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| | (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha Lun 8 Fév - 19:30 Entre Promesse et Culpabilité feat Aliocha
S’ouvre nos yeux avec difficulté Glisse nos doigts sur les draps défait Tente de se rappeler Les ébats, les effluves de la nuit passée Cherche ta chevelure bleutée Ta peau pour être sur qu’on n’a pas rêver Qu’on a vraiment oser Qu’on t’a bien dis « Je le te promet » On cherche si tu as des regrets Sent la culpabilité Qui pourrait nous consumer Culpabilité qu’on connait Est-ce que tu le veux toujours ce que tu nous a demandé Est-ce que tu vas nous rejeter Aliocha qu’est ce qu’on a fait. Réalise finalement que dans tes bras on est. Notre corps contre le tien collé On ne se souvient pas avoir cauchemardé On ne se souvient pas d’avoir angoissé Notre corps semble si reposé
« Alio… »
Murmure entre nos lèvres rosées Quand notre esprit hésite à te réveiller Vient finalement la migraine d’après soirée Celle qui nous fait payer nos excès alcoolisés On ne sait pas ce qu’on devrait Faire ou penser Y’a l’envie Aliocha tu sais De venir t’embrasser Mais sans l’alcool on est gêné On repense que hier tu parlais d’une fée Pour laquelle t’allais succomber Et nous on t’avais embrassé Entrainer dans notre péché De toi on avait profiter Mais Aliocha, quand on ose fermer Nos yeux encore embrumés Ce n’est plus nos cauchemars qu’on voit glisser Mais toi et ton corps sur nous onduler
« Est-ce que ça va ? »
S’ose nos doigts à ta jouer toucher Sait la douleur que la première fois peut entrainer On le sait, On y a été habitué Mais toi on n’ose imaginer On a si peur de t’avoir blessé. Profite de ces derniers Instant de douceur rêvé Alors qu’on attends pas pressé Le moment où tu vas nous rejeter Et sans le vouloir nous briser Parce qu’on l’a mérité.
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On te regarde t’écarter On le savait Mais ça fait toujours mal de l’observer Notre première pensée Oh Aliocha tu viens de regretter On s’en veut de la promesse qu’on t’a demandé Parce que ça appuie sur la plaie désormais Un sourire brisé qu’on vient à présenter Qu’est ce qu’on voudrait Réussir à tout cacher Parce qu’on le savait On attendait juste de voir le couperet Tomber, s’échouer. Un rire à peine esquissé On vient se recomposer Pour ne pas t’embêter On avait déjà reçu bien assez De toi, tellement plus que ce qu’on méritait Tu nous avais donné Plus qu’on aurait pu l’espérer Et dans tes bras on s’était Senti vivant, comme dans le passé.
« Haha, il attaque bien alcool russe il faut dire. Tu as de quoi faire du café ? Cela pourrait te soulager un peu. En plus de plusieurs litres d’eau. »
Vient notre corps à se redresser Nos doigts se glisser Dans notre chevelure négligée On ne veut pas penser Plus penser. Notre regard perdu sur les draps défaits Tu viens nous interpeller Ton regard dans le notre plongé Aliocha s’il te plait Ne nous force pas écouter Tes regrets.
Surprise vient nous habiller A-t-on bien entendu les mots que tu as prononcé Dis nous que ce n’est pas un mensonge éhonté Dis nous que ces mots, on peut les garder Au creux de notre cœur ravagé.
« Je n’ai aucun regret. »
Tu nous a pas demandé Mais on a ressenti le besoin de laisser Les mots de nos lèvres s’échapper Nous plonge à nouveau, esprit embrumé, Notre corps jusqu’à toi se pencher Pour furtivement nos lèvres sceller. Vient notre corps hors du lit s’extirper, Notre bas enfiler, Notre dos de cicatrices peuplées t’exposer. Jusqu’à ce que ta voix vienne nous attraper.
