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Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
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Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
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Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) de chaire à sang Dim 11 Avr - 0:18
de chaire à sang
Sait - tout le monde, que ce sifflement qui rôde, griffe les lieux d’un souffle pestilentiel, sillonne les murs fait gronder les chaires ; n’est nullement une aubade à la joie pas même une sérénade d’accointance. Psalmodié le chant de la mort dans les couloirs fait sonner la mort, tomber les têtes. Bourreau de la reine qui habilement fait sans fard tournoyer sa machette entre ses phalanges habiles où l’odeur métallique du sang s’est imprégnée. C’est un chant de gloire qui s’offre aux traîtres, car décapiter les félons c’est une courbe facétieuse qui ne se décroche des lèvres du Valet - un plaisir de pourfendre cruellement la chaire pour la faire nourrir les terres du royaume, et sa majesté n’en sera que plus heureuse.
Arrive devant les portes de l’enfer où pourrait déjà se pendre l’ignare si seulement avait-il idée de la célérité avec laquelle bientôt son rouge filandreux nappera le sol ; pour l’instant ne peut-il qu’apprécier le chuintement qui sillonne les allées jusqu’à atteindre le creux de son oreille. Dans ses tympans, laisse pénétrer le chant d’horreur. Métronome de la mort ; tambourinement du coeur, distingue tout de sa position, le Valet. Distingue aussi ceux qui de loin de près observent. Et c’est un sourire de malemort qui court ses zygomatiques - alors que la voûte de son index glisse sur le métal froid.
Et quand, Valet perd son doigt sur la chaire blanche d’éclat qui répugne, c’est déjà une fine entaille qui se dresse sur la fine couche de peau - voir couler le sang est jubilatoire ; le sera pour eux aussi.
Alors en regard vers ces soldats de rouge vêtu le Valet réprouve, — Voilà la parade que nous offrons aux traîtres. Mélopée trop souvent offerte à ceux dont la tête est déjà baissée - mais qui ne cesse d’être une hymne déchirante au massacre dans les veines. Il n’y a évidemment, aucun retour en arrière concevable.
Alors, pour Juliette faire tomber les têtes, pour Juliette teindre les dalles de rouge, Couvrir d’un voile sépulcral tous ceux qui se dresseront contre la doctrine et les convictions qui règnent en ce Royaume, C’est pour cela que nous existons ; pour cela que nous déchirons.
@ judy & @ knave
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(end) de chaire à sang Dim 11 Avr - 1:29
Judy & Knave
de chaire à sang
Une exécution publique d'un prisonnier... Tu as presque hâte Judy, impressionnée de voir une cérémonie officielle se dérouler aussi promptement, excitée à l'idée de voir le bras armé de la justice opérer sa mélodie sanglante. Tes yeux sont ronds et tes jambes ne tremblent pas. Knave est beau, fort et surtout il t'apprécie alors tu as confiance. Tu te sens proche de lui, tu te dis que toi aussi tu pourrais un jour devenir comme lui.
Aussi puissante, mais pas immortelle. La démence presque éternelle.
Le Temps n'a plus d'emprise sur la scène, tu ouvres grand la bouche quand le doigt tranche la peau. Les soldats sont en réaction et tu t'approches pour mieux voir. Tu te permets d'interrompre la scène pour la pénétrer. Tu te permets bien des familiarités avec celui que tu aimerais tant considérer comme ton ami. Parce que lui aussi, il est jeune mais lui n'a rien à prouver.
— « Knave, tu es si courageux. Tu as raison de le faire souffrir, ce sale traitre. »
Tu regardes les autres soldats, lèves grand les bras pour condamner ceux qui jugeraient silencieusement de ce spectacle qu'ils leur offrent.
— « Tout ça c'est normal ! C'est un traitre je vous rappelle ! Vous devriez applaudir cette punition divine. »
Oui, les méchants méritent de mourir. Les gentils doivent s'en assurer.
