L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Mar 26 Jan - 15:13
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main.
Feat Susan & Morgan
Tu essuies le semblant de chose visqueuse qui suinte de tes doigts, un sourire contrit sur ton visage. Le verre n'as pas tenu le choc et ton alcool s'est répandu à même le sol, te laissant gêné face à cette femme d'une beauté envoutante. Elle rigole, te tourne le dos et ton semblant de coeur sombre dans l'abysse, ton visage demeurant vide. Vide de sensations, vide de chaleur, un sourire plaqué sur celui-ci, un sourire, sourire faux. Cruelle destinée, tu pars la tête haute de cette réception, n'écoutant guère les chuchotements dans ton dos. Ils seront si vite oubliés, ce que tu ne feras point. Ce sera ancré.
Tu jettes ce costume dans le bac le plus proche, t'affaissant dans ta couche, ne fixant rien de particulier, laissant le sommeil, le semblant de sommeil, t'emportait. Loin de tout. Mais cela te bloque, cela se bouscule, tu te sens si perdu et si embêté.
Il fait nuit noire et pourtant, une lampe dans une main, un semblant de bâton entre les doigts en guise d'arme, tu prends le chemin menant à l'Horloge. Tu savais qu'il s'y trouvait.
Arrivant devant cette bâtisse immense, tu lèves les yeux bien haut, cherchant l'entrée. Tu avisas celle-ci, faisant les 100 pas devant. Fallait-il sonner ? Ou bien hurler pour se faire entendre ? Ou simplement toquer ? Tu passas quelques doigts entre tes mèches, celles-ci retenant ton arme. Tu dus tirer en grommelant avant que le bâton se détache de ta masse. Quel ennui.
Tu étais vêtu d'une simple chemise même pas repassé et d'un bas de pyjama portant des petits oursons. Tu adorais les petits n'oursons. C'était ridicule mais c'était Susan. Il ne pourrait pas se moquer de toi. Et puis au pire, ce n'était rien de grave comparé à ton coeur qui battait furieusement contre ta cage thoracique.
Tu pris un grand souffle avant de toquer à la fameuse porte. Prenant ta voix la plus grave qui soit :
_ Susan ?
Une interrogation, ta voix qui se fait plus aigu sur la fin de ce prénom. Ton (demi) frère. Et si tu le dérangeais ? S'il était avec quelqu'un ?
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Jeu 28 Jan - 4:33
pour s’assurer que les huiles sur la peau s'imprègnent, éviter de se trouver au lit tout de suite après les soins. susan, laisser les pores respirer sous les airs de ces coltrane et simone tant louangés. le jazz, qu’ils disent. et ça lui semble suffisamment hors-temps pour s’accorder à lui. peignoir en soie, car il est tard et elle ne viendra pas ni les autres et la pensée encore
parfois dis jabberwocky, un jour cessera-t-on de te voir dans la distance ; les fenêtres sur nulle-part et on sait que tu oses revenir seulement ce n’est jamais dans la maison. à l’extérieur dans le silence. dis te reverra-t-on un jour et bandersnatch une nuit fera-t-on la même chose.
la liberté ; mensonge. prisonnier des pensées et de son ombre. mais en peignoir c’est toujours mieux, allonger la souplesse du corps sur le divan. avec ce paradis perdu dans les mains.
on se sent soudain moins seul. il ne suffisait que d’un livre pas de ta voix, morgan.
à travers les aiguilles des horloges et l’organisations des objets. à l’unique porte t’entendre et susan
mouvement fin de la paume. claquer le livre, le refermer. roulement des yeux – trois fois – soupir. le bois de la demeure porte sa voix moins formelle – agacée – à son tour.
entre. et fais du thé veux-tu.
pour deux. bien sûr. rester allongé sur le divan, jambe repliée. couleur hiver à travers le rose floral de la soie. t’attendre dans le salon à la manière d’un prince. le bras alangui aller chercher au-dessus sur une étagère le petit sablier. retourner. souligner pour soi-même ; tu es l'un des rares à frapper. avant d'entrer.
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Ven 5 Fév - 21:36
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main.