« Laisse moi cuisiner, tu vas avoir du mal à marcher, je ne t’ai pas beaucoup ménagé. »
Un rire léger Des souvenirs venant peupler nos pensées Tu es beau Aliocha tu sais Dans toutes les facettes qu’il est possible d’imaginer
« Je compterai sur toi pour m’en faire quand tu ne m’aura pas ménagé. »
Laisse nous espérer Laisse nous bercer Avec cette idée Qu’il y aura un après Une autre de ces soirées Que tu veux bien continuer Mais on ne t’en voudra pas tu sais Si tu finis par nous repousser Parce que même nous on ne sait plus ce qu’on fait. A cet instant tout ce qu’on voulait C’était prolongé Cet instant à tes cotés.
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Un soupir d’aise échappé Quand autour de nous tes bras viennent passer Entourer, enserrer, Avec cette douceur exacerbée Ton nez dans nos cheveux défait Ton odeur pour nous transporter La pulpe de tes doigts pour nous réchauffer On arque un sourcil quand tu viens annoncer Que tu veux nous kidnapper Ton rire mélodie délicate et appréciée On se laisse entrainer Par le bout de tissu que tu es venu attraper Un frisson quand nos pieds Viennent le carrelage fouler Détaille notre regard les murs détaillés L’eau qui vient à perler Fais un peu nos yeux fermés, Rapidement rouvert pour te contempler, Te regarder Notre boxer abaisser La lenteur que tu prends pour remonter Tu es , Aliocha, à se damner Tente notre corps de réprimer L’effet que ça nous a fait « Tu es beau Aliocha. » Flatteur qu’on est Empreint de cette toujours sincérité Notre corps sous l’eau tiède poussé Ruissèle l’eau sur notre peau écorchée Nos yeux un peu fermés Notre être sous l’eau immergé Cesse le brouhaha de nos pensées Salvation contrôlée. Viens t’attirer, Pour toi-même par l’eau tu sois submergé Nos corps si près, Prêt à s’effleurer Vos lèvres venues se sceller On vient se délecter De ta douceur sucrée De tes lèvres dont on pourrait être drogué Un sourire vite esquissé Quand tes mots viennent à le silence briser « Ce serait dommage qu’il n’y ai que l’alcool russe qui attaque. » Rire amusé, Alors que tes mains sur notre peau viennent passer Le velours de tes doigts pour notre esprit embrumé Notre corps qui semble sombrer Incapable de ne pas démontrer Tout l’effet que tu nous fait Même si on voudrait le cacher Vienne nos mains de produit être imbibé Alors qu’on vient aussi te laver Vienne nos mains masser Tes épaules, tes hanches, tes muscles galbés « Je vais sentir ton odeur pendant un petit moment » Ce mélange mentholé Douceur poivrée Dont on aime tellement s’enivrer Nos mains à l’aventure de ce corps qu’hier elles ont aimées Notre regard dans le tien plongé, échoué Notre corps qui vient près du tien se rapprocher On sait plus ce qu’on fait Et pourtant on sait qu’on doit se calmer Alors pour notre propre sanité On te fait tourner Viens ton dos laver Du regard te dévorer Tes fesses masser Lenteur désabusée, Quand accroupi on te dit d’à nouveau te retourner Sur tes jambes on vient à passer Hauteur parfaite pour de là t’observer Alors que lentement on entame notre remontée « Tu avais des plans prévu pour la journée ? » Notre voix empreinte d’une sensualité Qu’on arrive pas à contrôler Tu réveille en nous un comportement particulier Que seul l’alcool avant arrivait à éveiller Dis nous qu’on peut rester On veut rester Au moins cette journée Après tu pourra nous jeter
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Laisse nos joues de rouges se parer Quand tes mots sur nous viennent glisser Ton odeur pour nous habiller Preuve que dans tes draps on a exulté Dans tes bras on s’est laissé bercer Notre regard embrumé Sur toi vient te dévorer Frustration silencieuse de l’effet que tu nous fais S’extirpe notre corps à l’eau qui sur notre peau vient perler N’ose une serviette demander Tente de nos mains nos cheveux essorer, De ne pas ta salle de bain tremper. Oreille attentive aux mots que tu viens prononcé Cache notre sourire derrière nos doigts glacés Nos joues qui viennent s’empourpré On n’ose rien ajouter Mais on envie ton honnêté Et on ne saurait être contre les plans que tu nous a proposé. Glisse notre corps dans la salle à coucher Quand tu t’en ai esquivé, De notre t shirt, tente d’essuyer Les mèches encore pleines d’eau imbibées Enfile avec un brin de difficulté Notre pantalon qui sur le sol s’était échoué. Avant de descendre te retrouver. Torse et dos exposé Goutte d’eau ruisselant de nos cheveux sur nos traits.
