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body and soul ❈ belle marianne
― la honte des chaussées de campagne
John J. Ginsberg
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John J. Ginsberg
― la honte des chaussées de campagne
body and soul ❈ belle marianne Dim 31 Jan - 18:58


ladybelle NOM
lucille PRÉNOM(S)
belle marianne RÔLE
vingt-cinq ÂGE À SA MORT
pansexuelle OR. SEXUELLE
zoologiste MÉTIER
holy crowns GROUPE
entité RANG
oc (c)ghana ; zendaya AVATAR

faux amour POUVOIR

lorsque vous regardez lucille, vous voyez la personne qui est la plus chère à votre coeur

en parfaite maîtrise de son don, lucille peut choisir de vous faire voir sa personne comme celle qui vous est la plus chère et aimée (celle pour qui votre coeur bat le plus fort) qu'elle soit morte ou non / (!) la personne vous étant la plus chère n'est pas celle que vous "choisissez" c'est à dire que vous ne pouvez mentir, c'est votre coeur qui parle ;; la durée de cette vue de faux-amour ne dépasse pas 1h au maximum (quand lucille est en super super forme)

Lucille Marie Anne Lionheart est sa véritable identité Elle mesure 166cm pour 59kg et se flatte d'être finement musclée Elle danse le rock comme personne, un déhanché à la Elvis (mieux que lui même (oui)) ! Elle a une peur folle des moustiques et des sangsues Elle est très casse-cou, se blesse régulièrement mais persiste à se prendre pour un singe Elle adore grimper aux arbres et les enlacer en leur murmurant des mots doux Elle parle aux animaux avec un ton très sérieux voir maternel et sait qu'ils comprennent ce qu'elle dit (forcément) Elle voue une passion démesurée à la nature et aux animaux en général (sauf les moustiques et les sangsues) Elle est une aventurière aguerrie et passe la majeure partie de son temps en extérieur Elle raffole d’escalade et de spéléologie et de tout ce qui peut la faire suer et explorer Elle est bornée, butée, cabocharde et rancunière à souhait Elle préfère croquer des piments crus que d’admettre un tort (et elle a son lot de piments au compteur) Elle est courageuse et téméraire ce qui lui attire souvent des ennuis Elle tâche quelques fois de s’enlaidir en portant de vieux vêtements Elle aime avoir les joues sales de terre ou de verdure (elle croit que la boue est un remède anti-ride) Elle pratique le mensonge à la perfection et oserait s'en vanter si vous le lui permettiez Elle n’est pas friande de compliments quant à son physique (par contre si vous flattez son humour ou son travail...) Elle attache à contre-coeur peu d’importance à sa féminité et se comporte comme un garçon Elle a toujours la crainte d’être appréciée ou abordée non pas pour ses qualités intellectuelles mais pour son physique Elle a beaucoup d’humour et est très bon public (elle a un rire très sonore et aiguë) Elle a pas mal de principes et de valeurs vieux jeu Elle adore les drôles de dictons dont, son préféré : on ne pousse pas mémé dans les orties ! Elle a déjà mangé des crottes d’écureuil pour les analyser (et parce qu’on l’a mise au défi surtout) Elle aime les défis et les relève toujours sans broncher Elle est mauvaise perdante et s’emporte facilement Elle préfère faire ses besoins dehors car « cela alimente la terre » Elle préfère se laver dans une rivière ou un lac car « cela vous revigore un macchabée ! » Elle a le jugement facile et sévère (mais l'empathie plus grande encore) Elle vous tuerait sans hésiter si vous osiez marcher volontairement sur la queue d’un chat (ou si vous blessiez n'importe quel autre animal (ou plante (ou caillou))) Elle trouve que les bébés ressemblent à des pruneaux trop confits Elle tient très mal l’alcool, ce qu’elle niera effrontément Elle adore reluquer les fesses des gens, sa partie de l’anatomie humaine préférée Quand elle a envie de couper court à une conversation qui l’ennuie, elle chante (faux) à tue-tête Elle se touche tout le temps les seins « ça m’apaise, c’est le meilleur anti-stress » un vrai toc !
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


AVIS SUR LES BRAVE HEARTS Elle n’est pas friande de leur compagnie ni très en proie à comprendre comment ils font pour vivre sous le joug d’une reine aussi abjecte et égoïste sans tenter une rébellion, une révolution. Peut-être sont-ils comme elle. Ses crimes n’ont d’égal que sa réputation d’infâme sorcière. Aussi souhaite t-elle le moins possible être amenée à fréquenter son peuple - moins elle voit d’actes immoraux et de personnes immorales, mieux elle se porte !

AVIS SUR LES HOLY CROWNS Aux dernières nouvelles, la royauté ne lui reproche pas ses vagabondages permanents et ses explorations lointaines. Elle salue (admire) la candeur de sa reine et sa volonté d’apaiser les tensions en ce bas-monde. À dire vrai, elle se sent globalement (si ce n’est franchement) bien en ce royaume et aurait du mal à s’imaginer ne plus être membre de ce dernier. Ses concitoyens et concitoyennes sont d’un naturel - en général - honnête et paisible. Elle n’a pas à se plaindre en conséquence - mh ?

AVIS SUR LES MASTER PIECES Elles ne les considère pas moins que les Holy Crowns - ils sont, à ses yeux, tout aussi dignes d’être valorisés et/ou condamnés selon les caractères de chacun. Le peuple - la majorité… Autant d’identités qu’il y’a de plantes ! Autant de défauts et de qualités qu’il y’a de grains de sable sur une plage ! Elle aime se mêler à eux - elle aime Neverland, elle aime sa dynamique et le semblant de liberté totale qui y règne.

