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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Jeu 4 Fév - 16:10 people are strange musique - La lune en croissant éclaire gracieusement les contours des bâtisses. Elle leur donne un aspect quelque peu mystique. Les parfums moites et les effluves âpres qui se dégagent de cette échoppe t’invitent subtilement à passer sa porte. Ils ont ce soupçon d’enchantement propre à l’abandon et à l’ivresse que tu affectionnes tant. L’heure, tardive pour les esprits raisonnables, est celle que tu as choisis pour quitter ta demeure et laisser libre cours à tes passions nocturnes favorites. Fort heureusement, tu n’auras pas à les satisfaire seul - la solitude n’est pas bonne amie pour ce genre de pérégrination. Non… Ce genre de pérégrination requiert l’âme la plus enclin à l’abandon. Quelle meilleure disciple de l’abandon que l’âme de Charles ? Entre toutes celles partageant ton affect, Aliocha, c’est elle qui s’octroie le privilège ingrat d’accompagner tes vices. Charles. Il est aussi beau que ses douleurs sont fascinantes. Adossé nonchalamment au mur de l’échoppe - indifférent aux allées et venues de ses visiteurs, tu patientes. Comme à ton habitude, tu es en avance - l’impatience de te divertir et de voir ton alter ego t’ayant ravi toute modération. Puis, après un tranquille regard sur l’allée voisine, tu le vois. Sa silhouette filiforme et ses cheveux clairs ne pouvant tromper ta vue. Aussitôt il naît, ton sourire vampire, ton sourire de goule. Aurais-je le droit, cette fois-ci, de le dévorer ? Non, Baba. Il serait dommage de nous priver de sa compagnie. Je l’apprécie, tu sais. Tu te redresses et, lorsqu’il arrive à ta hauteur, c’est d’un geste indolent que tu félicites vos retrouvailles. Tes mains sur ses épaules et ta voix cajole à ses égards. Charles. Ses yeux offerts à la griffe des tiens. Je suis si heureux de te retrouver.Aussi, non sans attendre davantage, tu vous presses à pénétrer les lieux qui, pour une durée indéterminée, accueilleront vos intempérances. Il y’a foule ce soir. Certains visages te sont familiers, d’autres non. Parmi ceux que ta mémoire formalise, il y’a une jolie blonde aux courbes affolantes qui - évidemment - a connu ta couche. L’idée de pousser Charles dans ses bras, d’ici quelques heures et après quelques verres, germe en ton sein. Il te serait délectable, en effet, de le voir aux affres de cette tentaculaire créature et d’en tirer du plaisir. Aliocha, voyeur. Serait-ce réellement délectable ? Aliocha, le partage n'est pas de tes vertus. Nous verrons. Il vous faut d’abord prendre sièges et tablée. Ceci fait, tu commandes une bouteille d’un vin des plus doux mais non moins des plus alcoolisés. Ne t’ayant pas départit de ton sourire, ton attention toute entière se reporte sur Charles. Dis-moi… As-tu trouvé le sommeil récemment ? Peu importe le contexte dans lequel vous êtes, ta curiosité quant à ses troubles et ton empathie s’en découlant, ne t’abandonnent jamais totalement. | | | | | end // (w18) perdition × charles Jeu 4 Fév - 16:48
Il est des âmes damnées Qui s’entremêlent parfait à ton esprit torturé Des cœurs bousillés, Enivrer par le besoin du péché Enivré par la luxure, l’ivresse alcoolisé Il est un secret, Terrible secret Charles que tu refuse d’avouer Celui de ces soirées Habillée de la chaire, de l’ivresse, du péché Auxquelles tu t’adonne pour oublier Pour avec violence te noyer Pour surtout continuer de t’écorcher Parce que c’est qu’on t’a appris à aimer La douleur, la culpabilité, plaisir démesuré, Besoin de se sentir des angoisses libérées Besoin d’exulter Besoin tes insomnies tuer Parce que c’est bien tout ce qui semble fonctionner.
Plaisir que tu viens à partager. Avec un seul être capable de l’encaisser, Un être qui t’aide à plonger Couler, mourir noyer. Et c’est lui que tu viens retrouver.
Déambule tes pieds sur le sol pavé Se meurt ton regard embrumé, faitgué Se pose finalement sur ce corps, cette entité, Il est un de rares qui peut s’octroyer Le droit terrible de te toucher Sans qu’une crise cela vienne à déclencher.
Paradis dans ses cheveux bleuté, Enfer sous la pulpe de ses doigts manucurés Il est celui avec qui tu ne peux culpabiliser Celui qui te voit tel que tu es. Dans cette noirceur exacerbée que tu te tues à cacher.
« Aliocha, plaisir partagé. Tu es sublime. »
Sincérité exacerbé, Aliocha est beau, il le sait, Mais tu ne peux t’empêcher de lui répéter Comme une poésie d’éternité, Une sérénade toute dédiée, Laisse un soupir léger s’échapper D’entre tes lèvres fines et dessinées Quand il vient ses mains sur tes épaules poser Frisson léger.
Entre dans cet endroit que tu connais, Que vous connaissez Rendez-vous mainte fois répétés. Glisse ton corps discret, Balaye de tes iris l’assemblé, Sort de ta poche une boite d’un ruban orné Sourire en coin installé A l’attention de ton partenaire de péché.
« Je n’ai pas pu m’en empêcher, je me suis dit que cela te plairait »
En ouvrant il trouverait Une fiole de verre galbé Avec un liquide particulier Vodka que cela s’appelait Auprès d’une tes clientes tu l’avais chiné Echange de bon procédé Te souvenais de la Russie évoqué Dans tes pensées Quand parfois tu l’avais touché De manière prolongé.
Moue compliqué, En témoigne les cernes d ton visage attaqué Quand il vient à demander Comment se porte tes nuits torturées.
« Pas Vraiment. Parfois tes produits font effet, des fois les cauchemars semblent ne jamais vouloir s’arrêter. Comme si rien ne pouvait me soulager. »
Hausse tes épaules frêles, désabusée, Te permet d’enchainer
« Tu crois qu’un jour j’en sortirai ? C’est peut-être ma destinée. »
Avoir une vie d’insomnie peuplée De terreur et de péché mêlé Rien pour réparer, Les restes de son âme brisé
« Mais parle moi de toi, parle moi des rencontres que tu as fait, fais moi rêver. »
Parce qu’il n’est, Que cette chose qu’il ne t’arrive plus jamais Rêver.
