Cœur brisé. Harry, poussière parée. Injustice, pourquoi, pourquoi, pourquoi. Pourquoi lui infliger cela, elle qui a déjà perdu un enfant, n’est-il qu’un jeu que de la faire pleurer, que de la faire souffrir, que de lui briser le cœur.

Elle pleure.

Brise ton cœur.

Silence par la voix de Roméo brisé.

Silence.
Silence.
Silence.

Mensonges, calomnies, affres des paroles, ne peut-il pas se taire, se taire, se taire. Enfant de couronne affublé, lâcheté, doutes du moindre mot qui vient à sortir  de la bouche d’un autre Roi sur l’estrade installé. Pourquoi. Pourquoi. Pourquoi. Quel monstre êtes vous pour torpiller alors qu’elle pleure. N’a de Roi que le titre factice, n’a ni la prestance, ni l’honneur, les Rois sont ombres, rage à tes prunelles, si seulement un regard suffisait.

— Il suffit.

Souffle, murmure presque, il n’est pas ton combat, mais son arrogance, le fait le devenir. Quittez Marmoreal. Quittez les terres qui vont accueilli, recueilli, pourri est votre cœur Romeo de Crims à l’égard de ta Reine.

Tache le blanc
Tache le Blanc.
Tache le Blanc.

Et voix salvation, voix cristal, voix de ton cœur, de ton âme. Regarde Opal entends les maux et les mots. Oh Opal touche en plein ton cœur. Repeint de blanc, repeint de blanc. Vorpal qui s’en va, cœur serré, cœur serré, veux demander à rester. N’a pas le temps de rattraper. Car Hyacinthe…

Elle pleure.
Elle pleure.
Elle pleure.

Ils l’ont fait pleurer. Tu les hais. Les souvenirs ressassés. Tu les hais. Tu les hais. Tu les hais. De tout ce qu’ils lui font, de leur politique qui veut la briser, des ces autres qui pensent de leur lâcheté la tacher, de ces règles qui l’empêche de voir son rêve exaucé. Peut-on lui en vouloir, alors qu’elle ne veut qu’un enfant, un pauvre enfant, après plus de cinq cent ans, des cycles qui jamais ne finissent, elle n’est pas bout de papier, elle est un cœur. Une âme. Personne ne devrait à la juger pour ça. Oui c’était mal. Mais au désespoir naissent les mauvaises idées.

Tu aimerais détruire le monde Lys.

Meurs des mots qu’elle prononce. Ils sont beaux. Ils sont terribles. Ils sont douloureux. Ils te brisent. Tes doigts qui se lovent au sien. Elle ne devrait pas être sacrifice, tu es ombre, tu devrais porter le chapeau, porter le poids, que toujours elle règne, car elle est tout. Ton tout.

Elle n’est pas seule. Jamais. Jamais. Jamais.

Mon aimée
Mon aimée
Mon aimée

Souffle, à elle, rien qu’à elle, que pour elle, regard amour, doigts qui se resserrent amour, larme sur une joue amour, pleure d’une larme unique à la hauteur de tout l’amour que tu lui porte, de toute la peine que tu sais la traverse. Amour, Amour, Amour, noie d’amour. Elle seule pour entendre.

—Je suis là. Je serais toujours là. Hyacinthe, je t’aime. Je réparerais la moindre faille, essuierai toutes tes larmes. Je meurs pour toi. Je vis pour toi. Mon corps, mon âme, mon cœur te protégeront autant qu’ils le pourront jusqu’à mon dernier souffle. Mon éternité.

Inspire.

—Le blanc même taché, reste du blanc. Et tu en es la plus belle nuance. Je suis désolé, si désolé.

De ne pas être à sa hauteur, de ne pas pouvoir la protéger de toutes ces peines qui l’assaillent. Que tu es encore failli à ton devoir. Ombre. Silent. La main libre vers Rose tendue. Votre lumière. Votre enfant. Au même titre que toutes les âmes face à vous. Qu'elles soient Vorpal, Pace, Helios, Anne, chaque parcelle du peuple peu importe, à ton coeur ils sont vos enfants, au même titre que vous en êtes.

Résumé :

-Harry qui disparait lui brise le cœur
-Hya qui pleure lui brise l cœur
-Veut que Romeo se taise, ne supporte qu’il insulte sa femme, et à deux doigts de le défoncer en public
-Entends Opal, regarde Opal, love
-Cœur serré de voir Vorpal qui part
-Vient tenir la main de Hya
-Les mots de Hya le brise un peu plus
-Petite déclaration d’amour.
-Tends la main vers Rose elle l'a prends ou pas.

NB : Perséphone est partie crever.
Désolé c'est long.
JVM