(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Ven 15 Jan - 12:06
CES SENTIMENTS PERDUS SUR EUX.
Comment pouvais-tu le refuser? Ce pouvoir que tu avais, sur lui? Sur l'un des rares êtres les plus instables de tout wonderland. Cet même être, mêlant terreur et chaos, docile et malléable, au creux de tes mains. Quelle tendre ironie. Quelle cruelle douceur. C'est avec un grand naturel que ton corps avait d'ailleurs répondu au sien. Comme si le moindre de ses actes faisait écho à une danse, paramétrée au millimètres près. Une chorégraphie dont vous étiez les maîtres absolus, et pourtant, dont vous ne vous lassiez jamais. Quand tes talons quittent le sol, tes mains s’agrippent avec fermeté mais désir à sa nuque, et à son épaule, tandis que tes jambes entourent ses hanches. Il n'a pas de peine à la soulever, et elle, à maintenir cette position. Mais, peu de temps vu que bientôt, sa délicieuse croupe se pose sur l'une des tables de jeux... L'un des rares endroits qui vous n'aviez pas encore baptisé. Sachant encore, malgré ces siècles de vices, innover en vos pires loisirs. Le rendre vivant? Mais Belial...
«Je vais plutôt te faire regretter de l'être.»
Tu allais le tourmenter, encore et encore. Le flattant d'un baiser un jour, le brisant d'un mot l'autre. Tu allais lui offrir ton corps tout entier... Pour mieux l'en priver le mois d'après. Car c'était bien là la seule chose dans laquelle tu excellais. Embraser les désirs et les craintes des autres. Les manipuler, les manier, faire d'eux ce que ton cœur pouvait te dicter. Et dieu sait que, parfois, il ne manquait pas d'imagination, aussi cruelle pouvait-elle être. Vos deux corps se retrouvent et se pressent. Et tes jambes, impérieuses, maintiennent leur prise fermes autour de son corps. Le tissu de ta robe, victime de l'écartement de ces membres, remonte et dévoile un peu plus la chair tendre de ts cuisses. Alors que tu est occupée à, déjà, le dévorer d'avance de tes yeux, tes mains, elles, finissent leur œuvre. Et, après avoir arraché avec impatience et ardeur cette chemise qui fut de trop... C'est bien sur ce pantalon qu'elles portent leur dévolu. Tu fais jouer de tes griffes, agiles et connaisseuses, pour que bientôt, un bouton lâche. Et bientôt, le tissu glisse le long de ses cuisses fermes pour rejoindre le sol. Nouvelle victime de la fureur de ce duo infernal. Ton visage se rapproche du sien. De tes crocs, tu prends la peine de d'abord marquer sa gorge. Puis, la ligne de sa mâchoire. Et enfin, le lobe de son oreille. Affamée et d'humeur joueuse, tu laisses échapper d'entre tes lèvres quelques débuts de soupirs brûlants, là pour ne faire qu'attiser un peu plus le désir qu'elle sent gonfler en lui.
«Ne te retiens pas....»
Peut être que cette demande était sans l'ombre d'un doute à l'apogée de ce que tu n'avais jamais pu lui demander. Elle le cherchait. Le provoquais. Mais d'une façon bien différente que la dernière fois, la dernière fois où il avait abandonné ses immondes et douloureuses marques sur ta gorge. Le provoquer pour mieux l'embraser. Détacher sa laisse pour subir son feu. Et tu étais prête. Oui, tu étais prête à brûler.
En couple avec : L’incarnation de l’anarchie, Blanche
Autre(s) compte(s) : Aucun
dispo rp : Messages : 265Points de Bonheur : 894Avatar : Higgs ▬ Death Stranding | Troy BakerÂge d'apparence : La quarantaine Signe Astro : -Rôle : FaustMétier : Directeur du CasinoInventaire : -Pouvoir : Amplification d'émotions | sentimentsEn couple avec : L’incarnation de l’anarchie, BlancheAutre(s) compte(s) : Aucun
Belial A. Faustian
coin coin sadique
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Ven 15 Jan - 17:53
En leurs plus belles parures
Ils vinrent jouer de leurs griffes et de leurs crocs avides @Blanche B. Wolfman
Oh tu n’avais à t’inquiéter Blanche, sans doute regrettait-il déjà de t’aimer alors que tu l’avais déjà privé de ta personne plusieurs mois. T’aimer… Il regrettera tout ça de façon plus amère chaque jour qui passera jusqu’au moment où tout en devienne insupportable.