Feat Susan & Morgan
Tu tournes sur toi-même, une fois, deux fois, fixant sur cette horloge faiblement éclairée un air un poil perdu. Tu n'entends pas de réponse, tu rumines, tu rouspètes et après un temps incalculable, une faible réponse te parvient. Positive, sans nul doute. Et même si celle-ci ne l'était pas, tu ne demandas guère confirmation, prenant en main la poignée. Qui se décrocha de la porte. Oups ? Ce fichu pouvoir qui ne te respecte pas, avait envie de s'amuser ce soir. Fallait-il que tu pousses le battant en le frappant avec ton épaule ? Tes pieds ? Diantre. Advienne que pourra. La paume ouverte, tu poussas avec force, tandis qu'un fracas retentit. Double oups. La porte devenant diverses planches, à même sur le sol. Tu tenais toujours cette fichu poignée dans ta main, ne sachant pas où la poser. Susan allait te tuer. Il n'avait plus de porte.
Tu enjambas rapidement les débris avant de te diriger vers la cuisine, essayant de maîtriser tes émotions. Pourvu que la théière ne te fonde pas entre les mains. Ne pas le penser, Morgan, ne pas le penser ! Tu n'avais même pas osé regarder ton (demi) frère, peur de sa réaction qui pourrait être glaciale à souhait. Les doigts tremblants, tu réussis à verser l'eau dans deux tasses, diverses gouttes sur le plan de travail attestant ton incompétence en ce domaine. Tu réussis à poser sa tasse et la sienne sur sa table basse.
Tu te permis de t'asseoir avant de fixer ton (demi) frère. Un sourcil se relevant sur sa tenue ample qui laissait découvrir des jambes (non-poilues). (Il se rasait ?)(Cela existait ? Tu devrais peut-être essayer. )
_ Je te dérange, peut-être ?
Un monsieur ou une dame n'allait pas sortir du dessous du lit quand même ? Tu baissas le haut de ton corps pour regarder, discrètement, le dessous de son divan. Rien qui traînait. Tu fis un petit sourire contrit. Pourvu qu'il ne pose pas de question sur le bruit de la porte. De son ancienne porte. Il fallait que tu enchaînes, et vite.
_ Alors, euh ... Enfin, tu vois. Très belle demeure ! Les horloges sont toutes comme ça ? Faudrait que je m'en dégote une. Oui, sinon, en fait, tu vois. J'étais à une soirée et ... Cela s'est mal passé.
Des doigts qui se glissent dans ta nuque, perplexe et embarrassé. Tu voyais bien le sablier, mais tu fis exprès de ne pas le fixer. Tu n'aurais jamais le temps de tout lui expliquer en trois minutes donc cela ne servait à rien.
Et si l'individu avec qui il était se trouvait dans une armoire ?!
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Sam 6 Fév - 4:35
on t’attend avec le coude sur le dossier du divan, la joue contre la main. scintillement des yeux agacé ; impatient susan. fronce les sourcils à tout ce bruit derrière lui, le salon encastré dans la demeure on ne voit rien de tout ton bataclan. peut-être par paresse, peut-être par envie d’être ce soir
envers toi, morgan (patient)
susan on ne se lève pas, seul le menton se redresse quand tes mouvements remplissent la pièce. scintillement des yeux qui te suit, tendre la main gracile – paraît trop délicate face à la tienne on se casserait presque susan. détaille sa tasse, coule le regard vers toi, la tasse,
toi.
non. ça va, poste-toi.
et merci. mais pourquoi la anse est complètement mouillée, morgan as-tu tant renversé du thé. gorgée susan, reposer la tasse sur la table basse. les paumes l’une contre l’autre, chasser les gouttes. et tu t’agites toujours au coin de sa vision. incline la tête susan, l’air soupçonneux devant ton petit manège morgan.
qu’est-ce que tu regardes. c’était quoi le br
et il parle le grand-frère soudain. pincer les lèvres, se caler davantage dans le divan et écouter. lève un sourcil, ironique susan. sarcastique. oui les horloges, ô comme tu adores morgan, bien sûr.
je me disais bien oui.
