca te rend vaguement malade. Cotonneux. Et presque fébrile, quand il broie tes trapèze de sa poigne de fer en commençant à discuter de ton sort.
Je suis certain qu'on peut garder ça entre nous. Ce qu'il se passe à Vegas reste à Vegas, hein ? Tu as connu Vegas? Je suis certain que ça t'aurai plu.
Un tremblement nerveux te secoue quand tu essaye de rire. Ton assurance se dégrade de minute en minute. Et déjà, tu sens la peine qui s'accentue pour prononcer tes phrases d'une traite. Ton rythme cardiaque qui monte en flèche. Peut-être sent-il la hausse de ton poux sous ses doigts serrés sur tes épaules. Et tu sais déjà qu'il profiteras de ce sentiment déjà bien trop présent contre toi.
Compris. Je ravalerais si j'ai la gerbe. Par contre, je peux pas promettre que je vais pas me pisser dessus si on continue de la jouer comme ça.
Tu as perdu toute notion d'honneur il y a déjà un moment, Oz. Et ironiquement ça semble être ta dernière carte à jouer. Encore une fois, jouer le bouffon. Tu sais que tu ne te sortira pas de là indemne, au fond. Tu sais que ta sale bouche de peut pas fair tout le travail, mais crains trop la fureur de Belial pour ne pas abattre tout les atouts que tu as à ta disposition.
E-écoute. On peut peut-être trouver un arrangement. Entre toi et moi, tu sais. Tu me maltraites un peu pour qu'on pense pas que le crime reste impuni, mais dans les coulisse, qu'est ce qui nous empêche de traiter entre adultes?
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La peur, il en empestait un peu plus chaque seconde. Il tentait du mieux que possible de minimiser le tout en parlant de surcroît de choses non pas vagues mais que tu n’avais pu connaître de ton vivant tel Vegas. Il ne tarda à parler d’arrangement, une chose bien bête. Il n’y avait même de mots pour décrire cela hormis le suicide et encore, vouloir trouver un arrangement qui avait hérité de l’entité de Faust ? Cela en revenait à vendre son âme au diable et tu étais étonné qu’Osvald ne sache qu’avec toi chaque pacte n’était qu’à ton avantage. Même ce qu’il venait d’énoncer, le fait de le maltraiter pour maquiller le tout… Savait il au moins de quel minimum il parlait ? Car pour toi le minimum pouvait déjà être des plus importants.
Tu avais fini par trouver un petit divertissement en sa présence, une chose à réaliser afin de s’occuper de lui et lui faire comprendre qu’on ne rigolait pas lorsqu’il s’agissait du casino. Il avait joué avec le feu et tu comptais lui faire comprendre qu’on finissait toujours par s’y brûler, absolument toujours surtout le brasier avait pour source ton être.
« - Je crois que j’ai trouvé comment je vais m’occuper de toi, il est vrai que tu ne consommes jamais de poudre magique. Pourquoi ne pas un peu s’amuser et essayer de nouvelles choses ? »
Un sourire à son attention même s’il avait pu voir que les traits morbides de ton masque. Tu t’orientas vers un des tiroirs de ton bureau pour en extirper un petit sachet dont le contenu allait être des plus communs aux yeux de ton interlocuteur. Tu en étalas le contenu sur la table, une minuscule quantité tout juste de quoi faire une simple ligne. Tu organisas le tout avait de revenir en le dos du plus grand distributeur de ce produit avec lequel tu te faisais plaisir parfois. Une de tes mains s’échouant dans sa chevelure alors que tu avançais quelque peu sa tête, lui indiquant comme cela la table où se trouvait le produit altérateur.
« - Autant que tu vois par toi-même si ce produit est de qualité, le producteur en bien des domaines est censé ne jamais consommer son produit final… On va faire une entorse n’est-ce pas ? »
Dès lors tu distillas en son être une émotion bien précise, l’une de tes favorites surtout avec les individus comme lui. Une sensation qui vous prend aux tripes, qui vous fragilise, qui vous empêche de réaliser le moindre mouvement.
« - Si tu refuses, je m’assurerai moi-même de te débarrasser du surplus qu’il peut y avoir sur ton corps. Après tout le fait que tu ne sois pas complétement intègre ne t’empêchera pas de réaliser ton devoir. »
Tu ne cessais de ta magie de l’inonder de terreur au fur et à mesure de tes propos attendant patiemment qu’il s’exécute, tu lui avais bien dit que la torture était aussi bien physique que mentale et que malheureusement pour lui tu avais une grande expertise dans les deux domaines. Est-ce qu’un jour Osvald apprendrait de ses erreurs ? Oui ou non, le tout t’arrangeait.
