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| | (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Jeu 4 Mar - 13:19 Minutieuse Maladresse feat Vanille
On te regarde étonné Une récompense, un secret On se demande sincèrement ce que tu vas nous avouer Nous déclarer Plante notre regard dans tes yeux dorée Toute notre attention sur toi braquée Et les mots, tes mots qui viennent défiler Vérité Affreuse vérité On en veut au monde pour ce qu’il t’a fait On l’exècre de t’avoir blessé Alors que tu ne l’a pas mérité On s’en veut de t’embeter On est touché de ce que tu viens nous avouer De ce cadeau particulier Douloureux que tu nous fait Coups de poignard dans notre cœur écorché Entaille profonde dans notre âme écartelée Une larme qui vient rouler T’es la première à nous le proposer A voix haute annoncer Que tu veux de nous dans ce monde mal fait Qui veut bien nous laisser y entrer Ne plus en être le spectateur défait. Permission qu’on nous a jamais donné. On reste une seconde bouche bée, Laisse la larme sur notre joue s’échouer.
« Navrée, voilà que je me mets à pleurer »
Ecrase la larme qui à couler De nos doigts prêt à trembler Sourire gênée compliqué Mais empreint de cette gratitude exacerbée Face à ta générosité
« Merci Vanille. Je crois que de ma vie c’est bien la première fois, la toute première fois qu’on se propose de m’aider à trouver une place dans ce monde. »
Notre corps hors du banc de spectateur, levé On prends la main que tu nous tendais On est terrorisé Mais on veut sincèrement essayer Parce que c’est tout ce dont on a toujours rêvé.
« Qu’est-ce que… Enfin qu’est ce que vous attendez de moi, comment … »
Comment on fait ? Qu’est ce qu’il en est ? On est perdu tu sais. Est-ce qu’on devrait te raconter ce qui nous a amené À être ce qu’on est ?
| | | | dispo rp : Messages : 83
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Âge d'apparence : 38 ans.
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Pouvoir : Éloquence intimidante.
En couple avec : sa vilénie.
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Une inspiration compliquée Ce n’est pas aisé de raconter On ne le fait jamais Du moins jamais en entier Mais pour toi on veut bien essayer On veut bien dévoiler Les plus noirs de nos pensées
« Je dirais que le point de départ, c’est le souvenir de ma mère assassinée. J’avais huit ans, on jouait dans le jardin, dans notre jardin, et puis son corps, je l’ai vu s’écrouler. »
Le sang sur l’herbe éclaboussé Nos yeux qui viennent se fermer Notre voix cassée.
« Je ne sais plus si j’ai hurlé, mon père est arrivé en trombe et je me souviens de son cri, jamais je n’avais entendu un cri comme ça. Deux jours après il se suicidait. Il a sauté du dernier étage du manoir. Je l’ai pas vu, je l’ai entendu, j’avais pas besoin de plus je l’ai su. »
Le sang on s’en souvenait La trace que grand-mère a eut tant de mal à enlever
« Il ne l’a jamais dit, mais je sais que c’est mon grand-père qui l’a faite tuée. Il lui en voulait tellement de pas être rouge. Si j’étais pas né, si j’avais pas existé elle serait surement en vie. »
On le pensait On en était même persuadé On pourrait pas nous en faire dévier.