AVIS SUR LES DARK SHADOWS Elle ne les comprend pas - non pas qu’elle cherche à le faire. Disons qu’elle préfère ne pas songer à eux, ne pas penser à eux, ne pas les voir, ne pas les entendre, ne pas les croire, ne pas les surprendre. Bref - leur existence n’a pas lieu d’être. Ils ne valent pas mieux que la reine rouge. Comment peut-on allègrement souhaiter le chaos et ses légions de problèmes ? C’est pathétique. Elle trouve ces personnes foncièrement pathétiques.


Chicago, USA - 1956

Elle était belle dans sa robe à volants avec son petit gilet brodé par la vieille Jenny. Son père lisait le journal, assit dans son fauteuil au cuir usé, une tasse de café chaud à la main. Il ne l’avait pas tout de suite remarqué. C’est sa mère qui, en se retournant - parce qu’elle s’affairait à cuisiner pour le midi et coupait des carottes à ce moment-là - la félicita d’un « Oooh, la princesse ! » Remarque à laquelle Lucille offrit un rire flatté et fier. Elle fit tournoyer sa robe plusieurs fois avant de tituber vers son père, un peu volontairement, car il ne l’avait pas encore complimenté, lui. Ayant comprit le fin manège, il s’exécuta prestement ! Une petite révérence, des applaudissements grandioses et l’oeil malicieux suffirent à satisfaire l’exigeante Lucille.

Le grincement soudain du parquet dans le hall annonça l’arrivée d’un visiteur. Son père s’était alors levé et, avant même qu’il n’ait pu s’enquérir de l’identité du visiteur, accueillait son frère cadet entre ses bras. John avait pour habitude de passer à l’improviste - il avait quelques affaires dans la rue d’en face, ce qui était la raison principale à la dite (mauvaise) habitude.

Il sentait le tabac froid et le rhum, ce qui déplaisait à Lucille. Elle fronçait le nez dès qu’il la soulevait pour lui embrasser les joues.

« Richard ! T’as entendu la dernière ? Gros Tony s’est fait pincer ! »

N’empêche, elle adorait les visites de John. Il avait toujours des friandises dans ses poches ou un truc rigolo à lui raconter. Et John, il ne tarissait jamais d’éloges et de compliments ! Constamment il lui disait « comme t’es belle ma grenouille ! » Oui, John, il la surnommait « ma grenouille » - mais c’est parce qu’elle aimait imiter le croassement des grenouilles…

« Bonjour John. Ravie de te voir John. »
« Oh bonjour ma bonne Jane, je ne t’avais pas remarqué. » Il avait rit.
John, il riait toujours beaucoup et toujours très fort.
« Quand même ! Goujat ! »
« Gros Tony ? Ça alors… En même temps, il l’a bien cherché. J’comprendrais jamais pourquoi il s’est lancé dans cette merde ! C’est mérité. C’était un sale con de toute façon. »
« Richard ! Langage ! »

Lucille, dans ce genre de situation, elle s’asseyait sur le petit tabouret dans le coin de la cuisine et écoutait attentivement ce qui se disait. Elle était fascinée par les conversations des « grands ». Quand son père jurait - ce qu’il faisait beaucoup - sa mère s’emportait et le rouspettait. Qu’est ce que c’était marrant !

« Son cabaret va être mis en vente aux enchères ! T’imagines ? Je pense qu’on devrait enchérir. C’est une putain d’affaire tu sais. »
« John ! Langage ! »
« T’es pas sérieux ! »
« Y’a pas mal de blé à se faire Rich’, j’te jure. J’en ai parlé à Mario, l’ex comptable de la boîte. Il m’a balancé les comptes et recettes que le Gros Tony s’est fait sur les trois dernières années, c’est monstrueux ! Avec ce que t’as de côté et ce que j’vais gagner sur ma prochaine cargaison de champagne, pas besoin de faire un prêt de cinglé à la banque. »
« C’est de la folie. C’est un gouffre financier et y’a trop de sales casseroles qui traînent, trop de sales histoires collées à ce cabaret. Ça nous porterait la poisse ! »
« Fais pas ta vieille superstitieuse Rich’ ! C’est pas un putain de cirque hanté, c’est une putain de mine d’or ! Une putain de grosse mine d’or ! »
« JOHN ! LANGAGE ! »
« Oui, oui… »
« Laisse-moi y réfléchir Johnny… Tout le blé que j’ai de côté, c’est pour les études de la petite et… »
« On s’en fera tellement avec le cabaret que tu pourras lui payer six fois Harvard à la grenouille ! »
« J’sais pas, ça sent le cramoisi je te dis… »
« Arrête ! Tout Chicago s’arrachera les soirées qu’on y fera ! Du Jazz le vendredi, du rock le samedi, des danseuses exotiques le dimanche… Champagne, cocktails à la mode, canapés en velours rouge… Elle aime ça al musique la grenouille, hein ? »

Lucille avait bondit de son tabouret.

« Ouiii ! »
« M’dis pas que ça sonne pas comme le paradis ? Rich, allez ! Avoue ! »
« Ouais… »

La conversation s’est éternisée jusqu’au soir et John avait finit par obtenir ce qu’il était venu initialement chercher : le soutient de son frère, oui, mais surtout son fric.


Chicago, USA - 1967

C’est l’épicier de la rue St. Andrews qui a rancardé sa mère sur le job. Un chic type, toujours au courant de tout ! À dire vrai, ça ne payait pas de mine comme job : il s’agissait de nettoyer les enclos des animaux du zoo, de nettoyer les toilettes de l’accueil etc. Ce genre de petites tâches ingrates qui ne vous incitent pas à vous lever de bonne humeur le matin. Sauf que, Lucille, la description lui a plu. Du moment qu’elle recevait une paye et pouvait admirer de près les grands fauves et les éléphants, elle aurait pu passer la serpillère jusque dans les égouts du zoo !

Depuis l’absence de son père - dix ans déjà - le porte-monnaie familial peinait à garder un penny. Il fallait payer le loyer. Il fallait payer les factures. Il fallait payer les créanciers… Sa mère, épuisée par les nuits éreintantes à l’hôpital, s’était récemment vue confinée à domicile. Fatigue, fièvre, faiblesse physique, le cocktail malheureux d’un alitement longue durée.