tu viens toujours – malgré tous les détours de ta langue et de tes gestes – lui raconter les déboires de ta vie. renverser le sablier sur l’étagère. on ne chasserait jamais son frère, aussi opposé peut-il être. mais comme tu es agaçant morgan à gesticuler et tes yeux qui ne savent pas
une seconde
se poser. soupir, susan. claquer de la langue,
ça va
la question articulée bien fort pour que tu l’entendes et cesses de fuir tout contact. c’est difficile de t’écouter ainsi. qu’est-ce qu’elle a la maison pour que tu la détailles autant, tu crois qu’elle cache ta prochaine conquête, morgan ?
bon, allez dis. je présume c’est encore une de tes putrides blagu-
le scintillement des yeux posé soudain sur tes doigts, l’éclat d’argent sous les lumières tamisées du salon
la formalité de la voix inquisitrice.
pourquoi t’as une poignée dans la main
regard limpide susan, rivé sur toi. par pitié ne dis pas que tout ce bruit, c'était-
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Mer 10 Fév - 21:21
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main.
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Un claquement de langue et tes yeux se posent sur ton (demi) frère, tes doigts se déliant de ta nuque. Comme un enfant, tu attends, tu attends de savoir ce que l'autorité dirait. Tu clignes une fois, deux fois, des yeux. Tu penches un peu la tête sur le côté, ne comprenant pas. Comment ça une poi- ... Tes yeux s'écarquillent tandis que ta main se lève, se déplie, laissant voir la poignée que tu tenais encore. Tu regardes encore une fois ton (demi) frère, ta tête tournant à plein régime pour trouver une explication rationnelle et logique. Tu frottes tes doigts l'un contre l'autre, produisant un petit son, suivi de près par une exclamation de génie par ta bouche.
_ Ah oui ! Tu vois, c'est pour me défendre. J'ai dû marcher une petite trotte pour arriver jusqu'ici, et tu sais, il n'y a pas que des gens gentils sur le chemin. C'est une arme très pratique ! Personne ne s'attend à ce que je me défende avec une poignée, n'est-ce pas ?
Pas même toi. Idiot Morgan qui ne sait guère inventer d'excuses.
Tu déposes ta pièce à conviction sur la table, un pâle sourire sur le visage, ton pied claquant contre le sol, un mouvement de jambe continu. Il te fallait détourner la conversation et vite. Tu savais qu'il n'était pas idiot, loin de là, et si par malheur, il se levait de sa chaise, il trouverait la scène de crime.
Tu le fixas avec plus d'intensité, n'ayant pas remarqué, dans ta panique de vouloir trouver une distraction, qu'il possédait une marque rougeâtre sur le visage. Une nouvelle mode dont tu n'avais pas connaissance ? Elle ressemblait pourtant à une cicatrice.
Tu te calas contre ta propre chaise, croisant les bras, un sourcil relevé, un doigt presque inquisiteur pointé sur Susan.
_ C'est quoi ...
Tu lèves ce doigt jusqu'à son sourcil.
_ ... ça ?
Oubliant même que tu avais commis une bourde, tu avais vraiment très envie de connaître la réponse à cette question, prêt à en découdre s'il le fallait face à l'individu ayant commis cela à ton (demi) frère. Il n'allait pas te dire la vérité. Il allait détourner, mentir ou omettre des détails. Tu le connaissais. Mais tu ne lâcheras pas l'affaire. Ton sourcil redescendit, ton corps tendu, si rare pour toi qui es pourtant si indiscipliné de prime abord.
Diantre, tu allais devoir te battre. Tu imaginais déjà mille et une situation dans ta caboche.
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Lun 15 Fév - 6:06
te défendre. bien sûr.
scintillement des yeux qui te jauge, ne daigne pas détailler la poignée ; susan on n’est pas dupe. la porte à ton départ ; on va savoir. mais pour les prochaines minutes, te laisser la tranquillité de croire que tu peux respirer. morgan. oh c’est bien vrai, il n’y a pas toujours des esprits immaculés sur la route
entre marmoreal et la tour.
alors te cuisiner un peu parce que tu viens – la plupart du temps – pour te plaindre, grand frère ; histoires de cœur susan on en roule les yeux. d’avance.
tu disais, la soirée s’est mal pass-
scintillement des yeux rigide, se braque susan ; tu n’as toujours rien appris, morgan veux-tu bien baisser ce doigt. on a dit ; c’est impoli de
quoi
formalité tranchée ; sourcils froncés sous l’étoile rouge et réalise, susan. la bouche d’un trait fermée. geste fin on referme le peignoir en soie, recouvre ses jambes, se cale contre le divan. regarder ailleurs, les broderies des coussins ; retourner sablier.
