Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa
Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
Inventaire : -
Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
dispo rp : Messages : 196Points de Bonheur : 528Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa Âge d'apparence : la trentaineSigne Astro : la fauxRôle : valet de coeurMétier : exécuteur de la reineInventaire : -Pouvoir : hachoir vivantEn couple avec : ta têteAutre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) need a place to stay Ven 20 Aoû - 18:02
need a place to stay
Être corrompu, être damné - être déchu d’un titre qui ne le sied plus ; ou peut-être est-ce bien le seul à pouvoir le seoir ? Ils ont empli la mémoire de parasites, les songes consumées rouges devenues noires, ternies comme le sang qui s’est imprégné dans la chair. Déposé le goût métallique du cruor contre ses tempes contre son palais, et les têtes tournoient, dansent dans un monde insensé incontrôlable désormais.
"C'est si lassant d'être le bourreau d'une folle à lier ?" "La seule raison pour laquelle je te laisse en vie, c’est pour admirer ta pitoyable existence." "Je ne suis. Pas. Comme toi." "Qui es-tu ?"
"Tu n’es pas une machine à tuer, tu es mon fils, que j’aime de tout mon cœur."
Le Valet n’est pas pitoyable, il ne le sera sans doute jamais. Mais son existence elle l’est peut-être bien plus. Aussi risible que cette colère qui fait frémir son échine, des cratères sanglants sur la croûte volcanique et son oeillade qui s’éprend des cadres sur les murs, anodins. Tout est si banal. Ici, les gens - lui.
— On oublie si vite les choses anodines. Les orbes qui divaguent aux sons extérieurs. On oublie si vite Valet - que nous sommes le Royaume d’un peuple, ici - Bourreau des Hommes sans l’avoir choisi. Aux pas, tous près de la porte se demander qui bien pourrait vouloir s’approcher du Valet, il n’est que lames et mépris. Il n’est qu’haine et massacre et l’odeur de sang est béante.
Tête adroitement tournée alors qu’il se demande, dans sa colère pensive ; comment vivrait-il autrement. Et les mots de sa Reine résonnent, empiètent toutes les mauvaises songes. Car autre-part Valet, il n’y a personne qui ne l’attend.
@ knave & @ doll
dispo rp :
Messages : 67
Points de Bonheur : 206
Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥
Âge d'apparence : 26 ans
Signe Astro : -
Rôle : la poupée vaudou
Métier : maître du labyrinthe
Inventaire : -
Pouvoir : réception & émission
En couple avec : vos douleurs
Autre(s) compte(s) : colombe whiteknight
dispo rp : Messages : 67Points de Bonheur : 206Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥Âge d'apparence : 26 ansSigne Astro : -Rôle : la poupée vaudouMétier : maître du labyrintheInventaire : -Pouvoir : réception & émissionEn couple avec : vos douleursAutre(s) compte(s) : colombe whiteknight
Doll S. Vaudou
Brave Hearts
(end) need a place to stay Sam 21 Aoû - 13:52
place to stay
sanité - 15%
il n’est pas anodin, le valet de coeur, bourreau aussi (des coeurs) on ne peut oublier son pas dévastateur ses sifflements rudes dans tout le royaume les empreintes sanglantes de ses pas des marques qu’il laisse sur les plus faibles on ne peut oublier sa colère acharnée quand il ne se considère pas assez comme humain avant arme.
tout est clair, pour toi rien n’est clair, pour lui est-ce seulement surprenant ? des années qu’il découpe et tranche, des siècles, des cycles sans ressentir le sang qui se répand. peux-tu réellement lui en vouloir, d’être né sans peine dans le sang mais avec tant de cruauté dans le coeur ? as-tu même un coeur, knave ? un coeur battant pour aimer peut-être prendre pitié, ou simplement exister en délaissant parfois les autres.
tu n’es pas en colère, tu n’es pas acharné comme lui pourrait l’être (tu lui as dis, vous n’êtes pas pareil) simplement triste (dévasté peut-être) (brisé, en partie) comme tous ceux passés avant toi ou après toi. tu as goûté les maux les peines douloureuses d’une existence dévastée perceval, perceval ne méritait pas ça, personne ne le méritait.
pourquoi t’acharnes-tu, knave ? n’en as-tu pas marre, de tout ce sang toi aussi ? est-ce qu’un jour, ça sera autre chose que du rouge.
il se passe tant d’immondices, que jamais tu, curieux.se ne t’aventure dans les couloirs longs et douloureux (ils semblent sans fins) ou alors très peu, mais pour voir le valet, c’est presque aussi surprenant que perturbant, de marcher pas à pas dans les couloirs. les pas dans les cadres des dalles. les pieds dans un blanc, l’autre dans un noir.
sans jamais dépasser les fractions de secondes le temps fait un, puis deux tes pas font un, puis deux les doigts qui se tordent comme si c’était à toi, qu’on avait infligé ça. comme si c’était toi, qu’il avait déconstruit ainsi. chevelure presque blanche dans l’encadrement de la porte entrouverte et tu le trouves ici, comme si de rien n’était.
comme s’il n’avait jamais blessé personne, ou comme si c’était normal. poussée la porte entre tes mains, tu te tiens là, offusqué.e de prime, terrifié.e ensuite. parce que c’est comme s’il pouvait te briser entre ses lames, comme il l’a déjà fait.
pourtant aujourd’hui, tu te veux fort.e peut-être apprendra-t’il - peut-être est-il déjà perdu. entre sans un mot et ferme brusquement la porte derrière, la poigne tremblante quand brusquement tourné.e vers lui, le regard tremblant presqu’autant « pourquoi tu ne les tues pas. » c’est vrai. c’est blessant, alors pourquoi.
« regarde. ce que tu as fais. » il s’en moquera bien, de toute façon. doll blessé.e ou perceval lacéré, rien ne change, rien n’a de valeur aux yeux d’un bourreau. « tout. ce qui arrive dans ce monde. » dur les mots. ferme la conscience, les pupilles tremblantes. « est. de. ta. faute. » tout sera si bien, si tu n’étais pas là si tu n’avais jamais été là.
Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa
Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
Inventaire : -
Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
dispo rp : Messages : 196Points de Bonheur : 528Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa Âge d'apparence : la trentaineSigne Astro : la fauxRôle : valet de coeurMétier : exécuteur de la reineInventaire : -Pouvoir : hachoir vivantEn couple avec : ta têteAutre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) need a place to stay Dim 22 Aoû - 0:17
need a place to stay
Comment vivrait-il ; il ne sait pas réellement. La question meurt aussitôt qu’elle naît mais elle flambe presqu’autant que les tourments qui l’assaillent. Il n’a de raisons après tout, de se poser éternellement ces questions dénuées de sens, il sait pourquoi il est là, allégeance dans le sang qu’il porte comme une couronne, et sur un trône sanglant brandit les têtes. Cette image d’horreur pour certains, de grandeur pour d’autres ; elle rend tout si confus. Peut-être, que s’il n’avait pas découpé sa silhouette entre ses orbes il ne l’aurait pas perçu aussi clairement aujourd’hui, et pourtant ; la bête enragée se tient ici, mais plus aussi docilement qu’il ne l’aimerait.
Doll obtient les deux lettres de douleur. Si ce n’est trois ; Doll n’est qu’une poupée de chiffon qui absorbe les douleurs et éponger les maux. Alors, la poupée se dégrade mais la poupée est intraitable. Autrefois, il se serait joué de son état - aurait tenté peut-être de lea forcer à tout rejeter sur un malfrat. Aujourd’hui, sa douleur aux couleurs ternes lui rappelle terriblement quelqu’un. C’est obscur dans les songes car la mémoire s’est sondée du futile, des choses anodines. Et soudain résonnent ses mots poignards ; il n’aurait pas cru Valet que les crocs puissent si aisément se dévoiler pour le trancher sans détour, mais ils font peut-être moins mal en apparence que réellement. Si tous les malheurs du monde proviennent de lui ; il a au moins cette raison d’exister.
En silence, Valet l’accueille, se devine à admirer cette chevelure qui sans arrêt se dissipe - de noire à blanche. Elle est aussi belle qu’immonde, sa faiblesse obtenue par cette douleur, et Valet un instant se demande où peut-iel bien avoir amassé tout cela. Il y a tellement d’âmes déchues à Wonderland, Doll n’est donc indéniablement pas lea plus chanceux.se ici. — Ce que j’ai fais ? Interrogatif en sourire flambant sur le visage, curieux de savoir ce qu’il pouvait bien lui avoir infligé. Rien, indéniablement. Ne rejette pas la faute sur moi. Ce qui t’arrive est avant tout ta faute. Il est peut-être vrai, car n’a-t’il jamais rencontré de personnes aussi chaleureuses que lui ? N’est-ce-pas lui, qui s’immisce finalement dans les douleurs - ne cherche-t’il pas tout simplement à aider, d’une manière ou d’une autre ?
C’est ridicule. Aider, c’est ridicule. Rictus mal retenu en sa direction. Il aimerait dire pourtant ; tu aurais pu être comme moi Doll tu aurais pu - ma rose - être une machine à tuer. Pourtant l’esprit - le coeur (il n’y en a pourtant plus une épave même) se veut rassuré. Rassuré ou peut-être envieux, jaloux. Comme il le fut de sa liberté. La sienne.
— Tu vas crever, et ça sera de ta faute. Tu mourras, et c’est ainsi. Tu mourras, et je mourrai, mais je renaîtrai dans un halo de lumière ; N’a-t’on jamais rien vu d’aussi ridicule ?
@ knave & @ doll
dispo rp :
Messages : 67
Points de Bonheur : 206
Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥
Âge d'apparence : 26 ans
Signe Astro : -
Rôle : la poupée vaudou
Métier : maître du labyrinthe
Inventaire : -
Pouvoir : réception & émission
En couple avec : vos douleurs
Autre(s) compte(s) : colombe whiteknight
dispo rp : Messages : 67Points de Bonheur : 206Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥Âge d'apparence : 26 ansSigne Astro : -Rôle : la poupée vaudouMétier : maître du labyrintheInventaire : -Pouvoir : réception & émissionEn couple avec : vos douleursAutre(s) compte(s) : colombe whiteknight
Doll S. Vaudou
Brave Hearts
(end) need a place to stay Lun 23 Aoû - 13:59
place to stay
le valet a un coeur, quand bien-même il soit de pierre tu le sentirais presque battant quand des douleurs, même les plus anodines collent à ta peau. la sienne est indéniable et terriblement peut-être profonde, tu ne la comprends même pas c’est comme si l’idée qu’il puisse souffrir (même ressentir) t’étais impossible.
pourtant, son air nonchalant est terrible, a-t’il oublié - ou se moque-t’il bien des âmes qu’il détruit ? peut-être bien l’un de chaque. c’est presque enrageant pourtant doll, c’est comme si rien (réellement rien le néant) n’était passible de pitié à son égard ; il peut bien s’il le souhaite, se sentir seul ou triste, geindre à qui veut bien lui donner un peu de liberté.
tu trouves cela étrange, peut-être n’es-tu plus capable (à ce stade d’accumulation) de ressentir quoi que ce soit, même envers lui.
« ma faute ? non. tu n’as rien fais de mal, si ce n’est prêter ton temps aux autres (pour toi, ce fut toujours agréable) jusqu’au jour où tout s’effondre presque trop. « je n’ai jamais fais du mal. par plaisir en tout cas. » terre les mauvais esprits qui viennent, tu n’as que tué par mégarde (ce n’était qu’une fois) lui tue encore et toujours, pas même ceux qui le méritent.
« je serai heureux.se de mourir, knave. » t’autorises un sourire, peut-être légèrement lascif. « je suis fatigué.e de cumuler vos peines. » fatigué.e de vos caprices, du sang (des larmes) fatigué.e de tout ce rouge sur (nos) vêtements
de toi, usé par le temps.