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Jeu 31 Déc - 1:38
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Dès sa proposition, tu te sens pâlir, Osvald. Ravalant bruyamment ta salive, tu suis le pas amusé du directeur du casino jusqu'à son bureau, transpire un peu en observant le mouvement du tiroir qui glisse sous ses doigts, frotte maniaquement tes ongles contre ton pouce quand il saisi ces sachets bien trop familiers pour former de courte ligne sur la table.
Oh, t'inquiètes pas, on a pleins de nouvelles choses au labo. Tu peux passer essayer si tu veux t'amuser à l'occasion.
Et il revient, lentement, pour se replacer derrière toi. Accrocher ses doigts dans tes mèches tombantes. Sa poigne écrase ton visage sur le plan qui te fait face, et tu serres les dents quand ta mâchoire s'échoue contre le bois massif. T'en gardera probablement une petite traces. Chacune de tes expirations, un peu plus intense, fait frémir la poudre dans ton champs de vision. Trop proche pour que tu ne la perçoive autrement que comme une tâche floue, animée au rythme de ta respiration. Mais sa simple présence augmente encore ton anxiété.
Le sang coule dans tes veines plus fort que jamais. Et t'aimeras, oh combien, pouvoir penser à quelque chose à dire. Quelque chose à faire. Souffler sur le rail, peut-être, mais tu en es incapable, Oz. Parce qu'au fur et à mesure que les mots de Belial arrivent jusqu'à tes oreilles, tu sens ton estomac se retourner un peu plus sous l'influence de son don. Tu sens ton cœur s'emballer dans ta poitrine, et la sueur couler sur ton front. Tu sens que tu n'es plus en contrôle de tes propres émotions.
L'obsession grandissante de la peur qui prend le contrôle de ton cerveau déjà terrorisé. Les "et si" qui envahissent tes pensées. Et si ça faisait comme la dernière fois? Et si c'était pire? Et si tu devenais addict? Devenais un de ces misérable junkie que tu méprisais tant? Perdait ton post dans la secte? Ton influence à Halloween City? Si tu te mettais à gerber sur son plancher? S'il se rendait compte te ta petite supercherie de tout à l'heure? Tu te noie dans les idées les plus folles, mais incapable de formuler une pensée qui pourrait t'aider. T'es déjà résigné à accepter ses moindre ordres. T'es déjà prêt à obéir sans condition, toi qui hais tant l'autorité, toi qui ne supporte pas te dire quoi faire. Parce que le souffle te manque. Parce que tu t'étouffes dans ce que tu imagines qu'il pourrait te faire. Dans des souvenirs de ce que rumeurs sur ce qu'il a fait à d'autres.
Okay, okay, c'est bon!
Prend ta respiration, inspire un bon coup, et laisse la poudre entrer dans tes narines. Comme il le désire. Avant qu'il n'augmente plus la pression qu'il exerce sur ton crâne endolori. Avant qu'il ne perde patience. Avant qu'il se serve sur ton corps. Il n'aurait aucun remord, n'est-ce pas? A appuyer plus fort, plus fort, malgré tes cris de douleurs, et malgré tes supplices, jusqu'à ce que ta tête explose. Tu en es convaincu. Alors tu t'exécutes en silence, désobéissant à l'un de tes seuls principes à Wonderland.
Le premier effet que tu ressens, c'est la baisse de température corporelle. Courant glacial dans tes veines, qui te parcours de part en part. Ta peau qui se soulève, pas d'excitation comme tu l'as déjà vu chez certains consommateurs, mais d'un froid dérangeant, anormal. Comme une présence funeste qui s'emparais déjà de ton corps. Et puis la panique. Est-ce que c'était ça ? Est-ce que ton heure était arrivée? Est-ce que c'était se qu'on en courait à ignorer un premier avertissement pourtant assez clair? Est-ce que c'était comme ça que tu allais finir, Osvald? Le nez dans la poudre, et la tête écrasée contre un bureau, sous les doigts du diable en personne? C'était comme ça que s'achevait ta seconde chance? Pathétique, et sans valeur?
