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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Dim 31 Jan - 13:57
je suis touché
♬ Il y a eu quelques visites impromptues, quelques entrevues programmées autour d’un thé, quelques brèves anecdotes accompagnées de biscuits - ainsi, te semble t-elle loin votre rencontre.
Et pourtant...
N’était-ce pas hier ? Les jours avant celui d’hier ?
Une amitié naissante au fil de minutes partagées. Minutes. Heures. Jours. La familiarité timide, la familiarité à l’aise.
Allons, Aliocha... Voilà que tu te perds en élucubrations temporelles ! Tu as mieux à faire.
Élégamment vêtu d’un pantalon sombre au tissu souple, adéquat à la marche sportive, d’un pull bleu s’accordant à celui noyant tes yeux et de bottines noires rigides - c’est que tu es coquet, qu’importe la situation (oui) - tu patientes.
Tu patientes, adossé nonchalamment à un vieux chêne, le regard plongé dans son feuillage aux multiples lumières. Il est si large qu’on eut dit un palais d’écorces et de mousse. Quel meilleur point de repère que celui-ci ?
Je suis en avance. Il est vrai. Je n’aime pas être en avance mais - je n’ai pu restreindre mon engouement quant à notre rendez-vous. Nous n’avons jamais encore partagé de promenade en pleine nature. Un décors aussi bucolique que ces rivages boisés et que le lagon aux sirènes attise aisément les esprits les plus raisonnables et raisonnés !
Un bruissement dans le feuillage, le ronronnement des cailloux visités.
Susan est là. Tu l’aperçois. Aussitôt un sourire. Un sourire large et finaud.
Tu te redresses. Heureux de te voir. La voix alanguit. J’espère que tu es plein d’énergie, mon cher. La malice, enfantine. Je nous ai prévu quelques surprises. Je compte nous fatiguer. L'oeil, joueur.
Tu connais ces lieux comme le fond de ta poche, Aliocha. Il y’a merveilles et curiosités à observer, à savourer... C’est un souhait que tu réalises - offrir à Susan la vue de ces merveilles, la félicité de ces curiosités.
Plaire et lui plaire. Créer une partition à quatre mains. Folâtrer aux sons de notes tacites. Une amitié respectable - de prime abord. Une amitié qui te contente - ou presque.
C’est que, Aliocha, plus tu le côtoies, plus le désir fripon de le charmer (de le toucher) te chatouille l’épiderme et les sens.
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Dim 31 Jan - 20:01
toutes ces récurrences et parfois elles tombaient sans prévenir. scintillement des yeux qui s’agace, mais on ne t’a jamais refusé des minutes de sa vie. sans doute parce que tu ne lui donnais aucun prétexte pour dire non.
familier parce que tu engloutis les distances un peu à la manière d’un gargantua ; ta main sur son épaule (il y a longtemps) si vite déposée. avide ? tu sembles avide si calmement avide.
aujourd’hui, dans les poches en jean – plus moderne susan – le petit sablier. ta clé d’argent. aux épaules, rappeler les brins de lavande ; fleurs brodées sur le noir du t-shirt. marcher vers la destination et les doigts jouent après la chaîne en argent autour du cou. les mèches libres au-devant du visage te voilent en premier, puis redresser la tête
lève le menton quand il te voit contre le chêne. les pas se ralentissent, petit sourire ; poli susan. tu es expressif, alors par plaisir – simple – te rendre la pareil d’une dose si infime.
aliocha.
s’arrête à quelques centimètres de toi, tend le bras près de ton cou arracher une écorce ; nonchalance des gestes égrener le bois. scintillement des yeux calme amusement. c’est la forme qu’il faut pour aujourd’hui.
je suis à ton image, all in.
te devance, reprendre la marche.
tu as toujours des surprises aliocha. peut-être davantage aujourd’hui
lève un sourcil ; sourire en coin.
vas-y, guide-moi. fais-moi donc voir d'autres merveilles.
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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Lun 1 Fév - 15:54
je suis touché
♬ Il a ce geste souple et gracile, un serpent qui siffle à ton oreille - y’avait-il un bout d’écorce ? Qu’importe. La tentation est là, sous les écailles et dans le silence, le non-dit est là, sous les lèvres et dans l’épiderme.
Aliocha, ton sourire s’épuise sur tes dents. Il a le calme d’un enfant qui joue dans sa bulle. Tu n’es ni chimère, ni imaginaire. Chair et raison - non. Chair et désir.
Il te fait garder prestance et contenance, Aliocha.
La journée est belle. Ses potentialités le sont d’autant plus.
Agile, tu enjoins une œillade rieuse à ton invitation au départ.
J’espère ne pas te décevoir. J’espère ne pas le perdre au détour d’un soupire fatigué.
Vos pas s’enchaînent. Tantôt tu attrapes son poignet - n’est-ce pas par sécurité ? Ce n’est pas par simple besoin de le toucher - bien sûr que non. Tantôt tu t’arrêtes brusquement - n’est-ce pas par sûreté ? Ce n’est pas par simple besoin de le sentir en ton dos - bien sûr que non.
Bien sûr que oui.
Sur votre chemin, il y a myriades de fleurs écloses, d’arbres grands et petits, de plantes longilignes et larges. Le soleil les charment de rayons éparses.
Quelques instants encore et vous arrivez aux rivages du lagon.
Tu n’aimes pas les grandes étendues d’eau. Tu en as peur, Aliocha.
Or cet endroit est si beau, si mystique, que ta phobie se garde de geindre.
C’est un petit pan de sable fin et doux - l’eau est claire, à l’image d’un miroir taillé dans un morceau de ciel. On voit de curieux coraux carmins et émeraudes sous la houle tranquille des vagues. Tout autour, d’immenses roches encerclent cette avancée marine et en façonnent une piscine naturelle.