C’est ainsi que toi, mâle auprès de sa femelle, de sa précieuse parmi les plus belles tu allais pouvoir te repaître d’elle qui ne cessait d’un peu plus t’attiser alors que tu avais déjà cédé… Toujours ampli cependant d’une étrange retenue comparée à l’accoutumé. Tu la sentais tout le long de ton être, l’étoffe quittant ton enveloppe charnelle pour dévoiler de biens nombreuses cicatrices alors que tu ne semblais plus avoir le moindre contrôle sur ta propre personne une nouvelle fois bizarrement. Tu n’avais quitté tout du long ce regard, son regard. Bien trop captivé, trop peu désireux d’émettre la moindre contestation. Tu avais instinctivement penché la tête en arrière pour lui offrir un peu plus ton cou alors qu’une sensation commençait à t’envahir, une sensation que tu avais tenté de repousser le plus longtemps possible, tant bien que mal. Une sensation qui finirait par définitivement contraster avec ce précédent baiser qui était venu s’apposer auprès de son front. Une sensation plus que divisée par rapport à la candeur de tes anciens propos.
Elle naissait donc avec ferveur cette lueur en ton regard, cette étincelle malicieuse, vil et pourtant anormalement captivée par elle. Blanche, l’unique femme que tu n’avais su tuer après vos ébats, elle n’était pas qu’une survivante mais la survivante. Elle le savait que tu ne pouvais la tuer comme cela, comme toutes les autres car il y avait toujours un quelque chose qui avait su te retenir.
La plus belle des offrandes toujours face à toi alors que parfois tu décrivais doucement ta précédente morsure, les gouttes d’hémoglobine continuant de s’en extirper lentement mais sûrement. Tu pus donc ouïr sa dernière réplique, une invitation des plus claires alors que prononcée ou non tu n’avais prévu de te retenir cette fois-ci. Une danse qui allait bien être différente de votre dernière qui s’était montrée anormalement douce après la découverte ou plutôt l’acceptation de vos sentiments réciproques.
Tes mains vinrent donc sans guère plus de cérémonie se plaquer contre le galbe de ses cuisses, sa robe étirée, remontée, dévoilant sa peau immaculée dont tes doigts s’abreuvaient, remontant le long de ces courbes à nu. Ce contact de tes phalanges frustrés par la tenue qui couvrait encore son être. C’est donc méticuleusement que tu te permis de chercher les diverses attaches de ce tout qui ne te dérangeait que trop. Que pour une fois tu n’allais déchirer car c’est elle que tu allais écorcher de tes plus bas désirs.
Que ce corps t’avait affreusement manqué sous de tels hospices des plus funestes.
Rien en ces préparatifs douceâtres était bon pour elle, pour ce que tu allais lui faire alors que même les plus petits détails ne jouaient en sa faveur… Alors qu’elle-même t’avait tout donné présentement. C’est avec une rare avidité néanmoins que tu dévorés ses lèvres des tiennes, un baiser en lequel elle pouvait si facilement ressentir ce brasier qui était quasiment à son apogée. Un incendie que rien ne pourrait stopper hormis son lubrique sacrifice à elle.
Tu allais faire glisser tes mains auprès de ses plaies, rouvrir ces blessures. Tu allais tisser votre amour auprès de son corps, ce canevas de votre destin que tu avais toujours aimé tant travailler.
« - Tu vas être magnifique... Plus que jamais. »
Un ultime murmure et c’est ainsi que sa robe chuta sous tes doigts, pour le meilleur et surtout le pire…
Invité
Invité
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Mer 20 Jan - 11:10
CES SENTIMENTS PERDUS SUR EUX.
Oh, comme l'instant est beau. Comme l'instant est intense. Il n'y avait de mots pour décrire l'alchimie tumultueuse qui scellait vos deux êtres. Destinés à vous tourmenter éternellement, dans le plaisir comme dans la douleur. La table de jeu est la première victime de votre fougue. Mais, comme toujours, entre l'amour et la haine, il n'y a qu'un pas. Rapidement, la fièvre fait place à une flamme toute autre, dévorante. Des éclats de voix, bien loin des échos de luxure habituel. Ils se blessent, pour mieux se soigner ensuite. On s'embrasse, on se pardonne aussi vite qu'on s'en veux. Et, dans le velours du sofa, les voilà à nouveau à l'unisson. Assassine, c'est de sang, de sueurs, et bien d'autre choses qui finissent couverts vos deux corps, alors que tes griffes n'avaient pas manqué de s'enfoncer dans son ventre en guise de vengeance, sans même interrompre vos ébats tourmentés. Après plusieurs longues minutes à reprendre contenance, dans les bras l'un de l'autre, ignorant l'état de vos corps... Et de ce canapé bon à être changé, c'est toi, Blanche, la première, qui vient te séparer de lui, après avoir, une ultime fois, poser tes lèvres sur les siennes.