Tu cherches ta respiration. Tu suffoques, bouche ouverte, pour aspirer une autre dose d'oxygène. Pour ne pas partir les poumons vide. Pour grapiller une seconde supplémentaire. Et tes mains, dont le froid teinte les extrémités, tremblent de ce qui te semble être une désoxygénation évidente de tes membres. Pas une seconde ne suspectes-tu l'hyperventilation qui te guète depuis un moment déjà. La crise de panique qui ressert son emprise sur ton corps acculé. Ton corps est comme paralysé, et tu serais à peine capable de dire si Faust t'a libéré de son emprise, physique comme mentale. La peur qui te dépasse, elle est bien plus sévère que celle que ton tortionnaire ne le souhaite. L'effet que te procure ta propre marchandise n'est pas celui que recherchent tes clients, c'est certain. Chez toi, ça se passe toujours mal, hein? La substance, aujourd'hui, a décidé d'être ton pire cauchemar, te menant doucement vers la folie.
Tu veux supplier, Oz. Tu veux prier pour ta vie. Jurer que tu ne recommencera plus. Promettre tout ce qui pourrait te venir à l'esprit pour te soustraire à ce que tu pense être l'effet de son pouvoir. Tu veux te mettre à ses pieds, et lécher ses chaussures s'il le faut. Mais tout ce qui sort de ta bouche, c'est un hoquetement incontrôlé, et sursaut de démence. Un rire, qui contracte encore un peu plus ton ventre compressé. Qui t'arraches un peu plus de cet oxygène qui semble t'échapper aux yeux de ton cerveau malade. T'essayes, entre deux gloussements inarrêtable, d'implorer l'homme qui a tout contrôle sur toi à présent.
Pa- Pardon. Pardon.
Et dans ta vision qui se trouble, tu ne sais vraiment si c'est la faucheuse qui vient t'observer avec cet air si satisfait, ou le responsable de ce mauvais trip. Tu ne sais lequel seras le plus clément avec toi, Oz. Et tu te prends à te demander auquel des deux, tu devrais prier à présent. Quel pêché tu devrais expier, quand tes soulèvements hilares te laissais aligner quelques sons décousus.
Je t'en supplie. S'il te plait... Je ne recommencerais plus, c'est promis.
notes c'est écrit en #336699. je pose aussi les effets ici vu qu'on a pas encore pu profiter de tout ça lmao
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Belial A. Faustian
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Jeu 31 Déc - 18:13
Tu avais depuis un bon instant relevé la pression que tu avais exercé sur lui alors qu’il se trouvait toujours là tel un vulgaire insecte. Tu savais à quoi t’attendre alors que ses premiers mots finirent par raisonner en ces lieux là où tu avais aussi relâché ton emprise magique sur sa personne. Il y allait avoir un petit moment avant que le tout s’estompe mais cela allait durer assez longtemps. Visiblement ton invité n’appréciait guère le petit cadeau que tu lui avais offert alors que ton son corps témoignait facilement d’un état minable à défaut de trouver un adjectif encore plus fort. Plus les années passaient plus tu te demandais si les gens en Wonderland n’avaient pas perdu leur logique ou encore leur instinct de survie. Ce pauvre Osvald n’était que l’aspect empirique de cette idée que tu ne pouvais chasser, celle que les gens étaient idiots. Il l’avait toujours su qu’il ne fallait jouer avec toi, faire des choses qui seraient contre tes obligations, contre tes devoirs et pourtant il s’était enfoncé. Il s’était précipité la tête la première en cet abîme qui te nimbait, cet abysse de mauvaises attentions que tu avais pour tes semblables. On dit que les erreurs et l’échec sont de bons enseignants mais ta réputation de tortionnaire n’était plus à forger et parfois tu te demandais si les vivants n’étaient pas fondamentalement masochistes.
Tu te tenais donc face à ton bureau et à lui qui se trouvait en un piteux état même si les effets finiraient tôt ou tard par s’estomper. Ses rires incontrôlés en une panique insondable n’ayant le don de t’importuner bien au contraire là où tu te repaissais de son instabilité actuelle, du chaos qui faisait ses ravages en lui. Tu vins tantôt te diriger vers l’un des meubles de ta pièce pour en extirper un verre en lequel tu te versas quelques larmes d’alcool. Un fond de vodka des plus pures que tu comptais savourer en le voyant ainsi et en lui faisant pourquoi pas la conversation en son état actuel.