Lucille ne se défaisait pas de sa rage de vaincre pour autant.

Elle avait commencé son job au zoo un lundi.
Le dimanche suivant, John lui rendait visite.

Alors, la belle ! J’ai entendu dire que tu torches les fesses des singes maintenant ?
Il était venu comme à son habitude, sans prévenir et engoncé d’une fierté mal placée. Il était vêtu d’un smoking à rayures sombres et de chaussures blanches impeccablement vernies. Il transpirait le luxe - et le tabac froid, et le rhum. Lucille ne put s’empêcher de grimacer.

Elle n’avait pas très envie de lui causer, ni de supporter ses regards appuyés. La charge de travail de la veille l’avait épuisé, d’autant qu’elle avait dû tenir les cheveux de sa mère toute la nuit au dessus de la cuvette. Une indigestion due aux médicament - le doc’ a dit.

Ça paye bien. Café ?

Elle noue son tablier, en défait les plis au devant et s’attèle à verser de l’eau fraîche dans la bouilloire. La cuisine n’a plus son clinquant d’autrefois. Elle et sa mère avaient dû revendre pas mal de leur mobilier et de leur vaisselle. À période de vaches maigres, mesures drastiques - c’est l’adage propre aux temps qui courent.

Je suis là pour t’offrir un job qui paye mieux que bien. Il s’installe, tout à son aise, dans le fauteuil au cuir usé. Lucille n’aime pas lorsqu’il fait ça, lorsqu’il s’octroie le droit impérieux de profiter du fauteuil de son père.

Or, son père n’est plus là.

Ah ? Encore une de tes combines douteuses ? Il rit.
Non, non. C’est un job sérieux ma grenouille. T’aimes danser, pas vrai ? J’te propose de venir danser les samedis soir au cabaret. J’te paye 30 dollars net de l’heure à raison de trois heures par représentation.

Elle s’arrête et se retourne, la moue circonspecte.

John, depuis quelques temps déjà, n’est plus vraiment le bienvenue. Quelques semaines après la disparition de Richard, il s’était montré particulièrement insistant avec Jane, lui offrant de la prendre sous son aile, lui offrant de venir s’installer chez lui avec Lucille. Une offre en deux teintes, une offre sous-entendant qu’ils auraient à partager la couche… Offre qu’elle a violemment refusé, refus qu’il a très mal pris. C’est qu’il avait un je-ne-sais-quoi de bizarre et de mauvais, un je-ne-sais-quoi que Lucille ne lui avait jamais décelé, jusqu’à ce fameux jour où sa mère s’est refusée à lui.

Y’a forcément anguille sous roche.
Il rit de plus bel. Elle fronce les sourcils et s’assied face à lui.
Ma grenouille, allons, de l’eau a coulé sous les ponts ces dernières années et puis… J’ai à coeur de savoir ma nièce bien nourrie et bien vêtue ! Tu pourras même rapporter les invendus de la cuisine pour toi et Jane.

John, à la base, s’était associé à Richard quant à l’achat et à la direction du cabaret qu’ils avaient récupéré suite à l’arrestation de Gros Tony.
Richard y avait injecté tout son argent - un an après, il disparaissait. Suite à quoi, John a prit pour associés deux malfrats notoires des quartiers ouest.
Les rumeurs veulent que de drôles de magouilles ont lieu au cabaret - rumeurs que Lucille veut bien croire.

Oui mais… Elle a besoin d’argent.

T'as dix-sept ans, ça n'serait pas un crime de bosser les samedis soir en dansant dans le cabaret de ton oncle chéri.

Son sourire gras... Elle ne l'aime pas.

Elle réfléchit. Avoir deux jobs au lieu d'un, cela lui permettrait de payer un ou deux loyers d’avance ? D’offrir à sa mère un weekend à l’air pur quelque part à la campagne ?

D’accord… Pourquoi pas…
Merveilleux ! Viens samedi prochain à 19h. Passe par la porte du local à poubelles - un de mes gars t’ouvrira. Je t’expliquerais sur place les détails de ce que t’auras à faire.

Le samedi qui suivit, elle se présentait à la porte du local à poubelles du cabaret.


Chicago, USA - 1963

Elle avait prit du retard au zoo - par mégarde, elle avait renversé son seau et l’eau sale s’était déversée sur le carrelage des toilettes qu’elle avait pourtant si bien nettoyé. Il lui fallut donc reprendre tout à zéro : balais, serpillère, gants. Un tour de plus sur la grand roue des tâches glamour… Elle en aurait pester jusqu’à ne plus pouvoir user de sa langue, si elle n’avait pas un emploi du temps si chargé.

C’est  donc avec une heure de retard qu’elle arrive à sa loge au cabaret. Les autres filles viennent de terminer un show - un show bonus, sans doute, histoire de couvrir son absence. Si aucune d’elle ne l’assène d’une remarque houleuse, Lucille peut sentir leur mécontentement graisser l’air.

Le coeur battant et les tempes moites, elle s’empresse d’enfiler sa tenue affriolante - si tenue est le terme adéquat. Quelques centimètres de tissu, tout au plus. Une jupe courte qui promet la vue de ses fesses si tant est qu’elle se penche un minima. Une brassière quasi transparente qui promet la vue de ses seins si tant est que la lumière la frappe longuement.
Sa mère l’aurait accablé de ses remontrances si elle l’avait surprise en pareille tenue.

Oui.
Or, sa mère n’est plus.
Elle est décédée il y’a un an, des suites d’une pneumonie.

La photo de son visage, écornée par l’usure d’être tant de fois touchée et pressée contre la poitrine, trône à l’angle du miroir de sa coiffeuse.
Avant chaque représentation, Lucile lui murmure les mêmes mots : pardon maman.