— « Si je pouvais je n'hésiterai pas un seul instant. »
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Ashe La Hire
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(end) de chaire à sang Dim 11 Avr - 11:49
de chaire à sang
A les yeux qui divaguent sur la justice de rouge qui ne fait qu’observer - dans ses mots qui résonnent, Valet espère bien que résonnera le sentence divine accordée aux traîtres, accordée à ceux qui se sont eux-même façonné une route vers la fossoyeuse. Sans aucune pitié délivrée à ceux dont l’esprit n’est plus conforme à ce qu’impose le royaume ; c’est ici que leurs chemins s’arrêtent. Et c’est ici que de nouvelles commencent. Du regard qui s’attarde sur l’épave que demeurait le prisonnier, les orbes du Valet se posent, précautionneusement sur chacun des soldats ; singulièrement leur offre ce regard draconien. Tous se doivent d’admirer le spectacle du début jusqu’à la fin, jusqu’à ce que la tête roule et que le sang peigne le sol d’un drap rubescent. Mais pour l’instant, c’est cet voix frivole pourtant bien persuadée et invétérée qui rompt le silence. Et de son regard sombre Valet admire la soldate ; l’enfant endoctrinée qu’il prend toujours plaisir à considérer. Car les enfants sont les plus simples à circonvenir - car la bleusaille a déjà cet habit de Crims qui sied si bien ce visage plein de volonté.
Alors le Valet congratule, — Très juste Judy. Alors que hachette fait milles tours sur elle-même, effleure même parfois le pharynx dissimulé de l’ignare. Que la chaire des traîtres nourrisse nos terres. La chaire des meurtriers, des assassins - de ceux qui ne se prêtent pas à ce que l’on attendait d’eux.
Dans cette sphère de mort ; Judy a pénétré sans couardise. De cette apparence frêle que certain désigne le Valet se gâte de ses mots ; de ses paroles dont il a façonné le sens avec le temps. Ce sont ces grands yeux qu’il apprécie qu’il admire, de cet esprit voué à Juliette qui s’élève, et Valet sait que dans ce corps les muscles fermes ont la dévotion pour nom. Sans cruauté bourrer le crâne par des massacres, par du sang - par de la chaire découpée. Sait Valet que toute cette cruauté n’est pas un simple désir de rapacité. Mais bien de justice.
Alors le Valet s’avance, — Si tu le pouvais dis-tu ? Pose plus fermement son regard sur elle, détaille la lueur - le possède - celles de ses yeux qui scintillent d’une rage apprivoisée. Si elle le pouvait, mais elle le peut, elle le doit. Bien sûr que vous le pouvez, vous le devez. C’est un vous général mais un tu du regard que lui dresse le Valet de rouge ; il a le regard éternel sur sa personne. C’est une invitation à faire ses preuves qu’il entend, Allons donc petit prodige ; si tu le pouvais Présente ainsi ta foi en ce rouge que tu abordes, Montre-nous à quel point nous n’avons aucune pitié pour cette chaire perfide des renégats.
@ judy & @ knave
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(end) de chaire à sang Dim 11 Avr - 12:04
Judy & Knave
de chaire à sang
Très juste Judy. Tu bombes le torse, poitrail de fer par l'armure que tu portes fièrement. Tu aimes particulièrement parler devant tout le monde, qu'on écoute ta vérité. Qu'elle soit applaudit par le valet lui même et une fierté dont tu te gorges jusqu'à déborder. Le criminel geint, lui, faussement opprimé par ce qu'il croit comme une violence gratuite. La sentence n'est jamais gratuite.
— « Bien dit, Valet. Vous êtes si sage. »
Tu le vouvoies en publique, par respect pour ses paires. Il n'est ton ami que dans l'intimité, et même si tu voudrais t'en targuer à la cour entière, tu tais cet élan impulsif et immature pour te concentrer sur ta tâche.
Tes yeux s'écartent lentement à la proposition. Tu restes bouche bée qu'on t'accorde tel honneur à toi qui n'est rien de plus qu'une soldate de division, une enfant insignifiante -NON. Tu es plus que ça Judy. Tu seras son fidèle serviteur, si tu peux l'accompagner et le soulager dans une quête que tu peux porter.
— « Moi...? Vous me confiez cette tâche à moi ? »
Tu sembles réfléchir l'espace d'une seconde avant de t'élancer vers l'étalage des armes. Tu te saisis d'une faux, idéale pour couper des têtes proprement. Tu reviens à côté du valet qui t'a cédé la place, mais avant cela pose un genoux à terre devant lui.
— « J'accomplirai mon devoir avec fierté. Vous pouvez vous en assurer. »
Tu te mets en position, et avant de lever l'arme pour prendre l'élan, tu questionnes avec froideur et dédain. Déshumanisée.
— « Des dernières volontés ? »
Tu jubiles Judy, prête à exploser comme une boule de stress. Les yeux se ferment et les lèvres se pincent dans un souffle glacé. Sang froid. Et la fièvre monte, les bras s'élèvent, la lame fend l'air et la tête roule avec douceur sur le pavé.