« - De base tu as recommencé Osvald à croire que tu aimes ça être malmené. »
Prenant une gorgée de ta délicieuse boisson, la savourant alors que tu pouvais avoir l’impression de boire comme de l’eau de par la distillation de ton précieux alcool. Tu vins surenchérir par la suite de ces propos qui était malgré tout des plus responsables.
« - Passons les excuses, tu passeras les prochaines heures ici le temps que tu sois en état. Cela serait trop dangereux de te laisser partir ainsi pour ton intégrité. »
Qui sait ce qui pouvait lui arriver là dehors alcoolisé et drogué comme il était présentement. Tu ne voulais pas que votre petite secte perde son meilleur cuisinier et donc accessoirement les revenus de ses produits. Tu vins ensuite t’asseoir sur ton fauteuil face à lui, verre toujours en mains alors que tu étais curieux de disséquer sa psyché maintenant que tu l’avais entre tes crocs entre de saigner.
« - J’apprécie grandement ton travail tu sais. Tes produits sont toujours d’une très bonne qualité, il n’y a qu’à voir comment Briar réagit dès qu’elle voit de ta poudre cependant… Comme bien d’autres tu arrives à me décevoir de par de simples bêtises. J’espère que tu auras appris de ta leçon Osvald et que tu n’entacheras pas plus l’estime que j’ai de toi. »
Il y avait quelques sarcasmes en tes propos mais un fond de vérité aussi, il avait du talent et tu étais incapable de nier tout ceci. Il avait aussi le don pour se mettre en les pires situations et cela était bien plus regrettable.
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Sam 16 Jan - 14:17
nobody move, nobody get hurt
ft. belial
Sa voix est distante, t'apparaît comme un écho irréel. Et les mots ne te parviennent qu'à moitié, par concept plus que par les phrases qu'il prononce. Une sensation que tu peine à expliquer, mais qui est surtout la dernière de tes inquiétudes.
A ses paroles, se superpose un discours dont tu ne perçoit pas la source. Et malgré le regard de la faucheuse... ou est-ce Belial, qui te contemple depuis son bureau, tes prunelles parcours la pièce, agités, à la recherche de l'origine de l'hallucination auditive qui t'agites plus fort, que la vague sensation du compliment du directeur du casino.
Tu n'as que ce que tu mérites, Osvald.
Mais tu le sais, n'est-ce pas? Que tes actions ne resteraient pas impunies.
FERMES-LA!
La superposition des idées, des mots auxquels tu peine à donner un sens, et dont tu saisi pourtant les implications. Le poids de ta conscience qui fait tout à coup pulser tes veines, pulser ton coeur d'une façon bien différente.
C'est ton arrogance qui t'as menée ici.
Tu crois pouvoir régner sur quoi que ça soit alors que tu te montres si pathétiques à la moindre dose de poudre?
Tu es faible, Osvald.
Ta trachée se resserre, étouffe les insultes que tu veux adresser à cette petite voix qui chuchote à ton oreille. Y a que ce putain de sourire qui déforme ton visage, et qui tire douloureusement sur les muscles de tes joues tendues, sans que tu ne puisses t'en défaire. Mais la dilatation de tes pupilles, elle trahit cette peur qui ne fait que s'intensifier.
Tu n'arrives pas à comprendre ce qu'il t'arrives. Tu n'arrives pas à faire sens de l'expérience, bien différente de ce que tu avais déjà expérimenté avec la poudre la première fois. Et des intentions de Belial.
Tout ceux que tu as fait tomber dans les limbes de l'addiction, ce n'est peu cher payé que de souffrir de la poudre à ton tour, non?
Tu pensais que Wonderland n'était pas une punition?
Et t'as envie de gerber, comme si tout ceci n'était pas assez. Le haut le coeur que tu retiens du bout des lèvres, entre tes dents, et le vomis que tu ravales avec ton honneur.
Qu'est ce que tu veux, Belial? Dis-moi ce que tu veux, mais arrêtes! Je t'en supplie.
Et tu peines à réfléchir. Tu peines surtout à comprendre qu'il n'est pas responsable de ton état. La peur qui t'étouffe est le résultat de ton produit, et non de son pouvoir, dont tu ne connais pas les limites. La réputation de l'homme suffit à te faire imaginer bien pire que ce qu'il te réserve.
