de par les interdits que l’on nous impose.
de par les limites que l’on met en place.
pour notre bien.
pour notre propre envis de mettre des limites,
alors que les deux options pouvaient très bien être la réalité,
c’est pourtant sans avoir envie d’en prendre compte que,
ce soir là,
tu t’étais éclipsé.
de ta peau,
de tes traits,
de ta grandeur,
tu avais tout changé alors que l’homme auquel tu avais pris l’apparence s’était endormi dans l’une des chambres que vous aviez occupez.
lui ayant très certainement offert trop de drogue avant et pendant vos échanges,
voilà qu’il était maintenant bien parti.
fermant la porte derrière fois,
l’ayant laissé nu comme un verre en ayant prit ses vêtements,
c’est en jouant de ta ruse que tu réussi ainsi à filer en douce car ce soir, tu avais envie d’aller faire des découvertes.
de par les paroles que l’on t’avait ainsi dis,
des chuchotements que l’on t’avait offert quelques fois,
tu appris l'existence d’un autre endroit où recoins plus sensuelle.
et ce fut sans attendre que tu fis ainsi le chemin jusqu’au tréfond de la ville de la nuit.
ambiance distinctive,
bruits de tes pas alors que tu avais repris ton apparence tout comme tes vêtements,
c'est la nostalgie qui fait maintenant battre ton coeur et pas ses coups de reins.
souvenir pas trop loin dans ton esprit,
si tu avais longtemps traîné dans le royaume de Dreamland,
c’est pourtant avec surprise que tu découvres maintenant la dite place alors que tu te demande si tu l’avais aperçu avant.
et c’est sans plus attendre que tu passes ainsi la porte avant que ton regard ne se promène sur les lieux.
absorbant l’ambiance dans ton être,
tu scrute le tout jusqu’à ce que tu tombes sur la pièce de résistance.
lui.
qui t’observe de sa place et auquel tu offres un grand sourire pour ensuite ouvrir la bouche.
— dite, est-ce que vous faites partit du menu de l'endroit ?