« Après ça, la vie a continué, j’ai grandi un peu isolé, j’ai passé deux bonnes années sans parler. Et puis j’ai rencontré… j’ai rencontré… »
On va pas y arriver A prononcer Son nom a celui qu’on a aimait Qui nous a brisé On tente de se recomposer
« Un Alice, un personne que j’ai sincèrement aimé, de plus profond de mon âme. Il m’a séquestré pendant plusieurs mois, entaillé, violé…Mais je l’aimais, on est venu me sauver, contre ma volonté mais on l’a fait, il a été tué sous mes yeux. Il m’a abandonné. C’est là que les entailles ont commencé. »
Lentement se rouvre nos yeux embrumés On est brisé, écorché Bousillé
« Tout ceux que j’aime finisse par se faire tuer. »
Sourire compliqué Mais esquissé On a peur tu sais Que tu vienne nous juger Notre faiblesse exacerbée
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dispo rp : Messages : 83 Points de Bonheur : 41 Avatar : Mercy — Overwatch ; Vanessa Kirby — IRL. ©moi/darya/knave ♥ Âge d'apparence : 38 ans. Signe Astro : La cuillère. Rôle : Mère-grand. Métier : Directrice du moulin rouge & maquerelle. Inventaire : nothing. Pouvoir : Éloquence intimidante. En couple avec : sa vilénie. Autre(s) compte(s) : Crowe M. Stark — Pace H. Tortoise & Armando L. Naviria. | Anna-Henrietta NonnaBrave Hearts (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Jeu 11 Mar - 9:23 Elle n’en perdit pas une miette la fillette. Pas une bribe de son discours ne lui échappa. Les tragédies vécues, les sévices qui lui avaient été infligés, la blondinette pouvait l’imaginer, mais jamais elle n’avait connu pareille souffrance. Elle ne pouvait se raccrocher qu’au point commun qu’elle avait avec lui : la perte brutale et soudaine de ses parents à elle aussi. Mais ce qu’avait vécu son interlocuteur était bien plus grave, bien plus sombre, tellement que la doctoresse à la peau d’enfant sentit sa gorge se nouer ; sans pouvoir l’expliquer, elle ressentait une petite douleur à la poitrine, comme si son cœur se déchirait au ralenti. Le visage ne montra pas d’émotion cependant ; ferme, mais compatissant. Charles n’avait pas besoin de la voir fondre en larme ; de la voir s’apitoyer sur son sort. Vanille était là pour l’aider si c’était en son pouvoir et c’est bien ce qu’elle comptait faire si elle en avait l’opportunité. Et c’est alors que le rouge s’exprima sur un point qui fit réagir la petite donzelle. Si bien qu’elle ne put s’empêcher de se montrer véhémente à ce sujet : — Pas tout le monde. Regarde… je suis toujours là moi. Je suis certaine d’avoir une petite place bien au chaud dans ton cœur, même si elle n’est que dérisoire. Et crois-moi que je ne compte pas t’abandonner. C’est ma fierté non seulement en tant que médecin, mais aussi en tant qu’individu qui est en jeu. On ne rigole pas avec ça. Petite pointe d’humour pour détendre un peu l’atmosphère, une bouffée d’air lorsque l’on suffoquait ; c’est parfois ce dont tout le monde avait besoin. Reprendre son souffle, même pour quelque secondes, cela suffisait parfois à s’extirper de l’abysse. De la façon dont Vanille voyait les choses, c’était presque comme si son interlocuteur avait touché le fond. Elle lui donnait l’impression d’avoir la tête immergée sous l’eau, sauf qu’il ne se débattait pas pour l’émergé ; il semblait presque accepter son sort, comme si celui-ci était une fatalité. Sauf que cela lui déplaisait à la blondinette. Parce qu’elle-même dans une certaine mesure avait connu une situation similaire. Elle avait appris une leçon essentielle pendant cette période : il fallait parfois accepter la main tendue pour se relever ; se relever tout seul n’était pas toujours possible, un petit coup de pouce pouvait aider. Et Vanille comptait lui donner cette impulsion ; une fois encore : sa fierté était en jeu. Et cela pouvait sembler égoïste, d’une certaine manière c’était