Peu d’âmes connaissent cet endroit. Si peu.
Tant mieux.
Le sourire s’étire, confiant. La malice s’éveille, grondante.
Ce n’est pas toutes les décennies qu’il te vient l’envie d’agir comme un idiot naïf et heureux.
Ce serait bête de bouder cette envie.
Susan ! Regarde ! Tu t’exclames, très sérieux.
Puis, sans attendre, tu vous précipites au bord de l’eau que tu pointes ensuite d’un doigt accusateur et circonspect.
Est-ce que tu l’as vu ? La sirène ? Tu l’as vu ?
Et comme si la fameuse susnommée venait de s’enfuir sous une rocaille, et comme si cherchais à lui pincer la queue... Tu te penches et... La main rapide et agile, captures une bonne lampée liquide pour mieux spectaculairement éclabousser le visage de ton compère.
Oui.
Aliocha, huit ans et demie.
Il n’y avait ni sirène, ni quelconque chose à voir.
Oh mes excuses, j’ai voulu l’attraper et mon geste a ripé et... Mh... Tu en fais une belle... De sirène... Si je puis me permettre...
Taquin. Coquin.
Tu ris - un peu. Beaucoup. A la folie. (Intérieurement).
Seulement ce n’est pas faux - il en fait une belle de sirène - les mèches mouillées, la peau scintillante, les lèvres humides... Ah.
Aliocha. T’as le regard qui se voile d’un amusement loin de l’innocente naïveté et bonheur de l’idiot d’il y’a quelques minutes à peine.
À dire vrai, tu souhaiterais volontiers réécrire l’histoire du jardin d’Eden - non sans accentuer la trivialité des échanges entre Eve et Adam...
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Lun 1 Fév - 16:44
on a un peu joué la princesse, la délicate susan on avoue. avec sa moue malice sur un visage relevé. le décevoir, as-tu dit. on verra que le scintillement des yeux répond.
dans les sentiers ; rumeur faunique. c’est toi le guide, s’amuse-t-on alors susan tout entier te suit comme si c’était la première fois. hoche la tête si investi quand aliocha détaille le couvert des arbres ou les caches naturelles de la forêt. dans les sentiers son poignet dans ta main on fait de même ; automatisme il est léger contre ta peau, distraction banale pour lui – pour toi ? – quand ses doigts t’agrippent. suit le guide, ne pas trébucher. le long de ton corps sur les brindilles
ce serait dommage, aliocha.
tu le touches il répond ; susan le tactile si naturel, contre toi pour enjamber une crevasse de mousse. simplement pour avancer, aliocha. le scintillement des yeux quand il se pose sur ton visage, aisance malice.
(n’est-ce pas)
on le sent avant de le voir. avec l’air du bord de l’eau et la clarté au-devant des arbres. l’orée de la lagune. et sur l’eau la vie paraît cristal, reflets qui éclairent l’espace. ce n’est pas le même sable que chez nous, susan. emboîte les pas d’aliocha le regard sur l’eau – on pourrait venir mourir ici.
penche la tête, la coquille vide sur la berge on tend le bras vers elle, aliocha ton bras ta main et tu l’entraînes si vite ailleurs.
briser son rôle de jeune alice égaré aux mains du guide expérimenté ; susan, les sourcils se froncent doucement devant l’horizon.
non. mais bien sûr qu’il y a des sirènes, c’est leur lagu-
l’eau. contre le visage. pas eu le temps de se protéger ; la confiance abaisse les défenses. aliocha sale traître. les mèches hiver ça perle le long des joues, du cou
plisse les yeux susan, l’éclat perçant. tu dis tu ris et la moue vengeresse sur ses lèvres ; avec l’eau qui dégorge on les dirait plus rouges.
ripé hein.
geste impérieux de ramener ses mèches en arrière, l’eau encore ça perle le long de sa peau, les gouttes sous le t-shirt. t'as osé espèce de.
s’avance la démarche coulante, lente vers toi.
eh bien sache que la sirène
la voix murmure parce qu’on s’est arrêté près ; si près les lèvres humides il suffirait de tendre le cou aliocha et le scintillement des yeux qui te fixe ; impérieux (te dévorerait) la main sur ton torse ; caresse.
a pour habitude de réserver ses apparats aux esprits dignes. alors que toi
le centimètre de la distance ; le bout du nez contre le tien lèvres entrouvertes susan et
poussée des mains. le corps souple d’un geste te plaquer sur le sable. sur ton visage l’eau des mèches dégoutte. à califourchon avec le scintillement des yeux déterminé. vengeance.
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dispo rp : Messages : 179Points de Bonheur : 452Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl)Âge d'apparence : 25-30Signe Astro : -Rôle : baba yagaMétier : apothicaireInventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + -Pouvoir : vision funèbreEn couple avec : personneAutre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur
Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Mer 3 Fév - 9:55
je suis touché
musique - Tu peux sentir les fleurs, chéri dans les effluves que tu dégages, le parfum de ton souffle - ah, dis, tu veux bien qu’on se coupe du monde quelques instants ? Dis, tu veux bien qu’on s’aime comme des animaux ?
Tu peux sentir les fleurs, joli vice dans les gouttes d’eau qui tombent, t’as les cheveux qui me lèchent l’envie, t’as les yeux qui me poussent à bout - ah, dis, tu veux bien qu’on s’évade les corps quelques heures ? Dis, tu veux bien qu’on s’aime comme des loups ?
Aliocha, t’as le palpitant qui mord, là sous les côtes ça gratte, ça grogne. Y’a les instincts qui causent tu sais, ils veulent savoir si t’es prêt à leur offrir le libre-arbitre ? Dis, tu veux bien ne plus raisonner comme un conjuré ?
Il va t’enterrer, il le dit, il va t’enterrer mais est-ce que ce sera une tombe faite de sa peau ? Dis, tu veux bien m’enterrer en tes chairs ?