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Jeu 4 Fév - 18:47 people are strange musique - Oh la liesse de cette voix, Aliocha, et les notes du piano invisible au noir de ta poitrine qui s’éveille, triste de cette affliction ingénue. Ne pourrait-il être plus doux à tes yeux qu’il ne l’est à tes envies ? Oh la tendresse de ce présent, Aliocha, et les mémoires humaines qui se son tuent sous tes paupières, éveillées par ce que tes doigts découvrent en défaisant le ruban. En cet écrin, cette pensée qu’il a eu à ton égard - une fiole aux reflets lumières. Et c’est à ses effluves que tu dois l’abîme fugace et la reminiscence d’ivresses d’un âge révolu. Depuis quand n’as-tu pas salivé pour la vodka et ses degrés trop forts pour soustraire son abus aux migraines du lendemain ? Silence - un instant, quelques secondes. Bol'shoye spasibo vam*… Peux-tu l’entendre, Charles, dis ? La mélodie de la langue qui fut mienne ? Peux-tu percer la magie gangrène de ce monde qui nous ôte les efforts à faire pour comprendre l’autre ? *Je te remercie grandement.Entre tes mains tu serres la fiole comme on étreint le coeur d’une enfant - et tu ne sauras jamais lui témoigner ô combien ce qu’il vient de faire t’as touché au plus profond de ton être. À l'abris d'une poche de ton pantalon, tu la caches - son heure de gloire viendra. Et pour mieux balayer cette étrange mélancolie, tu portes ton verre à tes lèvres et l’en vides de son contenu pour mieux le remplir à nouveau. Alors ton sourire renaît, plus tendre que tu ne souhaiterais l’admettre. Mes produits sont peut-être inefficaces car je ne suis pas là pour te les administrer. La malice, la complicité d’un regard amusé, amusant. Pour autant - le sérieux des cauchemars et des insomnies qui le harcèlent ne t’amuse pas. Cesse de faire intervenir le destin. Nul destin n’est irrévocable. Ce n’est qu’une question de choix ! Tu dis - emporté par un élan philosophe qu’il ne saurait te faire contredire. Je suis persuadé que tu finiras par dormir du sommeil du juste, un jour. Je suis persuadé que tu finiras par t’en sortir, Charles. Et ton sourire s’étire, habillé de cette confiance tranquille qui t’est si chère. Tu le sais, Aliocha - tu le sais. Un jour, Charles n’aura plus à redouter le sordide de ses draps, n’aura plus de livide que son lit vide. Ce jour sera à révérer - et à déplorer, peut-être, sans doute… Auras-tu encore quelconque utilité ? Sauras-tu accepter la solitude quant à tes pérégrinations nocturnes ? Sauras-tu te passer de ces compliments qu’il couche volontiers à tes pieds ? Tu es sublime.Aliocha, avare d’attention. La question se posera le moment venu. Je pourrais essayer de t’hypnotiser ? C’est un traitement que nous n’avons pas essayé. Si tu veux bien ? A ta prochaine visite à mon domicile par exemple…Négligemment, tu vides ton verre - et pour la troisième fois le remplit. Le désir de s’enivrer te presse. Et tu te délasses - les bras étendus sur le dos de la banquette, les jambes déployées et croisées sous la table. À tes aises, te voilà déjà salué par le confort assuré que seul sait prodiguer l’alcool. Te faire rêver ? Et tu ris, tout en gaité. Ma foi… J’ai fais la connaissance récemment de la fée des dents. Une très jolie demoiselle de Neverland. J’aspire à la revoir. Truth Fairy. La vision de sa mort t’avait tant et si bien tordu les entrailles d’hilarité que tu crus mourir toi-même ce jour là. Oh et… J’ai pu jouir, littéralement, du fils du Temps. Il y’a quelques jours… Et tu ris, tout en finauderie. Aliocha et ses appétit charnels. Aliocha et ses débauches éternelles. Il aime te les confier, Charles - il aime s’épandre en lubricité sous tes yeux. Tu ne le juges pas Charles, le sais-tu ? Pour toi seul, il se déshabille réellement. Je te livre volontiers les détails affriolants de mes ébats si tu me racontes quelque chose de croustillant à ton sujet. Et à cette offre, tu lèves ton verre, et à la singulière félicité qui vous enveloppe, tu vides ton verre. | | | | | end // (w18) perdition × charles Jeu 4 Fév - 21:09
Telle mélodie à tes oreilles abimées Pour toujours tu pourrais l’écouter Encore et encore fredonner N’importe mot n’importe quelle onomatopée Dans cette langue dont tu ne connais Ni les tournures ni les poèmes déposé Mais vient à transcender Ton âme écorchée de sa beauté L’observe obnubilée, Mettre dans le secret Dans sa poche de pantalon l’objet Tu le sais , ça lui plait.
Vient toi-même à ton verre le vider, Comme si les portes du Paradis s’ouvraient, Laisse un petit rire léger D’entre tes lèvres s’échapper Laisse ton regard plus malicieux se posé Sur ce visage qui sait Si bien si parfaitement te faire vibrer.
« C’est donc ça le nœud du problème finalement »
Ta voix empreinte subtilement de sensualité Elle n’est qu’à ses oreilles réservée Parce que l’ivresse est la clé De la porte de cet homme que tu as été Celui qui n’apparait Que sous tes éclats alcoolisé Qui dans les draps des autres se complait.
« Je n’ose imaginer la tête de mon grand-père si il te trouvait dans ma chambre à coucher. »
Vient le second verre à vider Laisse ton regard prendre ce timbre embrumé Laisse l’alcool dans tes veines se nicher.
« Il virerait finalement gay. »
Sourire amusé, Tu sais que jamais cela n’arrieverait Cet homme qui au dessus de ta tête fait planer Une épée Il est là pour contrôler. Diriger, juger le reste de ta vie d’homme raté. Ecoute Aliocha parler Mais ne laisse qu’une pensée te traverser Est-ce qu’on souhaite vraiment de la tourmente s’extirper Est-ce qu’on veut vraiment être sauvé. Parce que ça pourrait Nous voler Les instants qu’on est train de passer Ce péché, ce droit de liberté Dépose de tes doigts guidés Le troisième verre que tu viens de vider Songes parfumés
« Dis juste que tu rêves de m’avoir à ta merci, tu sais que tu n’as pas besoin de m’hypnotiser pour ça, ton charme n’a aucun problème à m’nvouter »
Il est sérieux tu le sais Mais t’es terrorisé Angoissé par une autre nouveauté
« Je viendrais. On peut essayer. Merci de t’en préoccupait. Je suis désolé de toujours t’inquiéter… »
Tu le pensais, Tu ne voulais pas le voir s’inquiéter Tu ne jugeais pas le mériter. Aliocha valait Bien plus que tout ce que tout aurait pu mériter Il était étoile, quand tu n’étais Que poussière sous les semelles, écrasée.
« La Fée des dents ? Elle doit être amusante. Surtout si tu veux la revoir, Aurais-tu finalement succomber aux charmes d’une femme Aliocha ? »
Sur ton regard un air malicieux vient se déposer, Inquisiteur, vecteur de curiosité Peut-être un jour il t’abandonnerait Tu le savais Lui, un jour il trouverait quelqu’un pour l’envelopper Quelqu’un qui le mériterait Pour l’aimer comme il le devait
Et tu savais déjà, tout ce que tu y perdrais Lève ton verre de nouveau complet Et dans une lampée Viens comme lui à le vider
« Quelque chose de croustillant… J’ai rencontré une adorable fleuriste dans les jours passé, elle avait un rire, ça m’a donné le sentiment de voir tu sais…un soleil. »
Sourire doux et posé Quand ton regard se perds à la volée Revient vers Aliocha amusé
« En plus croustillant … »
Viens à murmurer. Rapproche ton visage de ses jolis traits Jusqu’à vos souffles alcoolisé se mêler.