« est-ce que tu es heureux de mourir, en sachant que tu vas revenir ? » l’immortalité doit-être insupportable, mais doit toujours être plus supportable que de vivre à tes côtés pour l’éternité, knave.
Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa
Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
Inventaire : -
Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
dispo rp : Messages : 196Points de Bonheur : 528Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa Âge d'apparence : la trentaineSigne Astro : la fauxRôle : valet de coeurMétier : exécuteur de la reineInventaire : -Pouvoir : hachoir vivantEn couple avec : ta têteAutre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) need a place to stay Lun 23 Aoû - 21:03
need a place to stay
Ses mots ne surprennent personne ; ni les morts ni les vivants, pas moins les mortels que les immortels. Ses insinuations flambent lentement contre son derme alors qu’il étire ses membres, l’air presque ennuyé. Mais c’est en réalité tout autre car il se terre Valet, lui et ses songes, de pouvoir peut-être un peu s’en soucier alors il se gausse, un instant minime de ce que la situation importe. Il ne se préoccupera jamais de qu’il peut blesser, cela n’a jamais eu d’importance, il n’a jamais eu à se poser la question, ni à se demander qui méritait ou non de mourir, bourreau des uns puis juge des autres, Valet l’habitude de faire sa propre loi colle à la peau. C’est pour ça alors, qu’il a laissé des entailles sabordées de rouge - où le goût du cruor a imprégné la langue. Et il l’a répété sur tous les autres, pourquoi ? Il ne sait pas, il ne sait plus, tout est rouge et flou Doll est tu es une partie (même minime) de ce puzzle infini et vaste dont il s’évertue de trouver les pièces.
— Tu devrais. Certaines personnes ne seront pas aussi clémentes avec toi.. Mais tu le sais. Fatigué Valet de répéter les mêmes paroles car dans la tête de la rose, rien n’entre et tout ressort. Il ne s’imprègne que des cicatrices des autres et reste l’être stupide qu’il a toujours été. Alors, comme par magie - comme par évidence, Valet s’est rendu compte finalement de l’éventualité des choses. Un chien fou reste un chien fou, n’est-ce-pas Bandersnatch ? Alors les insectes qui se font piétiner continuent de se faire piétiner.
Étourdies ses paroles, dont Valet ne saisit pas tout l’intensité au départ. Tu es venu ici pour pleurer ? Regard sombre en sa direction, il n’a pas le temps de les écouter, geindre, les chiots malheureux au fond des grottes. Qu’il ait envie de mourir, c’est si peu important, lui n’a pas ce droit. Et c’est épuisant, trop pour qu’il l’admette. La seule chose qui le fait vivre, c’est cette colère grondante dans sa chair, le jour où elle ne sera plus, il ne sait plus pourquoi il découpera. Alors, il appuie la cicatrice (n’est-elle même pas béante et saignante, à l’heure qu’il est) et jette des gros fragments de sel dessus. Heureux de revivre toujours, il en rit lentement. Un ris las, un rire débauche. Un débauche d’humanité pour une épave d’homme. C’est une question réthorique, où tu es simplement stupide ? Car l’évidence est flagrante, personne ne vêtira son immortalité comme une médaille, et surtout ceux qui n’ont pas d’intérêt aux choses nouvelles. Quand tout est si similaire, les têtes, les coeurs, les âmes, et ceux qui goûtent à la liberté. Liberté - il tique enfin et le regarde à nouveau, son état. Sa chevelure et ses tressaillements qui ne trompent pas. Il a tout puisé, jusqu’à se détruire brusquement - mais Valet en rit plus qu’il ne s’en inquiète. Tu fais tout ça pour te donner bonne conscience, mais tu es simplement un incapable. Et moi, je ne le suis pas. Parce que j’ai décidé de porter le sang des ignares plutôt que le mien.
@ knave & @ doll
dispo rp :
Messages : 67
Points de Bonheur : 206
Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥
Âge d'apparence : 26 ans
Signe Astro : -
Rôle : la poupée vaudou
Métier : maître du labyrinthe
Inventaire : -
Pouvoir : réception & émission
En couple avec : vos douleurs
Autre(s) compte(s) : colombe whiteknight
dispo rp : Messages : 67Points de Bonheur : 206Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥Âge d'apparence : 26 ansSigne Astro : -Rôle : la poupée vaudouMétier : maître du labyrintheInventaire : -Pouvoir : réception & émissionEn couple avec : vos douleursAutre(s) compte(s) : colombe whiteknight
Doll S. Vaudou
Brave Hearts
(end) need a place to stay Mar 24 Aoû - 0:21
place to stay
il l’a dit tant de fois, et tu ignores encore, ses mots qui résonnent. sans peur, alors que tu as fais les pas sur les dalles jusqu’à lui puis oublié ses mots, presque aussitôt le valet dans la lumière semblait si incertain même ses insultes, n’avaient aucune saveur. il était laid, sous les faisceaux.
rideaux tirés, tu l’as mieux constaté, l’a laissé cracher son venin et comme bon lui semblait, le savait-il ? qu’il avait des arômes de douleur, lui aussi ?
« lequel de nous pleure le plus. » est-ce le raisonnement des coeurs qu’il a brisé écho dans le tien, ou est-ce le sien qui crie silencieusement. sans pitié pour ce qu’il peut ressentir (peut-il seulement ressentir) et tu te glisses, plus proches de lui. autrefois, il t’a saisi par les épaules par les bras, par les poignets il a réussi à trancher et tu criais.
« quel genre d’incapable viendrais face à toi. » ce ne sont pas des excès de confiance, bien de colère et de peine cette douleur qui gonfle en toi t’exècre et te brûle lentement à petit feu.