Tes jambes sont encore faibles, après tant d'efforts, d'émotions, de sensations. Tu dois même venir te tenir un instant à la table quand tu sens la légère courbature déjà se faire sentir le long de ta cuisse. Lentement, tu te penches et récupérer le fin morceau de tissu qui te sert à couvrir le temple entre tes cuisses, celui qui créais tant de conflits... Et qui en résoudrait tant d'autres. Ta poitrine nue ne semble aucunement te déranger. Tu viens simplement chercher la légère veste qui couvrait précédemment tes épaules... Pour en sortir un paquet de cigarettes et d'une boite d'allumettes. De tes doigts fins, tu en saisis deux, une que tu glisses entre tes lèvres, et une seconde que tu jettes agilement vers Belial, libre à lui par la suite de la consommer. Le silence plane. Mais était-ce là une mauvaise chose? Ca dépendait. Là, en l’occurrence... Tu étais bien trop plongée dans le tumulte de tes pensées pour savoir quoi dire... Préférant alors considérer que le silence était d'or. D'un pas léger, pieds toujours nus, c'est vers une fenêtre que tu te diriges. Tu l'ouvres, sans gêne, et t'y poste. La brise fraiche qui vient mordre tes seins offert à l'extérieur, sans pudeur, te fit frissonner un instant... Mais soulageait et calmait le feu qui peinait à se taire, au fond de ton ventre.
Tu craques l'allumette, qui s'embrase, jumelle à ton âme... Et vient faire crépiter le bout de la cigarette entre tes lippes. Tu tires doucement dessus, laissant l'extrémité du bâtonnet rougir un peu plus pour correctement prendre... Et tu éteins alors la fine brindille inflammable pour la jeter nonchalamment par la fenêtre. Alors que le tabac vient étreindre ta gorge, tu prends le temps d'observer l'extérieur, un instant. Halloween City, dans toute sa splendeur. Incapable de savoir quel heure il était... Mais la nuit, bien qu'éternelle, était surement bien avancée. Et... Comme promis, Belial avait put profiter pleinement de son gain... Qui n'était rien d'autre que toi. Du moins, si on ignorait le gramophone qui était toujours, après vous avoir fait danser puis subit la colère du patron du casino, explosé au sol, maintenant loin d'être utilisable à nouveau. Tout était toujours très éphémère entre les mains de Belial... Tu étais l'exception.
Alors que tu recraches la fumée de ta troisième latte, tu viens doucement tourner le dos à la fenêtre... Privant tout possible voyeur du spectacle qu'était ta nudité, éclairée et tamisée par la lueur des bougies du petit salon, s'adossant simplement au rebord de celle-ci pour alors reposer tes yeux sur Belial... Et savoir ainsi ce qu'il pouvait faire. Après une telle nuit. Allait-il relâcher sa prise... Ou la garder encore un peu, être irraisonnable qu'il était?
En couple avec : L’incarnation de l’anarchie, Blanche
Autre(s) compte(s) : Aucun
dispo rp : Messages : 265Points de Bonheur : 894Avatar : Higgs ▬ Death Stranding | Troy BakerÂge d'apparence : La quarantaine Signe Astro : -Rôle : FaustMétier : Directeur du CasinoInventaire : -Pouvoir : Amplification d'émotions | sentimentsEn couple avec : L’incarnation de l’anarchie, BlancheAutre(s) compte(s) : Aucun
Belial A. Faustian
coin coin sadique
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Mer 20 Jan - 13:37
En leurs plus belles parures
Ils vinrent jouer de leurs griffes et de leurs crocs avides @Blanche B. Wolfman
Comme on aurait pu le dire il s’était passé des choses… Beaucoup de choses en un temps parfaitement mesuré tout bonnement. Vous n’aviez point été raisonnables comme à l’accoutumé alors que vous aviez partagés de merveilleux ébats, un instant des plus charnels de par vos tendances respectives à ne pas faire les choses à moitié quand vous péchiez ensemble. Vous aviez effectivement baptisé cette misérable table de jeux avant de ta rage n’explose face à un contre temps venant de ses lèvres à elle. Un pauvre instrument, ce gramophone ayant connu ta fureur à défaut de ne vouloir la blesser elle jusqu’au moment où vous aviez tenté de vous montrer réciproquement compréhensifs. Le tout n’ayant donné lieu qu’à un nouvel échange des plus ardents, une nouvelle danse qui fut bel et bien unique en cette fois… La conclusion de votre instant de partage des plus viciés ayant été quant à elle si étrange mais propre à vous… En le sang et l’amour, le plaisir et la colère et enfin l’abandon total de l’un pour l’autre. Ce sofa sur lequel vous étiez étant le trophée de votre ardeur partagée en tous points, marqué par ses griffes, le sang et bien d’autres choses.
