Anecdotes de surface ;
— Ne respire que pour se battre pour ses idéologies, ne vit que pour devenir quelqu’un dont elle pourrait être fière.
— A les yeux vairons, un vert et un marron.
— Familière avec le combat à l’épée et le corps à corps. Elle est petite mais peut soulever un homme adulte et le plaquer au sol (avec les bons gestes).
— Ne semble avoir peur de rien ni de personne.
— Mais en réalité, malgré sa grande bouche, est facilement impressionnable face à des personnes puissantes.
— Son modèle est la Reine Rouge. Elle s’appelle Judy en honneur à Juliette afin que cela commence de la même manière. Elle admire particulièrement les femmes fortes.
— N’a pas sa langue dans sa poche et estime que ce n’est pas de sa faute si vous êtes blessé, vous n’avez qu’à pas être aussi fragile.
— Elle ne comprend pas qu’on ne pense pas comme elle et s’imagine fermement détenir la vérité.
— Elle méprise tous ceux qui défient l’ordre en place, les traîtres, les rebelles et ceux qui ne se rangent pas derrière l’autorité.
— Elle parle comme un charretier pour imiter les grandes personnes.
— D’un naturel fédérateur, elle arrive facilement à rassembler les autres autour d’elle.
— Se moque et rabaisse parfois les autres pour se mettre en avant.
Anti-Alices, pro réincarnations et natifs. Elle n’a rien contre les entités, qui se sont parfaitement adaptées à Wonderland.
— Parle fort, s’impose beaucoup sans s’en rendre compte. Ne pas hésiter à lui dire.

Anecdotes personnelles ;
— Impulsive et nerveuse, Judy a une grande maîtrise d’elle quand il s’agit de gérer ses émotions, mais a du mal à se contrôler pour ne pas dire tout ce qu’elle pense à voix haute.
— Judy se pense foncièrement juste. Elle ne veut pas commettre de fautes ou d’impairs.
— Elle veut prouver que c’est une gentille fille et une bonne citoyenne.
— Sa passion secrète c’est les animaux. Elle rêverait d’avoir un chien ou un animal de compagnie dont elle pourrait s’occuper.
— Elle complexe de son âge, voudrait grandir plus vite et essaie de se détacher de tout ce qui pourrait l’associer à l’enfance.
— Elle n’est pas à l’aise avec son corps et son identité. Elle n’est pas très féminine et est souvent moquée par les garçons dans l’armée.
— Elle s’essaie aux robes mais sa démarche reste bourrine.
— Pas très instruite, assez féroce.
— Doute parfois de ses idéologies, a l’impression d’être ballotée entre plusieurs morales.
— Ne sait plus réellement discerner ce qui est juste ou mal, mais refoule des possibles remises en question pour le moment.
— Aime profondément, autant qu’elle pense haïr.