« Tu ne pourrais pas plus me ravir qu’en m’offrant un bon café »
Notre regard sur ton visage déposé Empreint de l’assurance qui de toi s’est échappée Viens te pousser T’acculer Contre la table tout juste trouvée Notre pouce sur ton menton diriger Quand nos lèvres viennent les tiennes dévorées Dans un souffle nos mots échappés
« Tes plans sont parfaits. Je m’en voudrais de ne pas les réaliser, je le regretterai. Mais je m’inquiète plus pour une certaine partie de ton corps que je n’ai pas ménagé hier. »
Sourire doux et apaisé Quand notre regard se fait plus empreint de sensualité Entre douceur et péché, On finit par se retourner Commence à cuisiner Offre à ta vue notre dos écorché Résidu du passé Ainsi que l’eau qui de nos cheveux vient s’échapper
« Qu’est ce que tu veux dans tes crêpes ? »
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha Jeu 11 Mar - 21:34 je ne regrette rien Oh le joli moineau charmeur que voilà, te bécote la bouche et puis s’en va, te rassure les doutes et puis te tourne le dos. Et quel dos ! Ah ! Autant de cicatrices que de gouttes d’eau le perlent - un tableau vivant de chairs et de pâleurs… Évidemment, c’est une vision qui te charme, mieux, c’est une vision qui te ravit. Allez savoir pour quelle obscure raison, tu te meurs d’amour pour les corps marqués et les âmes écorchées… Allez savoir pourquoi le macabre, les peines et la mort sont toujours de tes intimes passions et amies… Encore un mystère de sorcière, pas vrai ? N’empêche… Ce baiser de moineau charmeur, ce bécot d’amoureux… Hihi, petit ver, tu rougis ! Chut, Baba ! Mh. Certes… Avouons que ce genre d’attention cajole te plaît et que tu n’es pas en reste de sourire avec entière et mièvre satisfaction. Oh Aliocha, décidément, ce matin tu n’es que sucre et filouterie ! Tu t’assieds genoux repliés sur une chaise, accoudé à la table - d’une main pensive, tournes la cuillère en argent baignant dans ton bol de café. Tes réflexions s’égarent sur des banalités qu’il est bon d’apprécier. Ce que tu aimerais dans tes crêpes ? Qu’il les cuisine en tenue d’Adam ? Ou vêtu d’un de tes tabliers bleus à froufrous en plumes d’autruche ? Allons, allons ! Aliocha ! Cesse tes égards grivois ! J’aimerais… J’aimerais des fraises, des bananes… J’aime du sucre roux aussi, dessus, mais pas trop… Mh… J’aimerais que tu cesses de t’excuser pour hier car j’ai adoré et que mon noble et valeureux fessier s’en remettra… - rictus taquin, l’air de rien, un rien ingénu - …j’aimerais un peu de jus de citron, j’aimerais qu’elles soient énoooormes ! Pour mieux te les coller sur le visage et faire l’idiot ? Quelle honte… Si tu me juges Baba, j’te proscris aux méandres de mon dédain ! Oui, oui…Je crois avoir également du chocolat noir. Nous pouvons en faire fondre et s’en servir comme d’une pâte à tartiner ?D’une traite, tu termines le fond de ton bol avant de le remplir à ras bord, sers ensuite une tasse à Charles et t’installes debout à ses côtés. Les yeux grands ouverts, à l’image d’une chouette ébahie - tu l’observes faire état de ses talents culinaires. Dis… La voix douce, l’oeil en coin. Comment étais-tu, enfant ? Vous avez partagé des ivresses, des soirées canailles, quelques confessions ça et là mais jamais, jamais Charles n’a encore parlé de son passé, de sa famille, de son enfance… | | | | | (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha Dim 14 Mar - 18:47 Entre Promesse et Culpabilité feat Aliocha
On vient t’écouter Sourit à l’entente de toutes les choses sucrées Que tu souhaites avoir sous ton palet Dans cette crêpe tout juste grillée Alors qu’un rire ne peut que s’échapper D’entre nos lèvres concentrées Quand tu viens quémander Qu’on arrête de s’excuser.