Un peu de rouge sur les lèvres, un peu de fard sur les joues… La voilà qui entre en scène sous le sifflement lubrique et les cris lourds de liqueurs d’un public majoritairement masculin. « La Belle ! Belle Marianne » Ils hurlent. Ils jubilent. L’orchestre exécute les premières notes langoureuses d’un morceau de jazz sensuel. Au fond, accoudé au comptoir du bar principal, John la fusille du regard. Il a les pupilles si noires et si dilatées que Lucille jurerait qu’elles sont possédées par un démon.

Une heure se passe.
Enfin, elle peut regagner sa loge et fuir les yeux hyènes et les faims louves de ses admirateurs.

Belle Marianne. Un instant, elle soupire. Sa gorge se serre.
Quel nom de scène pathétique. Quelle vie pathétique. Quelle fille pathétique.
Elle se regarde dans le miroir - elle veut pleurer.
Toujours, elle veut pleurer. Avant, pendant, après chaque représentation.
Elle veut pleurer.

Comment en est-elle arriver à travestir son âme ?

Soudain, elle voit le reflet de John dans le miroir. Il passe la porte qu’il referme violemment derrière lui. Dans le couloir, elle perçoit les chuchotements angoissés des autres filles - elles déguerpissent.

Tu sais c’que ça me coûte tes retards, Lucille ?
Je suis désolée, j’avais à faire au Zoo et -

Une gifle - violente, cinglante. Lucille porte une main à sa joue, déjà rouge de douleur.
Les larmes embrument ses yeux mais elle se retient. Elle se retient parce qu’il y’a la photo de sa mère. Elle se retient parce qu’il y’a la rage de vivre. Elle se retient parce qu’elle n’est pas une poupée docile - elle veut y croire, elle veut se le prouver.

Petite conne ! Pour la peine ce soir, tu prends non pas un mais deux clients. Tu m’entends ? C’est le vieux Andrews et son cousin, Pastroni. T’en fais pas… Ils ont encore du jus.
NON ! JE REFUSE ! Je ne veux pas ! Je t’ai dis je ne veux pas faire ça, je ne veux plus faire ça ! Je refus-

Une seconde gifle - plus lourde, plus large.
Lucille perd son équilibre, se rattrape à une malle.
Les dents serrées, les poings serrés - elle aimerait se confondre en hurlements.

Tu refuses ? Il rit et ses dents poisseuses se révèlent.
Qui est-ce qui paye pour ta bouffe ? Qui est-ce qui paye pour tes fringues ? Qui est-ce qui paye pour que t’aies un putain de toit sur la tête, hein ? Qui ?

Elle se redresse, s’adosse au mur et cherche une issue - son oncle est une pourriture, oui, mais il devient une pourriture trop dangereuse à parer lorsqu’il est aussi saoul que présentement. L’accès à la porte donnant sur le couloir est hors de portée - il se tient au devant.

Bat-toi Lucille ! Bat-toi…

Va te faire foutre John ! J’t’ai dis que je voulais plus faire ça ! J’t’emmerde toi et ton pognon, toi et ton cabaret de rat-

Avant qu’elle ne puisse terminer sa phrase, John la saisit par le cou et colle brutalement son visage contre le bois de sa coiffeuse.
Lucille geint - l’épreuve lui scie les jambes. Cependant, elle peut percevoir le cliquetis d’une boucle de ceinture s’ouvrant, le bruit sourd du cuir épousant le sol.
Elle comprend - évidemment. Ces bruits de ceinture, elle les redoute, elle les craint, elle en fait des cauchemars à ne plus savoir comment discerner réel et irréel.

Sauf que ces bruits de ceinture, jusqu’à présent, ils n’étaient jamais venus de John.

Qu’est-ce que tu fais ! John ! John ! JOHN ! LÂCHE MOI ! ARRETE !
Je vais t’apprendre le respect, sale pute ! Comme ta mère, toujours pétrie de vos valeurs morales de merde ! Je vais t’apprendre, tu vas voir, je vais t’apprendre !

John ne l’a pas lâché.

Dans le couloir, parmi les quelques artistes qui attendaient de passer sur scène, un silence de mort régnait. S’ils entendaient l’effroi de Lucille et ses cris de douleur, s’ils pouvaient sentir son supplice griser leurs os et glacer leur moelle, ils n’avaient que leurs pleurs étouffés pour la consoler.

Personne ne s’opposait à John.
Personne ne réchappait de John.

Personne.

Chicago, USA - 1965

Son père a disparu. Sa mère est morte. Son oncle est une pourriture. Il n’y a rien d’étonnant à ce que Lucille ait à son tour rayé sa présence de Chicago. C’est ce que les gens pensent, c’est ce que les gens estiment de logique - et puis il y’a eut les rumeurs. Des rumeurs infâmes, des rumeurs tristes. Les rumeurs qui lézardent les murs, qui se passent de bouche à oreille, qui se dévoilent chez l’épicer, qui se transportent chez le marchand de journaux, qui se racontent à table chez le voisin.

Les rumeurs, elles veulent que Lucile ait souffert d’un grave traumatisme au cours d’une de ses représentations au cabaret.
La dernière représentation qu’elle a donné, pour le plus grand plaisir des gars d’la ville, c’était il y’a maintenant deux ans. Le soir là, elle était arrivée en retard.
Un fait qui a de quoi alimenter la lourdeur des rumeurs : ce retard, cela sonnait louche.
La manière dont elle quitta le cabaret aussi, en pleurs et cassée, le regard mort et les joues livides : encore plus louche.

Après quoi, personne n’entendit plus parler de Lucille.

Elle n’était pas retournée à son logis. Elle n’était pas retournée à son travail au Zoo. Il y’a bien eut quelques enquêtes de voisinage, des allers et retours de flics et de gens des services sociaux. John, à lui seul, est passé une bonne vingtaine de fois chez elle. Ses sbires ont longtemps fouillé les rues, à interroger de manière musclée les badauds, les clients du cabaret etc. Rien.