« c’est à mon tour. aujourd’hui de parler. » pause soudaine. bienheureux.se d’avoir le droit à la parole, que tu ne lui céderas pas cette fois épuisé.e de lui plus que du reste et pourtant pourtant alors
« chaque jour. je puise les maux parce que tu créés la douleur. si je crève. un jour, ça sera ta faute avant la mienne. les gens meurent ici. et c’est de ta faute, parce que tu les tues. » expliquer n’a jamais semblé si épuisant, pourtant tu continues - déchaîné.e comme si c’était ses griffes au bout de tes doigts. « tu les tues en existant. tu as tué perceval. mais tu sais qui va bientôt mourir par ta faute ? toi. tu vas mourir. tu ne sortiras jamais de tout ça. mais tu seras toujours tout seul. » toujours tout seul, sans personne ni pour l’aider ni pour l’aimer.
il n’y aura que ta reine et peut-être quelques sujets qui tremblent de ta présence mais ici, knave, valet coupeur de têtes ce n’est pas de ta faute si c’est ainsi que toute ta vie s’est façonnée pourtant,
« parce que personne ne t’aime. »
et ça se cumule en toi, prêt à exploser sans que tu sentes, et ça fermente comme quand tu le regardes un peu trop. toutes les douleurs dans les couloirs puisés les douleurs que tu as créé, knave.
Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa
Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
Inventaire : -
Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
dispo rp : Messages : 196Points de Bonheur : 528Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa Âge d'apparence : la trentaineSigne Astro : la fauxRôle : valet de coeurMétier : exécuteur de la reineInventaire : -Pouvoir : hachoir vivantEn couple avec : ta têteAutre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) need a place to stay Mar 24 Aoû - 16:54
need a place to stay
La rose n’écoute pas ; et Valet se prête à croire qu’elle a fané. Un instant songe, au désespoir qui l’enchaînerait si au contraire elle avait fleuri. D’un sourire qui s’écaille autant qu’il s’allonge à ses mots, il se demande s’il est aussi plein de colère ou plein de peines qu’il ne l’a déjà été auparavant. Au fond, ça n’y change strictement rien, Valet ne pleurera pas, sans doute jamais, que le fond soit sale et laid ou que l’apparence soit lasse et infime.
Puis, il est resté silencieux, un instant - un long moment pour l’écouter. Il prétendait, des orbes qui mimaient son désintérêt, n’en avoir que faire des paroles mais son esprit grisé ne faisait que trop écouter ses mots. En réalité, il comprit aussitôt que sa peur n’était qu’une débauche façonnée de sa colère - peut-être comme lui, finalement. C’était presque terrifiant à constater, d’ainsi percevoir son visage autrefois si doucereux, mais ce n’était jamais suffisant, assez suffisant pour qu’il ne le craigne. Pourtant, ils continuent tous - de cracher la vérité ; leur vérité probablement. Elle est parasite dans l’estomac, mauvaise pilule qui refuse de passer. Ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’ils ont autant tort que lui-même, et -
Et, Quoi alors ; il ne sait pas. Elles sonnent trop durement les notes contre ses tympans, ils vont finir par exploser. Valet a beau se montrer clément - surtout envers lui, ne l’a-t’il pas toujours été ? - s’en est de trop. Il s’imagine museler ce bec qui ne fait que piaffer déblatérer tout trop rapidement, trop brièvement. Comme si c’était évident. Comme s’il était un livre ouvert dans lequel tout le monde lit.
Mais personne ne sait, Personne ne sait comment nous vivons - personne ne nous comprend. Sûrement pas la vulgaire poupée de chiffon qui puise puis et s’épuise. Les points fermes et contre les paumes encore. Les entailles déchirées, comme si elles ne s’étaient jamais vraiment refermées.
— Alors c’est pour Perceval que tu viens ? C’est la seule chose qu’il réussit à pleinement comprendre, pour autant qu’il ne veuille tout comprendre, tout signifier dans ses mots. Rien n’a de sens. Tu n’as donc pas pu t’empêcher de jouer les héros. Le reste se meurt aussitôt qu’il s’est pensé ; et Valet les sourcils froncés se perd dans les mots, c’est déplaisant qu’un si petit et ridicule être en soit ainsi capable. Il se fiche que personne ne l’aime. Je n’ai pas été créé pour être aimé. Alors il s’en fiche, cruellement. Peut-être que c’est faux, quand il le dit aussi crûment. Il ne sait pas vraiment, c’est flou ; tout ce qui lui importe, c’est d’être important aux yeux de Juliette, les autres peuvent bien le détester autant qu’ils le veulent.
— Je n’ai besoin de personne. Ni d’aucun amour pour vivre. Il ne le comprend pas - c’est insensé. C’est pour quoi je me fiche bien que vous finissiez tous par mourir. Ça na pas d’importance, que cela soit de sa main ou d’une autre. La main s’élève - la lame sinistre qui se dérobe sur le derme où le sang colle.
Si nous devions mettre un terme à l’histoire, alors ; — Tu as dis que tu serais heureux.se de mourir, non ? La lame contre la gorge en imaginaire.
(Je ne veux pas faire ça) Les pas vers lui et le regard suspendu, (Ce n’est qu’un amas de chair) Se taire un instant pour l’accepter - si c’est là bien son désir.
Si nous devions mettre un terme à l’histoire, alors ; Indéniablement, je serai le vilain.
@ knave & @ doll
dispo rp :
Messages : 67
Points de Bonheur : 206
Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥
Âge d'apparence : 26 ans
Signe Astro : -
Rôle : la poupée vaudou
Métier : maître du labyrinthe
Inventaire : -
Pouvoir : réception & émission
En couple avec : vos douleurs
Autre(s) compte(s) : colombe whiteknight
dispo rp : Messages : 67Points de Bonheur : 206Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥Âge d'apparence : 26 ansSigne Astro : -Rôle : la poupée vaudouMétier : maître du labyrintheInventaire : -Pouvoir : réception & émissionEn couple avec : vos douleursAutre(s) compte(s) : colombe whiteknight
Doll S. Vaudou
Brave Hearts
(end) need a place to stay Mar 24 Aoû - 22:20
place to stay
pour perceval peut-être, davantage pour les vivants avant qu’ils ne se meurent avant qu’il ne les tue tous. car un jour tu penses, viendra où lui laissera ce monde baigner dans un sang où l’odeur immonde dans la gorge demeurera à jamais. avant de penser aux périodes plus cruelles le regard sur lui déposé et tu te demandes pourquoi est-il si borné
tu ne lui as jamais rien voulu d’autre que du bien, à lui comme à les autres alors pourquoi ? pourquoi se revêt-il de cette armure cruelle, qui ne prête à croire qu’il ne ressent rien ? car tu sais que c’est faux, quand même sa propre douleur tu puises. elle est infime mais présente, cruauté ? peut-être lâcheté, que lui-même ne l’admette pas.
