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Colombe Whiteknight
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châtiment +caleb Jeu 4 Fév - 23:54
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émietté le corps lamentable, léthargique qui accueille au fond du matelas un peu ; trop, de mémoires troubles (confites)
les cils papillonnent, vision floue tumulte violent (observation) et vous contemplez rien qu’un instant vous distinguez c’est vous, c’est lui vous vous souvenez de tout à sa vision la poigne ferme, les bruits confus les rythmes et la cadence, l’arrière et la stridence
vous vous étiez pourtant promis, ne plus finir ici pourtant vous voici ici endormis. lymphatique, laissez le bras glisser le long du buste encore éveillé le long de la peau trop apeurée vous longez, trop longuement la surface c’est des crépitements esseulés à chaque fois.
vous savez (détestez) la sensation, vous ridicule à la sensation et les orbes implantées, vous ne les laissez pas ailleurs divaguer. plantées, elles observent et scintillent dans la nuit, luisent, comme des néons, sans lumière.
vous avez pourtant oublier les étincelles qu’offrait la nuit, ce n’est rien d’autre qu’une immonde liqueur qui divague le long et remue les tripes ce n’est pas la quintessence de votre essence mais l’ignorance de votre insistance celle qui vous a mené ici.
« encore toi. » vous dites. c’est turbulent comme ça raidit vos cordes, insultant même. il y a des tarentules dans vos pupilles, des mygales dans votre gorge et des ronces dans votre intonation. vous demeurez pourtant, immobile. immobile comme au premier soir mais vous êtes là.
encore là, vous avez encore cédé et vous voyez ici dans ce même lit avec cette même répulsion cette même infamie pourtant luttez contre l’objection, votre regard ne le quitte pas. c’est mauvais vous savez (l’acharnement) mais vous y tenez à ce petit morceau d’existence, ce puzzle de vie c’est ridicule vous mis à nu, vous trainez pourtant à ses côtés encore cette fois c’est trop (pas assez) vous ne pouvez pas taire vos songes
sont-elles simplement pures, ces songes.
et dans votre mouvement vous délaissez le voile de drap qui lentement se cascade jusqu’en bas, et vous respirez enfin quand votre corps se drape du froid. et que lui finit son chemin ailleurs, mais maintenant plus franchement pouvez le regarder, distinguer le visage endormi. d’habitude vous fuyez aujourd’hui vous resterez assez pour créer une autre onde malsaine assez pour cultiver un peu plus l’échine dévorante sous vos doigts déjà malmenée sous le crépuscule.
il fait toujours trop chaud de lui à vous de vous à lui ça brûle toujours d’un peu trop près.
Son sommeil était brumeux et brûlant à la fois. Son corps lui semblait particulièrement lourd, plus que d'habitude, sans qu'il ne trouve cela particulièrement désagréable. Simplement dérangeant. C'était un peu comme s'enfoncer mollement dans du coton, de plus en plus, sans pouvoir remuer le moindre membre mais sans pour autant vraiment le vouloir.
Il se trouvait là, dans cet entre-deux dans lequel il plongeait quelques fois et dont il sortait toujours, pour une raison pour une autre, pour se retrouver dans une situation contrariante. Alors, il y traînait un peu plus, se disant que peut-être les choses pourrait se régler toutes seules s'il restait ici un moment plus long. Mais, évidemment, cela ne fonctionnait jamais.
Alors il quitta sans grande volonté les bras de Morphée, tout en gardant les yeux fermés et en conservant un souffle régulier de personne en proie au sommeil. Il le sentait plus nettement cette fois, la présence d'un corps près du sien. Trop près. Et encore là, alors qu'il ne restait jamais bien longtemps avec une personne qui partageait sa nuit.
Il pouvait bien attendre que l'individu se décide à partir, de toute façon. Il n'avait fort heureusement rien d'autre de prévu pour ce matin et pouvait se contenter d'attendre que la personne prenne ses affaires et quitte les lieux comme c'était le cas d'ordinaire. Et ce système lui convenait très bien, il n'avait pas l'intention d'en changer.