« Je n’ai jamais entendu autant de choses dans une seule crêpe. Tu as un appétit dévorant. »
Selon ton bon plaisir souhaité, Les crêpes sont énormes et dorées Tourne la pate dans la poêle huilée Dextérité maitrisée Mouvement cependant stoppé Quand tu viens nous demander Quel enfant on a été. Il nous faut quelques secondes tu sais On parvenir à de nouveau articuler. Notre regard dans le vide échappé On vient du coin de l’œil te regarder De notre sourire brisé Avant de revenir sur les crêpes nous concentrer. Grande inspiration soufflée
« J’ai toujours vécu dans la maison familiale des Karoll, j’y suis même né, ma mère a accouché sur le canapé du salon. Jusqu’à mes huit ans, ce sont mes parents qui m’ont élevé, j’étais un gamin tranquille, je n’ai jamais vraiment passé beaucoup de temps avec les enfants de mon âge. Ma mère m’a très vite introduit à la confection de tasse… »
Ce sourire brisé Qui vient sur nos lèvres se nicher Dans l’éclat de nos souvenirs défaits
« Quand j’ai eu l’âge d’écrire, mon père m’a montré les carnets. C’est dans notre famille depuis la nuit des temps, les Karoll ont toujours trouvé le moyen d’avoir des fils pour héritiers qui garderait le nom, et continuerai cette tradition. Elle consiste à écrire un carnet sur la vi de chaque Alice qui franchit les portes de ce monde, et qu’on parvient à rencontrer bien sur »
Inspiration compliqué, quand on vient finalement au vrai sujet.
« J’étais un gamin tranquille, qui préfèrerait les livres et les animaux aux humains. Quand ma mère a…Enfin, on jouait avec ma mère dans le jardin quand elle a été assassiné, je me souviens avoir vu son corps tomber sur le sol, du rouge qui a envahi … »
Les mots qui viennent à nous manquer Le regard perdu dans les crêpes qu’on vient te préparer.