« ferme là. » jamais doll les mots durs mais la douceur, est méconnaissable dans ce corps qui n’est peut-être plus le tien. (réceptacle) des douleurs des esprits morts dont il ne reste plus rien des peurs des cris qui pourfendent ton esprit. réduit à rien de plus, rien de moins qu’un débris déconstruit.
« c’est toi qui pleure le plus. j’entends tes plaies. » mais lui ne l’admettra jamais, car borné, car fidèle à lui-même statuette sans vie statuette défectueuse avec seule objectif déchirer et condamner. (tu n’es pas ainsi knave, iel le sait) (ou peut-être que si)
mais il se damne et se condamne, et tu ne peux que l’admirer dans sa forme la plus cruelle - les lames qu’il dévoile. ton esprit se tord car tu sais, en puisant en lui en lisant dans son regard tu comprends un instant.
il essaie de se prouver qu’il en est capable, se confirme dans l’idée qu’il peut te tuer sans rien n’opposer. et toi pas lents vers lui, ou trop brusques (u ne distingues pas même le reste) n’a pas peur de conserver dans l’esprit l’éventualité qu’il pourra s’acharner.
« fais-le. j’attendrais. » peut-être une éternité, et si ça n’arrive jamais le forcer. doll les douleurs accumulées te font perdre raison et tu ne sais plus si te donner à la mort ou jouer avec elle et une bonne résolution.
pourtant elle est brusque soudaine et vive. rouge - elle est rouge dans ton regard la douleur qui fend ton esprit. elle est rouge et bat dans ton coeur elle ne demande qu’à sortir. anxieux.se de son désir soudain ton approche - un pas vers l’arrière, tu le distingues (une dernière fois pleinement) car tu le sais, tu ne supporteras pas une seconde de plus avec dans le sang, une goutte de ce sang corrompu.
perceval et ses cris trottent dans ton esprit et se noient brusquement en un énième
« tu m’as dis qu’on devait tuer. avant d’être tué. » alors pourquoi ne dit-il rien ? va-t’il te laisser aller lentement, à cette béante douleur ? pourquoi ne va-t’il pas absorber le tout pour que tout soit plus simple, pourquoi est-ce ceux censés vous protéger, qui vous blessent le plus.
dérangé.e par les insectes dans ton esprit, les fourmis rampent, lentement consument et t’arraches les cheveux de leur venue soudaine. (cri sourd) tu ne sais pas, pourquoi tout est si brusque était-ce la goutte de trop ? était-ce ta douleur qui venait s’ajouter à l’accumulation ? tu te revois dans la pièce celle aux horloges qui font tic tac
trop lentement, et tu rampes dans ton esprit les murs se resserrent. valet c’est de ta faute, si l’air est étouffant. valet c’est de ta faute, si l’idée de mourir est plus agréable, que celle de vivre.
mais valet tu t’es forgé en arme pour ne plus avoir à ressentir, ni la peine ni la douleur.
valet je t’offre ce poème d’adieu, émission de toute la douleur cumulée et sur ta peau de sang couverte les prémices d’une éternité lancinante dont tu es le créateur.
tombe au sol doll et tout est si vide, l’esprit le corps quand tu atterris sur terre, toi-même, mais sans quelque chose de lourd depuis si longtemps, la sensation n’avait pas empli ton coeur et tu comprends bien vite qui est le réceptacle malheureux de tout ce temps. (ne sait pas pourtant si tu peux t’en estimer heureux) car les iris rouges s’emplissent aussitôt de perles larmoyantes
Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa
Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
Inventaire : -
Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
dispo rp : Messages : 196Points de Bonheur : 528Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa Âge d'apparence : la trentaineSigne Astro : la fauxRôle : valet de coeurMétier : exécuteur de la reineInventaire : -Pouvoir : hachoir vivantEn couple avec : ta têteAutre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) need a place to stay Mer 25 Aoû - 14:30
need a place to stay
Les plaies pleurent - à milles lieues de son coeur, il existe des bandages véhéments maternels. Mais Doll il ne peut pas pleurer, car ses larmes même n’ont pas ce goût d’eau salée, il ne repêche pas même les songes de son malheur là où les pieds se noient dans les couches sablées. Valet a oublié ; a-t’il simplement une fois connu - la douleur du massacre, inné en lui. On ne lui a jamais rien appris d’autre, il n’a jamais rien vu d’autre que du rouge, on lui a tendu une main ; elle était rouge. On t’as tendu des roses Doll, on lui a tendu des lames. Quel sarcasme - on lui a donné des lames au bout des doigts. Mais il n’est plus sûr de vouloir s’évertuer à couper tout ce qui bouge. Il hachure, il dirige, coupe sans pitié, c’était comme ça qu’il se devait d’exister, après tout. Comme une arme avant le reste, l’exaltation des corps pendants avant le questionnement des corps mourants.
Il n’écoute plus, plus aucun de ses mots - parce qu’il les sent trop brusquement gronder contre lui. Amoindrir ses sens et il se réduit à ce en quoi il les a tous transformés. Abattu au vermeil du sol - insecte sur sa toile. L’araignée, ce n’est plus lui - on a arraché chacune de ses pattes et fait boire son propre venin. Il ne comprend pas, Valet - tout est trop soudain. C’est brut en lui, comme les coups qu’ils donnent. C’est brusque en lui, Comme le coup de marteau qui brisent les ossements.