Tu n’avais vu les minutes passer toi aussi jusqu’au moment où elle t’arracha à tes pensées et à son regard, embrumé toujours mais assez réceptif pour accueillir ce volatil baiser. Tu la décrivais donc méticuleusement alors qu’elle déambulait en cette pièce qui avait connu bien d’autres complaintes avant ce silence. Tu ne portais que très peu d’attention à ses actes… Accaparé plutôt par son enveloppe charnelle elle-même et plus que tout son faciès, ses pupilles que tu cherchais. Tu avais donc fini par te redresser tant bien que mal juste avant qu’elle te jette cette cigarette. Une offrande que tu réceptionnas volontiers avant de quitté ce canapé bon à jeter venant toi aussi récupérer un bas à enfiler. Tu ne t’étais pas orienté vers elle en un premier temps, trop travaillé par d’autres choses, votre dernier échange verbal avant que sa voie ne se brise sous la satisfaction et la démonstration de votre amour vicié mais sans doute profondément ancré… Malheureusement.
Tu t’étais orienté vers une des tables basses, ouvrant une bouteille pour te verser un fond de Whisky que tu vidas promptement, grimaçant naturellement tantôt de par l’arôme brulant mais aussi une autre blessure ailleurs. Tu baissas doucement le regard observant les dégâts auprès de ton ventre où ses griffes s’étaient aventurées par pure vengeance, une vengeance que tu avais toi-même stimulé. Tu saignais toujours là où la coagulation allait avoir besoin de l’aide de pansements et qui sait désinfectants… Tu récupéras donc au sol dans lambeaux de ta chemise venant presser le tout contre tes plaies allumant tantôt cette cigarette pour inspirer la néfaste fumée en tes poumons. Reposant ton briquet qui avait trouvé auparavant refuge non loin de la bouteille que tu avais utilisé.
Tu avais toujours conservé en ce moment quelques distances avec elle mais non pas sans la quitter des yeux étrangement. Tu étais intérieurement toujours en proie à bien plus même si la nicotine faisait doucement son effet, tes iris voraces s’attardant sur chacune des morsures que tu lui avais apposé, une sur chaque épaule, jusqu’au sang… Tu pris donc l’initiative de te diriger vers elle un peu plus… Encore travaillé te demandant si tu avais fait le bon choix… Te réquisitionnant sur certaines choses que tu lui avais demandées. Tu domptais ton doute mais il était malgré tout profondément ancré en toi alors que parfois tu détournais tes orbites, tes yeux bleuâtres de la teinte mielleuse des siens pensifs.
Elle avait que c’était sûrement elle le problème mais… Il y avait toujours cette étrange sensation avec sa personne, une chose différente de l’amour qui s’amplifiait plus votre relation se compliquait…
Tu te dirigeas donc vers elle sur cette pensée, les lambeaux de chemises maintenant gorgée d’une teinte cramoisie. Tu n’avais affronté une nouvelle fois son regard sur ce mot.
« - Désolé... »
Simple alors qu’étrangement c’est toi qui l’avais dominé bien plus tôt de bout en bout au point où tu avais réussi à obtenir d’elle un rare aveu… T’excusais pour le faire de n’avoir fait qu’envenimer le tout ? Sûrement.
Tu avais trouvé place face à elle sur ces dires avant de venir te décaler à ses côtés entre deux inspirations de ce tabac. Tu avais jeté l’étoffe le long de ton ventre plus loin, son corps à elle marqué par ta propre hémoglobine. Tes doigts vinrent dès lors doucement effleurer les siens auprès de sa main ballante sans pour autant s’y lier.
« - Tu veux qu’on fasse comme d’habitude ? Comme avant du moins… Qu’on se donne juste au mieux une heure avant de se séparer ou peut être retenté comme la dernière fois… Que tu viennes passer un peu plus de temps au manoir, loin de nos préoccupations ?... »
Tu comprendrais parfaitement si elle venait à refuser de par vos éclats de voix malgré cet instant qui fut idyllique, du moins idyllique selon votre image. Il était rare, trop rare que tu t’excuses mais tu savais que parfois cela ne suffisait pas, le mal était fait tout bonnement et tu trouvais Blanche trop… Travaillée à ton goût. Au point où cette vision te détournait que trop bien des signaux de ton organisme face à la perte de son trop précieux fluide vitale pourpre.
Elle aurait le dernier, elle l’avait toujours eu entre vous… Comme si une voix te disait de tout lui concéder car ce n’était peut-être qu’un juste retour des choses d’une vie d’avant, de tes erreurs mais cela tu ne pourras jamais le comprendre.
« - Mon amour... »
Que tu pouvais être si faible face à elle une fois la tempête passée...
Invité
Invité
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Mer 20 Jan - 14:16
CES SENTIMENTS PERDUS SUR EUX.