ça fait longtemps que tu es venu, si tu t’en rends compte maintenant.
et qu’est-ce que ça peut te faire, morgan. tu te fâcherais ? tu le défendrais, ton (si) petit frère ? la vérité on n’a pas du tout envie tu fasses quoi que ce soit contre jabberwcoky tu te ferais brûler ; susan engagé à devoir te pleurer et culpabiliser. ensuite. (ce qu’il ferait – tout naturellement)
qu’est-ce que ça peut te faire, morgan ce sont tes histoires de cœur qu’on veut entendre. que tu veux t’entendre dire. alors
quoi
un tatouage. je voulais. c’est insignifiant, alors baisse ton doigt. et raconte-moi ta bourde encore.
qu’on oublie la clé qui rouille le trop-plein de souvenirs ; l’amertume des envies on a le cœur en une pièce parce qu’il faut se tenir pour une humanité enragée ; se tenir et recevoir quand les rois daignent le voir, susan un pion et le jabberwocky comme le bandersnatch à votre guise vous l’utilisez sur le plateau. il mentirait s'il disait ; ça me blesse. il mentirait s'il disait ; ça me plaît.
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Jeu 4 Mar - 23:37
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main.
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Il commence par être étonné. Bien sûr, typique, d'une personne qui oublie, bas voyons. Puis il commence à se replier sur lui-même. Banal. Et il cherche l'excuse du tatouage ! M'enfin, quelle indignité !
Mais tu baisses quand même le doigt, non pas parce qu'il te l'ordonne, mais parce que ton bras fatigue suite à l'effort. Et il reporte la conversation sur toi. Tss tss, cela ne fonctionneras point cette fois. Un mouvement de tête de droite à gauche, un claquement de langue et un petit bruit distinct de désaccord sortant de ta gorge. Pour une fois, que tu pouvais entendre une histoire croustillante sur la vie de ton (demi) frère, tu n'allais pas laisser passer cela.
Tu commenças donc par glisser ton buste en avant, un sourire sur le visage tandis que tu posais tes coudes sur tes genoux. Tu fixas quelques instants Susan.
_ Tu mens. Tu fuis la question Susan.
Tu l'avais coincé tout en évitant la poignée, tout en évitant tout, finalement. Comme un grand inspecteur, tu te levas de ton siège, faisant le tour de la pièce, les doigts sous le menton. Susan avait donc un amant. Il faisait donc ce qu'il fallait faire. Plus que toi ? Stupide frère.
Tu te stoppas devant le sablier avant de le retourner, revenant à ta place. Tu posas une jambe sur l'autre, les mains sur tes genoux, un port bien droit, un sourire fier sur ton visage.
_ C'est ton amant. N'est-ce pas ?
C'est qu'il était idiot le Morgan. Très stupide. Mais il avait du nez pour ce genre de choses, au grand dam d'autrui. Tu savais que tu avais raison et intérieurement, tu fanfaronnais. Il n'empêche que tu recommenças à le pointer du doigt, ton sourire se perdant.
_ Qui ? Et pourquoi ?
De défigurer quelqu'un au point que la personne doive faire un tatouage était un coup sacrément vicieux.
Ton frère était vicieux.
Il copulait sans doute plus que toi. Malédiction ! Damnation !