Le nectar de Dionysos embrumait encore un peu son esprit, ou du moins il cognait un peu à ses tempes de sorte que la sensation soit insidieuse et détestable. Puis, il entendit le timbre d'une voix enraillée, prononcer deux simples mots qui le firent intérieurement jurer. Cette voix, il la reconnaissait. Il avait bonne mémoire, et surtout, il l'avait déjà entendu dans ce même état. Là, de suite, il ne se souvenait pas du prénom enfoui sous plusieurs verres d'alcool et une nuit férocement agité, à en juger par son ressenti, du jeune homme. Une bien embarrassante situation dont il ne savait pas encore très bien comment il parviendrait à sortir.
Puis, il retient un frisson alors que le tissu qui le couvrait jusque-là quittait sa peau et l'offrait à la morsure du froid. Il y eut un bruit à peine audible de froissement sur le sol, puis de nouveau le silence troublé uniquement par leurs respirations. Il demeurait immobile, borné à l'idée qu'il finirait bien par partir comme il le faisait d'ordinaire.
Et ça lui convenait très bien, d'habitude, de ne pas sentir ce corps de nouveau près du sien au réveil. Leur promiscuité était offerte à la nuit, moment où leurs soupirs se confondaient en symphonie dissonante, où leurs peaux s'embrasaient et s'électrisaient, où les corps, l'alcool, se confondaient chaque fois pour devenir des ombres.
Néanmoins cette fois, il ne bougeait pas. Il sentait même son regard sur lui. Agaçant. Il ne savait même pas pourquoi ils recommençaient comme ça. C'est vrai ça, il n'avait rien à faire là, encore. Mais il y était. Et il fallait bien faire quelque chose, puisque la situation était à la fois dérangeante et oppressante. Malgré tout, il y était venu lui-même.
Soupirant intérieurement, il ouvrit les yeux lentement, puis planta son regard de glace dans celui de son vis-à-vis. La glace et le feu. Le froid et le chaud. Quel mélange ...
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châtiment +caleb Dim 7 Fév - 23:54
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clifford vous n’êtes pas sagesse vous êtes plutôt nuit térébrante et matin hermétique et vous collez à la peau comme le claquement frénétique des lombes ; peu importe les fragments du petit être qui collent, ni ô combien ils accablent. vous demeurez (insistance) et votre regard esseulé pourtant divague c’est si mauvais vous savez, vous craignez pourtant vous perdurez vous vous êtes tant enivré de l’opium des envieux de la chair qu’encore là, vous êtes aveugles de votre mépris
où peut-être siège-t’il là, vous éreinte-t’il peut-être malmènera-t’il l’esprit comme il l’a répété sur lui
ça vous convient, vous savez, alors sans doute lui aussi sait. votre regard pourtant, il est bien noir. il est voilé par l’assurance et bien dénué de sens vos observations en ont-elles simplement un ? vous ne craignez plus votre aspect et avez appris tous deux à coexister mais la trop forte chaleur de votre derme frôle fait-il ainsi fondre la glace algide à la surface. pourtant elles gambadent furieuses sur l’épiderme comme si elles savaient ; elles dérangent, et votre présence aussi elle dérange.
déréliction quand les cils diffus battent et à votre visage il offre ce froid. vous vous en seriez gaussé si vous étiez encore un peu sensé mais a-t’il fini par tout dévaster sur son passage, le passage ardent mais longiligne adroitement sur vos lèvres s’étirent les malignes pour perturber l’atmosphère (ne l’était-elle déjà pas assez où désirez-vous une autre eclipse)
et puis, ce sont des empreintes que vous redessiner vous êtes mauvais artiste ; plutôt artiste assassin plutôt meurtrier habile qui fascine ou demeure fasciné là dans la danse des pulpes des mains arachnéennes vous demeurez fixés le regard perturbe le toucher aussi.