Combien de fois il t'avais fait le coup, Blanche? Combien de fois allait il te le faire, encore? Éternel recommencement. Jusqu'à ce jour. Le jour de trop. Ou il n'aurait plus l'occasion de s'excuser. Bien que ce soir... Il avait été plutôt clément avec toi. Au delà de ses mots assassins... Il n'avait fait du mal à ton corps que de manière mesurée, du moins pour vous, comme le montrait ces traces de crocs, ce sang coagulé, imperfection tâchant tes épaules d’albâtre. Alors, clope entre tes lèvres, tu le fixes. Misérable et miséreux. Il fallait dire que cette fois, tu n'y était pas allée de main morte, toi non plus. Chacun son tour. Sans l'ombre d'un doute, cette plaie, étroite mais profonde, allait mettre un peu de temps à cicatriser, et allait le tirailler quelques jours. De sa griffe, elle tape le cul de sa cigarette pour laisser la cendre en tomber, et s'écraser sur le plancher, à coté de ses pieds nus et vernis.
« "Désolé" ? Vraiment ? C'est tout ce que tu as trouvé ?»
Comme toujours, ou au moins bien souvent, tu étais impitoyable. Et pourtant, comme lui en vouloir? Tu l'avais cherché. Tu l'avais même quémander. A lui demander de ne pas se retenir. Et maintenant, tu lui reprochais de t'obéir? Dans un faible soupire, Blanche, tu détournes les yeux et porte à nouveau la clope à ta bouche pour tirer dessus une bouffée un peu plus longue que les précédente. Assez pour la faire se consumer d'un bon centimètre. Il était rare de te voir, cigarette aux lèvres. Il le savait mieux que personne. Alors, tu étais vraiment travaillée par quelque chose, hein? Tu ne réponds pas de suite à cette première demande, proposition. Tu y penses? Surement. En tout cas, tes sourcils se froncent un instant. Rester, ou fuir? Éternelle question, qui, bien souvent... Se terminait de la même façon... La deuxième proposition. Mais ces derniers temps... Beaucoup de choses ont changés. Beaucoup trop de choses, dira-t-on. Assez pour te faire perdre tes moyens parfois. Perdre patience d'autre.
Mais ce mot doux, lui, ne t'échappe pas. Et tes yeux, un instant, se déportent sur la main de Belial qui était venu quémander l'attention de la sienne, sans même qu'elle n'y réagisse tout de suite, lui ayant laissé et offert le contact de sa main libre, immobile. Devais-tu céder, Blanche, comme souvent? Ou lui tenir tête, et le repousser? Étrangement, et presque pour la première fois de ta non-vie... Cette idée te mettait mal à l'aise. Tu n'avais pas envie de l'envoyer paître... Ce maître de tes désirs. De ton corps. De ton âme. Alors, faible, tu détournes doucement tes yeux à l'opposé de lui et souffle ta fumée juste avant tes mots.
« Mmpf... Je suppose que... Je vais devoir panser ta plaie. Et toi, tu vas devoir m'offrir un verre à boire.»
Voix ferme et ironique... Venant alors se dédouaner de l'acceptation de cette invitation, comme si tu en fut forcée... Au lieu d'y avoir céder de ton propre chef. Une dernière bouffée de cigarette, avant qu'elle ne meurt entre tes doigts, comme bien d'autres avant elles. Mais d'autres quoi? D'une légère pichenette, toi, louve, tu envois le cadavre de ta proie nicotinée par la fenêtre, et t'éloigne à nouveau de Belial. Et cette voix qui résonne, à défaut de ses talons.
«Assis toi. Et ne bouge pas.»
A ton tour de donner les ordres. Le laissant s'exécuter, elle vient saisir cette bouteille qu'il avait sorti pour lui, pour son palais... Mais, pour une toute autre raison. Un sourire inquiétant se dessine sur ta bouche. Récupérant un nouveau morceau de tissu déchiré, vestige de sa chemise, elle retourne le goulot sur ce dernier qu'elle tasse en boule, pour l'imprégner d'alcool... Et se tourne vers Belial. Ca allait faire mal. Mais c'était nécessaire. A l'image exact de ce que vous vous faisiez subir, l'un l'autre. Non?