Il crie - et ses cordes vocales se déchirent. Comme si Doll, un instant de regard sur sa personne suffisait à détruire cette longue existence ; il se sent mourir. Peut-être trop longtemps pour qu’il le considère vraiment comme la mort, mais il sent contre son cou, la faux se moquer de sa petitesse et de son incapacité. Nahash, perché sur son arbre, persiffle et félicite la rose - elle a réussi à planter ses épines dans sa chair et désormais, c’est le bourreau qui tombe en lambeaux. Elle pourfend sa chair et s’immisce entre ses ossements - elle cherche et ne laisse que des séquelles, elle se pose et patiente. La douleur est latente et pourtant, elle éclate. Valet titube, cherche appui, puis s’effondre dans la brutalité. C’est pire - il aurait préféré qu’on l’éviscère pour ne pas s’entrevoir dans chacun des éclats que sa rétine lui offre ; des étoiles par centaines qui volent en éclats et il plisse les yeux forts, si forts pour qu’ils disparaissent.
Prie pour ne plus jamais avoir à les ouvrir, Et pourtant quand il les ouvre la vision floue est permanente - s’est-il même rendu compte, des perles translucides perforant ses joues rubicondes ? Son esprit s’effondre presque autant que ses muscles qui crient à qui veut bien les entendre mais il n’y a que du vide. Oubliée la chaleur des bras de Juliette, oubliée la chaleur du sang criant contre son derme. C’est le sien qu’il sent, contre sa gorge, tapisser son palais de la plus immonde des façons. Des haut-le-cœur dont il se gausse bien au départ, mais qui finissent par se faire violents alors qu’il se prend de spasmes involontaires. Ça siffle dans son esprit, il entend en répétition des basses. Des marteaux qui tapent sur des caisses - des caisses qui craquent et des os qui se disjoignent. Des cris qui s’immiscent en lui et qui hurlent à sa pitié - mais comment peut-il bien avoir pitié ? Son torse qui se soulève à répétition lui rappelle les courses folles de l’opium des amants et pourtant, il en oublie aussitôt la saveur, il n’y a plus que la mort. Et c’est n’est pas lui - cette fois. Pétrifié au contact - Valet ne répond plus. Ni aux mots - s’ils existaient, ni aux attentions délicates ou moindres. Déconnecté pour un séjour aux enfers dont il est le créateur. Lucifer d’un monde aux extrémités contraintes, les flammes véhémentes se déchaînent autour de lui et il se sent brûler vivement au contact, Icare d’un désir qu’il n’a jamais assouvi.
Valet n’est plus Valet, Valet n’est plus. Car il est le Valet, en hachurant son nom en étincelles, il saisit que son nom-même n’était que la signification de son insuffisance. Il était né rouge et son sang était rouge. Il était né Valet pour n’être qu’arme, il n’était qu’arme parce qu’il s’efforçait de se penser homme. Il se trompait - et crie ; crie car elles empiètent sur tout. Elles disent Valet tu n’es qu’un monstre tu ne dépends que des autres. Valet sans Juliette tu n’es rien, Valet sans tes lames ils t’écraseraient. Elles sont divinement belles mais tu es malheureusement bien laid.
LAID LAID Tu es bien laid - lion.
Le visage prit d’un énième mouvement spasmodique et il enserre son visage entre ses lames. Enserre jusqu’au sang la douleur latente n’est rien si ce n’est physique, quand son coeur (aussi pierre soit-il) s’évertue aux maux ainsi.
FAUX FAUX Tu es si faux - lion.
Bourdonnement dans l’oreille, dans les pensées les serpents sifflent sur la mémoire, assiège les bons souvenirs comme les mauvais, se font projectionnistes d’une scène où Valet les lumières braquées sur lui demeurent. Qu’as-tu créé, Doll ? Un énième monstre - ou une terreur révolue ? Les mains crispées - lames, assiège le visage puis tiraillent les bribes qui restent, arrachent les feuillages et il ne reste que terreur car son sang - il le sent si près, si fort. Il ne sent que le sang contre lui. Et quand la rose s’approche, quand il sent ses bras autour il les rejette aussitôt, coup brusque vers lui alors qu’il se replie (un peu plus encore) sur lui-même, comme pour se réduire à néant, Comme s’il n’avait (jamais) voulu exister ; comme si c’était mieux ainsi.
Alors, enfermé dans les fleuves de notre propre sang Nous nous sommes tués - l’homme que nous étions est mort En même temps que Knave.
@ knave & @ doll
dispo rp :
Messages : 67
Points de Bonheur : 206
Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥
Âge d'apparence : 26 ans
Signe Astro : -
Rôle : la poupée vaudou
Métier : maître du labyrinthe
Inventaire : -
Pouvoir : réception & émission
En couple avec : vos douleurs
Autre(s) compte(s) : colombe whiteknight
dispo rp : Messages : 67Points de Bonheur : 206Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥Âge d'apparence : 26 ansSigne Astro : -Rôle : la poupée vaudouMétier : maître du labyrintheInventaire : -Pouvoir : réception & émissionEn couple avec : vos douleursAutre(s) compte(s) : colombe whiteknight
Doll S. Vaudou
Brave Hearts
(end) need a place to stay Mer 25 Aoû - 23:06
place to stay
qu’as-tu créé doll ? les iris déposés sur sa carcasse (il ne semble plus homme) tu observes l’immonde spectacle, créateur.ice de cette charpie. tout est trop intense, ses cris - ses pleurs aussi que tu te suspends à trouver presque étranges (autant qu’agréables)
tu ne voulais pas le blesser, tu n’aurais pas du l’effleurer tu savais que tu le blesserais alors pourquoi ? tu te rues vers lui et tente, une approche qu’il refuse et cruellement tu comprends, n’insiste pas. c’est toi qui l’a rendu ainsi (mais c’est de sa faute, pas vrai ?)
tu ne voulais pas tu ne voulais pas (tu te revois là) dans tout cet obscur leurs cris sifflent et lentement ils meurent.