mais c’est bien son derme sous vos doigts assassins que vous effleurez la projection astrale des croisements d’hier ont causé l’altercation vous le savez, là il patiente
rêve-t’il simplement que vous décampiez ? (oui) vous le savez, seulement le ferez-vous ? (non) et c’est étrange d’être si déposé pour vous frôler rien qu’un peu plus vous blesser (où peut-être n’importait-ce pas pour vous) pourtant dans l’importance vous jugez son inadvertance ne s’est-il pas trop frotté au petit démon ; et n’a-t’il pas trop apprécié la douce petit mort ? vous vous complaisez dans l’idée, c’est suffisant pour que vous jouiez.
« quoi. » c’est la vocation trouble la vocation sombre comme si son regard vous malmenait vous l’offense vous la rendez. après tout ne le suivrez-vous pas s’il fuyait (peut-être) c’est ainsi que les choses demeurent.
pourtant si paisible vous oscillez vous jalousez presque ce trop calme vous le savez faux tout est tellement captieux il n’est pas la calomnie de la fausseté vous savez désormais le connaissez fourbe insidieuse imposture à vos créations nocturnes vous n’êtes jamais plus latence (des corps) vous êtes toujours plus offensant (du regard)
la nuit nuit insuffisante où le crépuscule demeure perturbé par l’aube ; il soudainement meurt ou du moins, assez pour que ça ne suffise pas (plus) les orbes vilaines violentent les homonymes cherchent la faille (en existe-il simplement une) tente de dissiper la cascade de froid, tente de napper d’un voile clair-obscur l’atmosphère titubante délicate qui s’apprête à (mourir) car vous avez l’amour de la ruine l’amour de la chair et la haine vers le coeur si vous pouviez le réduire en charpie alors votre oeuvre serait bienséante, si translucides les perles chevrotantes glisseraient alors elles seraient ravissantes
et vos doigts qui serpentent délicatement menés par Nahash susurrent (donnez-nous plus) plus qu’un corps plus qu’une étreinte ou qu’un cheminement plus que tout nous voulons l’attention
et le regard parle et les attentions saines meurtries baignent, c’est l’apothéose du désastre car vous ne savez plus quand ni pourquoi vous en désirez tant, autrefois vous ne désirez que savourer les abysses car s’y perdre offrait la luxure mais désormais a-t’elle fleuri ailleurs et quand vous désirez ça finit toujours pas imploser et ce n’est pas toujours délicat c’est plutôt toujours pugnace.
et ça revêt son rouge sur la poigne pour meurtrir l’âme qui séjourne entre vos doigts car blesser et murmurer la profonde douleur, c’est mélodieux ce ragoût de ressentiments et votre regard dit : ose, votre regard dit fermeté il susurre : dit-le, car son opium n’est pas celui de Vénus mais bien celui de l’homme qui consume l’être détruit l’âme et perdure dans l’esprit. cet homme c’est vous, l’être c’est lui.
Plus glaciel se firent ses prunelles dès lors qu'il sentit les doigts de l'autre sur sa peau. Il aurait volontiers oublié son toucher, son visage, tout ce qui faisait entre autre qu'il était là et existait à ses côtés. Comme il avait oublié son nom, par ailleurs, dans les tréfonds de sa mémoire qui peu à peu s'éclaircissait alors que les vapeurs de l'alcool se faisaient plus légères et moins insistantes.
Il tenait bien l'alcool, et son organisme le diluait plutôt rapidement, plus encore après quelques heures de sommeil. Pour autant, il aurait préféré cette fois rester un peu plus dans la brume pour ne pas avoir pleinement conscience de ce moment-là, entre deux eaux, particulièrement désagréable. Et plus il y songeait, plus ses iris paraissaient froids et plus sa peau elle-même semblait perdre en température. Ouais, ça n'allait pas.
