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| | Would you be - Aliocha Dim 4 Avr - 14:03 Would you be feat Aliocha
On ne compte plus les nuits étoilées Ou tu as envahi notre couche de tes cheveux bleutés Tes doigts, tes bras, toi, éternité On ne veut plus te quitter On veut tout te donner On a hâte du matin d'après On a envie de vivre Aliocha tu sais Seulement parce que notre vie de toi est parsemée Parce qu'on te laisse nous dévorer ça nous donne l'impression d'être enfin entier Mais on se demande qu'est ce qu'on est Pour toi, nous, ensemble, séparé
Enfin pour le moment on est, Dans cet endroit où on est jamais allé Hors du temps, et des choses qu'on connait Le village de partout, le village oublié On a peur Aliocha tu sais Peur de se demander Peur de fauter Et que tu finisses par nous abandonner Secoue notre tête pour ne pas y penser Attrape tes doigts discret Le cottage à nos yeux dévoilés Maison au milieu de la forêt Personne ici pour vous troubler Vous feriez des randonnées Vous égareriez surement pas vrai
"C'est magnifique."
Inspire, Expire, les yeux fermés. Nos bras qui viennent t'envelopper Et puis on attrape ta main excité
"Je veux explorer."
Baiser passionné qu'on vient sur tes lèvres voler Savourer, dont on veut se délecter Et on vient t'emporter Laisse les sacs tout, comme si rien n'existait Est ce qu'on est devenu fou à lier ? Ou est-ce juste ça de vivre parce que chaque matin on l'a souhaité ? A peine la porte fermée On revient tes lèvrees capturer Ton corps, le notre prêt à s'aimer On a rarement été aussi passionné On veut vivre sans regret désormais.
"Tu veux qu'on aille se balader ?"
Notre tourbillon qui semble ne pas vouloir se calmer, Alors qu'on découvre chaque pièce chaque clarté, On t'emmène, on vient te dévorer Dans l'escalier brusquement stoppé Ton regard qu'on vient happer.
"Tu es tellement beau. Si parfait. Un rêve éveillé."
Tendresse, calme retrouvé Nos doigts sur ta joue lové On te touche comme une âme sacrée Un sourire qu'on ne peut sur nos lèvrees enlevés. Toi, nous, ici, à jamais.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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Ton rire qui vient les recoins de mon âme lézarder Et ce possessif que tu viens employer Empourpre nos joues de rosé
« Mon Aliocha. »
Saveur dans notre voix échouée On aurait presque sur les mots butés A-t-on le droit de ces mots prononcer ? Est-ce le paradis qu’on vient toucher ? Sourire amusé tout juste étiré Nos appétits toujours insatisfait Laisse notre rire s’échapper Tu es l’été de notre âme gelée Notre nez contre le tien logé On s’extirpe des escaliers Sacs minutieusement attrapé Pour au bon endroit les déposer
« Bien sur. Tout ce que tu voudras. »
Oui, tout ce que tu voudrais. Maintenant, demain peu importait Une fois tous les sacs déposés Alors que d’une oreille on n’a pas arrêté de t’écouter Notre curiosité piquée Notre tête de la cuisine échappé
« Une trouvaille ? Quel trésor as-tu encore eu le délice de trouver ? »
Parce que c’était toujours le cas pas vrai Tout entre tes doigts était sacré Dévorant, dévoré Notre bras au tien emmelé On te laisse nous emporter Nos yeux qu’on vient fermé Sourire vissé On a raremnt était aussi apaisé Une fois la porte vitrée passée.
« Je n’en ai jamais entendu parlé. Et pourtant les romans d’amour sont mes préférés. Parle moi, raconte moi, comment est-il son amant ? Et elle ? »
Curiosité happé, On te regarde t’installer Baiser sur ta tempe déposé, Tasse et thé vite attrapé. On ne peut songer A te faire patienter.
« Je ne me souviens pas qu’on en est déjà parlé. »
Sourire léger Quand vient servir ton thé
« J’avoue me perdre souvent dans les carnets plus que dans des romans en eux-même. J’en ai toujours un sur ma table chevet, je ne sais pas si tu l’as déjà remarqué ? »
Tasse près de toi déposé Alors qu’on vient enfin dans une chaise se lover Eclat du soleil sur le bout de notre nez Notre regard sur toi consumé.
« C’est une histoire d’amour, entre deux alices, un coup au milieu de la gare. Je te la lirais, enfin si ce genre d’histoire te plaise bien sur «
Rire léger
« Et toi ? Qu’aime tu lire bel Aliocha ? «
Sourire taquin, regard mutin glissé Avec toi on est. Celui qu’on pensait avoir oublié.
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Et c’est comme une mélodie qu’on vient écouter La finesse de ta verbe entre tes lèvres glissées Aliocha des heures on pourrait t’écouter Des heures on pourrait s’épancher De toi, pour toi, à toi, une éternité Nos doigts qui glissent sur le papier Méticuleux on s’en voudrait d’abimer Ton précieux objet.
