En couple avec : tes cauchemars (et plus ou moins selene)
Autre(s) compte(s) : andy, vorpal, meliodas et aslan
dispo rp : Messages : 700Points de Bonheur : 905Avatar : zhongli (genshin impact) + cillian murphy (irl)Âge d'apparence : 38 ansSigne Astro : la faux.Rôle : le croquemitaineMétier : gourou et chef des dark shadowsInventaire : cape en toile d’araignée ; gâteau mange-moi ; filtre d'Amour ; poudre d'escampette. Pouvoir : phobie et umbrakinésieEn couple avec : tes cauchemars (et plus ou moins selene)Autre(s) compte(s) : andy, vorpal, meliodas et aslan
Alastor Haunting
fume avant que la vie ne te fume
❝ thank God that i'm good as dead — Electra Ven 1 Jan - 19:03
Alastor & Electra
thank God that i'm good as dead
T'as quitté le casino un peu plus tot que d'habitude, après avoir imposé un silence de mort. La bouteille de rhum dans la main après que t'en es renversé la moitié sur la moquette - tu t'étais éclipsé dans les ruelles sombres, celles où tu régnais en maitre. A la recherche d'une porte sur laquelle tu pourrais taper. En besoin viscéral de dégobiller, du sang sur la main et sur la chemise. Le regard d'Ariel Redsea terrifié imprégné sur tes propres rétines. C'est que ça te donne mal à la tête tout ça.
C'est intense et dangereux. Mais le croquemitaine vit déjà son propre cauchemar, tu n'as pas besoin de t'en inventer un autre. Tu rejoues la scène encore et encore. Le couteau, l'excitation, la frustration. L'envie et le dégout.
Tes mains en tremblent, alors que tu t'accroches à la poignée. Ta tête tourne, Alastor, et pourtant tu grimpes les escaliers miteux de l'immeuble délabré. Tu connais le chemin par coeur, et c'est comme un mécanisme - il n'y a qu'elle que tu veux voir, qu'elle pour purifier tes idées enfouies, qu'elle pour susciter une envie plus saine.
— « Electra. »
T'avais défoncé la porte d'un coup de pied. Toujours dans l'encadrement de la porte, tu poses ta tête, la reposant sur ton bras levé qui tient toujours la bouteille. Tu l'agites. Et tu te décides à avancer dans l'entrée, claquant la porte derrière toi.
— « Il me reste un fond de bouteille. »
Lentement, tu t'approches. Tu connais cet l'appartement dans ses moindres recoins (pour les avoir inspecté - corps contre murs et murs défoncés) et donc tu tires une chaise pour t'asseoir à la table, y dépose la bouteille bruyamment.
Tu balances ta tête vers l'arrière, inspire paisiblement. Fermes tes yeux. Ecartes les jambes. Et tu aurais pu t'endormir silencieusement, si de ta voix gutturale tu n'avais pas exigé sa présence.
— « Viens t'asseoir. »
Sur moi.
Invité
Invité
❝ thank God that i'm good as dead — Electra Ven 15 Jan - 22:04
Une cascade de velours tombe le long de ses hanches, dans un tracé sinueux et sensuel. La nuque est parfumée, un soupçon de lavande qui colle à la peau, une note de vanille qui titille les narines. Le pinceau roule contre les lèvres, laissant son empreinte écarlate, éventrant le visage d’une risette sanglante. Electra est le reflet de l’envie, nymphe des nuits sombres à la crinière corbeau.
Elle semble ingénue, parée de son sourire lumineux. Presque gentille, presque docile.
Elle n’en est rien. Sous le violin de sa pupille, entre le charbon de ses cils, c’est les désirs qui brûlent et calcinent son âme. C’est la violence qui se heurte aux dents, forçant la porte de ses lèvres. Elle est douce un instant, terrible l’autre. C’est une tempête qui se déchaîne entre ses côtes.
La porte est enfoncée, s’écrase au sol dans un craquèlement pitoyable. Electra sourit, un sourire un peu dément, un sourire qui veut tout dire.
Alastor. Ensanglanté, énervé, comme elle aime le côtoyer. Une vision délicieuse, une image qui fait crépiter ses passions les plus sinistres. C’est le feu de la tentation qui s’allume, brûlant au creux de ses reins.
Alastor, c’est susurré, comme une prière.
Elle s’approche d’une lenteur féline, pas à pas, talons claquant contre le bois. Sa longue chevelure ruisselle à chaque mouvement, dévoile ses épaules menus et sa nuque gracile. Elle penche la tête, l’observe d’un sourire secret.
Tu sembles contrarié. Prêt à me dévorer.
Elle prend place sur ses genoux, se presse à lui. Un geste presque naturel, un contact presque instinctif. Elle le connait sous les moindres recoins. De la ligne de son corps à la noirceur de son âme.
Sa main vient empoigner la bouteille et Electra prend une gorgée, ne le quittant pas du regard. Une goutte s’échappe, roule le long de sa gorge, serpente jusqu'à son décolleté. Une vision sensuelle qu’elle lui impose sans pitié.
Ce soir, ils sont seuls avec l’atrocité de leurs désirs. Et Electra compte bien en profiter.
Raconte moi. Ou préférerais-tu ne pas en parler ?
Elle fait mime de réfléchir un instant.
Mais tu sais à quel point les histoires sanglantes m’excite.
En couple avec : tes cauchemars (et plus ou moins selene)
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dispo rp : Messages : 700Points de Bonheur : 905Avatar : zhongli (genshin impact) + cillian murphy (irl)Âge d'apparence : 38 ansSigne Astro : la faux.Rôle : le croquemitaineMétier : gourou et chef des dark shadowsInventaire : cape en toile d’araignée ; gâteau mange-moi ; filtre d'Amour ; poudre d'escampette. Pouvoir : phobie et umbrakinésieEn couple avec : tes cauchemars (et plus ou moins selene)Autre(s) compte(s) : andy, vorpal, meliodas et aslan
Alastor Haunting
fume avant que la vie ne te fume
❝ thank God that i'm good as dead — Electra Mer 20 Jan - 14:20
Alastor & Electra
thank God that i'm good as dead
Tu sembles contrarié. Oh, vraiment ? Tes yeux se font sévères, accusateurs d'une évidence qui pourtant te conforte et rassure ton égo. Tu te sens alors légitime entre ses bras, comme le stipule votre contrat. Et dès lors qu'elle prend place sur tes genoux, tu viens brusquement enfouir ta tête dans ses cheveux, te lover dans le creux de son cou pour y déposer quelques baisers mouillés (par l'alcool encore frais).
— « J'en ai assez. Assez de leur insolence, assez qu'ils me forcent à devenir leur cauchemar. »
Le croquemitaine tremble. Tu te redresses pour fixer le sillon de vin qui se trace lentement sur sa peau, jusqu'à la naissance de sa poitrine. Que tu empoignes d'ailleurs entre tes deux mains, venant mordiller sa lèvre - plaquant ton front contre le sien. Le contact n'est jamais trop assez et l'excitation peine à se contenir.
Finalement, tu la saisis par les hanches pour la soulever, et la poser sur la table juste à ta gauche. Ton visage se trouve à hauteur de son bassin, et tu lèves finalement les yeux au ciel en maugréant :
— « Il ne se rend pas compte. Il ose... » Ta voix tremble de plus en plus, d'une rage aussi intense que ton dégout. « Il ose s'imposer à ma vue... Cette putain. »
Tu laisses tomber ta tête sur ses cuisses, avide de sentir ses ongles dans tes cheveux. Avide de son odeur, de sa torpeur. Lubrique quand elle vacille, stoïque quand elle oscille.