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Ashe La Hire
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(end) de chaire à sang Dim 11 Avr - 14:50
de chaire à sang
La soldate dit sage - Valet sait qu’offrir une bénédiction de telle mort aux malfrats est être sage, pour cela que chacune de ses actions se prête à l’ordre, s’aligne aux désirs de la reine. La justice est ainsi ; et s’il faut la marquer d’érubescence, alors avec plaisir le sang continuera de couler. Et s’il faut estimer la bleusaille, s’il faut la chérir, la rendre brutale - s’il faut ta ternir de ses belles couleurs pour la rendre plus cruelle que son maître, c’est avec une volonté de rouge que se portera le Valet.
Alors le Valet prononce, — La sentence n’est pas gratuite, toute action à ses conséquences. Comme réponse aux jérémiades du traître, à cet épave dont la tête il le sait, finira par rouler par terre. Car il sait, derrière sa proposition ; elle ne refusera sûrement pas d’accomplir une telle oeuvre. Sur ses épaules, aime porter, aborder ce rôle que le Valet lui demande d’absorber. Car n’est pas qu’une simple soldate Judy à ses yeux - bien plus encore. Valet dira prodige, Valet dira grandiose. À ses faits à ses gestes, il ne la blâmera pas. Cependant il lui demandera toujours plus - c’est ainsi que se forgent les soldats, rien n’est jamais suffisant. Pousser sa dévotion à l’extrême, elle se doit de vouer son corps, son âme au royaume. À Juliette. N’est ce pas déjà le cas ; Valet le songe pourtant, il ne le remettra jamais en cause ; son culte est indubitable. C’est à cela qu’il la perçoit un genoux à terre, aujourd’hui Valet de coeur, ce n’est pas cette autorité cruelle qu’il aborde et qui étire ses zygomatiques contractées ; c’est bien cette hardiesse qu’elle porte qui cause cette prétention qui gonfle le torse du Valet. Le regard poser dévore son visage et lit ses songes, puis glisse sur l’épave au sol dont la vision de mort s’accroît. Ne doute pas un seul instant, soldat de rouge, que sa prodige est faite pour cela est prête. C’est un pas de géant pour elle, un pas qui sommeille en elle. Par la cruauté, lui apprendre les valeurs de ce pays de rouge.
Alors le Valet s’accorde, — Je n’en ai pas le moindre doute. C’est un sourire latent qui fleurit sur son visage. Ses pas qui glissent avec ferveur sur le sol pour laisser la lumière chanter sur la peau de l’enfant ; savoir, Valet, par sa position cette outrecuidance envers ses faits et geste. Détaille chacun de ses gestes. Apprécier la vision de l’enfant soldate - enfant transformée, déshumanisée. C’est à cet âge que la guerre forme les monstres, que la cruauté sied les soldats ; leur volonté écorchera les assassins. Les scélérats n’en ont. En écho à ce questionnement froid ; cette dernière volonté questionnée. Ne doute pas plus à travers son regard, que cette faux levée va aussitôt s’abattre.
Et le temps s’arrête graduellement dans l’air, il y a ces yeux qui nerveusement se ferment et le spectacle qui se faufile sous les yeux des spectateurs, et au sommet de ce règne ; Valet se tient droit et admire cette tête qui roule dans un relâchement de la pression, relâchement des bras et découpe parfaite. La tête roule comme une pomme tombée d’un arbre ; pourrait même la cueillir du regard. Pourtant l’enfant aux yeux fermés devrait prendre plaisir à constater son oeuvre. Les paumes de ses mains se joignent pour féliciter le tableau que peint Judy - c’est un festival de rouge qui s’abat sur le sol et même sur sa carrure.
Alors le Valet louange, — Quelle découpe parfaite ma petite rose - ouvre donc les yeux, contemple. Dans la cavatine de sa voix pourtant, les notes chutent bien vites. C’est l’ordre qu’il offre à l’enfant - l’ordre d’admirer, contempler la scène, la tête, le corps las tombé. Dépourvu de vie et d’existence. Ce n’est plus que de la chair, alors oui, elle doit admirer ce spectacle elle a semer la mort, la sèmera encore. Contemple donc ce qui arrive à ceux qui offensent les valeurs de notre royaume. Ils périront tous. C’est une question doublée d’un ordre, c’est les phalanges de sang dans les cheveux de la soldate. C’est un compliment délicat pour sa dévotion et une marque d’appartenance du royaume. Rhapsodie que tu as créé, Judy ; Contemple ton oeuvre toi qui t’es fais quelques instants Valet de coeur, Première exécution - prodige de notre royaume, coupe les ainsi tous, C’est là que ta valeur se déploie, enfant que la guerre pervertie.