le cas, mais la fillette était persuadée d’une chose : il avait besoin d’elle. Et jamais la doctoresse n’abandonnait ses patients lorsqu’elle était certaine qu’elle pouvait les aider ; même un cas désespéré méritait son attention. Même dans une peau d’enfant, elle était professionnelle jusqu’au bout des ongles ; bien que cela ressemblait presque à une affaire personnelle. — Mais tu devrais éviter les jugements trop hâtifs mon cher. Je n’ai pas la prétention de connaître tes affaires de famille, mais porter le poids d’une responsabilité aussi écrasante ne fera qu’alourdir ton être et aggraver ta douleur. Les personnes qui ne sont plus là ne sont que des souvenirs. C’est une vérité difficile à avaler, mais une vérité quand même. Je connais la douleur de la perte d’êtres chers, elle est toujours latente dans mon cœur et mon esprit. Les cicatrices ne disparaissent jamais véritablement. Mais elles ne sont pas forcément des plaies béantes qui te tueront. Et quand bien même… ce genre de plaies, je peux les suturer.Elle disait cela avec aplomb et arrogance la blondinette. Elle disait cela parce qu’elle était persuadée, certaine de pouvoir être utile. Elle se voulait rassurante, mais avais toutefois conscience du travail à faire. Mais on pouvait dire ce qu’on voulait d’elle, jamais elle n’était laxiste sur son travail lorsque le jeu en valait la chandelle. Jamais. | | | | | (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Dim 14 Mar - 18:49 Minutieuse Maladresse feat Vanille
Ton calme vient nous aider Garde au loin les vagues de notre anxiété Celle qui vient nous faire cauchemarder Un sourire sur nos lèvres esquissées Par les mots que tu viens énoncer Douce vérité Qu’on a tendance à oublier Parce qu’on pense tant de temps à se focaliser Sur ce qui ne semble pas nous sauver C’est comme un souffle qui renait
« Merci Vanille »
On ne peut la louper Cette main invisible que tu nous tendais Glisse nos doigts gelés Pour l’attraper On veut s’extirper On veut croire que tu peux nous sauver On veut essayer De nous battre alors qu’on avait renoncé Le jugement, la peur, la fatalité
« J’envie ta prestance et ta force Vanille, cela me donne l’impression que rien ne peut t’arrêter. »
Oui on l’enviait, Et on espérait que peut-être cela pourrait nous inspirer Peut-être ta force pourrait nous être insuffler A force de la contempler
« Qu’est-ce qui apaise ta douleur ? »
C’était peut-être indiscret Mais on souhaitait Comprendre, entendre, savoir, et se laisser guider Par tes conseils et tes mots avisés Parce que tu es la première qui vient nous proposer Cette aide si directe et spontanée Qui se permet de la formuler.
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On se demandait Qui avait fait pour toi ce que tu faisais Pour nous à cet instant particulier Qui est venu te sauver Quand ton monde s’effondrait Est que les mots que tu disais On te les avais donné Est-ce que simplement tu les répétais Parce qu’ils t’avaient sauvé Ou était-ce simplement ton cœur qui parlait ? Est(ce qu’un jour aussi on pourrait Comme toi, sauver Une âme brisée Le prochain sujet Semblant toucher des terrains indiscrets On ne peut cacher Que discours dans ce corps d’enfant loin de sa majorité À de quoi être un peu particulier Mais on réalise tu sais Que c’est un peu ce qu’on fait Sauf qu’on est bien plus dans l’excès.
« Je ne peux cacher que je me noie dans ces travers-là, surtout depuis quelques mois, un mélange d’alcool et de nuits au milieu de bien de draps. Je peux concéder que ça m’aide à ne pas me noyer. »
Surtout depuis qu’Aliocha y est A dire vrai Cela a été notre première pensée Notre tout premier instant de calme et de paix Même si pour lui on est surement que passager Un être qui ne fait que passer Il nous a donné un peu de paix L’envie de voir un matin de plus se lever.