Pas une trace.
Elle s’était volatilisée.

Où pouvait-elle être ? Était-elle morte ? Avait-elle trouvé asile dans une autre ville ? Sur un autre continent ?
Non.

En réalité, elle n’avait jamais quitté Chicago.

Le soir où John l’a violé, Lucille s’est faite une promesse : se venger.

Une vengeance se fomente, s’organise, se prépare.

Elle avait erré des heures durant dans les bas-fonds, à engloutir ses douleurs pour mieux en puiser sa force, sa force nouvelle.
À quoi bon retourner chez elle ? Lucille Anne Marie Lionheart - Belle Marianne - n’avait plus lieu d’être. Il lui fallait disparaître - comme son père avant elle.
Ses pas l’avaient amené dans le quartier des immigrés irlandais - là où il y’a le plus de sans-abris et de mendiants. Ils étaient les invisibles. Ils étaient ceux qu’on ne voit pas.
Lucille les a choisit pour être sa famille d’adoption.

Elle a rasé ses longs cheveux.
Elle a revêtu des guenilles.
Elle a salie ses joues, ses mains.
Ainsi « la Belle » devint la « la Laide ».

Qui se soucie des miséreux ? Qui se soucie des crève-la-faim ?
Lui ? Elle ? Vous ? Qui évite d’abaisser son regard au niveau des pavés pour ne pas avoir à souffrir la gêne, la culpabilité d’être mieux loti, d’être mieux nourri ? Qui ? Vous ? Lui ? Elle ? Qui se cache derrière sa morale bien pensante et ne verse qu’un ou deux cents dans le gobelet car « donnez plus et ce sera dépensé dans l’alcool ! » ? Qui déclame sans trop y croire que si ce gars en est arrivé à faire l’aumône, c’est « parce qu’il n’a pas bien travaillé et ne cherche plus à le faire » ?

Lucille a compris que ce monde n’avait plus rien de doux, ni plus rien de bon à lui offrir.
Les contes ne restent que des contes. Les fins heureuses sont des foutaises.

Il n’y a pas de prince charmant qui puisse vous sauver d’un coup d’épée.
Il n’y a pas de roi au coeur brave et à la bonté sans pareille pour vous éviter la potence.
Il n’y a pas de Robin des Bois pour soulager votre ventre et votre coeur.

Robin des Bois n’existe pas.

Les fins heureuses sont des foutaises.

Deux ans durant lesquelles Lucille a fait de la rue sa mère.
Deux ans durant lesquelles Lucille a appris de ceux que la vie met à l’épreuve à chaque instant.
Deux ans durant lesquelles Lucille a amassé des informations sur son oncle.
Deux ans durant lesquelles Lucille a travaillé son maniement des armes.

Un matin, elle était prête.
Sa vengeance était prête.


Chicago, USA - 1965

Lorsqu’elle est entrée au cabaret, pour la première fois depuis deux ans, et pour sa toute dernière fois - ce fut par la même porte que celle qu’elle a emprunté lors de son premier jour de travail. Elle est entrée par la porte donnant sur le local à poubelles. Elle était vêtue à l’image de ses frères et soeurs du pavé : la tenue des invisibles. Les haillons. Or, en deux ans, ses cheveux avaient repoussé. Si vous posiez vos yeux avec attention sur le visage souillon, vous y reconnaitriez les traits si fins et si beaux de feu Belle Marianne, l’oiseau de paradis du Cabaret Lion.

Personne ne lui prête attention de prime abord. Il est tard.
Les artistes s’affairent à se débarrasser de leurs costumes et de leur maquillage. Les gardes veillent à ce que les clients payent leurs dernières consommations - filles incluses.
Le brouhaha environnant a bon de couvrir le bruit de ses pas la menant à l’étage.

À l’étage, il y’a le bureau de John.

Doucement, elle s’engouffre dans l’entrebâillement offert par les rideaux de velours.
Il était dans son fauteuil et de dos - au téléphone. Il parlait fort et semblait énervé auprès de son interlocuteur.

Un instant, elle se demande s’il ne vaut pas mieux l’abattre ainsi - de dos.
L’idée qu’elle ait à subir son regard - son choc - sa surprise - sa voix… Saurait-elle le supporter ?
Pourtant, si elle l’abat sans prévenir, à quoi bon ces mois de labeur dans la rue ? À quoi bon sa rage, sa rancoeur, sa haine ?
Lucille n’a rien de lâche.

Son courage au paroxysme, elle s’annonce.

Bonsoir Johnny. Un sourire, fade.

Il se retourne - la stupeur aussitôt ancrée au noir de ses iris. Il ne peut y croire.

Une première balle - dans le genoux gauche.

Ses cris, ses jurons.

T’es pas heureux de revoir ta grenouille ?

Une seconde balle - dans le genoux droit.

Ses cris redoublent, ses jurons s’étouffent.

Vingt-sept mois, j’ai attendu ce jour. Vingt-sept mois.

Une troisième balle - dans le ventre.

SALE PUTE ! SAL- SALE P- SALE PUTE !

Il s’écroule, se lamente et frappe le sol de ses poings.

J’vais te crever ! J’VAIS T’CREVER T’ENTENDS !

Il rampe. Il tente de lui attraper les chevilles. Lucille s’écarte.
Il n’y a que dédain sous ses cils - un dédain aussi pur que la glace lui cajolant le coeur.
Il tente de se relever.

La merde, ça reste au sol Johnny.

Une quatrième balle - dans la cuisse droite.

Puuutaaain PUTAAAIN SALE PUUUTE ! J’vais te crever comme lui ! Il ricane - sa gorge déborde de râles et de borborygmes ineptes. J’vais - J’vais te crever comme Richard ! Comme ton sale enculé de père ! Je vais te crever et tu vas l’rejoindre lui et ta salope de mère !

Lucille ne bronche pas.