« Je me souviens avoir entendu mon père hurler. Il s’est suicidé deux jours après. J’ai arrêté pendant deux ans de parler. C’est ma grand-mère qui depuis a pris soin de moi principalement, mon grand-père n’a jamais vraiment eu la fibre affective. Même si il a bien essayé. J’ai continué d’apprendre de moi-même à confectionner des tasses. Il n’y a en somme pas grand-chose à en dire. »
On tente de se détacher Mais c’est compliqué
« Comment c’était, ton arrivée je veux dire. Est-ce que l’autre monde il vient à te manquer ? »
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha Lun 22 Mar - 13:20 je ne regrette rien Charles, sa voix au passé, son chagrin au présent - ses yeux sur les crêpes, le ronronnement de la bouilloire, les rayons matinaux du soleil au travers de la fenêtre et des plantes la bordant. Tu l’observes plein d’un silence qui souffre de ne pas trouver les mots - comment pourrais-tu lui dire combien tu souhaites, en cet instant, ingérer ses peines pour mieux les panser ? Ce n’est ni de la pitié, ni des élans camarades. Si d’ordinaire, tu réserves ton empathie aux arbres, aux rivières et à la faune qu’ils cachent - à présent tu souhaiterais la lui offrir toute entière, à lui, à lui seul - pour une minute, pour une heure, pour un jour. Parce que ton silence demeure et que tu ne sais être autrement qu’un corps à corps - ce sont tes bras qui, étau tiède, encerclent sa taille. Nicher ton nez dans sa nuque, inspirer - esquisser un sourire, jouir d’images de lui haut comme trois pommes, jouant dans l’herbe devant sa demeure. Ses mèches blondes au seuil du blanc, ses mains si petites, si agiles - la malice au noir des iris… Il y’a du beau parmi ses chagrins. Il a été enfant insouciant avant de revêtir le deuil et de faire face aux monstruosités dont le monde est capable. Moye nezhnoye razbitoye serdtse*… Un baiser papillon sur la dernière vertèbre de sa colonne, cathédrale à cicatrices - y cueillir une goutte d’eau. *Mon tendre coeur brisé.Petit ver… Nous pouvons le dévorer, n’est-ce pas ? Nous le dévorerons, Baba. Cependant, il nous faut patienter - que notre esprit et le sien s’accordent à s’aimer, que les musiques de nos palpitants se synchronisent. Sceller deux vies est un artisanat chronophage, le sais-tu ? Un orchestre à orchestrer ? Tu n’es pas mauvaise en métaphore. Pas grand chose à dire, tu dis… Agrandir ton sourire - s’écarter, reprendre droite séance à ses côtés. Tu dis des inepties. Les effluves sucrées, la pâte dorée bientôt sur le chaud de la poêle. Tu as terriblement faim - toujours, toujours, toujours faim, la faim. Tu es un kaléidoscope, Charles. Je crois te comprendre à la première image lorsque j’en découvre soudain dix autres derrière. Et toutes ces teintes, toutes tes teintes… Minaude, un soupire, une affliction. Time lui-même ne pourrait allonger l’infini nécessaire à mes intelligences et désirs quant à ta lecture.C’est par envie de café que tu choisis de te rasseoir à table - non - par envie de balayer d’une banalité sa question. « Politesse oblige » est-ce la raison de cette dernière ? Charles, tu n’as pas besoin de t’intéresser à ce que la mémoire d’une sorcière a laissé choir dans les abysses. Le visage à plat contre le bois de la table, les cheveux épars - la moue boudeuse. Garnement immature aux siècles encrés de fatigue. Je ne me souviens pas. Faux. Tu te souviens, parfois - des sons, des voix, des flashs. Tu te souviens parfois - un cri, des larmes, du bleu, mauvais bleu, trop d’eau, une foule. Je me souviens de ma langue. Je me souviens des loukoums. Je me souviens du piano et des violons. Vrai. Tu te souviens, souvent - les bals, les marchés, les cuisines, le manoir. Mon arrivée… Purgatoire ? Punition ? Tu te connaissais la nécessité d’être puni - pourquoi ? Je ne me souviens pas. Je me pensais mort - hélas, non. Je respirais, je voyais, je découvrais, je parlais. Je me pensais en enfer - hélas, non. Il y’a eu des gentillesses, des sympathies, des quotidiens, des petits riens. Pianoter sur la coupole de fruits - lever les yeux sur ton bol. Mon don, ensuite. Ironie, j’ai pensé - mais je sais pas pourquoi. J’avais tant de colère, tant de rage - mais je ne sais pas pourquoi. Puis l’acceptation, l’adaptation, les rencontres, la succession des semaines, l’ennui, les folies, les excès, la reconnaissance, le titre, l’ennui, mon