Cruelle sirène…
Le sourire te sied quand t’as la faim qui lui chatouille les dents.
T’as les mains qui remontent sur ses hanches, t’as les mains voraces, t’as les mains prison. La belle cage à sens. Ah, c’est bon tu sais ? De pouvoir t’agripper sans gêne aucune. Il n’y plus lieu d’être gêné, pas vrai ? Tu l’as bien cherché, Susan. Le déni et les jeux de souris, les attentes passives et les affections contrariées, t’en as rien à foutre. Aliocha.
Il n’y a que le plaisir qui t’importe et t’es pas celui qui s’en privera - jamais.
T’as les doigts qui glissent sous son haut, t’as les doigts ravageurs, t’as les doigts insistants. La belle échappée. C’est doux, c’est tiède - le soupire. T’as les doigts qui s’ancrent à la cassure de ses reins.
Il se pourrait que tu persistes à interpréter l’aventurier langoureux - mais Aliocha, t’as pas la patience, tu sais ?
Alors tu te redresses et c’est la bascule des rôles. Il est à la merci du sable - il est à la merci de ton ombre. Et déjà tu nourris tes mains des siennes que tu perds, tu les perds au dessus de sa tête - et ses bras se tendent, et les tiens se tendent. Tension.
Longiligne sous ton emprise, tu refuses de l’affliger de ton poids mais - Aliocha, ce n’est pas par égard, n’est-ce pas ? Il est plus facile pour ta bouche de réclamer les baisers sirupeux que l’aurore entre son cou et sa nuque te destine.
Brusquer l’appétence qu’elle a, découvrir les arômes sous les parfums de fleurs - il a l’aurore qui t’enivre et l'épiderme qui se plaît à ta langue.
Entre son cou et sa nuque. La félicité.
Susan.
Murmure.
Offre-moi tes plaintes.
Demande moi de les arracher à ta gorge.
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Mer 3 Fév - 17:54
musique
cruelle. il s’était dit un jour cruel, ce dragon, et ses mains n’avaient eu que des ardeurs communes aux siennes.
aujourd’hui ,
fronce les sourcils susan, pince les lèvres si grand au-dessus de toi, mais que chantes-tu donc
cesse avec ce sirène
le scintillement des yeux soudain des feux internes en question. de tes mains le long de ses hanches susan le visage geste infime de briser quelques centimètres de distance, se penche vers toi. et le bleu des yeux limpide alors tes doigts sous le t-shirt et susan le bleu des yeux limpide se rive dans ton regard, brûle et défie. que fais-tu donc aliocha,
frissons le long des reins et tu dois le savoir ; avec ta malice tes envies audacieux aliocha tu sais les pas de danse comme ceux que tu t’apprêtes à faire, comme une évidence susan (répondre au partenaire)
lève un sourcil, la formalité ironique.
est-ce une de tes surprises
se redresse contre toi à la manière d’un prince – obstinément garder contenance et que le dos se cambre – infime. sous tes doigts la chute des reins.
le scintillement des yeux en provocation, ça ne quitte pas ton regard quand ta souplesse renverse les rôles éparpille des mèches couleur hiver sur le sable couleur d’or. et l’eau perle sur les joues. plisse les yeux susan, le corps offert à toi ne résiste pas à libérer ses bras ; la malice plutôt d’arquer le dos. souple contorsion ; viens, aliocha. la peau de sucre la peau douce sous les parfums de fleurs, ta clé aussi cache de si nombreuses nuances. à tes lèvres incliner la tête pour offrir le cou tout entier, scintillement des yeux mi-clos puis contre le ciel aussi impérieux que le soleil.
tu dis tu demandes
lève le menton susan contre tes cheveux, roule le regard, s’alanguir ; les lèvres qu’on ouvre pour un soupir et puis
non. on ne soupire pas. le sourire lentement s’étire. on a le désir souple et si délicat susan presser les hanches contre les tiennes, l’ondulation fine du bassin aux omoplates. langoureusement t'offrir l'avant-goût ; tu sembles si impatient. s'amuser susan.
libère ses bras, mains sur tes poignets glisser les doigts avant-bras, cheveux nuque flancs doigts nonchalants jusqu'à la bordure de ton pantalon remonter danser sur ton pull sous ton pull danser le bout des doigts sur ton ventre peut-être remonter puis non.
sourire malice, susan. retire ses mains, s’enroule autour de ton cou les lèvres contre ton oreille murmurer
viens me les prendre.
dit comme une caresse. comme un baiser.
sens son corps se presser contre le tien. défi. les vêtements gênent, non ? défi.
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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Jeu 4 Fév - 17:36
je suis touché
musique - Coule entre mes reins. Laisse moi tes faims. Coule entre mes cuisses. Je veux que tu jouisses. L’esprit poète a des floraisons sales, elles s’abreuvent de stupre et d’aliénation. Aliocha, t’as l’habit d’une goule et l'appétence d’un ogre. Aliocha, gronde sous tes rangées blanches, dragées crochues qui sévissent impunément.
Tu mords la tendreté de son cou - c’est doux. Tu jubiles contre son écoute - c’est une joute.
Il est indolent, il est insolent - le supplice de ses doigts qui t’éprouvent, la malice de ses hanches qui t’épousent.
Impérieux tu te redresses et les gestes brutes le prives de son haut - et c’est beau. Et c’est le tiens que tu précipites ensuite à l’abandon et - c’est bon. Ne demeurent en rempart que vos bas - traîtres, viennent leur trépas.
Et c’est de toute ta pernicieuse famine, les pupilles profondes et le souffle rauque, que tu prends à loisir de le contempler dans sa presque nudité. Presque - ce petit rien qui cache tout en pudeur et coton son sexe - et oh, Aliocha, tu le goûtes de ces yeux fauves dont tu ne sauras plus te défaire avec plus de ferveur encore.