Elle sait.
Elle savait.
Elle a toujours su que Richard n’avait pas simplement disparu. Au fond de ses tripes, au fond d’elle-même : elle savait. Son père ne lui aurait jamais fait ça à elle et à sa mère. Jamais.

C’est un ancien ami de Richard et sbire de John qui le lui a confirmé, il y’a neuf mois - il était venu se piquer à l’héroïne dans le quartier où elle résidait. Entre deux spasmes euphoriques, et alors qu’elle s’était précipitée à son secours de peur qu’il ne meurt d’une overdose, il l’a reconnu : l’oiseau de paradis, Belle Marianne. Il l’a reconnu et lui a murmuré « John a tué ton père, j’étais là, pardon, j’ai rien fais, pardon, pardon, pardon la belle, toute belle si belle, pardon ».

La merde, ça ne parle pas Johnny.

Une cinquième balle dans la mâchoire.
Une sixième balle dans les côtes.
Une septième balle dans la gorge.

Elle pleure. Elle pleure Lucille.
Dix ans de larmes. Vingt ans de larmes.
Sa mère. Son père. Son enfance. Son innocence.
Ses rêves brisés. Sa vie de fantôme. Son errance.
Les douleurs. Les cauchemars. Les nuits sans sommeil.
Elle pleure. Elle pleure chaque petit bout d’elle-même - les milliers de petits bouts, les milliers de larmes retenues toutes ces années.

Une huitième balle.
Une neuvième balle.
Une dixième balle.

Dix-neuf balles.

John est en morceaux.
Lucille est enfin entière.


secret
Il aura fallut deux balles pour le tuer - les dix-sept autres, c’était par peine et rancoeur.


Lucille a tué son oncle, John.
Les flics ont d’abord cru à un règlement de compte entre mafieux. A Chicago, en ce temps là, c’était monnaie courante, d’autant que John avait mauvaise réputation. C’est ce qu’ils croyaient, ouais, jusqu’à ce qu’ils trouvent, quelques jours plus tard, l’arme du crime dans le tiroir de la table de chevet de la chambre de Lucille. Sa nièce, surnommée « la belle » par les gens du quartier.
Lorsqu’ils ont souhaité l’interpeller, il était déjà trop tard - la belle s’était jetée du haut d’un pont dans une rivière. Suicide par noyade. Son corps fut repêché quelques heure plus tard - elle avait encore le sourire aux lèvres.


En quelle année et où a t-elle grandi ? Lucille a connu les folies des années 1950-75 au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, à l’aurore des révolutions du siècle à venir. Fille d’une famille aux métissages à multiples nationalités, elle n’aura jamais quitté Chicago, à son plus grand regret. C’est en son coeur battant, entre rixes mafieuses, police échaudée, bars à foison et pauvreté du pavé qu’elle a fait ses armes de femme. Ça n’a jamais été facile - à noter que sa mère était noire et que son père était franco-anglais ; autant de détails propices au rejet des autres. Si ses parents n’étaient qu’amour, le monde lui semblait n’être que violence et méchanceté. Fort heureusement, qui dit Chicago…dit musique ! Le rock et le jazz offraient leur lot de musiciens jour après jour comme on sème le blé ! Les mentalités bougeaient au grés de ces artistes de la note qui rivalisaient de rythme et de style. On osait danser et rire des années passées et de leur lot de chagrin. On osait évoquer à voix haute ses rêves et ses envies d’ailleurs. Tout paraissait possible - même marcher sur la lune. En grandissant, Lucille s’était mise à arpenter les pistes de danse et les pubs de mordus du saxo’ avec assiduité et avidité - le monde lui paraissait alors un peu moins moche.

Un souvenir marquant de sa vie d’avant ? Elle avait neuf ans, c’était en 1959 et Chicago étouffait sous un été caniculaire. Pour la remercier de lui avoir aidé à faire ses courses, un vieux monsieur du quartier lui avait donné quelques cents afin qu’elle puisse s’offrir une glace chez Gigi - le marchand ambulant, celui qui faisait les meilleurs glaces de tout le district : et je vous met au défi de me dire le contraire ! Devant sa petite fourgonnette blanche, par miracle, il n’y avait qu’une seule personne qui attendait - pas de longue et interminable file d’attente ! Lucille s’en félicitait - elle n’avait pas envie de s’éterniser de peur de finir en flaque de sueur. La personne avant elle, c’était une dame d’un âge moyen, élégante et soignée. Elle avait une fleur dans les cheveux, ils étaient noués en un chignon travaillé. Sa robe blanche tombait à mi-genoux et se soulevait au rythme de la brise passante, sans jamais trop en montrer. Une dame de la haute, une mondaine - c’est ce qu’elle pensait, Lucille. Elle la fixait avant tant d’insistence qu’elle n’avait pas remarqué que, au bout de quelques minutes, la dame s’était retournée. Elle lui offrait un large et chaleureux sourire suivit d’un « Aurais-je une tâche quelque part ? » lorsque notre gaillarde sortait enfin de sa contemplation. Les joues rouges de gêne, elle balbutiait quelques excuses puis, débordée par ses émois, s’enfuyait à grandes enjambées à l’angle du square. C’est au bout de vingt minutes, tandis qu’elle était recroquevillée en crapaud sur un caisson de bois, la mine boudeuse et l’air triste - c’est qu’elle n’avait pas pu acheter sa glace - que la dame apparaissait à nouveau devant elle. Son large et chaleureux sourire toujours aux lèvres, elle lui tendait un cornet à trois boules surplombées d’une chantilly affolante. Lucille n’en croyait pas ses yeux. « Tu t’es enfuis si vite, une vraie sauterelle ! » Ses joues se coloraient d’un rouge plus vif encore. « Tu n’as pas eu le temps d’acheter ta glace alors en voici une. Prends-la, n’hésite pas. » Elle s’exécutait, le geste timide et la bouche pincée d’embarras. « Tu m’as fais rire ! T’en as de l’énergie dans tes guiboles ! Tu me les prêterais ? » « Oui ! Oui ! Bien sûr m’dame ! » Elle avait répondu, entre deux hoquets d’empressement et sans réfléchir à la naïveté de sa réponse. La dame éclairait de rire et, le geste tendre, lui caressait les joues avant de conclure leur drôle de rencontre : « Moi c’est Billie, Billie Holiday. Ça te dit de venir me voir chanter ce soir ? »

C’est ainsi que Lucille, neuf ans, eut la chance le soir-même de voir chanter sur scène celle qui devint plus tard sa chanteuse préférée. Une semaine plus tard, Billie Holiday mourait.

