dispo rp : Messages : 58Points de Bonheur : 116Avatar : Katsuragi Misato & Gal GadotÂge d'apparence : 28 ans.Signe Astro : La faux (03/11)Rôle : La petite fille aux allumettesMétier : Cheffe de la Brigade FantômeInventaire : -Pouvoir : PyrokinésieEn couple avec : -Autre(s) compte(s) : Jabberwocky, Alexis & Helios
Babylone A. Firewood
Dark Shadows
we were born sick ; alastor Ven 14 Mai - 20:01
"We were born sick", you heard them say it
babylone & alastor
Alastor. C'est une incantation. Un besoin, une obsession. Alastor tu parles si fort et Babylone entend ta colère -elle devine tes airs défoncés et ton âme éventrée. Elle n'est pas si loin, juste assez pour ne pas avoir besoin de se concentrer et. Elle attend. Simplement. Ce n'est pas l'envie qui lui manque de brûler vif ce traître auquel tu t'en prends encore mais, ce n'est pas ce que tu veux. Alors Babylone en attendant son heure se torture, elle t'appelle tu sais ?
Oh si souvent. Hurle ton nom en pensées éclatées. Alastor Alastor Alastor Alastor -elle est ravagée.
Brûle brûle bout de rage la belle et pouf l'allumette se consume ! Le feu si fort qu'elle aura à peine tenue plus de cinq secondes. Elle a besoin de te voir alors dégage-le tue-le peu importe ! Elle a besoin de te voir maintenant, Babylone. Le pied qui trépigne sur le parquet, les doigts qui s'entredéchirent d'impatience. Il faut qu'elle se calme. C'est insupportable de te savoir là-dedans, Alastor.
Alors, lorsqu'enfin les mots se taisent et que l'intru sort, elle ne prend même pas la peine de frapper. La porte qui s'ouvre à la volée pour la laisser entrer brusquement, essoufflée elle est essoufflée Babylone. Figée soudain, sur le pas de l'entrée.
C'est subit, parce qu'elle s'en doutait. Tu es détruit -mais ce n'est pas ce toi qu'elle a l'habitude de voir. Ça lui déchire le coeur.
— Alastor.
Ça sonne un peu amer. C'est si sec si froid. Elle brûle.
— Je vais le tuer. Parce qu'elle ne sait pas tout mais elle souffre beaucoup trop. De te voir comme ça.
Quelques pas dans la pièce, elle s'avance, ferme la porte dans le mouvement pour s'accroupir à côté de toi. Ses lèvres ne sont que rage mais elle a dans ses yeux une peine bien trop sincère, tu le sais. Une main qu'elle glisse contre ton visage, sur ton front pour y dégager quelques mèches tandis que l'autre reste posée sur ses genoux. Grimace dépitée, lassée.
En couple avec : tes cauchemars (et plus ou moins selene)
Autre(s) compte(s) : andy, vorpal, meliodas et aslan
dispo rp : Messages : 700Points de Bonheur : 905Avatar : zhongli (genshin impact) + cillian murphy (irl)Âge d'apparence : 38 ansSigne Astro : la faux.Rôle : le croquemitaineMétier : gourou et chef des dark shadowsInventaire : cape en toile d’araignée ; gâteau mange-moi ; filtre d'Amour ; poudre d'escampette. Pouvoir : phobie et umbrakinésieEn couple avec : tes cauchemars (et plus ou moins selene)Autre(s) compte(s) : andy, vorpal, meliodas et aslan
Alastor Haunting
fume avant que la vie ne te fume
we were born sick ; alastor Dim 16 Mai - 13:48
Alastor & Babylone
we were born sick
Judas est parti, car tu lui as ouvert la porte. Tu lui as intimé l'ordre de dégager, alors qu'il refusait pourtant de bouger. Sous couverts de menaces vides de sens, d'absence de mort promise. Et pourtant vous vous l'étiez promis... à la vie à la mort - jusqu'à la fin. Le bureau est désormais vide et tu te laisses glisser au sol dans un soupire las. Les insultes et la haine sont encore à portée, foisonnant du bout de tes lèvres désormais scellées.
Le couteau triomphe en éternel perdant sur le parquet, au milieu d'une petite flaque de sang. Tu aurais pu y observer ton reflet mais à quoi bon contempler le visage de celui qui a failli. Les jambes pliées et écartées, tu gardes la tête baissée et le regard s'éteint peu à peu. Une lueur malingre jaillit quand la porte s'ouvre de nouveau et que le corps de Babylone s'impose.
Elle brule quand toi, tu te consumes. A son ordre intime, tu la fustiges.
— « Non. Tu ne vas pas le tuer. »
Ça y est, elle a rallumé le feu sacré en toi - celui qui dévore tes prunelles et qui appelle au chaos et à la destruction. Tu redresses ton visage (sans bouger) pour l'observer et la toiser.
— « Il n'y a que moi qui ai ce droit sur lui. Je lui ai juré que si sa route croise la mienne de nouveau, je l'égorgerai moi-même. »
Tu souffles, tremblant d'une hystérie à peine contenue.
— « Il m'a supplié, tu sais. Il m'a supplié... »
Et quand elle se permet de te toucher, elle est bien l'une des seules que tu laisses faire. Trop concentré sur ta propre volonté à ne pas sombrer.