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❝ Leur douleur comme plaisir ❞ | ft. blanche
coin coin sadique
Belial A. Faustian
dispo rp : pas dispo
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Points de Bonheur : 894
Avatar : Higgs ▬ Death Stranding | Troy Baker
Âge d'apparence : La quarantaine
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Rôle : Faust
Métier : Directeur du Casino
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Pouvoir : Amplification d'émotions | sentiments
En couple avec : L’incarnation de l’anarchie, Blanche
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❝ Leur douleur comme plaisir ❞ | ft. blanche S6PPt12
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❝ Leur douleur comme plaisir ❞ | ft. blanche S6PPt12
Belial A. Faustian
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❝ Leur douleur comme plaisir ❞ | ft. blanche Dim 25 Avr - 21:52
Et ils ne s'oublieront
Aussi longtemps qu'ils auront la volonté de vivre @Blanche B. Wolfman
Il s’était passé bien des choses ces dernières semaines… Entre ton retour bredouille du mont enneigé à la recherche de Time et les événements qui s’étaient enchaînés. Tu avais plutôt décidé de quelque peu te tenir en retrait de tout ce qui pouvait se dérouler en ce bas monde sans doute pour qui sait te recentrer sur certains objectifs. Il y avait eu toute cette histoire avec la Reine de Cœur et Alastor même si celui-ci était revenu aux dernières nouvelles. Il fallait avouer que tu n’avais fait grand-chose pour aider en la situation là où tout simplement le tout était hors de ton domaine de compétences. Tu faisais en sorte que l’argent rentre même si tu espérais que votre gourou finisse par revenir, le désordre n’était jamais bon pour les affaires même si tu adorais voir le chaos se propager. Halloween City se trouvait en une bien complexe situation même si tu te demandais si tu pouvais toujours voyager en le royaume rouge sous ton identité de civil. Pour l’instant cette idée était loin alors qu’il t’avait fallu soigner tes côtes tout comme panser les plaies de ta dernière entrevue avec Blanche en privé en l’hospice. Il n’y avait pas eu d’énième dérapage entre vous depuis ce moment, point de nouvelles rencontres hormis au mieux l’obligatoire de votre travail respectif.

C’est en cette journée lambda qu’un léger imprévu c’était glissé. En ton manoir sortant qui sait un peu moins qu’à l’accoutumer ces derniers temps. Les cadavres de bouteille ayant quelque peu commencé à s’accumuler au fur et à mesure des jours comme en recherche d’un nouvel divertissement. Tu avais cherché refuge en bien des amusements sans trouver quelque chose de bien croustillant comme si tu avais fait le tour de bien des choses en ces années en Wonderland. Les heures s’écoulant même si tu n’avais la moindre emprise sur celles-ci, incapable de les quantifier correctement et de leur trouver un écoulement logique. Tu avais quitté ton salon verre en main jusqu’au moment où l’un de tes serviteurs ne tarda à se pointer vers toi afin de te donner une information relativement ennuyante.

« - Mademoiselle Wolfman se trouve à l’entrée elle ne m’a pas précisé la raison de sa visite. »

Une simple remarque qui t’avait doucement fait serrer les doigts, poings clos face à une telle annonce alors que l’individu à tes côtés s’était montré encore plus soumis qu’à l’accoutumé pour ne point te déranger plus que ça. Tu t’étais contenté d’un geste de main pour lui dire de prendre congés alors qu’on pouvait lire ton désagrément le long du visage. Tu te demandais ce qu’elle pouvait bien faire ici même si cela ne pouvait être pire que sa tentative de suicide qui te travaillait toujours anormalement. Tu disais n’en avoir qu’en faire mais au fond n’est-ce pas cela qui te travaillait ?

Tu étais tout sauf libre présentement plus que tout obnubilé par les écarts de mademoiselle, de la maîtresse des chuchoteurs. Tu arrivais néanmoins parfois à être marqué par l’indifférence pour ne pas lui donner plus d’importance, pour ne pas démontrer une certaine faiblesse.

Tu avais donc traversé les pièces d’un pas impérial pour arriver devant l’imposante porte d’entrée, la main contre le tout alors que tu t’apprêtais à l’ouvrir. Tu aurais dû n’avoir la décence de la recevoir tout simplement mais il y avait toujours un semblant étrange qui te poussait de nouveau vers elle, un tout qui arrivait à te faire faire de misérables efforts. Un tout qui remontait bien avant comme tu avais fini par l’apprendre de la bouche d’une autre, de la Reine Blanche.