« La douleur, j’imagine que sans elle la vie perdrait de sa saveur. »
Notre visage sur nos paumes accoudé
« Le problème je dirais c’est que j’ai fini par l’apprécier, par aimer, et elle a finit par ne jamais être assez. Je crois qu’il est là le nœud de mon problème Vanille. Je continue de me torturer parce que j’ai fini par aimer le mal qu’il me faisait. »
On voudrait Oui on voudrait Que nos pensées Sont différentes de celles qu’elles étaient On aurait aimé ne jamais l’avouer Qu’en nous cela reste cacher On a peur que tu puisse nous juger Parce que nous c’est ce qu’on fait On vient s’auto juger S’auto flageller.
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On ne serait pas le premier Pas non plus le dernier pas vrai Mais ce que tu nous demande d’essayer Nous parait si compliqué On avait enduré Et cela nous paraissait mon compliqué À vraiment appréhender Plutôt que de penser À nous même, à prendre soin de notre être déchiré On voudrait Mais ça nous parait si compliqué On ne sait même pas par où commencer Ce qu’il vaudrait mieux décider Le Silence pour un instant nous envelopper Idiot que tu dois penser qu’on est Nos lèvres pincées On ne s’osera pas à demander Comment on fait
« Je peux au moins essayer je dirais. »
Un sourire compliqué On allait essayer Mais il était si facile de nous oublier Nos yeux et notre cœur fermé A l’idée qu’on pourrait S’en occuper
« Vanille, c’est probablement hyper indiscret, mais est-ce que vous pensez que tout le monde est un peu malade à sa manière ? »
C’est étrange on sait, Mais on ne compte plus les âmes brisées Que notre vie a vu passer. Stella, Alice suicidée Charline bourrée de culpabilité Rose incapable de parler de certains sujets Vanille toi qui nous a avouer La dureté de ton passé
« Pourquoi être devenue medecin ? »
Parce que tu aurais Pu tout faire on le sait Qu’est ce qui t’avait poussé A choisir d’aider Les âmes brisées Comme tu le faisais.
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Un sourire sur nos lèvres esquissé Tu as toujours les mots parfaits Ceux pour nous rassurer Ceux qui nous font penser Que tu ne vas pas nous oublier Et encore moins nous abandonner. On se sent fasse à toi en sécurité Et c’est quelque chose qu’on a pas ressenti depuis une éternité Même si cela ne devait être que passager Tout notre être vient irradier A quel point on veut te remercier.
On continue d’écouter On veut apprendre la vie que tu as mené Les choix que tu as fait Ta passion pour aider Tes mots capable de bercer Le plus brisées des âmes infortunées Les troubles qui peuvent venir t’habiter Malgré le calme serein que tu viens arborer
On se laisse porter Par la suite des mots que tu viens prononcer L’histoire derrière ce métier Celle qu’on t’a imposée Mais que tu as fini par aimer
« C’est une belle façon en effet de rendre ce monde plus beau. »
On t’admirait Vanille, on t’admirait Dans chacun des aspects que tu nous présentais Chaque histoires contées Plus on en savait plus tu nous inspirais Plus on t’admirait.
« Tu le rends meilleur Vanille. Vraiment. Je peux au moins dire que le mien tu le rends meilleur. »
Sourire doux esquissé On pourrait passer des heures à t’écouter parler.