Sans ménager votre confort, tu te lèves et l’attrapes - il est leste et léger, le bel horloger. Un rire alors t’échappe, vicié - J’ai tant de surprises pour toi joli coeur.
Et tandis que tu le portes - et tandis que tes bras se font étau de son corps - et tandis que tes paumes pressent ses fesses ô combien savoureuses - t’as le sourire qui enfle en débauche.
Tu le plaques dos contre la paroi généreuse de mousse et de mollesse d’un rocher en bordure de la plage et des bois. C’est que, Aliocha, tu tiens à profiter pleinement et longuement de Susan - sans gêne primaire aucune, sans douleur inutile.
Susan...
Debout, pressé par ton poids - il ne peut ni s’échapper, ni se défiler. Le souhaiterait-il seulement ?
Gracile, c’est ta main droite qui glisse le long de ses côtes - et plonge sous le presque rien, le presque tout en pudeur et coton. Saisir son plaisir, saisir son sexe et l’inviter à grossir - sous cette caresse orgiaque et lascive, imprimer ses contours - du pouce malhonnête, créer l’impatience par quelques ronds invisibles sur son extrémité la plus sensible.
Sa chaleur, diffuse chaleur, ardente chaleur, enivrante chaleur - il est moite et chaud. Il est moite et brûlant sous ta main - cette main gracile qui ne lui laissera aucun répit. Aucun répit. Ton bassin qui se presse contre le sien. Ton bassin qui ondoie comme ondoie ta main - cette main gracile qui ne lui laissera aucun répit. Aucun répit. Aucune accalmie.
Le toucher de ton sexe Susan, est aussi addictif que l’est ton parfum.
Et tes lèvres, Aliocha, se couchent au lit de ses mâchoires. Et ta langue, Aliocha, se délasse à l’amour des chairs qu’elle découvre.
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Jeu 4 Fév - 20:39
musique
le scintillement des yeux en feux brûlants quand de ses bras aliocha tu t’écartes si brusque les lèvres entrouvertes c’est un sourire royalement malice et le bout de la langue à la commissure ; sous l’absence soudaine des vêtements on a la peau d’hiver sur un plateau d’argent
délecte-toi des jambes fines qui s’écartent t’offre la place des hanches relevées et les mains dans ses cheveux comme s’il s’agissait d’une banalité. la tête de prince qui se redresse capter ton regard et on ne dira pas
la langue sur la lèvre inférieure – c’est de la nonchalance, susan on ne dira pas comme on aime la façon dont tu respires et une main sur ta peau enfin nue retenir ses propres soupirs (un pur plaisir) ce sont les doigts qui viennent claquer la bordure en coton de ton corps pour danser jusqu’à ton torse ; sur le cœur s’arrêter. aimer l’entendre battre, susan
aimer comme tu le guides et couler la souplesse de sa peau contre la tienne, le bas-ventre jusqu’au tien si doucement il serait dommage de se presser, pas une parcelle de son corps loin de toi, sens-le tout entier dans tes bras et les siens autour de ton cou avec l’envie d’être plus près encore. lève un sourcil près de ta bouche les lèvres sourient
encore un surnom et je te fais misère, baba yaga.
serrer les jambes contre tes hanches. que ta chaleur consume sa peau. et les mousses paraissent froide contre les reins le dos parce qu’on est si brûlant. parce que ta main soudaine contre le sexe – et pourquoi n’a-t-on pas retirer ce coton envahissant dès le début, dis. parce que ta main
tu gagnes aliocha. soupire, susan, mais on ne le laisse pas languir. hors-d’œuvre mordre sa lèvre inférieure la tête rejetée vers l’arrière. et le corps arqué aux hanches offertes ; griffer ton dos – pour s’empêcher l’autre soupir – au bout de tes doigts l’envie atrocement sensible. et tu joues aliocha – les geste ravageurs au bout du sexe et
la plainte contre ton bassin, le sien plus avide se presse encore. la plainte si alanguie puis redresse la tête susan, le scintillement des yeux assassin à travers les mèches hiver. entre les lèvres ouvertes
arquer le dos les mains sur tes épaules, s’écarter te défier de soutirer davantage avec les hanches qui ondulent impérieuses que ta main ne lâche pas son sexe. que la langue contre la courbe des mâchoires ne daigne aller plus loin alors
susan on vient mordre le creux de son cou. les mains glissantes jusqu’en dessous du coton, à te rendre la pareille, presser tes fesses les jambes contre ton corps. avec souplesse, les gestes impérieux retire le tissu de sur ton sexe.
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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Ven 5 Fév - 16:58
je suis touché
musique - La morsure qu’il concède à ton cou - la douleur lascive et la pulsion incisive qu’elle précipite au noir de tes veines - séisme ravageur et ravagé, le loup gronde sous ton palais. Avec plus de force encore, Aliocha, tu te presses à lui et - avec plus de douceur encore, Aliocha, tu te régales de la moiteur de son sexe.
Et oh - ce qu’il souhaite t’entendre geindre, Susan, ce qu’il aime t’entendre l’implorer en silence - implore, geint, Susan. Emplit ton silence et tes soupires de ces voeux explicites. Implore, geint, Susan. Alors Aliocha, grand seigneur - de toutes les eaux que sa bouche coule à la couche de ta langue, récompensera tes abandons par ses passions.
Et c’est pour mieux t’épouser qu’il se défait de la sorcellerie de tes yeux - et c’est pour mieux descendre, à genoux, à tes pieds, Susan - qu’il se défait de l’indolence de tes faveurs. Oh et tes mains, Aliocha, tes mains canines, tes mains vermines, elles pressent ses hanches, elles percent ses hanches - tes ongles y creusent des tombes, des tombes où déposer les marques de ton plaisir, les morts de ton désir.