Comment est-elle morte ? Lucille est morte en se jetant du haut d’un pont dans une rivière. Un suicide - oui. Mort dont elle aurait honte aujourd’hui car ne dit-on pas des personnes qui commettent un tel acte qu’elles sont lâches ? Si elle avait dû s’expliquer au moment des faits, aurait-elle simplement déclaré souhaiter un repos mérité et l’annihilation de ses peines et de ses vécus douloureux.

Comment a-t-elle réagi à son arrivée ? D’un naturel pragmatique, elle a immédiatement songé avoir été enlevée par des malfrats douteux puis emmenée en terre inconnue pour être vendue (oui, c’est ici sa définition d’une réaction pragmatique (adieu)) ; elle a finit par comprendre assez rapidement sa situation et s’en est agréablement étonnée ; une seconde chance, un nouveau départ… Peut-être allait-elle enfin vivre la vie qu’elle a toujours si violemment désiré ?

Quelle est sa plus grande peur ? Elle a peur d’être abusée, trahie ou abandonnée - aussi cherche t-elle à se lier le moins possible aux autres. Un lien, c’est le risque de voir ses craintes se réaliser…

Son objectif à Wonderland ? Elle souhaite poursuivre ses explorations des contrées les plus lointaines ! Elle veut répertorier tous les êtres vivants qu’elle croise, leur écosystème, leurs évolutions, leurs mode de vie etc. Elle souhaite également cartographier les terres ou endroits qui ne le sont pas. Son rêve actuel : publier une encyclopédie du monde animal de Wonderland !


coucou c'est la loutre aka aliochette aka la gourdasse qui peut pas attendre plus de dix jours de faire un dc jpp - en espérant qu'il vous plaise et que je puisse vous inonder de mes envies de rp O U I love

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body and soul ❈ belle marianne Dim 31 Jan - 19:07
panic panic panic
épouse-moi

(jedit)

edit

Citation :
lorsque vous regardez lucille, vous voyez la personne qui est la plus chère à votre coeur

alors je te le dis mtn mais tu le sais je suis sûr ; susan va la fuir comme la peste /OUT

SINON DAMN DAMN DAMN
alors tout, elle tape dans tout ce que j'aime
EN PLUS ELLE A VU BILLIE HOLLIDAY
et juste l'époque dans laquelle elle a grandi, l'histoire chargée dans laquelle elle a vécu et goddamn comment elle-même sa vie chargée, tellement pleine, tellement ronde comme un fruit mûr tellement humaine !!! c'est un zeitgeist dans cette fiche, l'odeur, le souvenir d'une époque, une esthétique musicale, artistique, culturelle ; damn damn j'te jure jui deep in love AGAIN ARRÊTE ÇA SUFFIT

oof et elle est tellement
b e l l e ???
tellement vraie ?? ça la rend forte ça la rend magnifique, la nature dans tout ce qu'elle vit, mais vraiment g plus de mots mdrrr

y'a des feels en mode this is me la chanson et en + dans le film zendaya joue aaaaa

RE-BVN BABE
hug panic panic
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body and soul ❈ belle marianne Dim 31 Jan - 19:31
Awwww fire Rebienvenue Bébouuuuuu

Bordel, encore un perso qui claque juste de OUF. La Belle Marianne, l'histoire, le carac, je veux dire tout est d'une beauté, ça me coupe le souffle sans déconner. Et puis ce Feat je ne connaissais pas mais il tellement DIVIN.

Je suis trop contente de te voir débarquer avec DC, Elle est juste OUF. J'ai trop hâte de stalker tes rps, je te le dis comme c'st trop de love sur elle.

ReBiennnnnvenue fire ❤
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body and soul ❈ belle marianne Dim 31 Jan - 20:33
"ptn je galère à écrire dessus" mais quelle menteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuse

Déjà. JTM. Mais genre oui. Idem que Susan, épouse-moi dans un pays où la polygamie est acceptée.
Franchement, je trouve personnellement que l'écriture diffère de celle avec Aliocha. Et déjà ton écriture c'est un pur régal avec le petit bleu et bah c'est pareil avec la belle Marianne. Je- Le premier truc que je me suis dit en lisant ton petit passage histoire c'était "Je pourrais en lire un roman". C'est très sincère. Mais quel pur- juste- urgh mais quel talent donne en un peu non ?
Lucille est aussi attachante et drôle (ptn t'as de ces facts qui me ptdr ). Elle est juste... parfaite. Tout simplement.
Tu sais ce que je pense de tes refs 👏
Ton pouvoir, si bien choisi 👏
Et enfin, il nous faudra aussi un lien. Lucille et Truth sont des femmes qui ont vécu dans les années 50-70 donc c'est juste comme ça en fait y'a pas le choix 😔
L'histoire est personnelle et à la fois tellement bien intégrée à l'histoire du monde comme Aliocha, c'est des détails qui font de ta fiche une vraie pépite. Les excellentes ref musicales et à une artiste en particulier juste wow Little Richard en lien juste génial
Perso je dis Truth elle adore la Motown, faut qu'elles dansent ensemble, elles vont se trigger toutes les deux des chansons de leurs vies humaines

Anyway, la prochaine fois que tu dis que tu galères et tu me ponds un truc que je viendrais volontairement acheter dans une librairire je te flingue bébé 😔 😭 🔪 ❤