En couple avec : L’incarnation de l’anarchie, Blanche
Autre(s) compte(s) : Aucun
dispo rp : Messages : 265Points de Bonheur : 894Avatar : Higgs ▬ Death Stranding | Troy BakerÂge d'apparence : La quarantaine Signe Astro : -Rôle : FaustMétier : Directeur du CasinoInventaire : -Pouvoir : Amplification d'émotions | sentimentsEn couple avec : L’incarnation de l’anarchie, BlancheAutre(s) compte(s) : Aucun
Belial A. Faustian
coin coin sadique
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Mer 20 Jan - 19:15
En leurs plus belles parures
Ils vinrent jouer de leurs griffes et de leurs crocs avides @Blanche B. Wolfman
Bien sûr que tu t’étais préparé à un refus de sa part, tu connaissais que trop bien sa nature, du moins tu le supposais. On ne changeait les habitudes d’une personne ainsi et plus que tout vous aviez un siècle de vécu et des rituels qu’on ne changera absolument jamais. Tu avais donc une fois de plus intériorisé le potentiel mécontentement qu’elle aurait pu faire naître de par sa première réplique. Une désapprobation de ta part tout comme un froncement de sourcil, elle devait savoir pourtant tout ce que représentaient tes excuses, une chose aussi rare que la survie que tu accordais parfois. Un désolé de ta part avait une rare valeur et tu aurais dû la réprimander pour cette réaction mais n’avais-tu pas été déjà assez assassin en tes précédentes propos, impitoyable car tu l’étais encore plus lorsque le tout la concernait elle et ces émotions. Tu avais pu malgré tout te concentrer sur cette cigarette qui fut salvatrice alors que la douleur aurait pu raviver ta vindicte, voilant tantôt tes pupilles entre deux lattes du bâton de tabac. Celui-ci se voyait plus que dangereusement consumé par chacune de tes inspirations, plus habitué au cigare et peu enclin à correctement savourer cette misérable clope.
La bouche entre ouverte, tout juste pour laisser filtrer la fumée qui s’extirpait de tes poumons, figé face à un toucher que tu avais réclamé et qu’elle t’avait accordé. Tu avais toi-même douté de l’obtenir et le tout n’en fut qu’exagérément grisant… À sa façon certes mais bel et bien marquant… Un geste si simple et doux et pourtant excessivement efficace là où vous n’étiez pas du genre à témoigner de douceur aussi aisément même après l’acceptation de vos sentiments. Tu t’étais surpris dès lors à doucement sourire, de la façon la plus pure là où ton faciès fut éternellement que trop enclin à dépeindre malice et bien pire encore.
Acceptant ta demande qu’importe la façon dont elle avait formulé le tout, est-ce que ton cœur avait fini par battre de façon bien plus honnête, vive ? Bien sûr… Était-ce donc de cette façon qu’elle t’empoisonnait ? Qu’elle te faisait chaque jour un peu plus sienne de façon irrémédiable ? En sachant t’accorder les bonnes faveurs quand il le fallait, en sachant caresser la bête comme il le fallait et surtout quand il le fallait ? Indéniablement tu étais basiquement heureux même si d’autres auraient pu trouver ses mots secs et durs.
« - Est-ce que j’ai vraiment le choix vu comment tu es impérieuse ? »
Il fallait bien dans tous les cas s’occuper de ta plaie et qu’importe les compétences médicales de Blanche même si ta blessure était basique tu lui faisais confiance plus qu’à n’importe qui tout bonnement. Tu lui confierais ta vie plus que volontiers et ce n’est pas ce que tu avais fait en lui déclarant que tu ferais tout pour elle ? Docile à ta façon, tu vins t’asseoir sur le fauteuil le plus proche de vous alors que tu observais toujours chacun de ses faits et gestes. Cigarette toujours entre les lèvres alors que tu ne l’avais terminé toi. Cela te fit un peu de mal de la voir gâcher un si bon whisky pour cela mais n’était-ce pas pour la… Bonne cause ? Son sourire n’ayant que pour effet de développer un écho auprès de tes propres lippes.
« - Allez vas-y fait toi plaisir, je sais que tu vas adorer au plus haut point. »
Il y avait un soupçon de taquinerie mais plus que tout d’acceptation alors que tu vins désigner d’une de tes mains son ventre à elle, englobant son dos et sa poitrine en ce geste.
« - Et il faudra qu’on s’occupe aussi de ces quelques… Tâches. »
Ce sang qui était tien toujours frais le long de son être, ton sang, une chose qui était normale entre vous. Tu t’étais retenu de la taquiner sur le fait que pour une fois c’était elle qui avait aussi réalisé un bien beau massacre.
« - Mais passons je te laisse continuer ton office, amuse toi. »
Car son plaisir à elle était quasiment toujours tiens aussi… Tu avais doucement approché ta main de celle de ta moitié en laquelle se trouvait les lambeaux de chemise humidifiés par l’alcool. Tu voulais comme l’accompagner en son futur geste et lorsque le tout se heurta à ta plaie, tes plaies. Tu ne pus que grogner face à ce contact déplaisant alors que tu ne quittais son regard.