@ judy & @ knave
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(end) de chaire à sang Sam 17 Avr - 19:58
Judy & Knave
de chaire à sang
Tu sens la chair qui se rompt sous la lame, sous la pression de la faux poussée par ton élan. Ça n'a duré qu'une seconde, parce que le mouvement devait être rapide pour être efficace mais tu t'es senti transcendée par le jugement du divin, comme si tes mains elles mêmes avaient été insufflée par un courroux étranger à ton propre corps. Une force irrationnelle.
Contemple qu'il dit (ordonne sûrement) mais tu l'entends comme un partage complice entre deux amis. Tu t'émerveilles de la beauté fugace de cette horreur, parce que c'est toi, parce que c'est ton combat, parce que c'est ton oeuvre ! Tu n'arrives pas à être dégoutée de ce sang, de la vue de ce tronc désormais mort et à l'abandon. Non pas que tu manques d'empathie douce Judy mais elle est biaisée par le besoin irascible de reconnaissance.
— « Je... ? WOOOOW!!!! La découpe, la tranche ! J'ai REUSSI J'AI REUSSI !!! Youhouuuu !! »
Tu sautilles, trépignes les bras en l'air. Tu n'as pas tué un homme aujourd'hui, tu as puni un traitre. Il n'avait plus rien d'humain alors c'est moins grave non ? Et puis si le Valet de Coeur lui même reconnait ta valeur, alors c'est normal non ?
Tu contemples, tu examines. Tu n'as pas besoin qu'il t'ordonne de faire semblant pour être vraiment émerveillée. Tu t'adresses aux soldats en retrait, te proclames toute seule comme porte parole de la vérité.
— « Regardez mes amis ! Si MOI je peux le faire, alors tous le monde peut le faire ! »
Les poings se serrent, le sourire est crispé de détermination. Tu te tournes vers Knave, les cuisses fléchies.
— « Aaaaah ! JE DEBARASSERAI LE MONDE DE LA VERMINE ! J'ADORE ! »
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(end) de chaire à sang Dim 16 Mai - 11:17
de chaire à sang
Le pouvoir de vie ; le pouvoir de mort Il est incommensurable ce pouvoir entre ses mains, Valet. certains diront juste - ils se doivent de le dire. Le jugement divin entre ses doigts, roule comme cette tête sans vie détachée de ce tronc mort. Et sourit grand Valet quand dans son observation il perçoit cette terreur qu’il discerne bien dans les yeux de ceux que Judy dit - tout le monde. Ça sonne victoire que de corrompre un esprit si inexpérimenté qui plonge dans le vie et tâche sa chronologie de rouge ardent. Et de son regard méprisant pourrait en rire milles fois s’il le fallait ; c’est pourtant garder un peu de sang froid quand pourtant cette sensation de manipulation fait frémir de son échine jusque l’entièreté de son corps.
Car deux jeunes corps sont deux esprits pervertis par le sang ; c’est ainsi que ses pensées se tourmentent et que, Valet au regard macabre, se tourne vers celle qui éprouve tant de joie à exterminer. Il désire qu’elle le fasse encore - encore jusqu’à ce que tous finissent par se plier à l’ordre que le rouge impose. Où sur leurs têtes contre leurs palais se serait un tout autre rouge qui implosera. On se veut sanglant pour notre reine, on se veut fidèle pour celle qui nous donne la raison d’exister parcourant le sang.
Alors, le Valet prône, — Il n’y a aucune honte à punir les malfrats. Son regard se veut téméraire ; il est noir pourtant de cruauté. Il n’y a plus d’humanité - il offre sur plateau d’argent la déshumanisation à ses soldats. Faites comme Judy et aidez-nous, votre Royaume que vous servez. Admirer son regard empli de détermination et poser affectueusement presque la main sur son crâne pour ébouriffer cette chevelure qui devant lui s’agite.
Prodige il n’hésitera pas à le dire ; Valet sait comment les enfants fonctionnent comment elle, aussi fonctionne. En désir de reconnaissance il lui offrira bien des éloges tant que son esprit se veut voué. J’ai de grands espoirs en toi, tu ne me déçois jamais. Et c’est ce sourire informe qui se dessine alors que Valet de cette cruauté qu’il offre, pourrait assurément lui demander de couper, trancher, encore et encore. Il le sait - jamais elle ne refusera, l’âme pleine de noirceur ensuquée par les décombres d’une douceur passée.
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