CARACTÈRE

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positive ; souriante ; colère tempérée ; hyperactive ; good sleeping schedule ; extravagante ; random ; entière ; un tantinet égoïste ; rancunière ; dangereuse ; névrosée (phobique) ; joueuse ; bonne vivante ; sans filtre ; sympathique au premier regard ; tornade ; hop hop

On dit que les personnes au sourire le plus lumineux sont celles qui sont les plus blessées. Et si c’était vrai ? Ce serait une part d’explication, une justification de cet air constamment joyeux. On a peur pour ses zygomatiques, peur qu’elle soit coincée dans ce sourire esquissé, incapable de revenir à la normale. Souvent sincère, souvent causé par un passe-temps malsain. Souffrez, pleurez, faites-la rire.

Un trop plein d’énergie. Elle bondit, parle haut et fort pour combler son manque de centimètres. Jamais essoufflée, inarrêtable, difficile à suivre, s’éteint pourtant une fois finalement posée. Sleeping time ? Entre 8 et 10h, c’est le temps qu’il faut pour recharger ses batteries. Réveillée en plein milieu ou en manque de sommeil, c’est un zombie qui s'élèvera. Méconnaissable, muette, inerte. Drôle de tableau. Peu agréable à observer. A tendance à plus activer son pouvoir dangereusement dans cet état.

Colérique ? Elle l’a été, un soir. Quand les coups sont tombés en averse, plus vindicatifs que d’habitude ; que ses mains frêles étaient recouvertes de nouvelles coupures, parfois au-dessus de celles à peine cicatrisées (ce qui a provoqué une profond traumatisme concernant ses mimines, ne les montre nues à personne, fait tout pour qu’on évite de les toucher et peut se montrer très hostile si non respect de cette unique limite). En dehors de ça c'est rare qu'elle ressente le besoin de s'énerver.

Ne connaît pas la parcimonie, c’est explosif avec elle. Peu importe les émotions. N’aime pas ressentir quelque chose de négatif, ça lui fait perdre ses moyens, elle câble, casse tout. Ne différencie pas forcément le bien du mal, du moment que ça l’amuse c’est forcément positif. C’est lorsque le jeu n’est pas présent qu’il faut s’inquiéter pour sa vie. Vivre pour soi, vivre pour ses idéaux, vivre pour vivre tout simplement.

Paradoxalement, elle a besoin d’amour. Sans jamais l’avouer. C’est certainement une mauvaise idée de lui en donner, elle ne saurait pas quoi en faire et risque de l’utiliser à mauvais escient. Parfois, il est mieux de ne pas recevoir ce que l’on n’a jamais obtenu et c’est le cas pour notre terreur.

Grosso modo, girl just wanna have fun, peu importe la nature de celui-ci, qu'il soit au détriment des autres ou pas. Yenerica peut avoir l'air inoffensive, mais elle est pleine de ressources, souvent très mauvaises.

NB : Peut avoir du mal avec les figures parentales, les adultes un peu trop autoritaires, ça lui rappelle son ancienne vie et ce n’est pas très joyeux.
 
- Née à la capitale du royaume d’Ivoire, fille unique, de son premier prénom Aria. Parents conservateurs, dépassés par le surplus d’énergie de leur enfant qui s’est manifesté dès son plus jeune âge. Encline aux bêtises, parfois petites, parfois un peu trop grosses : blâmes toujours disproportionnés.

- Trouvait toute cette ambiance familiale normale, c’était le vilain petit canard après tout. Toute cette toxicité ne l’empêchait pas d’être une petite fille extravertie avec une poignée d’amis - qu’elle finira par renier, rejeter en même temps que ses parents, son royaume et son propre prénom, se fait par la suite appeler Yenerica.

- La douleur constante au fil des années finit par lui faire comprendre que le tout n’était pas normal, que derrière tous ces mots d’amour, ces mensonges quant à son prétendu bien être et la perfection du pays, il n’y avait que pourriture, laideur. Cette mascarade devait cesser. Des coups encaissés, rendus au centuple, une utilisation improbable et abusive de ce pouvoir qu’elle préférait jusque-là utiliser pour le fun - aka faire tomber des gens randomly et les regarder ne pas comprendre-.

- Got the fu*k out of there et rejoint les plus beaux, les violets, attirée par leur idéologie et la volonté de retourner Wonderland, annihiler ces royaumes inutiles et dominer le monde (plus besoin de se justifier pour faire du mal et s’amuser, elle ne demandait que de la liberté au final).