« Je crois bien que je devrais essayer de le faire attacher. A nouveau. On finit par apprécier.»
Sourire empreint de sensualité Lentement revient à ta place initiale t’installer James t’avais fait aimé James t’avait brulé Implanté ses désirs mauvais Mais tu ne pouvais plus t’en passer Surtout quand tu étais aussi alcoolisé.
« Tu as déjà essayé ? »
Ta tête légèrement en arrière jeté Tombe les éclats blanc maculé De tes cheveux sur ta nuque prête à être dévorée. Tu ne sais plus par quel bout tu voulais jouer.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Jeu 4 Fév - 22:54 people are strange musique - Il te serait difficile de prendre la porte et de fuir, Aliocha, et pourtant tu t'en féliciterait car oh, cela soulagerait le carmin qui sévit au creux de tes côtes. Carmin, le rouge carmin d’un palpitant aux aboies - et ses fièvres lubriques qui l’accablent d’un rythme saccadé. Que t’arrive t-il, Aliocha ? Ta sensibilité aurait-elle les envies louves, fille facile ? Charles est ton comparse depuis quelque temps déjà - et tant de temps partagés attablés, amusés, abreuvés - et tant de temps à échanger, à s’éplorer, à consoler - mais jamais de temps de minuit, jamais de temps ensemble en l’intimité d’un lit. L’idée t’a maintes fois grisé les méninges - après tout, pourquoi pas ? Pourquoi ne pas séduire cet Adam brisé de jour, complet de nuit ? Tu souris maladroitement - engoncé de cet embarras inopiné. Tu n’as jamais souhaité le séduire autrement que part malice et frivolité. Si autrement se faisait, si autrement tu le séduisais, pour d’autres avancées, pour d’autres espérances, alors elle adviendrait. La crainte - inévitable, de vouloir le consommer, de vouloir être consommé - encore, encore, et encore et de perdre ce tendre et candide lien qui vous unit. Ton grand-père, s’il finit ne serait-ce qu’émoustillé par un quelconque être humain, ce serait déjà incroyable ! Tu ris - et tu chasses la chaleur qu’il a bercé sous tes cils, si près, si près de ton visage - et tu consoles son absence et tu tais l’envie qu’elle revienne plus près encore. Vos verres poursuivent leur balai hypnotique - se vident, s’emplissent. La première bouteille n’est plus. Une main levée. Une seconde bouteille arrive. Pan après pan, les barrières de ton inhibition s’affaissent et les peurs, et les faiblesses, et les questions - toutes, lentement s’enterrent sous leurs débris. Flatteur, toujours, toujours si flatteur… Tu dis, tu t’égayes, accusateur sans sérieuse accusation. Mon charme n’est pas aussi envouteur ! Preuve étant, je n’ai pas encore réussi à t’avoir dans ma couche. Tu dis, tu ris - un rire d’oiseau qui bat de l’aile. Or, un éclair succinct de lucidité frappe ce rire, ce rire d’oiseau. Porteur des peurs, et des faiblesses, et des questions, il te pousse à les parjurer (à te rassurer). Non pas que je le souhaite ! Bien sûr…Quel chiffre ? Huit ? Est-ce le huitième verre ? Non, le septième. C’est là que les contradictions adviennent - que le blanc se veut noir et que le rouge se plaît au jaune. C’est là que les émotions chavirent et s’emmêlent - que les gestes grandissent et que les filtres disparaissent. Moi ? Succomber ? T’as les yeux qui roulent, soulignant ta fierté à peine crédible, si peu véritable. Je ne succombe pas si facilement aux charmes de la première jolie brune, fut-elle la fée des dents. Ah ? Ou un peu, peut-être, je crois, je ne sais pas. Nous verrons ! T’as les fossettes guillerettes comme deux parenthèses. Et toi ? Le soleil ? La belle fleuriste ? Mh ? Renvoyer la balle. Tu n’voudrais pas lui compter fleurette ? Perpétuer ton rire. Et ton rire - il a le parfum du raisin et bientôt le parfum des amandes. Un rire de raisin et d’amande. Ce sont des amandes, oui, que tu sors d’une poche de ton sac. Un sachet, un sachet débordant d’amandes. C’est que la faim (ta faim) n’est jamais loin de la soif - jamais loin de l’ivresse. Petit oiseau grignote négligemment ses amandes - et les yeux en amande, aussi. Les yeux en amande de Charles, les amandes dans les yeux de Charles. Tu les grignotes, Aliocha. Attaché ? Le faire attaché ? Un instant, tu réfléchis, tu rassembles tes pensées. Il a dit « attaché » avec ce ton, avec ce timbre - avant, lorsqu’il s’est rapproché, lorsque son visage a perturbé la paix du tiens. Ce n’est que maintenant que tu te rappelles - que tu pousses la réflexion. Aliocha, tu es ivre - un peu. Ah !! Oui ! Je ! Oui bien sûr, j’ai essayé. Et t’as les airs grivois, et t’as les envies malicieuses. Sous la table, tes jambes glissent délicatement contre leurs consoeurs. Et t’as les airs taquins, et t’as les envies pernicieuses. C’est le bout de ton nez qui part le premier - cueillir la proximité de son oreille, inhaler la fragrance de ses cheveux ivoires. Quelle révélation croustillante, Charles, en effet. À présent j’ai tout à loisir de t’imaginer ligoté.À nouveau ce rire, ce rire d’oiseau qui bat de l’aile et toi, toi qui t’empresse de t’avachir dans la banquette. C’est James qui t’a fait naître ce fantasme ?Et si l’alcool n’avait pas la bénédiction de clore les égards et la jugeote - alors tu aurais regretté, Aliocha, tu aurais regretté d’avoir prononcé le nom à l’origine de ses tourments. | | | | | end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 0:24
Rire entre tes lèvres qui vient s’effiler, T’imaginé qu’il avait bien du par ta grand-mère être émoustillé Trop alcoolisé pour réprimer le sourire satisfait Dévorant et empli d’avidité Alors qu’il parle de dans sa couche t’accaparer. Alors que le cheminement de tes pensées Ne peut pas mieux rêver. Ne compte le nombre de nuit du péché Où tu aurais aimé A la place d’un être ou d’une autre, par lui, être dévoré. Terrible pensée, Violente vérité Il ne fallait pas, tu le savais Ne pas brisé ce que vous aviez L’erreur tu l’avais déjà fait Te dévorai la culpabilité. Retiens tes mots à temps, stoppé Par son recul calculé. Si près c’était passé.
Bois, encore, à grand lampée, N’arrive plus à compter les verres enchainés, L’écoute sagement de sa fée parler. Regarde de rouge comme il vient s’empourprer L’alcool du bout des doigts tu viens le faire tourner Maintient entre doigts le verre glacé.