Peur? Culpabilité? Drogue? Haha.... Qu'est ce que tu prévois de faire de moi, hein?
Rampant du bout de tes coudes tremblant sur le bureau du responsable du lieu, tu commences à faire des théories, basée sur ce nouveau symptôme qui commence doucement à se répandre dans ton esprit. Un désir coupable, loin de tes habitudes. Loin de tes goûts. Loin de ceux de l'autre homme, aussi, mais ton cerveau semble tout à coup obsédé par tout un tas d'idées malsaines tout à coup.
Ne me dis pas que tu es de ce bord, hein? C'est pur ça que tu veux me garder ici dans cet état? C'est pour ça, hein? Hein?
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Belial A. Faustian
coin coin sadique
(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Dim 17 Jan - 13:30
Il était rare, voir impossible de prévoir les réactions de chacun face à la poudre magique surtout où plus particulièrement il était exceptionnel de savoir parfaitement ce que chacun renfermait en sa psyché. Tu le voyais sombrer au point où tu n’avais plus grand-chose à faire tout bonnement. Il se punissait lui-même en quelque sorte et il y avait quelque chose d’amusant en ce spectacle. Tu te contentais donc de siroter ton spiritueux en gardant un œil curieux sur lui après lui avoir précédemment offert ces paroles des plus douces et variables en vérité. Il vint donc te supplier une chose que tu appréciais silencieusement même si tu ne trouvais une réelle justification en tout cela de ton côté. Chacun de ses propos donnait de complexes impressions, il semblait visiblement si faible par rapport à sa propre fabrication au point où même toi tu avais qui sait un peu de mal à évaluer l’ensemble des effets qu’elle avait sur lui. Sans doute faisait il preuve d’hallucinations, cela était un classique mais tu n’étais en son crâne pour le reste. Il ne tarda même à confirmer le reste, à te faire savoir qu’il y avait beaucoup plus en son esprit, que cette drogue avait remodelé ses pensées d’une rare façon.
Tu avais eu du mal à interpréter sa dernière parole malgré tout ne sachant comment percevoir le tout. Tu t’étais permis d’arquer un sourcil avant d’un peu plus étirer ce mauvais sourire. Merveilleux, il t’offrait un peu plus de divertissement sans que tu n’aies à lever le petit doigt tout bonnement. Venant croiser tes pieds sous ton bureau avant d’un peu plus t’enfoncer en ton fauteuil c’est avec un amusement tout sauf dissimulé que tu répliquas ceci.
« - Dit moi, tu crois toujours que j’utilise mon pouvoir sur toi ? Tu es toujours dans le déni vis-à-vis de ce ton esprit te faire ressentir après un petit coup de pouce de ta propre confection ? »
Quoi de mieux que de le confronter à la dure réalité alors qu’effectivement tu ne comptais aller plus loin de ton côté, juste le laisser se noyer en sa propre abîme qui avait été stimulée.
« - La peur, la culpabilité et la drogue suffiront pour ton acte en mon casino puis je n’ai pas intérêt à aller plus loin… Comment se passer de notre précieux fabricant. »
Toi-même consommateur à l’image de bien d’autres, tu aurais été peiné de devoir te passer de ses produits. D’autres pouvaient cuisiner le tout mais Osvald était sans doute qui avait la meilleure recette et pratique.
« - Par contre je ne vois pas où tu veux en venir… Qu’est ce que tu voulais dire en tes derniers propos ? »
Au final peut être que ce merveilleux quart d’heure ne faisait que commencer alors que tu te montras outrageusement généreux en ta nouvelle proposition.
« - Si tu te tiens à carreaux peut être que tu auras droit à une carafe d’eau pour ta futur gueule de bois. »
Une maigre compensation en réalité, tout aurait pu se calmer pour ton invité du jour si seulement son propre esprit n’avait fini par lui jouer de bien mauvais tours.
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Mer 20 Jan - 15:26
nobody move, nobody get hurt
ft. belial
Vaguement, tu crois percevoir qu'il n'utilise plus son pouvoir sur toi. Tu crois comprendre que, d'après lui, ça ne serait que l'effet de la poudre qui te met dans cet état. Et tu refuses de l'accepter. Tu refuses, parce que tu sais, hein, l'effet qu'elle a eu sur toi la première fois. Le haut le coeur, le vomis sur le marbre du labo de Darya. Les tremblements fiévreux, et la bouche sèche, si sèche, que tu avais bu au point de vomir à nouveau. Pas ça.