Du bas de ta stature, tu cherches son regard et le cueilles d’un sourire dément - Aliocha, et tu ne t’appartiens plus. Il n’y a plus nécessité de s’appartenir, non - il n’y a de nécessaire que cette promesse du charnel et du sempiternel boléro de luxure qu’il invoque en son nom. Et comme un couturier attentif à la minutie de son art, tu le débarrasses de son sous-vêtement, avare tissu, pour mieux t’émerveiller du secret qu’il renfermait.
Susan…
Et comme un artisan appliqué à la sculpture du marbre, tu lèves une de ses jambes, gracile danseuse, pour mieux la déposer sur une de tes épaules, soumise porteuse. Et tes bras - possessifs, encerclent son bassin, s’accouplent au galbe de ses deux rondes concubines - et ton sourire s’étire…
Ainsi, Aliocha, à ta guise impériale - elle s’offre. Cette cuisse si docilement repliée à ta portée s’offre à toi, et le fruit qu’elle louve à ses racines s’offre à toi - et c’est en la parant des baisers les plus fauves et des baisers les plus alanguis, que tu lui rends hommage. Elle a un goût tel, un arôme tel que - Aliocha, ta patience se meurt.
Avides, tes lèvres vont à ce fruit si désirable, collecter le sucre. Elles s’ouvrent et l’accueillent - et ce ballet qu’une de tes mains avait si souplement entamé, se transcende lorsque c’est ta langue qui prends le relais.
Susan, ton sexe, je pourrais le savourer jusqu’à l’épuisement.
C’est en suivant le rythme d’une partition imaginaire - que seules savent lire tes pensées - que vont et viennent tes caresses langoureuses. Et ta salive a le goût d’un paradis carmin - son paradis carmin.
Susan, tes parfums, je pourrais les avaler jusqu’à l’étourdissement.
De cet aveu indécent dont tu voudrais le voir rougir, tu ne dis rien. Aliocha, tu ne peux plus parler - tu ne veux plus parler. Ta gorge ne veut pas se départir de cet intrus phallique et savoureux qui, à force de visite, la comble et l’apprivoise.
Mais, malgré tout, Susan tu vas rougir.
C’est l’une de tes mains, baladeuse, ravageuse - qui, Aliocha, s’en va profaner entre ses fesses ce qu’il y’a de plus intime. Et revêtu de toute cette tendresse que ton coeur porte au sien, en cette intimité - tu y noies le bout d’un doigt. Et de toute cette impunité que son affection te permet , en ce bleu que déploient ses yeux - tu y noies les tiens.
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Ven 5 Fév - 19:10
musique
cruelle saveur. piquante. mordante, aliocha. ton désir est cruel celui des sultans et susan en courtisane les soupirs la saccade des fleurs fleurissent au bord des lèvres avec tes gestes ton corps serpente si sensuel le long du sien sens éparpillés vaporeux le cou à la manière d’un cygne les lèvres si rouges à travers sa peau hiver saisir tes poignets contre ses hanches c’est pour éviter de basculer tout entier serrer les dents tes ongles dans sa chair le blanc si simple à faire rougir le bleu si simple à brûler de feux d’éclats langueur d’étoiles de désirs fourrées dans les yeux
cambré davantage, des contorsions fines pour la passion de ta partition et oser couler le regard sur toi ça brille d’une fureur lascive.
soupir. ou le cœur s’essoufflera trop vite. sourire mordant à la libération totale aliocha admire saisit dévore ton œuvre, l’ardeur gonflée sous tes yeux artiste-dieu et la tienne si loin de ses mains alors dans tes cheveux gestes langoureux la fièvre des sens les hanches dansent contre toi la souplesse fine d’un coup impérieux cette jambe sur ton épaule, d’un coup impérieux rapprocher le bassin de tes baisers la peau sous chacun d’eux brûle.
et le sexe frémit sous chacun d’eux et les hanches dansent comme si la distance encore se faisait trop grande entre le désir et tes lèvres susan en courtisane les soupirs la saccade des fleurs fleurissent au bord des lèvres terriblement i m p a t i e n t e s fleurs de soupirs fleurs lascives
peut-être es-tu indulgent les sens allaient exploser dans l’esprit en fièvre alanguie alors dans ta bouche, le désir humide trop-plein
la plainte d’une clarté la tête rejetée savoure la chaleur nouvelle, frémir tant ; le feu interne fait mal. les lèvres gorgées de rouge ouvertes aliocha, à toi son plaisir chante (tu as dit sirène) sur ta partition à toi les hanches se pressent n’arrête pas n’arrête pas dévore-le consume-le cœur renversé au bord de chuter la plainte dans un vide un trop-plein sensoriel, ta langue donne des vertiges aux oreilles entre les dents entendre nos gémissements.
les mains dans tes cheveux, soudain susan la plainte gronde brûlante avec les yeux qui roulent leur scintillement vers toi ; tendre le cou la respiration si chaude et au creux des iris un éclat démentiel exponentiel il gronde impérieux le danseur ta présence si envahissante plus bas que la chute des reins aliocha ta présence en toute intimité et l’une de ses mains quitte tes mèches pour s’appuyer contre la paroi.
lui en toi toi en lui sans pourtant l'être vraiment aliocha.
une ondulation lascive provocante, susan fusille tes yeux irradie les désirs vertigineux. une ondulation lascive ton doigt que l’avant-goût, viens sentir par la souplesse du bassin déhanchement viens sentir la chaleur qui te demande. en lui plus encore.
entre les dents susan
viens me surprendre.
le sang aux tempes le blanc si simple à faire rougir soupir. pour laisser le cœur respirer.
