AVIS SUR LES BRAVE HEARTS Ce n'est qu'une question de temps avant que leur propre déclin ne les conduise finalement à leur perte. Leur règne n'a déjà que trop duré, une nouvelle ère devra s'imposer tôt ou tard, et ce jour-là, les Dark Shadows seront au rendez-vous, sans faute, aucune. Pourquoi leur laisser cette place, ce rôle convoité de tous, quand ses propres compères et lui-même l'endosseraient avec une bien meilleure prestance ? Les Brave Hearts se disent grands et puissants, incontestables et éternels… Et s'il s'en méfie dans une certaine mesure, il n'a nullement l'intention de s'esbigner devant eux.

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AVIS SUR LES HOLY CROWNS De Holy Crowns à Holy Clowns, ils sont de ces énergumènes sots et naïfs, qui aiment à se bercer d'illusions car les mensonges que sont leurs rêves de justice et de paix, ainsi que leurs songes dérisoires empreints de décorum utopique seront toujours plus plaisants que l'horrible et putride vérité d'une dure réalité. Aveugles, dupes et en déni constant, ils le dégoûtent autant qu'ils ne l'amusent.

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AVIS SUR LES MASTER PIECES  Cartes maîtresses ou pions inutiles, ils sont les deux facettes d'une seule et même pièce qu'il se plait à observer d'un regard curieux, pour autant qu'il y trouve un certain intérêt. Leur infini potentiel n'échappe guère à son attention ; raison pour laquelle son esprit critique ne démontre nullement la même sévérité qu'envers le royaume d'ivoire.

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AVIS SUR LES DARK SHADOWS Sans se l'avouer ni le déclarer à voix haute —par pudeur ou par fierté, qui sait ?—, ils sont pour lui l'unique lueur de lucidité à Wonderland —ou est-il aussi fou à lier qu'eux ?—, ceux-là-mêmes qui constituent le semblant d'une famille aussi singulière qu'impitoyable. Des semblables aux motivations en parfaite résonnance avec ses propres idéaux, ils sont les seuls qu'il porte en haute-estime, les seuls dont il apprécie la compagnie… Les seuls à qui il fit le serment d'une éternelle dévotion.

En quelle année et où a t-il grandi ? Les années 1800, en Angleterre.

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Un souvenir marquant de sa vie d’avant ? L'unique vestige qu'il garde de sa vie d'antan se résume à quelques notes d'une boîte à musique ; un air mélodieux, étrangement familier et apaisant, dont il ne peut expliquer l'origine.

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Comment est-il mort ? Le traqueur piégé ; lui qui s'était juré de retrouver l'assassin de sa sœur afin de le percer à jour et réclamer justice… À son plus grand dam, il ne fut qu'une victime de plus à ajouter au palmarès de ce meurtrier notoire, lequel était alors à l'œuvre lorsque Quincy fit son apparition au mauvais endroit, au mauvais moment.

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Comment a-t-il réagi à son arrivée ? Fiévreuse angoisse et poignante confusion constituèrent son unique comité d'accueil lorsqu'il foula les terres de Wonderland, tant et si bien qu'il perdit le compte de ses nombreuses crises d'anxiété. Des années durant, il fut telle une âme errante, rôdant en territoires inconnus à la recherche d'un pilier auquel se rattacher pour ensuite se reconstruire, en vain. Le temps aura tôt fait d'œuvrer, le dépouillant ainsi de sa sanité d'esprit —du moins, le peu dont il pouvait encore jouir.

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Quelle est sa plus grande peur ? Perdre sa place au sein des Dark Shadows et en être châtié à tout jamais, pour autant que la mort ne vienne pas le cueillir en guise de sentence… Loin de lui l'envie de redevenir l'âme égarée qu'il fut autrefois.

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Son objectif à Wonderland ? Vivre au gré de ses propres envies et ambitions, qu'il prête sans conteste à la secte d'Alastor et sa brigade fantôme ; il vit pour eux, et mourra pour eux.