« - Que fais-tu ici ? Il n’y a rien d’important de prévu entre nous à ce que je sache ? »

Car tu ne voyais pas pourquoi elle se trouvait présentement ici face à toi alors que tu l’épiais te tenant à la porte.

« - Donne-moi une raison de te laisser entrer. »

Une parole simple alors que paradoxalement tu n’avais point hésité à placer ton regard en le sien, auprès du sien alors que tu observais une silhouette quelque peu différente de celle que tu avais toujours côtoyé. Une chevelure différente de l’immaculée blancheur. Le hasard, il n’existait pas entre vous ou alors faisait merveilleusement les choses à l’opposé sans en réalité y laisser une once d’aléa. C’est comme encore une fois s’il y avait une force qui avait poussé à cette rencontre alors que tu avais cherché ses poignets d’un bref coup d’œil.

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❝ Leur douleur comme plaisir ❞ | ft. blanche Mer 5 Mai - 11:40
Leur douleur comme plaisir
Dernièrement, le manoir ne profitait plus vraiment de ta présence, Blanche.
Il faut dire que moins tu sortais de chez toi... Mieux tu te portais.
Les autres t'étaient de plus en plus insupportables, hormis quelques exceptions.
Darya, Asmodée, pour n'en citer que quelques uns.
Ceux dont la loyauté et l'amour n'était plus à prouver, dans leur forme la plus pure.
Et, aussi, même si tu ne le dis pas,
pour éviter de le croiser.
Lentement, tu t'étais remise de tes blessures, infligée par tes propres lames.
Lentement, tu avais apprit à relever le menton, te concentrer sur ce travail,
ce rôle de mère qui te sied si bien, à veiller sur tes protégés.
Et c'est bien cette même raison qui te pousse, aujourd'hui,
après avoir repoussé encore et encore l'échéance,
à te diriger d'un pas décidé vers le manoir Faustian,
le dernier lieu où tu voulait te trouvé en cet instant présent.
Robe épousant la volupté inégalée de tes formes,
crinière ayant abandonné l'argenté pour un pourpre violine.
Phoenix qui renait de ses cendres.
Un renouveau marqué d'un changement qui peut paraitre banal... Mais qui est loin de l'être pour toi.
Et surtout, ces lunettes qui couvrent tes yeux.
Protection? Précaution?
Comme pour lui dire, lui faire comprendre sans ouvrir la bouche
"Je ne veux pas te voir"
Ou bien dissimuler tes propres yeux. Car il n'a plus le droit de s'y plonger.
Où d'y lire toutes les vagues d'émotions diverses et variées qui risquent de t'assaillir, et que tu crains au fond de toi.

Après s'être présenté à la porte, à ces servants dont il se pare pour avoir un sentiment de contrôle et de dominance total
Celui qu'il est frustré de n'avoir jamais pleinement avec toi?
Tu attends le maître de maison. Et quand la porte s'ouvre à nouveau, tu te contentes de fixer, l'air trop occupée pour lui accorder la moindre attention, ou le moindre regard derrière ces vitres teintés qui voile tes pupilles ambrées.
Comme toujours, il fait preuve de bien peu d'amabilité. Rien de surprenant. Même s'il t'avait déjà accueillit avec bien pire.
Soufrerais-tu toi aussi, Belial, de son manque?

« Une raison? Et bien, je peux aussi repartir aussitôt, et expliquer à Alastor qu'il n'aura pas son bilan mensuel parce que monsieur Faustian nous fait un caprice et refuse de me laisser entrer pour récupérer les documents restés chez lui concernant mes chuchoteurs. »

Ta voix a beau être maitrisée et tranchante, tu sembles essayer de rester calme... Ou peut-être plutôt, indifférente? Comme si cette 'menace' ne t'atteignait pas, et qu'un possible refus puisse te faire ni chaud ni froid. Repoussant du bout de ton ongle la paire de lunettes rondes qui dissimule ton regard vagabondant toujours ailleurs, sur ta droite, tu pousses un simple soupire agacé, et rajustes le sac à main pendu à ton épaule couverte de la dentelle du bustier de ta robe.