« je suis désolé.e. knave je suis désolé.e. » syllabes répétées désastreuses, ton corps en miettes sur le sol à quelques ruées de lui alors tu te faufiles rampant.e sur le sol jusqu’à l’atteindre il n’est qu’une carcasse criant que personne ne veut entendre et c’est étrange, tu ne l’as jamais entendu crier auparavant. pas de douleur ni de peine, alors tout est si étrange c’est si étrange, que lui valet soit l’insecte au centre de la toile.
tu l’observes d’une oeillade perdue, ne sachant plus quoi faire de tes mains tremblantes, elles cherchent leur chemin mais ne dessinent que de loin, les contours de son visage en ruine il se coupe, la peau se fend et son sang s’écoule toute cette odeur te monde à la tête et tu étouffes presque. mais pas assez pour abandonner, car le spectacle est trop horrible pour simplement que tu le regardes
(arrête knave de te blesser ainsi) car tu te sais seul responsable de ce tableau d’horreur que tu as créé.
« je ne voulais pas. pardon. » larmes déchaînées que tu n’as même pas un instant senti couler. pardon pardon excuse-moi je suis désolé.e pardonne-moi s’il te plaît ne m’en veux pas je ne voulais pas je n’ai jamais voulu ça.
tout est de ta faute ! c’est toi, tu m’as forcé. ça aurait pu se passer autrement. tente de saisir ses poignets pour l’empêcher un peu plus de taillader l’entièreté de son visage et même sa chevelure découpée grossièrement - il y a sur le sol des traces déjà.
et s’il accepte cette étreinte (qu’elle soit la dernière)
Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa
Âge d'apparence : la trentaine
Signe Astro : la faux
Rôle : valet de coeur
Métier : exécuteur de la reine
Inventaire : -
Pouvoir : hachoir vivant
En couple avec : ta tête
Autre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
dispo rp : Messages : 196Points de Bonheur : 528Avatar : dark choco cookie (cookie run) + jason momoa Âge d'apparence : la trentaineSigne Astro : la fauxRôle : valet de coeurMétier : exécuteur de la reineInventaire : -Pouvoir : hachoir vivantEn couple avec : ta têteAutre(s) compte(s) : yue ; valentina ; angie
Ashe La Hire
N°1 du coupage de nuque à Wonderland
(end) need a place to stay Jeu 26 Aoû - 22:49
need a place to stay
Les paumes chaudes rappellent le sang vif et les teintes du cruor sur les draps, sur le sol et sur la peau. Elles crient contre le tableau de laideur elles crient ; elles sillonnent et découpent sans crier gare - Valet ne voit plus devant soi tout est si flou et dans les bourdonnements de ses oreilles, n’entends-pas les complaintes de la rose qui s’excuse encore et encore. Il n’y a pourtant aucune raison - Doll, si Valet souffre, c’est qu’il le doit. C’est qu’il n’existe qu’un retour à l’envoyeur pour tout ce mal dont il est le créateur - il n’y a aucune autre raison à cela ; il a créé le malheur et le recueille entre ses doigts. Un goût de sang contre le palais. Les doigts ont propagé ; les coupures et le sang. Entailles sur le visage qu’il relève doucement, si doucement pour l’entrevoir alors qu’une pression chaleureuse inconnue s’opère autour de lui.
C’est une étreinte, tendre - pendant l’espace d’un instant, il n’a pas même reconnu cette chaleur maternelle qu’elle lui rappelait. Cette tendresse dont Juliette avait fait preuve il y a peu de temps pourtant ; mais ce n’est pas sa majesté aujourd’hui. La chaleur n’est pourtant que trop véhémente et il est terrifié Valet comme si, autour de lui on tentait de l’abattre. Comme si ces mains qui l’enserraient ne désiraient que l’étouffer.
Comprends-tu désormais ce que tu as fais et son impact ; Quand les mains autour de ton frêle corps s’abattant, tu t’engouffres plus dans les abysses encore. (Il n’y a que du rouge)
Sans avoir eu le temps de l’accepter qu’il s’écarte, terrifié le corps figé presque tremblant. La feuille est morte à cet instant ; quand elle a oublié toute sa propre considération. Qu’il n’y a eu rien d’autre qu’une arme dans sa colère et sa peur contre son visage (visage tailladé, il ne reste plus rien) décimé par la peur et les doigts continuent encore et encore à s’acharner pour soustraire la douleur qui fend l’intérieur. Le coeur qui saigne crie. Mais il n’y a personne pour l’écouter.
— Juliette ? Dans le noir. Les yeux se sont courbés pour ne plus avoir à percevoir, les lames ont tout brisé sur leur passage il ne reste que du noir. L’obscurité ; et c’est terrifiant. Car la seule lumière dans ce monde de terreur, c’est sa reine. Mais Juliette n’est pas là, il reste pourtant une rose qui a offert toute la douleur pour un frêle corps - et c’était suffisant pour mettre un point final au chapitre. Titube dans le noir, rampe en cherchant son corps dans l’obscurité - les abysses sont cruelles, car dans la folie, rien n’est comme il l’imaginait. Il n’y a pas de feu sur le chemin, pour réchauffer son corps froid. Il n’y a pas de corps pour l’aider à avancer, ni même de béquilles sur lesquelles s’appuyer.
Il n’y a rien, si ce n’est une lumière ardente qu’il ne perçoit même pas. Alors, le corps (frêle, ridicule, minuscule) s’éprend des dernières pages, puis baigne sous la lumière, dans la lumière. Peau volcan devient brutalement peau flamboyante et c’est comme ce jour-là.
Parmi les grains de sables, Quelque chose est tombé. Un coeur, délaissé dans un halo de lumière. Un coeur que l’hélianthe a gardé désormais, Car les armes n’ont besoin que d’agir ; les coeurs leurs sont bien futiles.