« Et tu n’as jamais aspiré à faire quelque chose d’autres ? Même quand tu étais enfant ? »
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dispo rp : Messages : 83 Points de Bonheur : 41 Avatar : Mercy — Overwatch ; Vanessa Kirby — IRL. ©moi/darya/knave ♥ Âge d'apparence : 38 ans. Signe Astro : La cuillère. Rôle : Mère-grand. Métier : Directrice du moulin rouge & maquerelle. Inventaire : nothing. Pouvoir : Éloquence intimidante. En couple avec : sa vilénie. Autre(s) compte(s) : Crowe M. Stark — Pace H. Tortoise & Armando L. Naviria. | Anna-Henrietta NonnaBrave Hearts (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Mar 23 Mar - 19:58 Qu’elle aimait être le centre de l’attention la blondinette. Elle ne se le cachait même plus à force, assumait totalement cette envie d’être le nombril du monde. Parfois on se demandait si elle ne parlait pas juste parce qu’elle aimait entendre le son de sa propre voix. Quand bien même, les conseils qu’elle distillait étaient bon à prendre ; son honnêteté rafraichissante pour les individus habitués à la langue de bois. Vanille n’embellissait pas ses paroles de suppositions utopistes. Elle était désespérément pragmatique. Et pourtant, elle tentait de contribuer, à sa façon de rendre Wonderland un tant soit peu meilleur qu’hier. Et cela Charles le reconnaissait en elle ; pour preuve, il le disait. Vanille quant à elle se contenta d’une petite moue approbative, accepta le compliment gonflant encore son égo, comme si celui-ci en avait vraiment besoin. Au-delà d’être flattée cependant, elle était satisfaite de constater que ses efforts payaient et que son interlocuteur semblait disposer à donner le meilleur de lui-même, ne serait-ce que pour faire plaisir à la blondinette ou bien par simple crainte de son courroux. L’un comme l’autre, la petite en était ravie. Peu importe ses raisons tant qu’il marchait dans la bonne direction. Doctoresse jusqu’au bout des ongles. La question se posait alors, par le biais du propriétaire de la boutique. Et si ? Si elle n’avait pas été médecin, si ses parents l’avaient destiné à faire autre chose ? Si enfant elle avait déjà été capable de savoir ce qu’elle voulait faire. Elle prit quelques instants pour réfléchir puis répondit avec un sourire amusé aux lèvres, les réminiscences de son passé refaisant surface, l’espace d’un court instant : ─ Tu vas rire, mais à force d’être traitée comme une princesse, je voulais devenir une reine. Manque de bol, les places sont occupées par la royauté écarlate dans ton pays et la blanchâtre dans l’autre. Mais mettons que j’eus le choix, j’aurais bien aimé reprendre l’entreprise familiale ; mais mes parents en avaient décidé autrement. Ils voulaient me voir exceller dans autre chose que les affaires et ils avaient déjà désigné quelqu’un pour les reprendre… et puis elle se tut. Se rappela alors aux mauvais souvenirs qui l’avais détruit, puis secoua la tête comme pour les chasser. Elle reprit ensuite : déjà à l’époque j’étais pragmatique, je n’ai pas tant changé que ça, pour ainsi dire pas du tout. Mais je suis à l’aise et heureuse d’avoir prêté le serment de soigner ceux que je peux. Honnêtement, même si je pouvais revenir en arrière, je ne l’aurais pas fait. Et toi alors ? Tu avais des projets particuliers étant petit ? | | | | | (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Mer 24 Mar - 20:41 Minutieuse Maladresse feat Vanille
Un sourire amusé sur nos lèvres glissées Un sourire doux, pour habiller Les propos que tu viens nous conter C’est comme une histoire empreinte de légèreté On t’imagine Reine Vanille tu sais, La petite fille, au reflet doré Jolie couronne sur sa tête posée Sourire conquérant arboré Rêve en son âme au chaud gardé Espoir face au miroir bordé de dorée
« Tu aurais fait une Reine splendide Vanille, la plus belle entre toute, pas de doute. »
Mais on est heureux tu sais Que ce soit medecin que tu ai décidé Pour voie d’empreinter Sans ça, on ne sait pas où en serait Peut-être poussière on serait, Personne pour nous sauver Nous donner l’impulsion qui nous manquait Un jour Vanille on comprendrait
« Dans quoi travaillez vos parents ? Navré si c’est indiscret. »
Parfois la curiosité Nous fait parler Plus qu’on ne le devrait.
« J’ai longtemps hésité, je me suis souvent imaginer libraire, avec un petit café, pour mêler mon amour de la confection de tasse, du thé, et livres. Quelque chose de simple. Mais je suis plus satisfait de ce que j’ai choisi d’exercer. »
Destinée. Un rire entre nos lèvres glissé.
