la mémoire plus limpide que le cristal, il y a le frottement de sa main contre le manteau, le cliquetis métallique lorsqu'il en sort le bourreau, un déchirement et l'étiquette tombe au sol. (je me souviens très bien, avoir gardé le silence tout en serrant douloureusement les mains)
et le temps s'est arrêté sur ça - pas tout à fait car, par fierté, tu as fait comme il a insinué : tu as cherché d'autres sujets, partie courtiser quiconque se laisserait tenter ; tu as rangé Susan dans un tiroir de ta tête, tout au fond, et il n'a refait surface qu'aujourd'hui (et un peu avant aussi tout le temps, Lotti) tes doigts se déplient alors que tu comptes les années - une décennie de tranquillité, est-ce assez pour ne pas avoir à formuler distinctement des excuses, certainement qu'il aura oublié peut-être même qu'il t'aura pardonné
ce n'est, après tout, pas la première fois que vous vous quittez sur des mots amers. c'est en revanche la première fois que tu as dû récupérer ta clé, délaissée sur les pavés, comme si Susan te radiait de sa vie pour de vrai. (ça se rejoue en boucle dans la cervelle, les paroles exactes comme si c'était la veille et tu les as traduites assimilées rejetées maudites de tout ton être
à quoi bon être sincère et accepter ce que je vois, la putréfaction sous le joli minois je n'en veux pas, Susan)
mais tu le veux, lui (un ami me manque) et tu franchis son miroir, encore une fois au beau milieu de la nuit. — Bonsoir Susan. avec la froideur et la rancoeur d'une absence longue de plusieurs années. — Tu as oublié ça, en partant. clef sur la table ; comme si vous ne vous étiez jamais quitté.
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Susan Hourglass
tisane
― 01h34 ft. susan Dim 10 Jan - 1:30
faire comme si avec les heures les secondes chaque minute un peu plus vide
les distances qu’on racle à la manière de champs de labour ; ajoute des cavités au-dedans de la peau. de ceux de la reine de cœur ou de ceux qui se prétendent libres, susan tourner le dos ou qu’ils lui tournent le dos,
chaque minute un peu plus vide. et on se lève ainsi avec le scintillement des yeux tout aussi formel il faut vivre, pas le choix. même si les ennemis aussi, susan on ne coupe lien que parce
qu’il faut protéger son cœur à soi. ce qu’on a d’humain. ce que le temps nous a seulement donner. rien d’autre.
susan ; on a appris à vivre avec des clés fantômes.
la boule de neige sans socle, dans le murmure c’est du jazz qu’un alice lui a dit ; un jour (une nuit) les lumières tamisées du salon, entouré susan de paroles silencieuses (solitude éclatée) (solitude entreposée)
la boule de neige dans sa paume de neige. lance relance lance couché sur le canapé, susan on pense que
fracas dans la salle à manger. la souplesse finesse du corps, se redresse susan le scintillement des yeux alertes, car bandersnatch n’est jamais aussi brusque ni braxton ni judas et
charlotte.
cassure. ne daigne aucun mouvement. découpé dans les lueurs du salon, te dévisage ; te voit à travers la pénombre de la salle à manger. le bruit métallique sur la table. oublié.
lève le menton susan, dépose la boule à neige dans le velours du canapé. doucement dans la nuit le silence du corps se dresse, les pas muets contre le plancher à la manière d’une scène susan on fait son entrée arrêt devant la table. fixer la clé. fixer toi en scintillement de feux froids.
je suis d'avis pourtant de l’avoir volontairement laissée derrière. tu as oublié l'étiquette.
voix si délicate dans la nuit avec la tête haute, susan. la vérité
tu l’as reprise, je suis étonné. vraiment.
qu’as-tu fait de bon charlotte, les affaires sont florissantes
lève un sourcil, les doigts couleur hiver posés sur la table ; on ne touche pas à la clé.
l'étiquette déchirée, sur le sol de ton atelier, demeure encore, en réalité.