« C’est qu’elle su te faire son petit effet »
Hausse de curiosité tes sourcils parfaitement dessiné Chanceuse qu’était la fée Te surprends quand de la fleuriste il vient à reparler
« Je ne l’ai vu qu’une fois, je ne m verrai lui compter si tôt fleurette, et puis elle n’st pas du … »bon coté »… je m’en voudrais qu’elle se fasse importuné parce qu’un Bravehearts essaye de la courtiser. »
T’y croyais toi, bon ou mauvais coté Rien qui a tes yeux existé Mais tu te souvenais Pourquoi ta mère avait été assassiné.
Dévore du regard l’oiseau en train de picorer L’alcool glissant le long de ta gorge asséchée Vient à être vidé, Regard embrumé Dévoré Loin de la lucidité Laisse ses jambes aux tiennes s'emmeler Pousse inconscient ce contact particulier
Impossible de ne pas frissonner Quand tu tente de le cacher Quand son nez de ton oreille s’est approché Quand son souffle t’a peu a caressé Enivré Drogué Ne reste que de maigres barrière pour te sauver Maintenir ton peu de sanité.
Jusqu’au couperet Jusqu’à ce que ce nom soit évoqué. S’ouvre tes yeux écarquillé Explose ton cœur bousillé Refuse de te rappeler Refuse d’entendre son nom prononcé Ravive, Brule dérive ton corps enflammé Désir, péché Violence exacerbé Plus en état de te contrôlé Viens de ton regard le bruler Bouge ton corps vers l’oiseau empreint de pureté Vole ses lèvres dans un baiser passionné Glisse tes doigts dans les cheveux défait Dévoré Désiré Il n’a suffit que de son nom pour te faire vriller Pour chercher Pour briser Pour quémander Il va te rejeter Mais t’es trop alcoolisé pour y penser Seul compte la chaleur, la volupté, Vos souffles que tu force à mêler, Baiser fiévreux, Baiser désiré Alors qu’à bout de souffle tu viens à le relâcher Haletant, déboussolé Si sur d’avoir tout gaché Mais avec l’envie insoutenable et insoupçonné de recommencer
« Il l’a réalisé, m'y a drogué jusqu’à ce que je ne puisse plus le sortir de mes pensées »
Rauque est ta voix quand tu viens à murmuré, Regard en coin sur Aliocha jeté
« Mais ses lèvres, elles avaient pas le gout sucré , délicieux et particulier des tiennes. »
Sourire, rictus esquissé Compliment déposé Bien trop alcoolisé pour clairement penser.
« Tu peux me frapper, je comprendrais, je suis un gros con quand je suis bourré »
| | | | dispo rp : Messages : 179
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 1:34 people are strange musique - Charles, dis… Tu veux bien m’épargner ? J’ai la raison qui s’affole, dis, tu veux bien la taire ? Tais-la, tais-moi. Charles, tais-moi ! Tais-moi ! Je devrais regretter, je le sais - je n’aurais pas dû, je n’avais pas à prononcer son prénom mais, dis, je regrette. Je regrette ? Je devrais regretter, je le sais mais - le puis-je à présent ? S’il a suffit de son prénom, Charles, pour que tu m’embrasses - puis-je regretter de l’avoir prononcé ? Tu pries, Aliocha, tu répètes, tu supplies au noir de tes pensées : tais-moi, tais-moi ou je vais prononcer dix fois son prénom, pour que dix fois tu m’embrasses, ou je vais prononcer cent fois son prénom, pour que cent fois tu m’embrasses. L’ivresse a cette grâce de te soustraire à tes instincts de préservation - et tu savoures avec toute la faim d’un banquet pour affamés, ses lèvres et son souffle. Son souffle et ses lèvres. S’il y’a chaleur plus humide et enivrante que celle que déploie cet écrin, tu ne pourrais y croire. S’il y’a langue plus à même de parler à la tienne de désir et de partage, tu ne pourrais y croire. Mais Charles dis, ne vaudrait-il pas mieux ne pas attiser les foudres de demain, de son lot de regrets et de doutes ? Aliocha, lorsqu’il s’écarte et qu’il s’excuse - tu souhaiterais lui jeter ton verre de vin au visage. A t-il seulement la moindre bribe de considération quant à la déroute dans laquelle il t’a précipité ? Marche t-on allègrement sur un parterre de fleurs pour s’excuser par la suite de l’avoir fait ? C’est cruel, Charles, c’est un peu cruel ce que tu fais - mais… Vous êtes ivres. Alors, à qui la faute en définitive ? L’alcool ? Votre bêtise ? Sucrées… Tu… Flatteur… Tu dis, Aliocha, le regard aussi hagard que perdu - et tes doigts, tes doigts cherchent le sucre à tes lèvres mais - il n’y en a pas. Il n’y en a plus. Il a tout mangé. Il t’est difficile de faire naître la clarté parmi tes idées et tes fantasques élucubrations. Alors c’est dans ton verre que tu te réfugies et, pour mieux balayer son crime (votre crime), tu cherches à naître un sourire léger et confiant à celles qui n’ont plus de sucre - non, non, il n’y en a plus, il a tout mangé. Je ne vais pas te frapper. Ses yeux, tu peux les confronter - leurs amandes, tu peux les grignoter. Allons, Aliocha, tu a plus de ressource et de stabilité que tu n’ose l’admettre - pas vrai ? Tu mériterais, cependant. Un rire, timide. T’as le don pour me déplaire ! Ton rire, doux moqueur. Et me plaire…Aveu qui s’oublie volontiers dans un hoquet - l’ivresse frappe, plus fort cette fois-ci. Pour mieux la remercier, tu sors la fiole de vodka de ta poche et, non sans la louvoyer d’un oeil tendre, t’octroies une gorgée. En as-tu déjà goûté, Charles ? Tu demandes - et la brûlure du liquide lente en sa chute, te donne la force et le courage d’assumer ce qui gronde en toi. Cela gronde en toi, Aliocha - sous la gêne et l’ébriété, sous le tourment du flou qui dissocie ta raison de ton jugement. Et lorsque sa chute est faite et que la brûlure étourdit jusqu’aux fourmillements de ton ventre - tu te lèves. Voilé par un désir qui se passe de mot - Charles, qui n’a que toi pour définition, il emprisonne une seconde gorgée en son palais. Et c’est pour mieux la lui offrir, Aliocha, que tu te penches à sa merci et que, avide, tu déverses en un baiser cette offrande limpide. Et lorsque vos gorges se noient, et lorsque ton désir te brûle plus que les piqures de la vodka - tu saisis brusquement son col de tes mains et forces toute la frénésie de ce que tu n’as fais que refouler jusqu’alors. L’air se raréfie dans tes poumons, Aliocha, et tu le boudes volontiers pour la salive alcoolisée de Charles. Des regards vous observent indiscrets, Aliocha, et tu les nies volontiers pour t’échoir contre le buste de Charles. Charles, dis… Tu sais, ton prénom à toi, il est à l’encre indélébile. Tu l’as noté sur une pensée, elle s’est démultipliée. Charles, dis… Tu sais, tu es partout à présent, dans le moindre recoin de ma tête. Et tu avances, sur la banquette - et ton avancée le pousse contre le mur - et tu avances, un genou entre ses jambes - et ton avancée te pousse contre lui. Tu peux me repousser, je comprendrais, je suis un gros con quand je suis bourré. Tu murmures - le rire de l’oiseau qui bat de l’aile, l’imitation qu’il fait de ton excuse - la facétie plus gourmande encore lorsque son rire, il le dépose contre ton cou. Charles, dis… On s’en va ? | | | | | end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 11:29
Te délecte silencieux de l’avoir troublé Alors que tu devrais n’être que regret Le regarde son verre vider Retiens le sombre de tes pensées Le premier pas est toujours compliqué Et maintenant que le péché était consommé Tu n’avais qu’envie de recommencer C’était mal tu le savais
Suit l’exemple qu’il t’as montré Laisse nonchalant l’alcool dans ton gosier Glisser, glisser, sans arrêt Regard embrumé sur lui à nuveau posé, Observe le liquide que tu lui as donné
« Jamais. Je n’ai aucune idée du gout que ça a. Mais celle à qui je l’ai acheté m’a tenue Mordicus que c’était comme un bout de paradis qu’on touchait. »
Rire léger, Sourire amusé Parce que cela ne se pouvait A moins que tu ne te fourvoyais Cela ne serait pas la première fois que cela arrivait.