travail, l’ennui, la déraison, l'ennui, les rencontres, mon travail… Tu te redresses - rictus joyeux, joyeuseté curieuse. Sorcière n’a guère d’égards pour ce qu’il y’a avant, ne veut que ce qu’il y’a maintenant. Alors, ces crêpes ? T’es lent ! Rire - prendre une poignée de sucre dans le pot à côté et le projeter à sa hauteur. Pluie qui s’éparpille partout, tout partout - sucre la table, sucre le sol, sucre son crâne. Rire, rire, rire - Aliocha. Rire parce qu’il est là et qu’il est doux qu’il soit là. Rire parce qu’il est là quand toi, tu n’es pas sûr d’être là. | | | | | (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha Mar 23 Mar - 1:29 Entre Promesse et Culpabilité feat Aliocha
Le Silence, Ton Silence Aliocha, d’or nacrée Aux mots qui de nos lèvres viennent s’extirper Tes bras qui viennent nous enserrer On se sentirait presque sur le point d’être brisé Depuis combien de temps ne nous a-t-on pas serrer Depuis quand n’avons-nous pas laisser quelqu’un nous aimer Depuis quand avait-on arrêter de respirer Pour que tes bras nous donne cette force éteinte à jamais Roule les larmes qu’on ne pensait plus jamais verser Ton nez qui vient dans notre nuque se nicher Aliocha qu’est ce qu’on voudrait Oui qu’est ce qu’on voudrait voir le temps s’arrêter Ta voix, berceuse, qui vient finalement calmer Les relans de la marée de notre cœur bousillé On a tant de fois essayé Nous aussi de nous en aller Mais au final on vient se demander Si Mort on ne l’a pas toujours été Eclat de lumière dans les mots échappés A tes lèvres sucrées Meurt nos larmes salées Sur nos joues d’un geste séchés. On ne veut pas t’infliger La vue de nous en train de pleurer Alors que pour la première fois on se sent exister. Notre voix murmure léger Qui douce vient s’échapper.
« Reste, s’il te plait. »
Reste Aliocha s’il te plait, Maintenant, après Ne nous laisse pas comme ils l’ont tous fait Tu ne sais pas tout ce qu’on donnerait Pour te voir rester Pour nous laisser t’aimer Plus que le ciel étoilé. Ta chaleur autour de nous qui disparait, Pincement léger Crêpe dans l’assiette déposée. Notre regard sur toi glisser Un bout de pate dorée Entre nos doigts, jusqu’à tes lèvres glissé Nous laisse hébété De toutes les belles choses que tu semble trouver Pour nous comparer On boit chacune des paroles que tu viens déposer Le Souvenirs celui qu’on veut, celui qui n’est que rejet Et tous ces hélas qui parcourt ton discours presque trop léger On veut te donner On veut Aliocha tout te donner Que plus jamais ces hélas viennent se montrer Et puis on comprends, ce que Vanille disait Tu serais la raison Aliocha, imprévisible, inconsidéré Notre raison pour essayer Pour ne pas abandonner Pour continuer de regarder le soleil se lever Chaque secondes de notre vie on te la dédierait Sans que probablement tu ne le saches jamais Les crêpes tout juste terminée Que tu t’impatiente, éclat sucrée
« Les voilà Les voilà »
Un rire léger, on dépose l’assiette que tu puisse savourer On te laisse la première dévorer, Glisse nos bras autour de toi Notre torse à la chaleur de ton dos droit Laisse nous te sauver Aliocha On ne sait pas encore de quoi, Il n’est peut-être qu’un éclat Mais il est pour toi Seulement pour toi.
« Je suis heureux avec toi. »
Laisse nous te conter les étoiles sous la nuit tombée Laisse nous t’envelopper quand le froid vient à se glisser Laisse nous t’aimer quand l’enfer est à tes pieds
« Il y a quelqu’un que je devrais te présenter, elle me fait un peu penser à toi. Bien que je ne lui donnerai jamais ce que je serai prêt à offrir pour toi. C’est celle qui produit l’alcool que je t’ai offert. Je pense que tu l’apprécierai. Elle a plein d’araignée. »
Une autre âme brisée Qui tâche pourtant si bien de le cacher Nos lèvres sur ton front déposé On ne dit rien mais notre cœur sait Dans l’éclat de tes mots s’est décidé On est peut-être juste fou à lier Nos lèvres qui viennent ensuite les tiennes agripper Douceur sucrée Notre regard à la faveur du tien pour t’ancrer Te ramener Notre regard pour t’aimer Te contempler Le Silence qui se laisse cajoler Il y a dans notre regard tout ce qu’on n’est pas encore capable de prononcer Un sourire lumineux qu’on vient te donner Un qui a disparu depuis des années. Puis on vient te relâcher Glisse notre corps pour nettoyer, Les joues de ce rouge empourpré Fou à lier, c’est bien ce qu’on disait.