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dispo rp : Messages : 179Points de Bonheur : 452Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl)Âge d'apparence : 25-30Signe Astro : -Rôle : baba yagaMétier : apothicaireInventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + -Pouvoir : vision funèbreEn couple avec : personneAutre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur
Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Lun 8 Fév - 18:39
je suis touché
musique - - viens me surprendre
Oh petite étoile filante, étole douce, coton dans ma bouche - je vais te surprendre à la folie - je vais te prendre à notre folie. Mon ami, quelle hérésie, quelle frénésie ? Quelles sont ces consoeurs malignes qui depuis nos entrailles susurrent les plus avilissantes extases ? Ai-je le droit de te faire mien pour le peu que tu me fasse tiens ? En ce jour - pouvons-nous sceller notre amitié par ces voeux d’intimité ?
Susan… - le murmure qui rompt ce ballet de langue et de chairs - ah, comme j’aimerais que tu coules tes eaux de lait dans ma gorge - ah, comme j’aimerais que tes parfums de vanille et de sel comblent mes faims les plus audacieuses.
Mais - Susan, puis-je me contenter d’une entrée lorsque le plat se veut celui d’un roi ?
Un sourire à tes lèvres, Aliocha, lorsqu’elles cessent de se délecter de leur proie qu’elles ont si insidieusement enflé. Un grondement sous tes dents, Aliocha, lorsque ton doigt veut le renfort d’un autre pour que cette intimité visitée le soit avec plus d’avidité.
Des baisers sur cette cuisse toujours si servilement à portée, Aliocha, et qui te console tes impatiences, ces ogresses. Il s’offre à ton bon plaisir comme la fleur s’offre aux abeilles - danseuse, aguicheuse, pourlèche tes mirettes de toutes ses facettes d’ensorceleuse - danseuse, aguicheuse… Susan…
Et lorsque ses hanches aux vagues sismiques - ode liturgique à profaner ses chairs de ton courroux affamé - appellent une ultime fois à rompre les chaînes de tes impatiences, ces ogresses - les chaînes cèdent.
Impérieux, tu te relèves. Ses bras tu étires, ses mains tu écartes - sur la mousse du rocher ; une valse inversée - et son ventre face à la paroi, finalement tu échoit. Et ce corps dont tu contemples à présent la colonne - et chaque vertèbre comme autant de bijoux sur les sceptres royaux - et sa nuque comme l’autel d’une chapelle angélique - et ses fesses comme les fruits défendus du jardin premier… Oh, mon ami, quelle hérésie, quelle frénésie m’en vais-je t’affliger ?
À son oreille ton souffle vient se pendre. Pénètre en ses chairs que tes doigts ouvrent - pénètre, lascif et lent, ce courroux grandit du désir impitoyable et - ah… - qu’il est étroit, cet étau des amours lubriques, qu’il est brûlant, ton écrin de charme carmin.
Susan - qu’il est bon d’être en toi.
Si tu meurs d’envie de lui imprimer - violemment, sauvagement - jusqu’aux abysses ton appétit de loup - Aliocha, tu concèdes à ton avancée la douceur et la tendresse qui lui sont dues. Si tu crèves du caprice de l’entendre gémir - les plus impudiques prières, les plus obscènes bénédictions - Aliocha, tu lui confères un temps de paix afin qu’à tes ardeurs il puisse épancher les siennes.
Puis, entre son corps et la mousse du rocher, entre sa chaleur moite et la froideur brute - tu viens accueillir de tes paumes son sexe, ô péché mignon - qui de tes caresses sera noyé. Alors seulement, armé de cette douceur et de cette tendresse concédées plus tôt, Aliocha, tu vas, tu viens - excites un chemin de paradis au creux de ses reins.
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Mar 16 Fév - 0:43
musique
dis, aliocha c’est si beau de vivre parce qu’on pourrait mourir, là. dans tes bras. crever des envies que tu fais naître, crever des désirs ils dansent sous la peau font frémir l’échine ; chaleur dense envahit la pensée (tu envahis son corps) d’un fragment lucide aliocha réaliser
j’ai oublié de compter.
et on oubliera tout encore. c’est comme ça ; si beau de vivre. avec les secondes dans la chair en feux froids des milliers de soupirs dans la gorge on les retient depuis si longtemps susan on en étouffe tout l’air des envies et le seul ancrage qui lui permette de se dire qu’il existe toujours c’est ta tête sous les doigts. corps diffus à travers ta bouche ta langue tes mains tes yeux à travers ta faim. la sienne. l’identité en spirale sous ta présence sidérale. ordonne, impériale, que tu prennes ce qui t’es destiné ; là dans l’instant. libre parce qu’on ne pense plus. alors on a vraiment tout l’avenir à nous. l’univers qui nous appartient.
le scintillement des yeux dans le scintillement du ciel. soupirer autant de lettres que n’en contienne ton nom. dans la langueur, on ne sait plus si on te voit t’entend te sent te relever. ça gronde de te savoir dans une distance soudaine. rouler la tête les mèches en pluie d’hiver sur le visage ; vouloir te défier – toujours – comment tu oses
oses placer son corps à ta guise, mais c’est peut-être mieux ainsi. on cessera la langueur assassine qu’on plante dans le fond de tes yeux ; les fermer sentir la mousse sur le ventre. les muscles offerts elle est pour toi la chute des reins finement arquée l’entrée intime tu viens d’explorer à peine la nuque et la peau le froid entre l’ardeur excitée et la mousse qui mord. entre deux soupirs au bord des lèvres ton souffle près de l’oreille les frissons font mal à trop les subir
alio-
respire coupé, susan. ce sont les poings contre la paroi ; des prises imaginaires, la contorsion du corps se tend. tu pénètres les secondes, pénètres les sensations diffuses le vertige susan on c h u t e
la cambrure souple et graduelle à mesure aliocha tu t’enfonces ; le complète. les lettres de ton nom se bloquent sur le bout des lèvres et dans la gorge le soupir s’échappe en plainte lascive. garder le scintillement des yeux dans le noir ; en-dedans des paupières. ton sexe si présent, t’enfonces si doucement on se souvient par à-coups qu’il faut respirer ; attendre un peu avant de mourir consumé. te sentir en lui, susan la chaleur nouvelle dis, aliocha si on bouge les sens aux tempes exploseront dis, aliocha un geste infime de quelques centimètres relever les fesses qu’on te sente à son rythme t’enfoncer encore.