S’entrouvre tes lèvre quand tu le vois approcher Comme pour lui demander ce qu’il fait Retiens les mots qui malheureux auraient été Refuse de briser Refuse d’arrêté Ce pourquoi demain tu culpabiliserai Ultime péché
Chaude ses lèvres viennent les tiennes capturer Glisse le liquide alcoolisé Brule là où il vient à passer Te délecter de ses lèvres aromatisé Laisse un gémissement s’échappé Entre vos lèvres scellées Quand ton col il vient attraper Que tes doigts dans sa chevelure viennent se glisser Perdu, parsemé Pousse ton corps vers le sien rencontrer Encore que ton esprit vint quémander Souffle qui disparait Quand ce n’est que de ses lèvres que tu veux t’abreuver On aurait tout demain pour regretter
Ne semble plus préocupé Des regards indiscrets Envieux et de jalousie mélé Qui viennent vous observer
Impossible de ne plus sombrer Quand ton dos vient le mur toucher Sa jambre contre ton intinimité se coller Laisse d’un plaisir tes joues se roser Laisse vos souffles se mêler Alors que tu ne ppeux qu’haleter. Regard embrumé.
« La ferme. »
Douceur murmurée Doigts dans nuque glissés Vos lèvres que tu reviens sceller
« Et si on s’en allait ? »
Frissonne ton corps damné Attends qu’il ai bougé Pour l’imiter Paye sans regarder, Avant d’avec lui disparaitre dans l’obscurité Envie pressante démesuré Tu n’as plus un brin de clarté Quand même une ruelle serait à même de t’aller Emprisonne une fois de plus ses lèvres sucrées Alors que vous marchez Ne peut t’empêcher de contenir tes pensées Actions désarticulés Charles, t’as perdu pied Mais c’est ainsi que ça te plait.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 14:22 people are strange musique - Vos pas sur les pavés tu n’entends plus. T’as l’écoute passive et selective - il n’y a que la respiration de Charles et ses impatiences qui l’intéressent. Ah… Et, combien sa respiration et ses impatiences font écho aux tiennes. Perdus pour demain - et tant pis, tu vous traînes en direction de ton logis. Accroché tantôt à l’un de ses poignets, tantôt à l’une de ses lèvres. T’as le désir qui galope sauvage au profond de tes veines. Et tu pourrais mille fois déclamer Charles, je te veux ! que cela ne suffirait pas à définir la sauvagerie de ce désir. Aliocha, tu hâtes votre déambulation et enfin vous arrivez. Ta porte close, par trois fois tu tentes de l’ouvrir, par trois fois tes clés glissent, par trois fois tu glousses. La nuit vous observe, affable mère - et déroule à votre innocence nimbée d’alcool, les promesses les plus folles et les passions les plus démesurées. Lorsque tu le tires brusquement dans le hall et que la porte claque sur vous, tu sais - tu sais en dépit de l’ivresse et de la folie douce, tu sais que vous empruntez un chemin qui ne permettra pas de retour en arrière. Charles... Tu murmures contre ses mâchoires - une plainte alanguit et liquoreuse. Le parfum des amandes de vos haleines. Et tes mains qui s’empressent de vous ôter vos hauts, et ta bouche qui quémande tantôt la sienne, tantôt de l’air. Maladroit, tu l’invites à te suivre à l’étage - et tes pieds s’emmêlent, et tu bouscules des livres et tes commodes. Te voilà funambule aux articulations de chiffon. Tandis que tu gravis les escaliers quatre à quatre - et que tu te défais de ton pantalon, et que tu le défais du sien - tu manques de trébucher et tu ris. Tu ris comme un enfant - et tu ris plus fort encore lorsque tu te redresses et te cognes à la rambarde. C’est que, Aliocha, tes notions d’équilibre et de gravité sont mortes avec celles de pudeur et de réserve. Heureusement, la dernière marche te pardonne et tu n’as qu’un mètre à faire avant de t’écrouler en étoile sur le matelas. Les yeux brumeux, les joues rouges et le poitrail a l’égal d’un métronome affolé, tu tends les bras dans sa direction - et de ton rire naît un sourire étrangement enjôleur, curieusement glouton. Viens manger mon sucre, moy milyy d'yavol...Mon doux démon. La fraîcheur des draps contre ta peau - le soyeux de leur toucher contre ton dos - et cette félicité de joindre en harmonie contraire la chaleur diffuse de Charles. Et lorsqu’il arrive à hauteur de tes cils, tu l’enlaces de toute tes forces et savoures ce contact opportun. Et lentement, tu inhales les effluves enivrantes qui se tapissent dans sa chevelure - et le metronome sous ton poitrail s’affole un peu plus. Charles, tu sais… Tu me rends chienne, tu me rends bête. Nul besoin de t’encombrer de gêne ou d’embarras - Aliocha. Tu implores l’assouvissement de tes pulsions comme un bourreau implore la potence. Oh et tes doigts… Tes doigts, griffes de chat, marquent leurs conquêtes en de linéaires sceaux dans les chairs de ses flancs - et tu le bascules sous ton ombre pour mieux siéger sur son bassin. Un empereur à califourchon sur son trône. Ton sourire largement s’étire et le lait de tes dents reflète l’éclairage pâle qu’alloue la guirlande suspendue au plafond. Ta main droite remonte son buste, serpente entre la plaine de ses côtes et se perd à l’orée de sa bouche. Alors, malicieux, tu plonges un doigt dans l’antre louve de celle-ci - cueillir sa salive, sentir le feu humide te lécher. Et joindre à ton doigt ta bouche à toi - ton baiser vorace, ton souffle haletant - et ondoyer de toutes ces vagues qui t’électrisent depuis le bas-ventre jusqu’aux racines de ta nuque. Et ta main gauche qui rampe - prédatrice, sous le tissu qui la sépare de sa proie aux courbes phalliques - et tu étreins contre cette paume chasseresse son sexe, et tu geins de le vouloir fondre sur ton épiderme. Et tu te délectes de pouvoir le caresser avec toute la langueur qui lui ait due. Charles… Tu chantes en sa gorge. Épuise-moi. Jusqu’au petit jour, épuise-moi. Epuise-nous. | | | | | end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 15:16
Avertissement +18
Cette porte qui reste diablement fermée Ses clés qui ne font que tomber Laisse tes lèvres échapper un rire discret Qui dans la nuit finit par résonner Mélodie endiablée N’a pas eu le temps de réaliser Que déjà dans le gouffre de son antre tu es tiré Attiré Désincarné A coup de baiser volés De mains qui ne savent plus où s’aventurer Glisse ton haut, le sien sur le sol jeter Tel résidu, déchet, reste facilement oublié
« Aliocha »
Son prénom dans un souffle déjà saccadé Empreint de se désir démeusuré, Ne prends pas garde aux meubles, aux livres que vous heurté Le monde pouvait bien s’effondrer Sans que cela ne vienne t’inquiéter Grimpe avec lui les escaliers, Continue les vêtements sur le sol s’échouer Rit avec lui de sa maladresse alcoolisée