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Mar 16 Mar - 21:09
plisser les yeux devant l’accusation. le fixer avec l’éclat bleu qui gronde quand il retourne le sablier et se rassit, morgan qui met son nez partout. tu sais, grand frère, que ses affaires sont ses affaires. buté, susan.
lève le menton, un sourcil. ne nie pas les allégations. la formulation, elle
scintillement des yeux impérieux.
parce que c’est tout à fait banal.
prend une gorgée de son thé.
vois-le comme tu veux. tu t’étonnes et pourtant tu connais la chanson. tout le monde la connaît, à wonderland.
l’amour se vit (se fait) en dehors du moulin rouge. te demande-t-on des comptes ? roule des yeux, susan.
je préfère être paré d'un tatouage plutôt que d'une cicatrice. c'est tout, c'est passé. bon, et ta soirée, tu te souviens
te défie, grand frère. tu le sais mieux que lui, que les plans culs peuvent mal virer. apprends-nous donc comment tu parviens à vivre les conquêtes et les déboires encore et toujours.
te défie avec cette étoile rouge ; on a oublié son visage sans elle.
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Sam 27 Mar - 17:31
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Il lève un sourcil, il ne réfute pas, au contraire, il acquiesce sans le faire, sans même assouvir ta curiosité incessante. Il ne lâche guère le nom de l'amant et tu fais une moue boudeuse, croisant tes bras. Tu t'enfonces dans ton dossier en rouspétant tout bas, écoutant bien sa façon de vouloir détourner le problème. Tu le connais, ton (demi) frère. Il est buté. Il ne voudra guère lâcher l'affaire, hélas.
Et tu as beau te triturer les méninges, tu ne sais guère comment le faire parler. Alors, à la place, tu décroises tout ce qui était croisé, posant ta main sur la table dans un fracas que même le liquide dans vos tasses tressaute.
_ D'accord, j'ai compris, tu ne veux rien me dire ! T'abuse !
Tu laisses la table en paix pour venir caresser ton menton, avant de réfléchir pour te calmer. Illumination ! Tu te devais de le prévenir !
_ Mais ... la prochaine fois ... protège toi, tu vois ?
Un petit rictus pour faire comprendre le sous-entendu derrière cette phrase. Autant pour se protéger de cet individu qui lui avait fait cette cicatrice que pour une autre activité divertissante.
Girouette que tu étais, tu oublias vite tout cela pour reprendre ton monologue de cette fichue soirée qui t'était sorti de la tête durant un instant.
_ Et donc, oui voilà ! Je disais que j'ai rencontré une donzelle, fort sympathique et riant à mes blagues. Je pensais que c'était la bonne mais ... Un homme est arrivé pour serrer son épaule et genre ... mon pouvoir a fait des siennes et mon verre s'est liquéfié dans mes mains et l'alcool a sali mon pantalon blanc ... Tu imagines ?! C'est tellement embêtant à faire enlever ses fichues tâches.
Et tu radotes Morgan, que tu t'aies perdu dans tes paroles.
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Susan Hourglass
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Dim 28 Mar - 5:22
les yeux se sont écarquillés. un peu. une table, morgan, c’est fait pour déposer. pas se faire éclater alors s’il-te-plaît,
mais il l’épargne. susan plisser le regard. ah. on abuse. mais c’est notre vie intime grand-frère pas ton roman feuilleton. ouvrir la bouche,
s’étouffer un coup soudain.
si, si on a très bien compris. insulté, susan. scintillement des yeux fusille.
tu crois quoi. ça me regarde.
moue défiante. puis croiser les bras, t’écouter. avec un sourcil levé. sceptique, gardien. tu penses toujours que c’est la bonne, morgan. ton disque est enrayé. fait mine de s’étonner à la venue de l’homme. de son don activé. de toute la suite. écarquille les yeux de (fausse) stupeur. oui, oui, il
imagine.
que les taches, hein.
formalité ironique.
l’idée de porter du blanc dans une soirée. elle a fait quoi, ta donzelle
parce qu'on le sait, tu as encore tellement à dire. sur la perte de tes conquêtes. s’apprête à se lever.
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Dim 28 Mar - 15:23
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Bien sûr, cela le regardait totalement, son intimité avant tout. Tu voulais juste éviter ... des complications encore plus, ma foi. Tu avais déjà bien à faire pour t'inquiéter de toi-même que tu ne voulais pas rajouter la couche (demi) frère par-dessus. Et si tu lui achetais une culotte de chasteté ? Cela existait ce genre de choses ? Il faudrait que tu ailles demander à autrui, tiens. Puis, il se prend au jeu, il écarquille les yeux et tu ne sens guère la lassitude derrière que tu imagines qu'il est sérieux. Stupide Morgan.