« Et puis il vaut mieux être ainsi, vu mes difficultés avec les être humains, j’aurais eu bien du mal à géré des clients, faire la discussion et donner envie d’entrer. »
Bien sur on vendait, Mais notre savoir les gens le connaissait Peu de nos clients s’attardaient à discuter Certains avait essayé Mais peu avaient la patience de nous relancer D’essayer de nous pousser à plus parler
« On finit tous par trouver la voie qui nous convient, d’une manière ou d’une autre. »
Un sourire rêver, discret.
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Avatar : Mercy — Overwatch ; Vanessa Kirby — IRL. ©moi/darya/knave ♥
Âge d'apparence : 38 ans.
Signe Astro : La cuillère.
Rôle : Mère-grand.
Métier : Directrice du moulin rouge & maquerelle.
Inventaire : nothing.
Pouvoir : Éloquence intimidante.
En couple avec : sa vilénie.
Autre(s) compte(s) : Crowe M. Stark — Pace H. Tortoise & Armando L. Naviria.
dispo rp : Messages : 83 Points de Bonheur : 41 Avatar : Mercy — Overwatch ; Vanessa Kirby — IRL. ©moi/darya/knave ♥ Âge d'apparence : 38 ans. Signe Astro : La cuillère. Rôle : Mère-grand. Métier : Directrice du moulin rouge & maquerelle. Inventaire : nothing. Pouvoir : Éloquence intimidante. En couple avec : sa vilénie. Autre(s) compte(s) : Crowe M. Stark — Pace H. Tortoise & Armando L. Naviria. | Anna-Henrietta NonnaBrave Hearts (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Ven 26 Mar - 21:03 Une reine splendide, probablement. Elle se l’imaginait parfois Vanille, étant petite. Elle se vit plus grande qu’elle ne l’était. Se vit comme le nombril du monde, encore plus que d’ordinaire. Il lui aura fallu du temps pour comprendre ce qu’elle pensait était loin d’être la réalité. Et cela elle l’aura apprit de la pire des façons. Mais cela ne faisait de mal à personne que de rêver. S’imaginer aux commandes d’une portion de Wonderland, dictant des ordres à tout bout de champ, conclure des alliances, déclarer des guerres. Épouser un prince, engendrer un héritier ou une héritière. Plus d’une fois, cela l’avait laissée rêveuse la gamine. Aujourd’hui, elle était bien plus pragmatique. Les rêves elle les avait laissés de côté, préférant s’ancrer dans la réalité. Elle n’avait pas d’autre choix, c’était une femme de science malgré toute la magie qu’elle voyait dans Wonderland, parfois elle cherchait des explications rationnelles à tout ce qu’elle voyait… sans pour autant les trouver tout le temps. Et la question de son interlocuteur coupa court à ses réflexions. Le sujet portant sur ses parents et leur occupation. Franche et directe, Vanille répondit sans détour : — Non, non je t’en prie. Ce n’était un secret pour personne à l’époque aujourd’hui presque tout le monde a oublié. Ils travaillaient dans l’immobilier à vrai dire. Achat, vente, peut-être même la location ? Mes souvenirs sont flous à ce propos, j’étais encore une enfant quand ils m’expliquèrent pour la première fois le concept de leur occupation. Elle marqua une pause, serra ses petits doigts sur sa tasse, se rappelant quelques mauvais souvenirs, avant de reprendre, le ton bien plus grave qu’auparavant : mais c’est de l’histoire ancienne tout ça. Le nom des Tir Ná Lia a disparu des mémoires ; des clients comme des associés. Les charognes ont eu raison de l’entreprise familiale, me laissant sans le sou, sans avenir. Autant te dire que si je n’avais pas trouvé ma voie… elle déglutit alors puis conclut : oublions. Ça ne vaut pas la peine d’en parler. Elle préféra écouter la gamine. L’attention reportée sur Charles et ce qu’il avait envisagé. Et c’était idiot ; n’avait probablement