Puis, il y eut ce sourire sur ses lèvres, ce sourire à la fois défiant et pourtant malhabile. Quelque part, ce sourire lui confirmait que son vis-à-vis se trouvait également quelque peu perturbé, mais aussi qu'il semblait prendre à plaisir à leur situation. Le jeune homme soupira, sans pour autant lâcher des yeux l'homme en face de lui, et il se redressa pour s'asseoir, repoussant du même geste les mains baladeuses de son colocataire de lit.
Il aurait pu remettre ça au matin, s'il en avait eu l'envie, mais ce n'était absolument pas le cas. Il y avait des corps comme ça avec lesquels il n'aimait partager qu'un moment défini, une nuit, une obscurité fallacieuse, des ténèbres d'égarement. Mais une fois que le soleil reprenait ses droits, que la lumière s'élevait à nouveau et dévoilait le tout, alors il préférait de loin mettre un terme à ces étreintes enivrantes d'une nuit trouble.
La question, si du moins on pouvait appeler cela ainsi, de son vis-à-vis lui tira un léger rictus passager. Comme s'il n'avait pas conscience de ce qui lui posait problème actuellement. Bien sûr qu'il le savait. Et quelque part, c'était probablement cela qui l'agaçait le plus. Que pouvait-il bien espérer de sa part ? A priori, ce jeune homme n'était pas le choix le plus adéquat pour partager une nuit, bien qu'il s'avérait relativement doué dans le domaine. Mais ce qui était en train de se passer lui laissait penser que remettre ça serait une bien mauvaise idée. Pour autant, ce n'était pas la première fois, et sans doute s'était-il déjà dit cela, et visiblement il ne l'avait pas respecté.
L'alcool probablement. Ou alors la faim dévorante d'un corps en appelant un autre. Et une fois repu, le feu s'éteint et il ne reste alors que de pauvres braises qui ne demandent qu'à mourir en silence. Que ce soit lui ou l'autre, il allait bien falloir que quelqu'un parte, et il n'avait pas l'intention de le faire pour le moment. Pas parce qu'il avait envie de rester avec lui, juste parce qu'il n'avait pas envie de quitter les lieux pour le moment et qu'il avait d'autres plans. Que c'était contrariant.
"Qu'est-ce que tu fais encore là ?"
Intonation glaciale, comme d'ordinaire. Pas qu'il ne fasse exprès, c'était simplement comme ça. Et il ne comptait pas se montrer amical non plus, de toute façon. La question n'avait pas vocation à engager une conversation, simplement à l'inviter à déguerpir si possible rapidement. Ne lui restait plus qu'à comprendre que sa présence n'était pas désirée. Il avait la sensation que ça n'allait pas être suffisant, et qu'il devrait ensuite se montrer plus tranchant.
Mais après tout, il était ainsi. Plus tranchant que la lame d'un rasoir mais aussi envoutant qu'une perle rouge qui glisse sur une peau pâle.
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châtiment +caleb Lun 1 Mar - 20:15
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« ce que je fais là. » la répétition titube se fait justesse dans l’aube miraculeusement, vous ne feignez pas l’ignorance puisque de vous à lui, vous deux savez très bien vous aimez jouer, alors les cartes sont de mises sur la table blanche.
son regard vous le savez si f r o i d les glaçons se lamentent sur l’épiderme, c’est la même sensation quand l’air pourfend la peau, mais pourtant à chaque fois c’est si différent de ce que vous vous souvenez connaître. vous avez glissé, marqué la peau de sillons verglacés alors vous connaissez chaque recoin plus encore que la fois précédente vous aimez bien cela ; les traces et la marque sacrée. et vous avez que le retour au soleil juste levant n’est qu’agréable que pour vous les retours moites, très peu pour lui mais habillement vous appréciez, toujours autant amoindrir ses convenances.