— Je l'ai jeté.
(et tu me croirais, si je te disais que c'était trop douloureux pour moi de la ramasser et m'en débarrasser ; le souvenir vivace dansant derrière mes paupières, c'est toi qui t'éloigne dans un froid pire que toutes les précédentes fois.) tu l'observes s'approcher et restes muette, contemplant Susan de la tête aux pieds ; dix ans et on ne change pas, à Wonderland, toujours les mêmes mèches en travers des yeux et la cicatrice dont le coupable, tu ignores l'identité - secret que Susan ne t'a jamais livré ; les prunelles glacées et tu t'y perds, quelques secondes, quelques minutes, que sont-elles face à une décennie ? — Florissantes, oui. Je ne savais plus où donner de la tête. conquête sur conquête pour s'assurer que tu en étais capable, après le cuisant échec appelé Susan ; il n'était pas question d'habits, ou alors seulement de les retirer. on a trompé le temps dans les bras des gens et malgré ça
on se languit toujours d'ennui.
— Et vous, Gardien, vous êtes vous bien amusé durant cette dernière décennie ? J'ai croisé votre frère, à l'occasion. Il n'avait guère d'informations à me donner à votre sujet, toutefois, alors je suis venue les quérir moi-même. tu ne sais même plus si c'est la vérité, les jours défilant comme un songe d'hiver - sentiments fanés et cœur blasé - tu as subi ces quelques années ; tu aurais pu certainement continuer un siècle en plus s'il le fallait
tu mens. — Au moins, vous ne m'avez pas oublié. (tu m'as manqué
c'est la vérité) — Me servirez-vous une tasse de thé ?
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Susan Hourglass
tisane
― 01h34 ft. susan Dim 10 Jan - 20:41
il garde le temps parce que susan, l’avantage ; c’est qu’on a cessé de s’attarder aux années. souffrir les heures, c’est déjà bien assez.
le scintillement des yeux la soutient, tirer la chaise. s’asseoir avec le sourire
eh bien j’en écrirai une autre. j’espère que tu as su prendre des pauses (pince les lèvres) dans toute cette effervescence.
semble-t-il que les mots conservent leur constance jamais clairs entre vous ; immuables après dix ans ou bien cent ans.
toujours aussi altière charlotte, fière et le miroir t’échappe encore. le scintillement des yeux se plisse un peu ; prendre la clé avec le silence de nuit. du bout des doigts en tenir les extrémités ; jauger à la manière d’une pièce à conviction.
il a plutôt tendance à glisse le regard vers la porte d’entrée (quand – enfin – quelqu’un se décidera-t-il à sonner)
parler de lui quand on se rencontre. peu de place pour me demander le classique (agite la clé entre le pouce et l’index, prend une voix aristocratique) « comment allez-vous cher frère ? ». c’est gentil de te déplacer
lève un sourcil, sourire en coin et le scintillement des yeux malice
pour moi.
une décennie ne changera pas oh combien susan, le naturel de ta présence et l’aisance comme si les souvenirs dataient d’hier. on a oublié le temps charlotte, parce que tu sembles toujours présente
même dans tes absences.
se lève de sa chaise, susan lance la clé la rattrape et direction armoire des thés. en chemin se retourne vers toi avec la nonchalance des vivants
noir, avec des touches de lilas, pour votre si délicate attention. mais installez-vous, faites comme chez vous.