Le miel une nouvelle fois lié à l’azur c’est ainsi que tu fis comme bien plus tôt avec ses griffes, faisant plus que l’accompagner, intensifiant sa pression. Que cherchais-tu à faire ? Te châtier de ses mains à elle ? Ou un peu plus lui offrir ton être ? Névrosé que tu étais.
Invité
Invité
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Jeu 21 Jan - 13:42
CES SENTIMENTS PERDUS SUR EUX.
Docile, la bête sauvage obéit à tes ordres. Au final, il n'était pas si différent des autres. (Si, il l'était. En tout points.) Et le sourire qui habille tes si jolies lèvres ne fait que de croître quand tu observes sa docilité. En effet, comme il l'avait si bien dit de toute façon... Ce n'est pas comme s'il avait le choix. Alors que tu t'approches, prédatrice, chaque pas totalement silencieux de par la nudité de tes pieds, armée de ce tissu gorgé d'alcool.
«Ne t'en fais pas pour ça. Je prendrais la peine de me faire une toilette de chat avant de partir.»
Quelle ironie, pour la louve que tu étais. Bientôt, tu arrives à son niveau. Mais pas tout à fait. Pour ainsi pouvoir atteindre son ventre, tu acceptes de plier les genoux devant lui, pour t'y poser. Et, d'un regard ironique, tu sais qu'il comprendra ce que cette mine veux dire "Ne t'y habitues pas trop. C'est exceptionnel." Car il était en effet bien rare de te voir te mettre à genoux devant lui, du moins... Pas sans qu'il sache t'y forcer, de la plus belle des manières. Quand il te donne son accord, bien que tu n'en avais nullement besoin, tu ne retiens pas ce léger gloussement qui s'échappe de tes lippes. Et puis... Simplement, tu viens presser le tissu contre cette plaie, sans frotter pour le moment, alors que la main de Belial était venu saisir la tienne... Laissant l'alcool enflammer la plaie et la désinfecter, en une sensation tout sauf agréable. Yeux dans les yeux. C'était votre façon tordue à vous de faire durer l'instant. Lubrique et morbide. Léchant les plaies que tu lui avais toi même infligé, de tes griffes.
«Si tu veux pleurer, vas y... Je ne regarderai pas.»
Provocation, taquinerie. Tu le cherches et tu souris. Rares avaient été les fois où tu l'avais vu pleurer. Mais la dernière fois, encore, tu t'en souvenais. Comment oublier un tel instant? Où, faible face à toi, il n'avait pu que t'offrir sa soumission et ses émois.
Après avoir épongé le sang et désinfecter la plaie, tu glisses ta main de la sienne, pour lui laisser la tâche de maintenir cette pression. Le sang ne cesserait pas de couler vu l'emplacement et comme la blessure serait constamment sollicitée. Il allait lui falloir un pansement. Et un peu de repos... Mais, comme s'il pouvait s'y résoudre. Tu soupires simplement, te relèves pour quitter cette position abaissée que tu n'apprécie qu'à peine, du moins surtout vu la situation, et tu fais à nouveau entendre ta voix.
«Il va falloir que nous rentrions. Il faut s'occuper de cette blessure mais je doute que tu ais le matériel adéquat, ici.»
En effet, de ces mots, tu lui annonces. Tu acceptes, plus ou moins, sa proposition. Tu ne dis pas combien de temps tu pouvais rester chez lui, si tu allais prendre un verre et rentrer, où y passer la nuit... Mais, déjà, il pouvait se satisfaire de savoir qu'il avait de grande chance de te ramener chez lui, pour la fin de la nuit. Après tout... Tu lui avais promis d'être sienne jusqu'à demain. Il t'avait gagné.
En couple avec : L’incarnation de l’anarchie, Blanche
Autre(s) compte(s) : Aucun
dispo rp : Messages : 265Points de Bonheur : 894Avatar : Higgs ▬ Death Stranding | Troy BakerÂge d'apparence : La quarantaine Signe Astro : -Rôle : FaustMétier : Directeur du CasinoInventaire : -Pouvoir : Amplification d'émotions | sentimentsEn couple avec : L’incarnation de l’anarchie, BlancheAutre(s) compte(s) : Aucun
Belial A. Faustian
coin coin sadique
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini Jeu 21 Jan - 19:48
En leurs plus belles parures
Ils vinrent jouer de leurs griffes et de leurs crocs avides @Blanche B. Wolfman
Un regard échangé qui en disait long… Ce foutu genre de regard qu’elle avait su te donner et qui te faisait toujours qui sait ce même effet. Tu avais si aisément lu en ses yeux ce qu’elle aurait voulu prononcer préférant néanmoins le silence en ce moment précis. Ses moqueries ne manquant alors que tu avais pu encore épier ces pupilles qui t’offraient si facilement chacune de ses réactions. Tu n’avais eu qu’une réaction des plus singulière lorsqu’elle vint presser le tout sur ta plaie, lorsqu’elle vint s’occuper de tout cela… De nouveaux grognements plus prononcés, nécessaires pour évacuer ce signal que ton cerveau t’envoyait alors que pour rien au monde tu la laisserais voir une larme couler… Pas ce genre de larmes, du moins pas de tels sanglots avec une telle origine. Malgré la douleur, malgré ce tout tu t’étais amusé à lui rendre son sourire, indomptable toi aussi même face à la souffrance… Souffrance qui n’était néanmoins des plus infâmes bien au contraire. Le tout dura pour qu’elle puisse convenablement s’occuper de ta plaie, cette plaie affreuse qu’elle t’avait imposé en une situation tout sauf normale… Même pour instant où chacun de vous avait craché son poison.