« toujours la même chose. » dans l’air, syllabes détonnent ; il vous a offert le froid dans sa question, qui n’en est même pas réellement une ils vous a même brutalement invité à sortir - vous ne recevez d’ordre que d’une personne alors caleb vous attendrez, que son petit jeu soit enfin terminé.
posez le dos contre le mur, évitez ainsi les faisceaux trop lumineux de la lumière solaire qui s’élève et trépasse sur votre peau et regardez de ce regard solennel celui qui avec vous partagea la nuit et qui contre son gré partagera les ébauches du matin. nahash susurrera sans doute acclamera-t’il votre malice ; n’êtes-vous pas un peu trop cruel, même avec vous-même bien que vous aillez fini d’espérer son regard sur vous, fini même de songez qu’au delà d’une nuit vous vous profilerez
ni bons amis, ni bons amants, voilà ce que la terre vous a donné la raison probablement de pourquoi le réveil est si dur et si chevrotant, à la fois. mais vous aimez, le mauvais contrôle, son mauvais contrôle et le vôtre, ne change-t’il réellement rien à votre situation.
vous savez il est une si belle distraction du soir au matin, perdue dans les flots nocturnes et la façon dont votre touché qu’il a repoussé vous a presque béni pourquoi appréciez-vous tant l’exclusion de vos mots de vos gestes sur lui ?
vous ne dites rien mais pensez très fort. le soleil déverse sur vous des faisceaux trop impurs et dans vos tripes piaffe l’inconfort alors autant faire en sorte qu’il soit partagé. vous pourriez accueillir, forcer sa désinhibition mais n’est ce donc pas ce que vous craignez, clifford et vous aimez ainsi titiller ses sens et son caractère glacial à la belle reine celle des neiges et dont le coeur semble g l a c é
alors vous confrontez chaud et froid n’est ce pas ce que vous préférez jusqu’à ce qu’à son tour ses mots givrés glacent et que votre ardeur juvénile ne fasse que contraster à son tour succession de piques ça pique dans votre sein vous comprenez mieux pourquoi ne détestez vous pas, vous aussi, que l’on perturbe trop longtemps à vos côtés et vous pouvez dire non, vous pouvez dire oui mais sa présence celle à vos côtés, n’est pas aussi déroutante. et vous pouvez dire oui, vous savez mais pourtant vous appréciez tant poursuivre l’inconnu dans les bas-fonds, alors vous aimez indéniablement resserrer les chaînes, votre emprise, car peut-il réellement vous bannir de ses nuits, de ses lamentations et finalement de ce tout et de ce rien.
Il retient un sifflement d'agacement à la répétition de sa question, comme le serpent n'use de son venin qu'à toute fin utile. Désormais, l'alcool s'était définitivement estompé et il ne restait que la clarté des sens comme des rayons lumineux qui filtraient à travers la pièce. La présence humaine devenait elle aussi plus nette, plus dérangeante et à la fois elle devenait presque commode. Irritante mais moins inattendue.
Après tout, il pouvait bien rester, si cela l'amusait. Lui prévoyait déjà d'autres activités pour cette journée, et demeurer en ces lieux plus que de raison n'en faisait à présent plus partie. Partir lui apparaissait comme une bonne chose, pas une fuite, plutôt une ignorance profonde des sentiments de l'être qui avait partagé sa couche.
Il répondit finalement à la question qui lui avait été posé, et Caleb retient un rictus presque amusé. Bien sûr oui. A quoi s'attendait-il, de toute façon ? Ce type de réponse qui allait bien, à quoi bon s'imaginer en recevoir une autre. Et, à ce moment, il se souvint du nom. Son nom. Clifford. Sans trop pouvoir mettre le doigt dessus, c'était le nom qu'il venait chercher lorsqu'il avait envie de plonger un moment dans les affres du plaisir, de l'alcool et de la moiteur de la nuit. Tout ceci avait quelque chose d'amusant, d'autant qu'il se laissait aller à tout ceci sans même réclamer un quelconque paiement.