d’un bras théâtral indiquer le salon. on prépare le petit rituel se doute bien tu n’en feras qu’à ta tête alors on décide que
les années passent si vite. (formalité surprise ; jeu) il y a tant à faire on ignore le décompte. (une cuiller à thé dans une gousse) il faut dire que la parole de jubilee prend beaucoup d’espace ; paraîtrait qu'il y a tant à dire pour sa reine rouge. et l’agréable compagnie de banderageux quand il daigne sécher tout ce sang crasseux, c’est un petit plaisir, mais tu dois déjà le savoir. (on met l’eau à bouillir) sam a de ces aventures à raconter, tu devrais l’entendre parfois
(des pauses de quoi de qui de toi ? je n’y arrive pas)
tu suis son regard, curieuse, agacée, guette-t-il à la porte un miraculeux sursis ? dix ans après et il espère encore que quelqu’un viendra rompre cet instant d’intimité ? va-t-il jamais se lasser de te repousser alors même que ta venue est l’aveu d’une excuse, à ta façon – car tu ne diras jamais « pardonne-moi, veux-tu », mais que ce soit toi qui fasse le premier pas, n’est-ce pas un aveu en soi ? — Je crois que c’est de famille, votre incapacité à voir autre chose que le bout de votre nez. tu te mords la lèvre, yeux vers le ciel – ce n’est pas ce que tu voulais dire, à peine arrivée que tu provoques déjà – (je n’y arrive pas) et tu aurais volontiers rattrapé ta maladresse si Susan cessait de parler – un instant, un seul, s’il-te-plaît. alors lorsqu’il te désigne le salon, tu préfères lui emboîter le pas et guetter ses moindres gestes pendant qu’il prépare le thé ; comme une ombre, fidèle, tu restes à côté, bras croisés, sourcils froncés – il parle beaucoup, pour quelqu’un qui refuse de s’excuser. trop, et tu perds patience, saisis son menton, le forces à te regarder – — Prenez votre temps, diable, comptez-vous caler dix ans d’absence en une tirade, sans que je puisse y participer ? yeux plissés ça te démange les lèvres ; veuillez m’excuser – — Ravie de savoir que vous ne vous êtes pas ennuyé pendant cette décennie, mais moi, oui. (mais ce n’est pas ça que tu veux entendre, si ? je n’ai pas changé, toujours désespérée de voir en toi mon reflet, mes envies, mes désirs et mes ordres
semer le désordre dans ta vie) — Je ne t’ai pas manqué du tout, n’est-ce pas ? tu relâches son col, indignée ; dix ans et la seule concession que tu fais, c’est avouer à demi-mot que tu es blessée.
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tisane
― 01h34 ft. susan Lun 18 Jan - 3:57
tu oserais dire que toi, tu es loin d’être égoïste avec ce nez si fin.
que le scintillement des yeux dit le menton entre tes doigts et on ne bronche pas.
c’est ce que je faisais. tu y participes, là.
l’air formel s’entête ; susan en coulisse, pardon, ça m’a échappé. puis on hausse les sourcils sans se dérober de toi. charlotte en dix ans, t’ennuyer.
comme c’est nouveau.
mord sa lèvre inférieure. on s’échappe encore. et l’eau siffle. il faut achever la préparation charlotte. plutôt que de chercher les excuses. refuse de se détendre – te faire confiance
imaginer s’adoucir et demander pardon ; imaginer s’avoir qu’on t’a blessé – tu nous as blessé et s’enquérir
pourquoi garder la clé (et espérer) (et puis non) (tu aurais alors raison) (susan ; non)
scintillement des yeux qui ne la quitte pas même quand elle le libère.
pour être honnête ; j’avais beaucoup à faire.
rince les feuilles. verse l’eau dans la théière. sur le buffet au-dessus des armoires ; les pots en complément celui du sucre si fin et
pour être honnête, encore
la poudre de perlimpinpin – c’est pour un client, on fait parfois leurs courses avant de les rencontrer, on paraît alors civilisé. on a oublié de l’entreposer, en attendant.
comme on te regarde, prendre une pincée perlimpinpin le sucre aura un goût particulier dans la théière.
si. tu m’as peut-être un peu manqué.
lève le menton, susan.
parce qu’il faut avouer tu es talentueuse tailleuse, j’ai donc une partie de ma garde-robe pareille qu’il y a dix ans. c’est frustrant.