et respire. les poings contre la mousse, les muscles des bras en feu.
tu es cruel. ne pas voir ton sexe en lui, abandonner la confiance tout entière dans l’ondulation invisible (physique) de ton bassin. abandonner les yeux à travers les pores de sa peau cesse de le faire frémir sans prévenir (continue) ta main qui le possède au-devant ta chaleur dense au creux de son corps oh soudain susan
relever la tête laisser tomber la tête courber le dos et tous les soupirs on s’est obstiné à les garder jalousement dans le creux de la gorge expulser il n’y a pas plus beau que libérer le trop-plein des ardeurs gémissements on chante si bien le plaisir, susan et qu’il est bon de vivre à mourir de désir, ça fait mal de se retenir c’est si bon se retenir gémir encore, écarter les jambes que tu aies toute la liberté de façonner ton chemin. ton nom entre les dents et les lèvres te chantent à nouveau le bonheur de te sentir en lui. possède-le pour aujourd’hui.
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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Mar 16 Fév - 23:15
je suis touché
musique - - beware of what you wish upon a witch
Te voilà à l’apogée de votre catharsis, toi couleuvre coulante curieuse, toi entre ses reins serpente sévit s’arrache - ses plaintes, Susan. Toi, Aliocha, tu arraches ses plaintes. Avide de grossir ton désir du sien, tu réponds à ses suppliques lubriques par cette violence si poliment demandée - si poliment il a demandé, Susan.
Violence, amour - les sueurs de sel sur vos peaux, les haleines moites sur vos palais - ces pluies diluviennes sous ton ventre, l’agonie des milliers de lucioles qui y grésillent - le plaisir inébranlable de ton envie de jouir et le plaisir plus fou encore de retenir cette envie jusqu’à ce que l’ivresse orgiaque annihile un à un tes sens.
Et tandis que tes mains continuent leur ballet arythmique sur son sexe - devenu poème adonique - sa nuque, tu mords. Sur ce velours pêche, tu imposes pléthore de tes baisers carnassiers. Susan… Dis, tu veux bien m’en donner plus ? Tu veux bien faire aboyer mes appétits jusqu’à ce qu’ils s’étouffent d’avoir tant salivé ?
Dis, Susan, tu veux bien qu’on bâtisse sur cette version améliorée de nos tristesses, une éternité d’amitiés pécheresses ?
Un doigt dans sa bouche, tu viens plonger - y contraindre le gémissement, y chercher la gourmandise des eaux sirupeuses, y inscrire tes fantasques caprices. Plus violentes - tes hanches contre son bassin, plus agressives - tes pénétrations au carmin de ses chairs.
Tu veux fondre, Aliocha, tu veux te noyer dans cette étroitesse de Vénus, tu veux mourir à ses baisers comprimés - tu veux qu’à chaque fois que tu imprimes furieusement le point le plus sensible de cette divine intimité, ce point d’extase sans pareil aucun - tu veux qu’il se meurt de vie.
Dis, Susan, tu veux bien mourir de vivre ?
Quelques minutes encore - longues et pleines de vous - et quelques soupires plus forts - Aliocha, clos tes paupières. Niche ton visage dans le satin clair aux mèches folles. Ouvre tes lèvres, en son nom, susan- ah… laisse s’échapper le râle de cette envie si jalousement retenue - laisse s’écouler le langage opalin de ton orgasme entre ses cuisses - laisse le feu d’Eros ravager ton corps et aveugler ta conscience.
Elles n’ont pas encore le droit, les réalités qui vous entourent, elles n’ont pas encore la permission de revenir à votre attention. Ni le bruit des vagues s’amourachant des rochers, ni le pépiement des oiseaux perchés voyeurs sur les branches des arbres, ni le bruissement du vent dans leurs feuilles émeraudes, ni les vagabondages des nuages dans le ciel - ces réalités sont toujours au banc des confuses, à l’autel du surréel.
Aliocha - mort es-tu ? Un peu, beaucoup, passionnément, éperdument.
Paré de cette douceur dont toi seul a le secret, tu libères Susan de ton emprise - et oh, qu’il est cruel de se séparer de sa chaleur, qu’il est cruel de retrouver la morsure de l’air.
Son visage, tu viens cadenasser entre tes paumes et ton front contre le sien, tu déposes.
Mon bleu dans tes yeux. Mes yeux dans ton bleu.Si je ne t’aimais pas déjà tant, je tomberais amoureux de toi.Mon rire dans ton souffle. Ton souffle dans mon rire.
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Susan Hourglass
tisane
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Ven 19 Fév - 22:05
musique
les lèvres, c’est fait pour les mots ; les maux de l’amour. (elles ne sont faites pour personne) ton doigt dans la bouche, la plainte entre l’insulte et la félicité. ne sais-tu donc pas, aliocha
que des trésors se doivent de rester invisibles même aux plus grandes conquêtes. et le jardin d’eden que tu explores à chacun de tes souffles s’y enfonce ton existence ; elle dépose le long de ton chemin des fleurs inconnues au plus profond pénètre aliocha fais bourgeonner ces champs élysées qu’on y goûte l’explosion des bouquets d’envie. mortelle sorcière.
le poing contre la paroi en enfer continuer à vivre susan, d’un bras alanguir les doigts contre ta nuque – mords, déchire la sienne – la tête à l’excès qu’on dépose dans le creux de ton cou ; c’est pour mieux reprendre ce trésor que tu as osé explorer un peu trop
libérer les lèvres de ton doigt, si gorgées de plaintes en direction du ciel elles semblent soudain plus simples à t’offrir alors qu’on repose sur ton épaule, alors que le corps de sirène sous la danse de ton sexe plus forte plus vive meurt et revit meurt et revit.