PS : la fiche en elle-même, le codage, est perf

Oh et rebienvenue bébou hug
I say a little prayer for yoooooooooooooooou
si t'as la ref
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John J. Ginsberg
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John J. Ginsberg
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ne ferait-on pas un gang club libertin de gens dang swag sexy svp l

susan - prépare ton tuba, j'arrive (traduction : jtm, à très vite dans le lagon)

jamie - il suffit, vous êtes trop bonne ma belle dame - allons plutôt se saouler au rhum qqpart stp, et canter la chanson des pirates "le roi et ses pairs ont enferméééé la reinnnne" (voilà tu l'as dans la tête) t'es trop mims jpp epighzgihzogizehgoihezg J'ai trop hâte de stalker tes rps, je te le dis comme c'st trop de love sur elle. EUH ? STALK ? non, tu vas rp avec moi (oui, j'espère, j'aimerais) love

truth - les noces seront dans 1min, fais pas ta rachel, me plante pas - sors le voile, je prépare les anneaux (pour les doigts) (je voulais semer le doute) (ok j'arrête) (amour gloire et sitcom des années 90s) (imagine à présent fétide roucouler à tes oreilles et t'auras le bruit de mon amour pour toi (ou imagine le bruit d'un 4L en côte) (c bruyant et ça s'entend/voit de loin)
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body and soul ❈ belle marianne Dim 31 Jan - 23:04
j'arrive sous meliodas ce soir pour te retémoigner de mon amour et je mettrai un commentaire jtm
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Meliodas A. Sherwood
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body and soul ❈ belle marianne Lun 1 Fév - 0:53
double post exceptionnel abus tyrannique parce que je simp LA BELLE MARIANNE
(j'édite demain)
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body and soul ❈ belle marianne Lun 1 Fév - 12:07
ok ptn mais épouse moi en fait

Citation :
Elle se touche tout le temps les seins « ça m’apaise, c’est le meilleur anti-stress » un vrai toc !
j'me permets de quote ça bc je feel de ouf

c'est fou vraiment, j'ai dévoré l'histoire, je veux la suite, ça se lit si bien
et l'ambiance était tellement posée, hyper ancrée et visualisable, limite je les entendais parler surtout quand ils disent "gros tony"
tout cette ambiance de mafia de Chicago et tout
et puis cette mort, formidable, elle est si forte, elle est incroyable
le souvenir marquant avec Billie Holliday c'est fou quelle claque

rebienvenue ♥
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body and soul ❈ belle marianne Lun 1 Fév - 13:22
Roh là là mais cette fiiiiiiche 😔
J'adore le mood du perso les facts sont perf (en vrai j'ai ris tout le long jpp ils sont tellement perf) la manière dont est écrit le cara j'aime beaucoup aussi 😔
Par contre jvais noter que ton pouvoir est source de BEAUCOUP TROP de problèmes, surtout pour un de mes persos, vade retro well

Rebienvenue et courage pour ta fiche !!
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John J. Ginsberg
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John J. Ginsberg
― la honte des chaussées de campagne
body and soul ❈ belle marianne Lun 1 Fév - 17:02
milo - dans mes bras little bro, partons chez les singes et à la conquête de l'espace entre les espaces de l'espace temps des monts enneigés de la poudreuse de la vie (tout ça oui)
t'as tout mon amour en bar chocolatée et en cacahuètes caramélisées
m e r c i

keith - me fuis pas OH TU REVIENS on va causer toi et moi, oue (mtn tu imagines lucille avec la voix de Marlon Brando dans le Parrain I. stp) "je vais te faire une offre (de lien) que tu ne pourras pas refuser (rire étouffé par le cigare)
allez la bonne bise
(non en vrai merci ??? je ??? pieghzoeigh <3)



melodias
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amour
❤
->
vie
jtm
❤
(allons nous promener dans les bois au clair de lune)
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body and soul ❈ belle marianne 5879c2b1eeb442047029b666638fe1d3dbbf1755
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body and soul ❈ belle marianne Lun 1 Fév - 19:04
Bon du coup je viens le redire ici en vrai de vrai parce que commenter juste sur discord c pas très juste

Lucille c du bonbon pour les yeux + cette fiche aussi d'ailleurs, qui fut un bonheur à lire ✨ mais qui est surpris, avec ta plume divine là

Hâte de voir la belle Marianne évoluer dans Wonderland 💙
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body and soul ❈ belle marianne Mar 2 Fév - 0:25
panic panic panic

aaaaaaaahh
merci mon chaton
t'es trop mims AGAIN jpp
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body and soul ❈ belle marianne Mar 2 Fév - 12:37
Bravo, Tu es validé !
j'ai trop de choses à dire sur cette fiche...
déjà??? stp??? c'est sublimement écrit, ton vocabulaire là, ta manière de détailler les scènes là j'adore (t'as pas gagné un concours d'écriture pour rien hein on va pas se mentir)
les facts morte de rire et en meme temps soufflée genre c tellement l'esprit de belle marianne j'adore et again ça donne bcp d'idées pour des rp donc pfiou

LA REF A BILLIE HOLIDAY JE ME SUIS ETOUFFE
j'aime trop quand on insère des trucs du réel dans les fiches et construction de personnage
l'histoire (trop longue par contre j'ai cru die) mais sublime, et les deux phrases de la fin là AIE AIE AIE
j'adore je suis fan
tout est trop bien

je suis meme pas objective j'ai l'impression mais pourtant je vous jure je le suis
les feats +++++
bref ALLEZ VA RP LA


Maintenant que tu es validé.e, tu peux aller recenser ton avatar (www) ainsi que ton pouvoir (www). Si tu as choisi un rôle spécifique, merci d'aller également le spécifier ici (www). Tu peux dès à présent créer ta fiche de liens (www).
Amuse-toi bien sur Sandman !

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