Pas cette angoisse paralysante. Pas cette si terrible sensation de culpabilité. Pas ces murmures omniprésent, pour te rappeler tes actions passées. Celles que tu arrives si facilement à oublier, avec quelques verres dans le nez, avec l'odeur du tabac froid mélangée aux émanation d'un bon whiskey, avec les gémissements d'un quelconque pute du moulin rouge quand tu presses tes mains autours de son cou, et que tu sens ses jambes s'agiter autours de tes hanches.
Et l'image te hante, Osvald, pendant qu'une autre culpabilité de démange. Une autre curiosité que tu n'as cessé de refreinée depuis quelques temps. Et le regard perçant au travers du masque de Belial avec éclat de folie, celle dans laquelle tu sombres lentement entre les hallucinations et les effets de la drogue sur ton corps, tu te demandes si ça ne serait pas le moment d'essayer. De justifier tes actions par les effets de son pouvoirs, ou de la poudre, qu'importe. Pour savoir. Pour arrêter de te poser des questions que tu refuses.
Alors, on vend son cul maintenant?
Aucun honneur, on le savait déjà, mais tu tombes bien bas.
Ca lui apprendra, a utiliser sa langue de vipère contre des faveurs.
Ne joues pas les innocents, Belial. Tu sais de quoi je parles. Tu sais sur quelle corde tu joues. Mais j'suis pas attiré par les bites, tu sais ?
Tu trembles toujours, d'avoir à lui faire face. D'avoir à le contredire. Il pourrait te faire si mal. Il pourrait te réduire dans un état bien plus pathétique que ce que tu ne l'es déjà. Et pendant que tu rampes sur son bureau, pendant que tu te hisses à sa hauteur pour lui faire face d'un peu plus près, toujours confus par l'hallucination visuelle qui place par instant cette large faux dans les mains de l'homme encapuchonné, tu divagues un peu plus dans des réponses qui n'ont de sens que dans ton esprit malade
Mais j'ai toujours rêvé de me taper la faucheuse, tu sais? Je pourrais te laisser faire, si tu me promets d'arrêter. Garde ton putain de verre d'eau, mais arrête, Belial. Arrêtes, parce que je te jure...
Tu essuie le long filet de transpiration de ton front, et tu fini d'escalader le bureau du directeur avec maladresse. Ton corps brûle, Oz, rongé par la fièvre, par le désir et par la transe, la rage et la peur. Tu te sens tout dégoulinant sous ton veston et ta chemise. Alors à quatre patte sur la large table derrière laquelle Faust se tient, tu commences à te débarrasser du premier, ne sachant trop où tu le laisses traîner avec ta vision qui continue à se troubler.
Tu ne tiendras probablement pas beaucoup plus longtemps éveillée.
Je te jures que tu le regrettera... plus tard...
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Belial A. Faustian
coin coin sadique
(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Sam 23 Jan - 13:06
Tu avais toujours été un de ces individus bons joueurs, du moins… Seulement lorsque le jeu venait de ton initiative ou lorsque tu y avais trouvé une bonne source d’amusement. Présentement tu avais su t’approprier un certain divertissement mais tu n’avais songé au fait que cela puisse déborder ainsi et que monsieur soit si réceptif à la poudre magique, à sa petite création qui devait lui faire vivre une bien étrange expérience même si tu n’étais en sa tête. Tu avais donc doucement arqué un sourcil sous ton masque à ses diverses prises de parole, à croire qu’il avait fini merveilleusement ravagé en son cerveau… Tout n’était pas à jeter en ses paroles alors que tu pouvais discerner des choses intéressantes et d’autres clairement barbantes et qui ne réussissaient pas à attirer ton attention. Pensait-il encore que tu avais une quelconque emprise sur sa personne ? Pas le moindre du monde et tu n’allais pas enfoncer le clou là où son esprit n’était déjà plus en son état normal. Il était si satisfaisant d’utiliser ton don sur un esprit trop borné, sur un esprit qui n’aurait jamais accepté certaines choses mais ici il n’y avait aucun intérêt alors que tu n’avais qu’à observer sans lever le petit doigt.