Finalement, le jeune homme se leva, s'étirant un instant devant la petite fenêtre exiguë de la chambre en désordre. Il attrapa un vêtement, puis un autre, les siens, et les enfila tranquillement un à un. Pas une seule fois son regard ne se posa sur le lit, comme si l'autre déjà ne s'y trouvait plus et qu'il était seul avec lui-même pour seule compagnie. On aurait dit qu'il niait l'existence de Clifford dans l'espace, voire même qu'il se comportait comme si celui-ci n'avait jamais été là. D'ailleurs, il ne toucha à aucune de ses affaires et ne proposa absolument pas de les lui ramasser ou les lui apporter. Il pouvait bien se déplacer lui-même.
A croire qu'il avait envie de souffrir et de rester dans cette posture pour le moins fort désagréable. Mais ce n'était pas le cas de Caleb, et le jeune homme savait pertinemment que si la personne ne désirait pas le laisser profiter de sa tranquillité, il n'avait qu'à l'obtenir lui-même. A se demander pourquoi il se retrouver toujours dans ce genre de situation avec Clifford finalement. Après tout chaque matin avait ce goût affligeant sur les lèvres.
"Evidemment, toujours la même chose ... Dans ce cas je ne vais pas m'attarder dans les parages ..."
Il prit un air nonchalant cette fois, tandis qu'il rassemblait le reste de ses affaires. A croire qu'ils avaient fait un jeu pour savoir qui les lancerait le plus loin ... Tout ceci frisait le pathétique.
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châtiment +caleb Sam 10 Avr - 21:11
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vous avez le sourire gras sur les lèvres, mais va pourtant savoir ce que ces dernières ont envie de chanter, alors que l’homme de froid, l’homme de glace se lève trace sa route déjà bien loin devant. a déjà sans doute, oublié la chaleur (moiteur) de la nuit, a déjà sans doute oublié son existence, ou fait-il exprès de vous nier de la sorte ? qu’une de ses réponses soit juste vous importe peu, de toute façon, elle ne fait que vous irriter un peu plus et ce n’est pas pour vous plaire.
vous, sourcils froncés vous relevez, il y a les os qui craquent, dans un bruit rauque, pour accompagner vos mouvements, votre déplacement ni lent ni rapide vers vos propres vêtements
« je vois que le savoir vivre ne fait toujours pas partie de tes priorités. » ni des vôtres cependant, vous ne pouvez pas vous vanter, de le traiter avec un comportement irréprochable, vous vous savez sale vous n’êtes pas là pour être un b o n samaritain, ni une bonne personne vous préférez esquinter, vous préférez perturber et vous le faites si bien que vous venez même perturber son cheminement vers la sortie
« allez, sois sage. ne me laisse pas aller à l’ennui. » si seulement de là pouvait-il percevoir ce sourire qui naît sur vos lèvres quand vous prononcez cette requête bancale, vous vous connaissez, et si vous le vouliez vous pourriez bien le forcer, le faire aller à la désinhibition, mais ça ne serait pas amusant, n’est ce pas ? « à moins que tu préfères poursuivre ce quotidien lassant que tu mènes. » pourtant vous êtes ainsi ; il est comme ça. vous ne pouvez vous empêcher de prendre ce ton brutal, cette sonorité cuisante dans vos mots comme si vous cherchiez cherchez quelque chose - sa colère peut-être ?
ou simplement son attention, peut-être vous êtes vous senti offusqué par ce regard qu’il ne vous donne que durant la nuit, quand le ciel est de noir vêtu peut-être ce simple statut vous déplaît-il ? est-ce pour cette raison qu’en cherchant vos vêtements, vous en avez délibérément jeté un sur lui, brusquant sa vue ?
vous ne savez pas ce que vous cherchez, il n’en sait probablement pas plus mais simplement agir de la sorte vous plaît autant que cela vous trouble.