Le regarde sur le matelas s’échouer Vient vitre le retrouver De tes mains vient toucher La peau si douce et les muscles galbés Vient choir ton visage dans sa nuque prête à être dévorée Alors que ses mots dévore ton corps enflammé De leur mélodie endiablé Dévoré Désiré Happé Vient à nouveau scellé Vos lèvres, comme si ta vie en dépendait Tu veux t’oublier Fondre de son corps pour ne plus penser Oublierait de respirer
« Tu n’es que beauté tu le sais »
Soufflé Murmuré Sincérité Désir à peine voilà Alors que tu viens à son corps te coller Ressent, rencontre l’excitation qui vient le dévoré Rencontre l’excitation qui te fait perdre pied Sent les bras musclé Qui viennent t’attraper T’enlacer T’arrache un soupir d’aise et de désirée Aliocha si tu savais tout ce qu’on donnerait Pour que ce moment n’arrête jamais Glisse tes doigts et leur pulpe sur la peau qui te fait frissonner Laisse ton dos se cambrer Quand il vient te griffer Laisse tes doigts venir pincer, Martyriser De leur volupté des extrémités De ton torse exposé
Dans un hoquet Tu le sens sous lui te faire glisser Laisse tes mains voyager Sur ses hanches s’échouer Lentement et dangereusement s’approcher De L’ultime félicité Accueille le doigt qu’il vient glisser Enroule ta langue pour t’en délecter Laisse ton regard dans le sien se plonger Embrumé Par le plaisir, le désir déformé
Alors que finalement tes mains viennent effleurer, Touché Dans une lenteur calculé Le centre du péché Laisse ton corps frissonner D’enfin pouvoir y avoir accès, De sa chaleur sous tes mouvements régulier
Sent sa main voyager Venir te toucher Glisser Faire fondre ton corps avec volupté Alors que ta voix, de plaisir est arrachée Rauque et enivrée
« Aliocha.. »
Les mots qui se meurt dans le souffle défait Mots haletés
« Laisse moi te dévorer »
Ne lui laisse pas le temps d’appréhender, Le fais basculer, Pour faire venir entre lèvres alcoolisé Avec une lenteur torturée Son intimité Affamé Entame la descente, signe de félicité Entame le rythme régulier Glisse tes doigts sur ses hanches pour le griffer Provocant est ton regard qui vient le sien chercher Continue, jusqu’à accéléré Qu’arrive le sommet Et que ta bouche soit de lui débordée.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 20:02 people are strange musique - Sous son emprise lascive - toi chienne, te cambre et te veut sienne. Aliocha. Tu es chienne. Sous ce palais de chair et de dents, de cette salive faite liqueur passive - tu ploies. Et son arrogance - de tes soupires exacerbés et rauques tu le récompenses. Impudique - pute lubrique, tu lui chantes ce plaisir incandescent dont il t’abreuve. Aliocha. Tu es pute. Ni honte, ni gêne, ni embarras - ton amour de la chair et de la fornication n’a d’égal que la tendresse de tes yeux lorsque tu cueilles les siens sous ton ventre. Et plus il épouse ton sexe de sa langue, plus ton souffle gronde - et plus tu désires le contempler t’engloutir jusqu’à s’étouffer de toi. Charles - regarde, regarde l’effet que tu me fais. Charles - admire, admire ton oeuvre qui réclame d’être abusée. Et tes mains se nouent à ses cheveux et y dessinent des amours imaginaires - et tu crochètes ses boucles comme on tisse un drap d’apparat. Si doux - ils sont si doux Charles, tes cheveux sont si doux. Si doux, Charles, tu es si doux. Une douceur avilissante, salissante - contre toi Aliocha, chienne, pute. Comment peux-tu être si beau, si doux alors que je suis si sale, si immoral ?Colère sous tes paupières que tu clos - le râle que ta gorge déploie lorsque, pour sa pénitence d’être si beau, d’être si doux, tu ordonnes à tes mains de clore le peu d’air qui sépare son visage de ton bassin. Aliocha, tu empresses, tu empresses, tu presses sa bouche à t’engloutir, à s’étouffer de toi - cruel dans ton avidité, jaloux dans ta servilité. Tu me fais vriller… Charles… Une complainte à mi-mot - l’aveu d’une faiblesse. Cède, Aliocha, sois docile, tais ton orgueil. Tais ta crainte. Abandonne toi - qu’il ne t’abandonne pas. Alors tes mains cessent leur bravade et, brusques, le tirent, le retirent d’entre tes cuisses. Une complainte à mi-voix - l’aveux d’une jouissance presque relâchée. C’est que tu veux baiser cette bouche comme on baise le front d’une Madone - c’est qu’elle te manque comme on manque d’oxygène en altitude. Tu l’embrasses pour lui dire que demain peut-être, tu vas mourir. Tu l’embrasses pour lui dire que demain peut-être, le monde sera en feu. Tu l’embrasses pour lui dire que demain peut-être, tu n’auras plus de souvenirs. Tu l’embrasses pour connaître ton goût mêlé au sien. Tu l’embrasses pour lui dire que ta vie en dépend. Extatique, erratique - Aliocha, tu ne te contrôle pas. Aussi flous qu’ils sont ravageurs, tes gestes vous emportent dans une danse pornographique. Emmêlés l’un à l’autre, vous roulez sur le matelas, vous débattez sous les draps, vous éprouvez entre vos bras. Et par cet éclair de lucidité dont toi seul a le secret - tu rampes jusqu’à quérir en ta table de chevet, un onguent liquide aux reflets d’argent. Un sourire taquin se plaît soudain à parer ton minois et, le poitrail tambour battant, les iris brumeuses, tu t’adosses au froid du mur. Un silence. Ce flottement léger qui te permet de l’admirer. Les traits aquilins défaits par vos faims, les cheveux ivoires en bataille, les cils ronds courbés, le bouche grenat humide - ah Charles… Si tu pouvais te voir, toi et ta beauté de roi… Si tu pouvais comprendre, Ô combien tu fractionnes les particules de ma raison ? Pour la première fois - ce geste timide, Aliocha, de déposer à sa portée l’onguent liquide aux relets d’argent. C’est un lubrifiant. Je crains la douleur… Pour la première fois - ce timbre craintif, ce rire chétif - Aliocha, d’avouer désirer lui octroyer une première fois que lui seul aura. Charles, dis… On peut faire semblant d’êtres des amants amoureux ? | | | | | end // (w18) perdition × charles Ven 5 Fév - 22:05
Avertissement +18
Le sent sous tes assauts se cambrer Ressent son corps se contorsionner Entends ses soupirs exacerbés Voit son visage par le plaisir déformé Laisse ton regard admirer, Désiré Se délecter Laisse le rauque de sa voix s’échapper Laisse son corps sous le tien s’enflammer Laisse ta langue finir de le bruler Sent ses doigts dans tes cheveux s’accrocher Quand brusque ton visage vient s’empaller Sa hampe venant dans gorge s’enfoncer Laisse la chaleur du liquide salé Vient en toi se glisser.