Tu étais quelque peu… Innocent pour une rare fois alors qu’il avait fini par énoncer bien des choses, ses préférences sexuelles ou encore certains de ses fantasmes. Tu avais doucement souri au fait qu’on te compare à la faucheuse alors que sa menace finale eut le don de te faire doucement rire. Venait-il réellement de te menacer sous ton propre toit ? En ton propre bureau ? Une bien basse erreur même en son état actuel qui pouvait justifier certaines choses mais pas tout comme le fait de surcroît de finir à quatre pattes sur ton mobilier. Il y a des choses que tu aurais pu tolérer s’il s’agissait d’une proie à… L’esthétisme différent, plus en accord avec tes préférences et même s’il ne cessait de se rabaisser tu allais devoir le remettre à sa place alors que son veston était tombé.
« - Je crois que tu n’as pas compris Osvald. »
Finissant par te lever pour quitter ton confortable fauteuil que tu aurais aimé apprécier un peu plus tu allais devoir agir. Non pas physiquement encore, lui laissant une infime chance de se reprendre. Tu ne pouvais le briser physiquement ayant besoin de lui en votre secte pour continuer la production de poudre, pour en abreuver toute la ville, pour ta propre consommation personnelle aussi.
« - Oublies-tu que tu es en mon bureau ? Tu oses me menacer sous mon toit, en mes murs tout en agissant comme un parfait junkie ce qui n’aide pas du tout ta défense ? »
Il n’y avait qu’une seule personne qui pouvait se permettre de grimper ainsi sur ta propriété et il ne sera jamais elle tout bonnement. Ta voix se fit soudainement glaciale en énonçant une potentielle terrible vérité…
« - Tu sais que je ne suis pas adepte des doubles peines mais juste pour mon amusement je pourrais en toucher quelques mots à Alastor même si je n’aurai jamais besoin de lui pour te châtier. »
Tu vins sans guère plus de cérémonie le saisir par l’arrière du col de sa chemise comme un moins que rien sans pour autant le jeter tel un animal. Juste de quoi lui faire comprendre que s’il ne coopérait c’est toi qui allais te débarrasser de lui de la plus simple des façons tel un objet.
« - Alors tu vas t’excuser d’abord pour m’avoir menacé puis tu vas ramener tes fesses sur cette chaise avant que je brise tes phalanges inutiles et que je te fasse sauter un à un tes fichus onglets pour avoir profané mon mobilier. Tu es encore plus bas qu’un addicte à ta poudre… Misérable. »
Ca tourne, Oz, ça tourne, et ça passe du flou au trop clair, au trop loin. Et les mots de Belial, ses menaces, elles manquent de faire exploser ton crâne, ou tout du moins le penses-tu. Tu sens le sang qui pulses dans tes tempes, les voix omniprésentes qui continue de déverser leur poison dans tes veines. Et les frissons de cette température anormalement ressentie. Tes yeux clignes de façon irrégulière, vite pendant un temps, puis plus jusqu'à ce que tes paupières se mettent à brûler et que tes iris réalisent que le directeur du casino a quitté son siège.
Il mentionne Alastor, et un rire, un long long rire s'échappe de ta gorge entre deux hoquets. T'as l'impression de manquer d'air tellement tu ris. Et les crampes commencent à faire trembler tes abdominaux, faire trembler les bras sur lesquels tu t'appuies. Trop vacillant pour résister à la poigne du blond quand il t'attrapes par le col, tu te laisses guider jusqu'à la chaise, essayant de prendre ton souffle. Vautré sur le fauteuil, les jambes reposant sur les accoudoirs (tu pourrais pas t'asseoir normalement, t'as déjà trop envie de pisser), tu tentes de calmer tes spasmes, mains posée sur le ventre, et glissant sur tes cuisses.
Et- Et tu lui dirais quoi hein? A Alastor? Hm?
Nouvel éclat. Nouvelle grimace sur tes lèvres. Ca commence à faire mal. Ca commence à faire beaucoup de choses, aussi, dans ton esprit embrumé. Ca commence à trop s'empiler. Tu commences à perdre pieds, Oz, tu le sais. Que tu vas être beaucoup plus vulnérable que tu le souhaites. Beaucoup trop vulnérable. Trop... Non. Attends. Réveilles-toi. Ta consciences t'échappes.
Tu ... vas lui dire? hm? Ce que tu as fait... à son ... précieux responsable?