_ Et du coup, je pensais que nous allions, tu sais, construire une maison, tout ça, tout ça ! Avoir des enfants, qui sait. Tu connais la rengaine, mère insiste sur mon âge et bla-bla. Fin bref, ce genre de choses.
Tu continues, tu ne percutes pas de suite les propos de ton (demi) frère. Des dragées, bien sûres, tu en mangeras un pour faire plaisir mais délaisseras les autres car tu n'aimes guère le sucré. Des dragées. Se lever. Cuisine, proche de la porte qui n'est plus. Tes yeux s'écarquillent, ta bouche tout autant, un stupide individu étonné et paniqué. Tu te lèves avec précipitation en secouant les mains dans tous les sens
_ N-Non ! Ne te lèves pas voyons, ha ha ha ! Je vais y aller. Ne bouge pas, d'accord ?!
Tu te dépêches de courir vers la cuisine, attrapant des dragées au pif, les renversant par mégarde, jurant, les ramassant et réussissant à les mettre dans un bol avant de revenir. Tout, pourvu qu'il voit sa porte quand tu seras loin de chez lui. Sans nul doute, tu courras le plus vite que tu puisses, Susan en colère, c'était mémorable.
Tu lui tendis le bol, le sourire tremblotant, les mains tout autant. Ce n'était pas bon pour ton coeur toutes ses sautes d'humeur. Pourvu qu'il ne se lève plus de son fauteuil. Il fallait que t'abrèges rapidement si tu voulais éviter d'être encore présent durant l'explosion du volcan.
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L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Sam 3 Avr - 4:03
froncer les sourcils, suspicieux. gardien devant son frère si hâtif d’être serviable. ne bouge pas. à la manière de sa version d’enfant. quand maman le présentait à la cour s’inclinait murmurait souris, ne bouge plus.
figé, gardien avec des soupirs et le roulement des yeux à l’entente du sucre qui s'échappe au sol. grand-frère, prends ton temps, mais par pitié cesse de renverser des dragées. jusqu’à ce que morgan reparaisse, le bol désormais entre ses mains.
alors se rasseoir, susan. rajuster le peignoir déposer le récipient sur la table. dragée. croquer. bras croisés. lever le menton.
donc, une maison. qu’est-ce que ça peut bien faire ce que mère pense
des petits-enfants. comme si elle voulait des petits-enfants. honteuse d’avoir donné naissance à un second. c’est un immortel que je voulais.
c'est pour se débarrasser de toi.
mère froide, morgan. ne vis pas pour elle. vis pour toi.
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Lun 26 Avr - 22:33
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Bien sûr, il avait raison. Bien sûr. Ce n'est pas Susan pour rien après tout, il en avait dans le petit pois lui, pas comme toi. Non pas que tu cherchais à briller par ton intelligence, loin de là, mais on pouvait des fois douter un tant soit peu de celui-ci quand même. Sauf qu'heureusement, il piocha dans le bol et tu pus t'assoir en retenant un soupir. Tu avais encore une fois échappé à la catastrophe - qui viendrait bien sûr -.
" c'est pour se débarrasser de toi. "
Il n'avait pas tort, encore une fois. Tu ne pus que hocher la tête en croisant tes bras, les sourcils froncés. C'est vrai qu'elle aurait bien voulu te jarter, depuis le temps qu'il t'arrivait de squatter ta chambre d'adolescent alors que tu avais passé l'âge. Bien sûr, tu dormais de temps en temps dans ton atelier mais tu appréciais un minimum de revenir chez ta mère de temps en temps.
" cesse de la voir, tout simplement. "
Tu poussas un soupir théâtral, posant une main sur ton torse dans un geste presque exagéré de démontrer ta souffrance. Bien sur, il avait raison encore une fois, mais cela te déchirerait le coeur de devoir t'en aller de chez elle. C'est qu'elle faisait bien la cuisine et cela t'évitait de le faire.
_ Oui, certes, certes ...