« Qu’elle est belle Lady Chatterlay. »
Mot habilement souflé Si on imaginait, Oh Aliocha, tu serais Lady Chatterlay De volants parée Quand on serait cet autre sauvageon sans attraits Sourire amusé sur nos lèvres rosées Regard coquin, complice qu’on vient sur toi poser,
« Je plains cette pauvre Constance. »
Notre visage sur notre paume de main appuyé On se prends à rêver au détour des pages tournées Ta voix pour nous faire voyager A mesure que tu viens parler On se dit qu’on est peut-être un peu Lady Chatterlay Tes doigts sur notre peau niché Les notres qui ne peuvent s’empêcher De venir aux tiens s’emmeler. Nos sourires qui te sont dédiés
« Pose le plutôt sur ma table de chevet quand tu l’auras fini. Je suis sur que Constance sera d’agréable compagnie quand l’insomnie viendra s’installer. »
Un clin d’œil qu’on te fait On oublie parfois tu sais Que toi, nous, rien n’est posé Tout n’est qu’instable vérité On veut si tu savais Mais on ose le sujet aborder. Un rire léger entre nos lèvres échappé.
« Tous à leur manière. Une vie n’a pas besoin d’être longue pour être belle, ou tumultueuse. Je suis sur que tu aimerai y mettre le nez. Mon père en était un très bon romancier. »
Et puis tes mots qui viennent s’échapper Et on vient s’oublier S’efface juste pour un instant un secret On veut l’être tu sais Cet ange que tu pourrais aimer.
« Ma sorcière… »
Comme la réponse à ton secret, On a l’impression de se dévoiler A toi, a Nous, à la beaauté
« Je te le lirais, au même titre que tous les autres. J’espère que tu as l’éternité »
Et on rit, léger, Libéré du poids qui avant nous faisait sombrer On veut voir l’éternité On veut voir d’autres matin se lever On te regarde te lever Un soupir qui vient nos lèvres passer Quand tes bras viennent nous entourer Nos mains sur toi déposées Et puis toi et tes changements de sujet Empourpre nos joues de rouge éparpillée On se masse l’arrête du nez comme pour le cacher
« Tu finis toujours par me prendre de court avec une autre idée. Tu es intenable »
Le ton est amusé Alors que tu te rassied On vient se lever Sur toi on vient se diriger Nos mains sur tes épaules glissées Notre corps contre le tien collé Assis sur tes genoux on est On a rien demandé
« Je vois là, un corps qui est un bien plus beau sujt, sais-tu… »
Non tu ne sais.
« Que je t’ai dépeint à Stella tel mélange de Nyx et de Dyonisos ? Je réalise cependant m’être trompé, Je me dis que c’est plutôt eux qui sont un mélange de toi, car aucun d’eux ne vaudra jamais ta beauté et encore moins ton âme. »
Une âme qu’on aime tu sais Non, tu ne sais Car on ne l’a jamais évoqué Ou même suggéré. Idiot qu’on est.
« Quand as-tu appris à peindre ? A dessiner ? »
Raconte nous encore, s’il te plait.
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La vie n’avait que l’ombrée D’une ritournelle dépassée D’un moulin usé Où l’eau ne vient plus couler L’important était ce qu’on en faisait Ce qu’on en brisait Ce qu’on y peignait Dans les éclats des arts et des pensées On veut encore t’écouter Te chanter, te danser t’encenser La douceur de tes doigts guindés Voleur de notre peau sucrée Vipère insinuée, sous notre haut glisser Tu nous fais frissonner On se laisse dévorer On veut être dévorer Tes baiser pour nous bruler Enfer ou paradis déguisé Nos doigts dans tes cheveux bleutés Nos soupirs d’aises esquissé On veut s’oublier
« Il n’est que les gens sains d’esprits qui sont inepties. »
Inepties, qu’on disait On ne sait plus tu sais Nos doigts sur tes lèvres sucrées Venons nous de trembler ? Conte nous, conte nous encore
« J’eusse espérer que mes mots délieront donc ta langue des aventures passées au milieu des couleurs et des restes de suie. Que tu dois être beau Aliocha, mon Aliocha le corps seulement habillé de traits de peinture. »
Ton rire mélodie inespérée Alors qu’on consent à parler Viens l’espace entre nous, toi, anhiler
« Stella, c’est une amie. Elle est antiquaire, elle a toujours pleins d’histoire sur les objets, leur histoire. Tu imagines ce que c’est terrible et beau à la fois. Des objets que j’ai touché, que tu as touché, toujours empreint des fils de notre histoire et de celle d’autres. C’est comme des capsules temporelles silencieuse qu’elle est la seule à pouvoir lire. »
On vole tes lèvres d’un baiser On meurt de l’air qu’on vient te voler On brule d’avec toi fusionner
« Aliocha… »
On a peur de te demander On meurt de le prononcer Qu’est ce qu’on est. Toi, nous, comment est-ce que ça s’appelle ? Tu sais ?
« Comment as-tu appris à peindre et dessiner ? »
On est pour le moment, lâcheté.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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