Maintenant comme elle te l’avait demandé silencieusement le tout contre cette mutilation tu savais que tu n’étais pas en un état de détresse mais le tout se devait d’être soigné. Limitant donc tes gestes à ses propos, était-ce une nouvelle affirmation de sa part ? Une nouvelle acceptation par rapport à ta précédente sollicitation ? Cela y semblait fortement là où elle n’avait jamais été capable avec toi d’accepter bien des choses sans tenter de sauver son image. Le genre de phrases que Blanche t’offrait si souvent, ce genre de phrases qui auront toujours le don de te faire doucement sourire qu’importe la situation.
« - Effectivement alors autant ne pas perdre de temps, tu as déjà fait ce que tu pouvais avec les moyens du bord. »
Est-ce que tu lui en voulais ? Non pas le moindre du monde vu comment en retour elle avait toujours su t’offrir son être ou plutôt le sacrifier à tes exigences. C’est ce qu’elle avait fait l’heure précédente même si consciemment elle t’avait dit de ne point te retenir, chose qu’elle avait aussi appliqué à ses propres envies. Tu vins tantôt observer le merveilleux bordel toujours bel et bien présent en la salle alors que pour l’instant elle te dominait de sa stature, toujours assis en ton cas. Tu finis donc par te redresser non pas sans une grimace, maintenant le bandage de fortune auprès de ton ventre.
« - Je te laisse rassembler tes affaires et compagnie… »
Une parole détachée alors que cela n’était point important, juste un léger détail alors que bien de vos vêtements trônait encore en cette pièce. Il y avait un détail bien plus intéressant malgré tout que même ton amante, ta moitié semblait avoir oublié. Tu traînas donc ta carcasse à sa hauteur pour doucement lever la main en direction de ses oreilles, effleurant la boucle, la croix qui correspondait à ton masque. Elle qui avait sagement attendu ici tout le long de vos ébats, de votre moment de folie.
« - Il faudra que tu penses à me le rendre même si tu peux encore garder le tout. »
Est-ce que tu avais cherché à te rapprocher d’elle encore et toujours pour ce simple détail ? Surtout que tu n’étais au final venu récupérer le tout ? Cela aurait pu avoir une priorité maladive en ton esprit mais cela n’était pas le cas, pas le moindre du monde et dès lors tes phalanges glissèrent contre une de ses hanches. Une fugace caresse alors que ta paume vint se loger au bas de son dos, attirant la belle vers toi, te blottissant en écho contre elle ton buste venant prendre refuge contre sa poitrine toujours à nu.
« - Tu sais Blanche j’ai toujours su que tu étais la… Meilleure. »
En tous points, qu’importe le sujet, la plus belle, la plus séduisante tout comme la plus perfide et la plus horrible. La meilleure pour toi et clairement à tes yeux ta moitié. Un tout dont tu ne pouvais te défaire tellement il te complétait et en tes propos il n’y avait eu de taquinerie, juste un aveu de faiblesse, un aveu tout court.
« - Merci. »
Un simple mot qui avait pris la forme de la plus belle complainte, celle d’une âme meurtrie qui avait trouvé un apaisement auprès d’une consœur, auprès d’elle. Un remerciement face à ce que tu lui avais demandé, juste ce fait de t’accorder quelques heures ou plus une fois que vous serrez en dehors de ces murs. Une parole douce et murmurée qui vint se faner en un simple baiser de ta part, tes lèvres s’écrasant auprès des siennes avec douceur… Juste ce qu’il fallait sans tomber dans l’abus. Une touche plus affective, une touche d’amour alors qu’aucune autre de gourmandise s’était permise de transparaître en cet élan charnel.
Je t’aime… Fortement pensé, offert en ce mouvement…
Encore tienne pour la nuit… Mais la nuit n’était elle pas éternelle en Halloween City ?
Contenu sponsorisé
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini
(tw: érotisme+18) | ❝ ces sentiments perdus sur eux ❞ | ft. blanche | fini