aucune incidence, mais elle était heureuse de savoir qu’il exerçait un métier qu’il n’exécrait pas. Vanille elle-même ne pouvait imaginer ce que les gens qui haïssaient leur travail pouvaient endurer. Dans un sens, c’était presque aussi difficile que de rester avec une personne que l’on aimait plus ; par convenance plutôt que par amour. D’un sourire en coin lorsqu’il expliqua ses difficultés avec les autres, elle se sentait soudainement vaniteuse de savoir à quel point il communiquait facilement avec elle. Tout était aussi fluide que le courant d’une rivière. Puis elle reprit finalement la parole, d’une voix mielleuse, comme si elle voulait le charmer : — Nous peut-être, tout le monde n’a pas cette chance. Certains ne trouvent jamais leur voie. Tu as beau dire que tu as des difficultés avec les gens, je te trouve très professionnel et à l’écoute. La preuve, tu ne connaissais pas mon identité et pourtant tu t’es très bien occupé de moi. Je te remercie encore pour le thé Charles. Je veux que tu gardes en tête le fait que tu peux compter sur moi… moi je compte sur toi, je sais que ça finira par aller de mieux en mieux. Je reviendrai prendre le thé avec toi un jour, quand à toi, si tu sens que ça ne va pas, je t’en conjure, viens me voir.Ordre déguisé en requête. La blondinette n’avait pas l’intention de lâcher prise. Tant qu’elle n’aurait pas guéri ses maux. Fierté en jeu. | | | | | (end) minutieuse maladresse ▬ feat charles. Dim 28 Mar - 3:31 Minutieuse Maladresse feat Vanille
On se demande tu sais, On a jamais rencontré De personnes travaillant dans l’immobilier On s’imagine qu’il faut du bagout pas vrai ? Avoir cette prestance innée Cette verbe raffinée On se demande ce qu’ils peuvent porter Comment ils font pour exceller On n’oserait imaginer On ne pourrait effectuer Un tel métier Peu importe à quel point il doit être de toute beauté
« Cela doit être un boulot incroyable, il doit falloir une sacrée personnalité et une sacrée aisance pour faire un tel métier. Je suis admiratif je t’avoue. Et en même temps, je me dis que tu dois tenir d’eux ta prestance incroyable. »
Un sourire doux sur nos lèvres esquissé On en veut au monde de t’avoir torpillé D’avoir brisé les rêves que tu avais De t’avoir tout volé Sans rien te laisser Alors que tu ne l’a jamais mérité Personne ne le méritait
« Vu ton talent, je n’ai pas de doutes que ton nom est d’ore est déjà reconnu à la ronde et que sous peu il sera encore bien plus connu qu’il ne l’a jamais été. Tu ne laisse personne indifférent. Et tu es la meilleure dans ton domaine. »
Et puis tes mots énoncés Vérité quelques peu compliquée Tout le monde n’avait pas la chance qu’on avait D’aimer ce qu’on faisait Cela nous smble terrible à imaginer Terrible si on devait se forcer La vie nous demande déjà de tellement donner. Et puis la douceur, qui vient nous envelopper Ton soutien que tu viens répéter Et ça nous touche tu sais Viens presque mouiller Nos yeux bleutés.
« C’est promis. Je sais où te trouver, et j’aurais toujours à cœur de t’offrir du thé, de te recevoir, ou de venir te voir. Tu s importante dans ma vie Vanille. Un vrai pillier. »
On aurait jamais pensé Pouvoir être soutenu par toi comme on l’était C’est le plus beau des cadeaux que tu nous fais Tu n’as pas idée.
« J’espère Vanille pouvoir un jour te dire que tout est agréable tu sais, et qu’on prendra un thé pour se raconter les belles choses. Je veux aussi que tu saches que si un jour tu as besoin de quoi ce soit, on te tournera jamais le dos. On te soutiendra. »
Et on le pensait.
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