Reprends ton souffle une fois redressé Viens ses lèvres dévorées Son corps au tien se frotter Laisse ta virilité sur la sienne se dresser Ses mots comme mélodie rêvée Jamais personne pour toi ses mots ont été utilisé Dévore ses baisers, Comme si c’était les derniers Comme cela n’arriverait plus jamais Comme bouée sur laquelle te reposer Souffler Enfin t’épancher. Laisse tes mains sur lui se balader Laisse ta voix d’entre tes lèvres s’extirper Ne retiens ni les gémissements ni les râles exaltés De vos deux corps entremêlés
Le ramper,
« Si tu savais la vision que tu m’offre, je ne peux que m’en délecter. »
Toujours cette voix murmurée Empreinte de cette si terrible sensualité Jette un coup d’œil intrigué Avant de réaliser Que cela ressemble à quelque chose que tu connais Le regarde sur le mur s’échouer Est surpris de mots prononcé, Viens lascif à t’empourprer
« Flatteur que tu es. »
Déteste ton corps écorché Ne peut croire qu’il puisse la vue apprécier Mais ne préfère ni relever Ni y penser Glisse entre tes doigts guidé Sur l’onguent proposé, Rapproche ton corps du sien relevé Rampe tes lèvres jusqu’à ses oreilles pour murmurer
« Je te promet, je serai doux. Je vais t’aimer comme on ne t’a jamais aimé Aliocha »
Juste pour cette fois aimer Lui donner Toute la douceur exacerbée Le plaisir, la volupté Veut qu’il se meurt à aimer La fusion de vos corps consommés Vient voler ses lèvres violacées T’assois, vient t’adosser, Vient sur toi l’attirer Dévore ses lèvres avidé Quand tes doigts viennent de lubrifiant se parer
« Détends toi, laisse toi porter »
Mordille ses lèvres passionnées Vient doucement un doigt glissé Prends le temps de le laisser s’habituer Vient de ton autre main récompensé sa virilité Grogne d’avidité Laisse Lentement tes mains prendre un rythme régulier Viens un second doigt glissé Laisse tes lèvres sur sa nuque voyagé, Dévorée Embrasser Lécher Aussi doux que tu le pouvais Tu ne voulais que plaisir sur son visage dessiné Ne transmettait que de l’amour dans tes geste calculé Tu voulais le voir apprécier, aimer S’abandonner Venant après l’avoir longuement préparé Et ta virilité d’onguent imbibé En lui te glisser Impossible de réprimer Un rale de plaisir mêlé Alors que sa chaleur t’as presque déjà offert le sommet Lui laisse le temps de s’habituer Préparant ne pas bouger
Continue tes mouvements regulier Sur sa hampe dressée Glisse tes mots murmuré
« Tu es bon à se damner. »
Dévore ses lèvres avant de ton bassin onduler Ne tarde pas à trouver le point qui bientôt de plaisir le fera hurler Continue sur sa virilité Tes mouvement réguliers Ne veut que son plaisir soit bouder Attends que le plaisir viennent le consummer, Pour tes mouvement accéléré Gronde ton être en train de vriller Oh Charles tu perds pied
« Aliocha…Aliocha »
Par le désir dévoré Litanie désarticulé Tu ne saurais dire depuis combien de temps le plaisir de t’a pas ainsi dévoré N’a qu’une volonté Le faire atteindre l’ultime sommet. Encore. De plaisir le faire hurler.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Lun 8 Fév - 16:53 people are strange musique - Il est si facile de fondre lorsque la chaleur se fait impérieuse et impériale - il est si facile de fondre comme neige au soleil sous tes caresses, Charles. J’aimerais te conter combien ce que tu m’octroies de plaisir, j’aime à le cadenasser sous mes chairs et mes os. Garder à jamais le souvenir qui, maintenant que nous consommons notre union, est une ode au présent. À la grâce de tes doigts sur ma peau, je coule des inepties à tes oreilles, à ton impie floraison entre mes cuisses, je noie des soupires en ta gorge. C’est si bon… Charles, et je pourrais me répéter jusqu’à ne plus savoir ce qu’est un mot, ce qu’est un verbe, ce qu’est la diction. C’est si bon, Charles que j’en veux …encore ! Encore, encore… et je pourrais te supplier jusqu’à ne plus savoir ce qu’est l’orgueil, ce qu’est la retenue, ce qu’est la parcimonie. Ces particules de lumière que mes yeux découvrent dans l’air - étaient-elles présentes avant que tu ne me prennes en liesse, avant que tu ne m’attaches cette laisse - diablesse invisible, Charles. Une laisse, un lien - le ciment entre les pierres. Dis, tu veux bien qu’on se (re)construise ensemble ? Tu te déverses en plaintes lubriques - extatique, Aliocha. Si douleur tu as ressentis, douleur n’est plus. Il te semble être visité par des milliers de lucioles, là, sous tes côtes, dans ton ventre - elles grouillent, elles t’enivrent de folie, t’hallucinent de bienêtre. Et tandis que ta bouche cherche à engloutir les eaux que cachent la sienne - et tandis que tes mains auréolent son visage de toute la tendresse que ce monde cruel vous cachait alors - et tandis que tu ondules et que tes hanches se font navire sous la tempête - une confession t’échappe entre deux râles je veux que ce soit moi dans ta tête à sa place donne moi sa place, donne moi son titre, laisse-moi te guérir, laisse-moi l’évincer, oublie-le oublie James. Charles… Charles… Oublie James. Utilise-moi - comme je t’ai utilisé pour parer mon ennui. Asservis-moi - comme je t’ai asservis pour me nourrir de tes flatteries. Tu l’as dis - tu vas m’aimer, tu vas m’aimer comme personne ne m’a jamais aimé - comme je rêverais d’être aimé. Tu l’as dis, Charles. Promet-le moi ! Promet-le moi, Charles ! Promet-le moi que ce n’est pas juste pour aujoud’hui, que ce n’est pas qu’une histoire sans lendemain. Promets-le moi - que lorsque l’alcool nous aura quitté et que notre inhibition sera en alerte, promets-le moi, que nous ne seront pas à nouveau des étrangers familiers… Désireux de lui arracher ses gémissements les plus lascifs, tu le brusque sur le matelas - face à toi l’invites à s’allonger contre les draps et - de toute cette carnassière démesure qui t’habite, tu reprends séant ton trône. A califourchon, sensuel conquérant, obscène sirène - ondule plus encore, cherche au plus profond de ton intimité les volutes du point de l’extrême sensibilité. Sur sa gorge tes mains s’en vont - doucereux étau qui se