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Pouvoir : vision funèbre
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha Sam 3 Avr - 0:48 je ne regrette rien Il me dit je suis heureux avec toi, il me dit du doux, du lait doux, non du sucre doux - c’est doux, c’est bon, c’est sucré. À l’égal de ses lèvres, à l’égal de son regard, à l’égal de son aura. Charles, cesse ! Veux-tu ? Cesse ! Tu vas réveiller des appétits que je ne saurais maîtriser… Ta compassion, je la mange. Ton empathie, je la mange. Ton amour à mes égards, je le mange. Ne m’aime pas. Contente toi de me laisser t’aimer. C’est ainsi. Ainsi suis-je. Ainsi suis-je ? Je te mange. Je te mange. Je te mangerais. Non… Charles ! Cesse ! J’ai faim, j’ai si faim… Faire silence, inspirer. Compter les secondes. Taire mes excitations. T’observer nettoyer les menus manèges de ma malice. Rompre le silence, reprendre le fil de mes pensées. Elle a des araignées ? Comment ne pourrais-je pas l’aimer, en effet. Je serais ravi de la rencontrer, oh oui ! Crois-tu qu’elle puisse me vendre dix litres de vodka ?! Non, vingt ? Crois-tu qu’elle puisse me donner à l’adoption une de ses velues chéries ? Oh ! J’aimerais tant ! Je me lève, une crêpe entre mes doigts - te pointe de l’un d’eux un petit tas de granules blanches nichées au pied d’une chaise. Là, là ici, tu peux balayer là. Charles, je te transforme en cendrillon - et j’en ris. Elles sont très réussies. Très goutteuses. Charles, je te transforme en gouvernante - et j’en ris. Engloutir la crêpe - une seconde, une troisième. Je ris, je ris. Rire. Minauder. Minauder tout en étant sincère - habiller mon embarras de ne pouvoir te révéler combien je me sens perdu lorsqu’il s’agit de parler de souvenirs qui me sont flous, lorsqu’il s’agit de donner un sens à ce lien que nous créons et qui me terrifie. Tu es si docile. Tu es si gracile. On ne pourrait faire créature plus dolente et dévouée que toi - ah… Ce rouge sur tes joues - sais-tu qu’il me plaît tant qu’il me vient l’irrésistible envie de le faire naître sur chaque parcelle que ta peau voudra bien offrir à mes tendresses fauves ? Sourire. Mon tout petit, mon adoré, mon délicat tisserand de porcelaine - sorcière penchée à ton oreille, t’invite à te relever par un bras câlin. J’aimerais que nous partions quelque part tous les deux, lorsque nos emplois du temps le permettront… Vert, du vert ! Je veux du vert, des arbres, de l’eau… - sorcière te coince contre le plan de travail, te caresse la gorge de ses dents pointues mais il me faut d’abord honorer le programme de ce jour-ci couleuvre dans les yeux - sorcière te dévisage Charles, répète après-moi susurre contre ta bouche - sorcière t’envisage je veux que tu me fasses gémir de plaisir, AliochaJusqu’à ce qu’il nous faille se dire au revoir, jusqu’à ce que le soir tombe son manteau sur le jour, jusqu’à ce que ces instants paisibles et moroses ne viennent à se ranger dans notre mémoire - mon tout petit, mon adoré, mon délicat tisserand de porcelaine - je vais te rougir. | | | | | (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha | | | (end) "Entre Promesse et Culpabilité" - Aliocha |
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