Le rire se calme. C'est devenu si fatiguant. Ca continue de chatouiller tes joues, pourtant, mais tes cordes vocales sont comme anesthésiées. Et tu chuchotes maintenant, la tête pendant en arrière, entre le dosser et l'autre accoudoir. Et tu le regardes avec une certaine assurance que tu croyais perdue, au travers de son masque.
Tu sais qu'on tient beaucoup à ... ce que je reste clean. Tu devrais aussi, Belial. Tu commandes beaucoup ces derniers temps. Alors hmmmm qui de nous deux... est le plus misérable junkie?
Les paupières qui se ferment. C'est pas le bon moment, Oz, pour te relâcher après une énième provocation. Quand une partie de la peur induite par la substance absorbée se dilue doucement, te laissant dans cet état d'exhaustion. Et tu n'es pas certain, Osvald, de ce qui se passe autours de toi. De ce que tu entends, entre les sursauts de ta conscience étouffée refaisant surface, et les cris de ton instinct de survie tentant de te tenir éveillé.
Mais tu sais quoi? Désolé... En fait je crois que j'ai trop mal au crâne... Un autre... soir... si tu...
Gémissement fatigué pour laisser cette phrase en suspend, et tu tombes dans les bars de morphée. Misérable, comme il dirait.
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Belial A. Faustian
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(end) nobody move, nobody get hurt (belial) Dim 14 Fév - 21:07
Il tentait à son tour de se moquer de toi en des propos qui ne t’atteignaient que très peu. Tu trouverais facilement les mots pour expliquer la dissidence d’Osvald à Alastor. Précieux responsable… Il n’était qu’un simple cuisiner, quelqu’un plutôt doué en sa façon de préparer là où une recette pouvait être enseignée. Tu avais d’ailleurs doucement souri lorsqu’il évoqua le fait de rester clean, tu étais curieux de savoir si le petit avait de la résilience. Au pire des cas vous n’aurez qu’à le sevrer mais il était toujours comique de voir la dissonance en son milieu professionnel. On ne pouvait vendre à des clients ce que l’on ne consommerait soi même mais Osvald faisait exception à cela. Le milieu de la drogue faisait exception à cela tout bonnement à vrai dire. Combien de temps faudrait il pour sevrer la petite fée clochette si celle-ci finissait par être dépendante… Une bien belle expérience même s’il faudrait encadrer le tout, prévoir un plan de rechange, un potentiel remplaçant. Il n’y a rien qui pouvait t’atteindre une nouvelle fois en ses propos alors que lui au contraire était ton divertissement de la soirée et de surcroît drastiquement marqué.
Il évoqua ensuite ta consommation de poudre, le tout n’était pas destiné à toi en les soirées que tu organisais mais il est vrai que tu appréciais bien ce tout. Tu n’en étais guère dépendant, bien plus marqué par l’alcool et le tabac que par la poudre. Tu aurais pu lui répondre mais sa dernière phrase te fit arquer un sourcil alors qu’il se décomposait. Tu avais clairement remarqué qu’il venait donc de s’endormir tel le débris qu’il était présentement. Un déchet en ton bureau que tu allais devoir déplacer à défaut de le jeter tout bonnement. Il ne tarda d’ailleurs à ronfler comme un animal, chose qui ne t’étonna point de par l’alcool qu’il avait bu. Il ne faisait qu’un peu plus s’enfoncer en son inconscience et tu te permis de rire intérieurement pour ne pas le réveiller. Tu étais bon joueur et tu comptais le laisser se reposer car il allait devoir reprendre son activité dès demain. Tu étais parcouru néanmoins par bien des envies pour encore plus l’humilier et lui faire définitivement comprendre qu’aucun écart était accepté en ton casino mais passons... Tu avais sans doute déjà beaucoup fait, son image définitivement ternie, du moins en votre privé.
Tu ne manqueras pas de lui rappeler plus tard son petit jeu sur ton bureau. Ton regard se perdant d’ailleurs sur le verre d’eau, envieux de lui déverser sur la tête même si tu te retenais. Tu t’étais rapproché de la porte de ton bureau et tu avais fait un bref signe à deux de tes hommes pour qu’ils s’occupent du parasite en ton bureau. Pour qu’ils lui trouvent un sofa ou toute autre chose confortable où dormir. Après une visite privée de ton bureau il se fallait bien que tu peaufines ton accueil, que tu offres un certain standing digne de ton enseigne.
Bonne nuit Osvald te disais-tu en espérant que son repos ne se rapproche du précédent cauchemar.