resserre sans jamais mordre à mesure que tu frôles la jouissance. Et tes paupières que tu clos lorsqu’en arrière tu bascules ta tête - et tes paupières qui s’ouvrent sur les particules de lumière (encore elles) - et sa hampe qui se fâche une suprême fois sous tes reins - et ton corps qui se cambre lorsque l’électricité d’un orage te traverse - et la supplique langoureuse de ce nirvana qui te submerge pour mieux libérer ses écumes opalins sur son ventre - Charles… tu murmures. Et les dernières secousses d’un séisme ravageur qui t’achève - et ta respiration chaotique - et ton poitrail gonflé - et ton envie de pleurer de joie et de peine - et cette brume de toutes les confusions - et ton étreinte soudaine, et tes bras dans son dos, et ton visage enfouit dans ses cheveux, et ton haleine mourante à la félicité de sa nuque. Un rire léger - le rire de l’oiseau. Il t’échappe. Charles, la prochaine fois, c’est moi qui vais t’aimer (et te faire vriller). | | | | | end // (w18) perdition × charles Lun 8 Fév - 17:32
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Ta voix pour nousenivrer Ton corps pour nous faire vibrer Ton regard pour nous faire sombrer On est comme noyé Incapable à autre chose de penser T’entendre suppler, Implorer à continuer Perdu notre reste de sanité Brule de ta voix et son plaisir mêlé On se damnerai Pour que cela ne s’arrête jamais, Efface toutes les plaies De tes râles échappés Jamais notre esprit n’a été aussi vidé Jamais Aliocha de toi il n’a jamais été aussi inondé Brûle notre âme sous tes hanches qui ne s’arrête pas de bouger
Entends ta voix entre deux râles échappé Demande à oublier Assomme de remplacer Si tu savais Aliocha, si tu savais Comme de toi notre esprit à cet instant est imbibé Comme on aimerait Comme on est terrorisé D’a nouveau aimer Pour être ensuite abandonner Parce qu’on sait Que tu pourrais Tu y arriverai A nous le faire oublier Mais ça pourrait aussi nous briser D’à nouveau nous donner. Et en même temps c’est si compliqué De te résister Alors que su nous tu viens à onduler De plaisir nous faire hurler De désir nous consummer
« Je te le promets »
Mots soufflés Sincérité terrifiante et exacerbée On promet Aliocha que c’est à toi qu’on va penser Que c’est ton corps qu’on va désirer Qu’on va doucement l’oublier Pour faire de toi notre unique volonté Jusqu’à ce que ça vienne à nous tuer Aie pitié Ne viens pas trop fort nous bousiller. Viens de tes mains son passage effacer De tes lèvres nous marquer Viens nous enchainer Parce que c’est tout ce qu’on connait. S’il te plait.
« Alio- ..ahh »
Ton corps, le notre qui vient en toi plonger Arracher nos cris de plaisir mêlé Griffe nos doigts une de tes hanches qui ne fait que bouger On se perds à t’admirer Toi qui vient nous chevaucher Toi qui nous plonge dans ce plaisir si parfait Sent tes mains sur notre gorge voyager Plaisir immense que tu nous fait.
« Viens m’enchainer. »
Sens figuré Fais nous tien Aliocha, pour l’éternité Brise pour mieux réparer Viens en même tant que toi, jusqu’au sommet Dans un râle de plaisir et bonheur mêlé Tu nous a achevé De toute ta beauté. Notre cœur, notre respiration emballé Notre regard embrumé, Autour de toi, nos bras vient t’envelopper, Quand tu viens nous entourer
Un sourire sur nos lèvres rosées Quand tu viens à notre oreille murmurer
« T’as plutôt intérêt »
Mots lâchés Déposé Tu en ferais ce que tu voudrais Oh Aliocha si tu savais Vienne nos lèvres les tiennes chaparder Te donner la douceur d’un baiser
« Promet moi de ne pas regretter »
Parce qu’on ne pourra pas l’encaisser.
| | | | dispo rp : Messages : 179
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Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl)
Âge d'apparence : 25-30
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Rôle : baba yaga
Métier : apothicaire
Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + -
Pouvoir : vision funèbre
En couple avec : personne
Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur
dispo rp : Messages : 179 Points de Bonheur : 452 Avatar : idia shroud - andreja pejić (irl) Âge d'apparence : 25-30 Signe Astro : - Rôle : baba yaga Métier : apothicaire Inventaire : sac de petits cailloux + potion genderbend + - Pouvoir : vision funèbre En couple avec : personne Autre(s) compte(s) : john x camael x lior x arthur | Aliocha TkatchenkoBaba Ya'bitch end // (w18) perdition × charles Lun 8 Fév - 19:19 people are strange musique - Un bain serait le bienvenu mais - en as-tu réellement l’énergie ? En avez-vous réellement la volonté ? Soupire - le sourire aux joues, de celui que les enfants offrent au matin de Noël lorsqu’il découvre leurs cadeaux au pied du sapin. Soupire - contre sa bouche Charles, tu es un matin de Noël et cette malice que couvent tes iris pleines de son visage. Si tes idées ne sont pas suffisamment claires, ni suffisamment concises - c’est que l’ivresse ne t’as pas encore quitté. Aussi appelle t-elle la fatigue et cet immense besoin de dormir - et quelle promesse d’un doux sommeil t’offre donc cet instant, et quelle louange que celle de partager ta couche et les bienfaits de Morphée - Charles. Lentement, tu vous recouvres des draps blancs, tu vous construis une cachette insolite - et à l’instar d’un lutin qui chercherait quelques trésors mystérieux sous cette coupole de coton, tu te recroquevilles tout contre lui, tout avec lui. Son parfum, sa chaleur, son odeur - Charles, Charles, Charles - son prénom, Charles - une berceuse incomparable. Je te le promets… - un murmure, son voeu exaucé - les tiens au sien liés. Il ne regrettera pas ! Jamais !Oh, Aliocha - te voilà à t’imaginer preux chevalier. Demain vous fera moins rêver… Sans doute… Mh… Qui sait ? Enfin - après la fièvre et les heures passées, après l’amour et ses sueurs salées - entre tes bras, le réfugies et de cette accalmie Ô, si jolie ! vous invite aux bienfaits sages de la nuit. | | | | | end // (w18) perdition × charles | | | end // (w18) perdition × charles |
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