accroché à toi accroché à l’immobile ; les témoins intimes dont on n’entend ni les piaillements ni le bruissement de la mousse et des feuilles. à mesure de tes vagues agressives des milliers de petits ressorts dans les muscles se tendent contre la roche contre toi ; pour s’empêcher de tomber flancher. n’entend de toutes ses chairs que le grésillement de ta présence ; un feu mordant sans prévenir avant de s’adoucir, dont on refuse de s’habituer chaque poussée chaque seconde plus en avant de ta conquête on les veut douloureuses puis chaleureuses et les cris mélodieux de sa gorge généreuse c’est pourquoi on a oublié le chant des oiseaux.
éclater. la tête, le sexe le cœur les poumons tout veut éclater en éclaboussures électriques l’esprit de noir se couvrirait d’or. mais se retenir si fort susan, rouvrir les yeux et ne rien voir c’est le vague aussi dans son regard et quand tu l’appelles
(râles son nom)
et quand tu déverses des rigoles de feu quand les fleurs mortelles au creux de son corps éclosent quand le scintillement dans les yeux vrille les doigts contre ta nuque le poing sur la mousse renversé susan ce sont les lèvres qui se pincent et le gémissement gronde pour que la libération ne s’écoule qu’entre tes doigts, une pluie nacrée.
le noir de l’esprit délavé en or. respire. ou s’essouffle. meurt, susan. le bras sur ton cou geste coulant vidé le poing sur le paroi s’affaiblit. déposer les paumes sur la mousse dans l’ivresse vertigineuse. cotonneuse. à peine te sent-on partir. front contre la mousse, le froid n’a plus d’effet l’existence trop brûlante.
rouler sur la roche comme on roule dans les draps. scintillement des yeux clignotant devant le bleu de ton plaisir. ignore ce qu’il fait ensuite susan,
rigole sous les lèvres fermées. la tête à son tour qui roule sous ton front. relève le menton. des doigts engourdis sur tes joues retombent.
ce serait. (respire) la pire. (respire) chose. tant mieux pour toi
la bouche s’étire.
que ce soit impossible. il faut que ce le soit. ça l’est.
vole ton rire encore à travers son respire. petite poussée des mains ; vous détacher définitivement, susan. le corps en funambule on le glisse vers la lagune. ne pas penser, ce serait le vertige on s’écroulerait avant de s’agenouiller à travers l’eau. dans les paumes recueillir le liquide, bain à l’air libre s’asperge le corps et perle les gouttes à la sueur.
l'aimer tant. impossible. empire soudain le vertige. i m p o s s i b l e
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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
(tw: érotisme+18) l'indiscrétion des sens ◦ susan ◦ e n d Jeu 11 Mar - 21:34
amitié éperdue
C’était si bon, si bon - trop bon… À des années lumières des heures présentes, des heures latentes, de hier, d’avant-hier, de maintenant, de trois secondes après maintenant - c’était si bon, si bon - trop bon.
Vous étiez perdus à corps perdus, à vagues éparses et houle charnel et contre ce rocher, Ô ce rocher, et contre toi, et contre lui…
Si tu venais en ces lieux pour souper de la paix et des voluptés sages de la lagune, des arbres, des oiseaux - si tu venais en ces lieux pour t’échapper à ce qu’il y’a derrière, la ville, les autres, le monde…
Ah, que sont-ils à présent ces lieux ? Qui sont-ils ? Nouveaux témoins de souvenirs d’or et d’eau…
Lorsque tes pas te mèneront par quelques vagues à l’âme à fouler ce rivage, cette mousse, ce sable - ils auront de nouveaux murmures à te couler sous les paupières et tu te rappelleras, tu te rappelleras combien Susan et toi, toi et Susan : alanguis, amoindris, épris, amis…
Sourire - à tes lèvres, et le regardes se détacher - Impossible n’est qu’un possible. - un murmure à toi seul, à lui au loin, à ce sentiment avoué, à cet aveu fraternel, à cette promesse sempiternelle.
Lentement, reprends ton souffle - tes mains sur les cuisses, tes cheveux qui filent, filent dans le vide - Aliocha, poupée de soie fatiguée de joie.
Tu gagnes ses côtés, t’allonges à moitié bordé par les flots, à moitié grignoté de la chaleur meuble des grains - les cils battants, le coeur haletant, le sourire ardent - sur ces cieux que tu fixes, et tes doigts que tu déposes au toucher des siens, Susan - elle murmure, ton âme quelle paix elle murmure la sorcière plus jamais je ne te lâcherais.
Vivre, vivre, vire… - répètes, la voix soleil, l’oeil sur ses joues rouges - Qu’il est bon de vivre ! Qu’il est bon de jouir et de jouir d’un rien, et de ce rien devenir les rois des jouissances détails, des plaisirs fugaces et des passions éphémères. Qu’il est bon d’être à deux, qu’il est drôle d’êtres nus, qu’il est simple d’être là.
Un adieu à tes songes - un retour au présent.
Nous n’en avons pas terminé avec les surprises de maître Tkatchenko, très cher. Aliocha, enfant vainqueur ! Une main qui claque la vague vous approchant - l’éclabousse ! Susan, éclaboussé ! Susan, tendrement moqué !
Le rire qui éclate - et tu te relèves, parangon d’allégresse que voilà - jouer, tu veux jouer.
La journée n’est pas terminée et tu ne tiens pas à ce qu’elle le soit. Jusque’à ce que le soir vous taraude, tu vous épuiseras, encore, encore, encore - parce que, Aliocha, encore, c’est ta façon d’aimer.
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