Il n'empêche qu'en parlant de ça, tu te rappelas que de 1) tu devais partir avant qu'il ne voie les dégâts ce qui ne tarderait pas et que de 2) tu avais oublié de fermer la porte de chez ta mère en partant en douce. Idiot de fils. Tu te levas précipitamment en posant ton poing contre ta paume ouverte, montrant d'un bon geste que tu avais pensé à une idée brillante (ce qui était faux).
_ Merde ! Je viens de me rappeler que j'ai oublié de fermer à clé en partant de chez maman !
Idiot, idiot de fils. Tu te dépêchas de faire le tour de la petite table sans te casser la figure, un bref tapotement sur l'épaule de ton frère.
_ Je file avant qu'elle change les serrures pour me jeter réellement dehors ! Fais attention à toi ! Oublie pas ta culotte de chasteté si t'en trouves okai ! J'reviendrais !!
Et tu partis en enjambant rapidement le tas de la porte de Susan. Du tas de bois. Il allait crier. Ho oui, il allait hurler et pester ! Et il allait taper du pied ! Tu ne pus qu'esquisser un sourire avant de te rappeler qu'il n'allait plus te laisser ouvrir la porte. Oups ?
Bas, tant pis !
Tu reviendras la prochaine fois avec des gâteaux pour te faire pardonner. C'est qu'il était corruptible ton frère.
Pouvoir : restauration ; aérokinésie ; visibilité des objets
En couple avec : sa solitude
Autre(s) compte(s) : anaël ; ellen ; nico ; hyacinth
dispo rp : Messages : 630Points de Bonheur : 1340Avatar : allen walker ; hwang hyunjinÂge d'apparence : 22 Signe Astro : le calice (27/02)Rôle : •_•Métier : gardien de l'horloge ; réparateur spécialiséInventaire : perlimpinpin (1) ; petits cailloux (1) ; poudre d'escampette (1)Pouvoir : restauration ; aérokinésie ; visibilité des objetsEn couple avec : sa solitudeAutre(s) compte(s) : anaël ; ellen ; nico ; hyacinth
Susan Hourglass
tisane
L’amour, c’est comme les cartes : Quand on n’a pas de partenaires, Mieux vaut avoir une bonne main. - Ft Susan Mar 27 Avr - 16:04
elle se ferait voler, mère, qu’elle ne remarquerait rien. sa noblesse de breloques et trésors emmagasinés dans les pièces de sa maison marbre. sourire au-dedans que la bouche reste formelle. elle doit parfois se réveiller la nuit et s’insurger. un fils ayant un commerce de casse. l’autre qui garde une tour.
mère noble, quel dommage. (pas du tout)
mais morgan y tient. alors ne dit rien de plus, susan. se lever tout simplement pour te raccompagner. et quand tu tapotes son épaule
quand tu dis. tu oses.
susan, regard bleu devient noir. au-dedans gronde. de quel droit tu te permets des remarques. des élucubrations des hypothèses. tu viens tu parles d’amants comme d'une évidence tu tergiverses et tu oses.
culotte.
gardien de la tour est aussi gardien de son intime. sa vie ses histoires lui appartiennent. qu’on ne dit jamais rien. pas même à charline, notre mère celle qu’on reconnaît mère. et tu oses.
tu parles comme un mari du xvie siècle humain qui s’est fait cocufié et craint une récidive qui ferait honte à sa masculinité.
formalité grondante. sifflante.
c’est mon corps je fais ce que je veux. ça me regarde ; moi seul.
la chasteté est un concept fait pour la frustration. susan, parfaitement assumé et corps libre ce sont ses affaires. tu es son frère. c'est tout. et tu pars. et tant mieux. ou susan ; même les familles de sang ne se font pas pardonner l’intrusion dans sa vie privée. garder lèvres silencieuses à la suite de ton départ. reprendre les tasses repartir à la cuisine. devant celle-ci tout l’espace principal de la salle à manger et la porte d’entrée
défoncée, déconstruite. ah. c’était ça. la poignée. tasses en mains, susan figé dans l’espace.
siffle, peste entre ses dents
morgan, espèce de sale tronc
(con)
une porte. maison sans porte. une. deux.
trois bonnes minutes dans le vide, susan. avant de râler, déposer tasses sur le comptoir et perdre la nuit à restaurer sa porte d’entrée.