jabberwocky
cœur à demi ouvert à une époque ce n'était pas de l'amour, juste un manque il fallait combler. et des solitudes des écorchures à rassembler ; on se l'était bien dit. on y a cru et c'était stupide. on a rêvé un peu (d'amour) et puis par méchanceté (protection) on a cherché ta colère. la cicatrice au visage, on voudrait te haïr, mais la marque on t'a dans la peau ; reviens. on t'attend toujours avec ta clé, avec le cœur. dis, est-ce que c'était réciproque, jabberwocky.
bandersnatch
on se sent parfois mis au banc. hors-contexte. t'attendre ne pas chercher ; on a le sentiment tu ne voudrais pas le voir ailleurs. fonction. c'est comme ça qu'on se sent, bandersnatch. mais ce n'est pas très clair, et tes colères à ses pieds se vident. on te vide, croit-on et ça nous brise un peu le cœur. ça ne sert à rien d'aimer si c'est pour te priver de tout. oublier, allons, on t'aime comme on aime tout le monde. (oui, on le croit)
charlotte
on te déteste. on aime te détester. perdre le compte des siècles où le silence fait place à ta présence envahissante. revient toujours lotti, sans prévenir, comme si susan déjà t'appartenait (presque). toujours si près lotti, n'est-ce pas, mais cours toujours plonge toujours dans son regard, ce sera : non. sourire, tu es tellement belle quand tu lui tiens rancœur. meilleure amie meilleure ennemie, comment pourrait-on se sentir vivant sans toi.
morgan
faudrait juste oublier que notre mère a créé le fossé entre nous deux ; le commencement. oublier tes cheveux blancs (fake) alors qu'on voulait tes cheveux bruns (fake nous). oublier la jalousie commune et se rappeler y'a que nous en fait qui puisse t'insulter, te faire mal. mais même par amour filial arrête tes conneries, tes déboires ; on finit par se dire orphelin à la longue.
aliocha
on ne dit pas que ta prémonition est fausse. on dit juste ; tu interprètes mal. et tu sembles tellement ému on dirait qu'il s'agit de ta mort à toi. ça rend les nuits intimes un peu morbide, mais qu'est-ce qu'on s'en fiche susan. et dis, tu les prends ces notes on espère, après tout c'est la raison de vos rencontres si charnelles. peut-être plus fréquentes que de simples one night éducatif.
vorpaline
la plus belle messagère de time qu'on ait pu voir enfant. puis après on a compris t'es dans ta fonction gardienne protectrice, toi aussi. salvatrice vorpaline. et grâce à toi, on ne pense plus à autre chose. se débarrasser de l'inutile et remplir sa fonction. de vérité c'est beaucoup plus, vorpaline tu nous as aidé à avancer. croire en lui et tu lui as appris à grandir. épée humaine et mortel de sable. grâce à toi on a découvert le temps.
samael
les longues paroles sont si ennuyeuses, mais les tiennes remplies de vérité de lucidité. vraiment qu'avec toi qu'on peut râler, être compris. les êtres vivants sont tellement chiants, susceptibles et fragiles. d'ego et d'esprit. c'est ce qu'on aime se raconter avec des réflexions décousues sur l'existence des choses. mais par pitié cesse de perdre ta canne, de la briser.
argent
si vous pouviez avoir l'amabilité de rendre sa canne à sam, ça éviterait les massages de pied et de jambe. ou de le voir empirer son état à coup de tringle à rideaux. enfin ce n'est toujours pas ses affaires, susan, on vient pour vous écouter. vous conseiller. et juger votre cour parfois avec vous. faut-il saluer le roi ? une perte de temps dirons-nous.
shelly
peigner tes cheveux si longs et les coiffer. shoping à neverland et l'esprit tranquille. tes parfums si distingués on en fait une collection pour toutes les occasions. on n'a jamais pleuré et on aimerait l'éviter shelly. reporter ce jour à plus tard.
lysandre
mille subjectivités. un million de je éclaté chez toi. chez les autres. mais les minutes en ton nom, susan on ne les oublie jamais. te voir différemment et dans les réalités singulières rassemblées il y a la tienne. raconte et on te raconte. dans ton présent susan n'est jamais plus honnête. plus vrai.
theodosius
avant sur les mêmes scènes de spectacle. même univers au devant pour distraire l'assistance. peut-être son premier ami, dans ses souvenirs. mais pas les mêmes rêves, toi dans la lumière lui dans l'ombre. alors l'amitié c'est de loin aujourd'hui on fait office de second secrétaire, te refiler accessoirement les alices perdus.
jean
avec ta sœur au début infernale. heureusement que tu existes pour apaiser les flammes. on se demande pourquoi tu es si dévoué à marmoreal avec ton don tu pourrais, indépendant, attirer ta propre clientèle. on t'écoute toujours jean, on a même pour toi et ta sœur la chambre d'invité prête dans sa demeure.
judas
de ces alices au commencement bruyant et puis on les introduit (dieu que c'est détestable) on les abandonne à theo. mais toi tu reviens parfois, avec le besoin de solitude, de recharger tes batteries. la porte est toujours ouverte pour toi, peu importe ton alignement on espère seulement un jour tu sauras te retrouver, tu sembles si égaré judas. ne t'oublie pas.
daphnis
réparer ton monde à l'appel. par amour des jouets, par amour des petites choses et toi tu leur donnes vie. susan, on pense tu as le plus beau don de wonderland ; insuffler existence aux histoires silencieuses et autant de fois qu'il faudra, on abandonnera sa tour on viendra rétablir ton royaume. susan le respect tellement haut envers toi.
alexis
UESH À QUAND ON EN PARLE MAIS QUE