« J'ai d'autres choses à faire. Alors, laisse moi passer ou referme la porte, mais fais ton choix rapidement, merci. »

Parce que c'est une femme occupée, désirée, demandée Blanche, tu sais Belial?
Et que tu n'es pas... Que tu n'es plus sa priorité...?


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Belial A. Faustian
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Belial A. Faustian
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❝ Leur douleur comme plaisir ❞ | ft. blanche Dim 9 Mai - 15:03
Et ils ne s'oublieront
Aussi longtemps qu'ils auront la volonté de vivre @Blanche B. Wolfman
Des artifices qui ne changeaient point, tu avais quelque peu observé un instant ces lunettes teintées qui avaient un seul et unique but en la ville nocturne. Cacher son regard pour te soustraire l’aisance de deviner chacune de ses émotions en un simple coup d’œil. Tu étais partagé entre le fait de trouver cela amusant mais tout aussi pathétique pour dire à quel point Blanche était tombée relativement bas. Tout ceci te confortait en quelque sorte sur l’idée que dans tous les cas tu gardais une certaine importance ou ne pas dire nécessité la concernant sinon pourquoi s’encombrer de ce luxe. Tu avais doucement continué ton analyse au fur et à mesure qu’elle énonçait la raison de sa présence. Tu étais d’ailleurs étonné qu’en plusieurs dizaines d’années c’était la première fois que tu la voyais avec une couleur de cheveux différente là où il était pourtant aisé de s’occuper de ce détail de son être. Il y avait des détails qui restaient immuables néanmoins surtout en sa façon de présenter le tout comme un ultimatum, un certain talent pour vouloir attiser le conflit alors qu’elle devait jouer la carte du total désintérêt en votre entrevue. Décidément le tout était toujours relativement compliqué.

Des grands mots posés en de simples propos alors qu’elle agitait la menace d’Alastor. Tu avais doucement roulé des yeux là où les sarcasmes ne te manquaient point. Tu aurais été tenté de lui refermer la porte au nez pour pouvoir profiter d’une quiétude retrouvée, d’un calme qu’elle était venu te dérober présentement. Tu avais fini au final par bien plus ouvrir la porte de ta merveilleuse demeure ou plutôt de ce cercueil géant en lequel bien des malchanceux avaient mis les pieds.

« - Rentre vu que tu veux t’occuper de tout ça rapidement, ca nous permettra de s’économiser du temps mutuellement. »

Des propos relativement froids mais efficaces en leur dure réalité. Vous alliez chacun gagner du temps en ce moment précis là où tu n’aurais à te soucier d’Alastor et lui expliquer le pourquoi du comment. Tu aurais pu présentement mettre en place un plan pour te divertir de Blanche mais tu n’avais la motivation no l’envie de réfléchir à tout cela. Tu te demandais bien ou elle avait pu mettre ces fameux rapports d’ailleurs n’ayant que très peu fouillé voir pas du tout en les divers meubles ces derniers temps.

« - D’ailleurs ca te vient d’où cette nouvelle couleur ? Tu as bien eu une idée derrière la tête. »

Même si tu doutais très fortement du fait qu’elle veuille te répondre tout bonnement. Il y avait peut-être en cette question un désir vicié, l’envie de l’entendre dire que cela était lié aux derniers événements. Tu souhaitais percevoir le fait qu’il y avait encore et toujours quelque chose qui la travaillait. Une chose au fond d’elle qui la poussait à agir selon certains schémas que même elle ne pouvait comprendre. Tu étais toujours persuadé d’avoir une certaine influence sur elle et que le tout était diamétralement opposé à celle qu’elle pouvait avoir sur toi. Après tout cela faisait quelques temps que vous n’aviez rien entretenu même si même après des mois vous aviez fini de nouveau l’un auprès de l’autre.

« - Et retire ces lunettes ca ne marche pas avec moi et tu sais que je n’ai pas grand-chose à faire pour jouer avec tes émotions. »

Juste un peu de magie pour la faire bouillonner, la faire s’enrager car tu savais qu’obligatoirement elle ne resterait de marbre. Il lui serait impossible de retrouver un certain désintérêt après avoir appuyé sur un quelconque sentiment, même les pires.

« - Et tu dis être occupée mais que comptes-tu faire de ta journée hormis travailler ? »

Pour ne pas dire autre chose.

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