Ça ne dure que quelques secondes, mais c’est ardent sous l’échine, sous le derme (nouveau) qui se déploie ; se dessine une nouvelle silhouette. Il n’y a plus de petite silhouette frêle, et dans ce nouveau-lui, Valet se sent presque nager. Encore tout étriqué, replié sur lui-même ; le monde semble trop grand pour l’accueillir, et il sent encore ses pieds tremper dans les mares de sang. Et cette odeur ne perd pas ; il n’y a que du sang. Partout et toujours, il le sent presque perpétuellement contre sa peau.
Ouvre enfin les yeux Valet - des nouveaux yeux. Qui offrent une vision plus claire mais plus désastreuse ; plus rouge de ce monde de ruines. Doll se tient - larmes serpentant ses joues et son premier réflexe et de se frotter les yeux face à la blancheur du monde, trop vive pour sa rétine qui n’a vu que les ténèbres. Presqu’à en oublier le sang. La lame déchire aussitôt l’oeil gauche, faute d’avoir oublié ce qu’il était réellement.
Une arme, essentiellement. Un corps sans âme ; un coeur sans but.
Et ferme l’oeil aussitôt. Pourtant la douleur s’écaille presqu’aussitôt, comme si elle n’était qu’une plume. Parce qu’on ne brise jamais pleinement les armes. Il suffit de les remplacer alors, encore et encore. Les mains tremblantes et pourtant, les ténèbres ont disparu, il n’y a qu’une étrange lumière. Et comme on remplace les armes lorsqu’elles sont en mauvais état,
Ashe a remplacé Knave, D’une arme dont il ne restait que des cendres.
@ knave & @ doll
dispo rp :
Messages : 67
Points de Bonheur : 206
Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥
Âge d'apparence : 26 ans
Signe Astro : -
Rôle : la poupée vaudou
Métier : maître du labyrinthe
Inventaire : -
Pouvoir : réception & émission
En couple avec : vos douleurs
Autre(s) compte(s) : colombe whiteknight
dispo rp : Messages : 67Points de Bonheur : 206Avatar : suzuya juuzou (tokyo ghoul) + lee felix (irl) - thx jamie et alastor ♥Âge d'apparence : 26 ansSigne Astro : -Rôle : la poupée vaudouMétier : maître du labyrintheInventaire : -Pouvoir : réception & émissionEn couple avec : vos douleursAutre(s) compte(s) : colombe whiteknight
Doll S. Vaudou
Brave Hearts
(end) need a place to stay Mer 8 Sep - 17:34
place to stay
doll les yeux plissés, renfermé.e sur toi-même un instant quand le changement s’est fait violent tu as délaissé un instant ton idée (il n’avait jamais apprécié les contacts d’un peu trop près) même les douceurs oubliées car, l’un comme l’autre vous ne saviez plus ne ressentiez plus la chaleur humaine, les bras réconfortants. ils t’ont toujours blessé (les siens)
aujourd’hui à ton tour un peu plus, tu l’as laissé blessé, jusqu’à ce que les plumes de ses ailes tombent, mais knave n’a jamais eu d’ailes. tu peines à comprendre pourquoi, parce qu’il aurait pu faire choir le monde s’il le voulait. il n’avait qu’à couper mais le monde est injuste, cette même injustice pour le bandersnatch et son collier.
mais dans la lumière tu as divagué, l’as admiré (il semblait mourant presque) bien plus même qu’auparavant lorsqu’il a laissé le sang envahir la pièce c’était ta faute mais tu n’en avais pas idée. il n’y a pratiquement rien dont tu as idée, seulement la douleur elle tu sais - à quel point elle blesse brise et fait déchanter les hommes.
et knave n’est plus knave. il se tient loin, renfermé une coquille, un insecte et pourtant il n’arrive qu’à te suspendre dans tes émotions un instant tu le détestes pourtant, tu le détestes tellement, presque autant que tu le trouves fascinant, à cet instant.
la peau se dévoile sous la lumière et le corps aussi, il est bien plus grand, bien plus imposant qu’auparavant les muscles saillants tu es perturbé.e ; tu ne le reconnais pas il est un autre que tu n’as jamais perçu auparavant. un autre que personne ne comprendra probablement, l’a-t’on déjà compris ? il n’est désireux que de terreur il n’a que ce désir de tout détruire,
alors pourquoi malgré tout, ça persiste ? pourquoi malgré tout, il y a ce regard que tu déposes toujours sur lui, ses mots cruels qu’il t’offre et que tu luis rends, tu ne sais plus quoi faire de tout ça et quand tu le regardes tu divagues, ce n’est peut-être pas les mots que tu aurais du choisir, mais,
tu ne sais pas vraiment. « qu’est ce qu’on devient, alors. » rien finalement, seulement tu ne peux que le regarder tristement, désolé.e de ce que tu lui as infligé vous n’êtes que des carcasses que le temps que le monde ravage.
tu aurais aimé pouvoir vous effacer, tu aurais aimé la douleur t’infliger sans pouvoir la rejeter. tu aurais aimé tant de choses mais le monde ne t’offre rien d’autre que des remords. le monde ne vous offre rien d’autre que des d o u l e u r s.
après ça tu ne pourras pas, le regarder encore, tu ne pourras pas jamais plus parcourir sainement ses traits vos allées (fuis) il te découpera dès qu’il retrouvera raison (il ne fera que ça) n’est-ce-pas mieux que tu meures ici ? (fuis)
les mains tremblent le coeur vacille et c’est quand il relève son visage où il dévoile son oeil (borgne) plein de sang, qui dort désormais. ce monde est hilarant, n’est-ce-pas ? perceval borgne et lui désormais, et tu te répètes pourtant. c’est sa faute, pas la tienne, c’est sa faute, pas la vôtre.
(fuis) tu ne pouvais pas le laisser ici, tu n’en avais pas le droit. (terreur) sais-tu as quel point, tu l’effraies presqu’autant que le reste ? (reste) mais terreur scintillant dans le regard tu as fui. tu vous a laissé derrière,
mais pas seulement derrière, bien loin ailleurs là où personne jamais ne retrouvera vos bribes. (tu avais tout détruit, n’est-ce-pas ?)