de par les mouvements qui se donnaient,
de par le rythme qu’il offrait.
aux yeux curieux,
au regard des passants,
des plus habituers par les nouveaux visages,
tout était réuni pour la même chose:
te voir danser.
de par des gestes élégants,
tes exécutions parfaite dans les moindres détails,
tu es libre,
tu es fluide dans ce que tu peux exprimer
et tu laisse ton corps nourrir ce besoin.
car lorsque l’on offre son corps pour les besoins de la chair,
tu n’avais pas le loisir d’exprimer ce que tu gardais au fond de ton être,
alors lorsque tu jouais de prouesse dans les rues,
tu y allais à 1000%.
puis tu as entendu une voix.
alors que tes pieds finissent au sol,
reprenant ta stabilité en étant interpellé,
tu as reconnus bien vite la voix s’était élevé par la foule,
mais tu ne l'aperçut que lorsqu’il exécuta sa manœuvre…
pour venir s’étaler la gueule par terre.
tel l’arbre qui tombe.
haussant les sourcils,
d’abord surpris de toute la scène,
il te faut toute la force et la volonté du monde pour ne pas éclater de rire sur le coup,
mais tu te pencha vers lui avant alors que tu lui attrapes l’une de tes mains pour l’aider à le relever.
et alors que tu vois son visage,
tu ne peux retenir une grimace de rire alors que tu épousseta ses habits.
— ton début était très bien, mais il ne faut pas oublier que des pieds, on en a deux ! relève toi, je vais te montré comment faire.