on ne dira pas que c’est toi dont on subissait l’absence. avec les colères qui le rendent vivant et les révoltes à la reine. les révolutions font pulser les veines.
le thé est servi. susan désigne une tasse, la tienne.
le coeur qui rate un battement – il bat encore, après tout ce temps ? yeux rubis qui se constellent d'espoir et tu attends, patiemment, que Susan finisse ; il ne saurait s'arrêter là, ne saurait admettre que tu lui as manqué pour une fois, tu le sais
et tu es à peine déçue lorsqu'il enchaine sur une excuse plus bancale encore que la raison de ta venue. étoiles qui meurent au fond de la rétine mais tu as l'habitude alors tu prends la tasse, lèvres pincées. — C'est tout ? tu n'as pas envie de prendre des gants, après dix ans, lui épargner la gêne de dire ce qu'il pense vraiment – il le fera, cette nuit, tu y veilleras, au moins ça pour combler le creux qu'il laisse dans ton coeur à chaque fois qu'il te déçoit et prétend s'en foutre de toi (car ça ne peut pas être ça, Susan, après une éternité à mes côtés, ose me dire que tu ne t'es pas attaché
comme moi, je l'ai fait) tu bois une gorgée, narines retroussées car le goût du sucre te semble étranger ; — Seulement pour mes vêtements ? Toujours aussi désagréable, Susan. et tu t'éloignes, tasse à la main, poser ton royal fessier sur le canapé ; tête balancée en arrière, longs cheveux qui cascadent jusqu'au parquet – contrariée. — Mais vous êtes si populaire, assurément, vous n'avez pas eu le temps de penser à moi. persuadée que c'est faux mais ça doit venir de ses lèvres – on est fatiguée, Susan, d'être la seule à courir après ton affection ; et on t'apprécie comme ça, pourtant –
— Vous m'avez brisé le cœur en jetant la clef.
la voix moqueuse, pour camoufler la sincérité de l'aveu;
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― 01h34 ft. susan Jeu 21 Jan - 5:45
quoi d’autre
hausse les épaules, moue faussement pensive et les yeux qui te questionnent.
prend à son tour une gorgée de thé, recule un peu la tête, fronce les sourcils. ce sucre est déplacé. sans doute parce qu’on ne se l’était pas procuré, cette fois, chez hell. plus jamais tenter nouvelle enseigne, susan. noté.
retourne le sablier de l’armoire. toujours compter, lotti. par le sable infiltré dans la demeure.
deuxième gorgée, se racle la gorge parce que vraiment quel drôle de goût. délaisse sa tasse sur la table à manger avant de te rejoindre. contre une étagère, susan bras croisé s’appuyer. sourire flatté ; non parce qu’il est désagréable qu’elle dit (oui), mais parce que
oh, je suis populaire, je sais. (faux ???) tu me le reproches, mais j’ai pensé à toi. à ton talent, ta propre popularité et ta gloire exigent davantage peut-être.
formalité caustique et scintillement des yeux ironique. puis pince les lèvres susan. la tête haute. charlotte tu as un cœur quand il te plaît ; en d’autres circonstances, toujours alerte il te connaît assez bien depuis des siècles susan pour refuser d’y croire – parce que t'atteindre si profondément, réellement,
la vérité ;
formalité amère
tu m’as blessé en prétendant que je suis un miroir dépourvu d'amour.
la vérité, cette nuit susan les sourcils froncés le scintillement des yeux te scrutent derrière la moquerie il te croit. et c’est une émotion bien nouvelle que de te croire, charlotte.
tend le bras vers l’étagère, retourne le sablier susan.
on peut dire que maintenant j’ai bien la certitude que tu as un cœur. at least.
sourire malice.
un cœur élégamment vêtu pour une nuit si banale.
seulement pour tes vêtements. mais on aime l'attention que tu portes à l'esthétique. c'est vrai.