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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini)
Master Pieces
O. Lancelot Dare
dispo rp : dispo
Messages : 17
Points de Bonheur : 63
Avatar : Albus Dumbledore (HP) + Sir Ian McKellen
Âge d'apparence : 80 ans
Signe Astro : La Couronne
Rôle : Alice (futur Miss Marple)
Métier : Retraité (enquêteur à ses heures)
Inventaire : -
Pouvoir : Petites cellules grises
En couple avec : Son passé compliqué
Autre(s) compte(s) : DONNA JO
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O. Lancelot Dare
Master Pieces
the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 19:03

The fool doth think he is wise,
but the wise man knows himself to be a fool.

Ce très cher vieux monsieur se prénomme Otis Lancelot et a comme patronyme l’audacieux Dare. Il est souvent surnommé (Papy) Lance par ses proches et moins proches. Il est mort à l’âge de 80 ans et est à présent à Wonderland en tant que retraité voire enquêteur à ses heures. Il fait partie des Master Pieces et est encore un Alice... Même s’il perdait déjà pas mal ses souvenirs de son vivant, une perte totale de son identité le guette. Si on lui demande son orientation, il répondra vaguement qu’il est veuf et que c’est tout ce qui compte… De son vivant, la personne qui l’aimait lui disait qu’il était semblable au charismatique Sir Ian McKellen et son petit-fils le comparait à Albus Dumbledore (dans Harry Potter).

the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) 905449under

appelle moi leslie ou lily ☼ bientôt 26 ans ☼ ceci est mon deuxième compte ☼ j'espère que papy lance vous plaira ☼ ça changera de donna joanne en tous cas~ ☼ codes et textes (ofc) made by me (c)LGT

Otis Lancelot
D a r e

Depuis son arrivée, Lancelot a constaté qu’il avait un don, comme tous autour de lui. Il l’a surnommé avec affection ses petites cellules grises soit un pouvoir qui lui permet de voir des indices qui clignotent en noir et blanc.





this is who i am and (always) will be


Long soupir devant la glace, alors qu’il passa sa main tachetée de vieillesse dans sa chevelure ondulée, grise aux reflets blancs. Ses iris bleus clairs zyeutèrent une vieille photographie sur le meuble juste en dessous : il avait été brun et bel homme, à une autre époque. Il prenait soin de lui sans pour autant être un sportif, ayant une corpulence mince. Son mètre quatre-vingt était plus que raisonnable alors mais il constata avec le temps que les jeunes étaient en voie de tous devenir des géants… Il revint dans le présent, plissant sa longue barbe non taillée, aux mêmes couleurs que ses cheveux. Son regard était doux et sage, qu’importe son interlocuteur. Et les rides qui plissaient son visage n’étaient que des marques de sourires et du temps qui lui a tant offert. Qui lui a tant pris également. Il replace ses lunettes en demi-lunes qui glissent de son nez et fait une légère grimace pour se faire sourire. Il finit par se détourner du miroir dans un bruit d’étoffes qui se meuvent l’une sur l’autre. Il est dans une tenue d’intérieur d’un autre âge, mais il ne sort quasiment plus depuis… depuis que sa culpabilité le ronge. Alors qu’importe ses habits de nuit en pleine journée, ces vêtements aux couleurs vives qui amusaient tant Christopher… Ce serait peut-être un moyen de conserver ses souvenirs où son petit-fils riait de bon cœur à ses côtés.

Il s’allongea dans son vieux fauteuil qui avait pris la forme de son propriétaire depuis quelques décennies et souleva doucement jusqu’à son torse une couverture en patchwork que lui avait confectionné Agatha. « Que tu ne prennes jamais froid, mon grand papa. » Il ne retint pas ses larmes et, alors qu’elles lui brûlaient les yeux, il s’obstina à rester éveillé. À faire face. Cela faisait quelques jours que le sommeil le sauvait comme il l'accablait : de rares doux rêves du passé aux cauchemars du présent qui le poursuivaient par la suite. Il toussota et perdit son fil de pensées. De plus en plus, il avait des absences et quand il revenait à lui pleinement, il constatait avec effroi qu’il oubliait des détails et autres piliers de son existence comme si son cerveau était percé. Certains jours, il ne se rappelait même plus de son nom… mais il était capable de réciter de vieux dossiers de police auxquels il avait participé. D’autres fois, et c’était pour lui le pire, il zappait qui étaient qui parmi ses photos réparties un peu partout chez lui… Cela ne l’empêchait en rien de retenir des tirades entières de Shakespeare (bien que, il est vrai, il oubliait parfois qui était Shakespeare dans le processus). Il glissa par réflexe sa main dans sa poche et en tira son fidèle carnet qui lui servait de deuxième (si ce n’est première) mémoire. Il relut quelques pages et ses souvenirs remontèrent peu à peu à la surface. De quoi le rassurer ? Non, pas tout à fait.

Il tenta malgré tout de se concentrer sur les épisodes positifs, sur tout ce que ses proches lui avaient dit ou fait pour se rappeler qu’il était un homme bon. Plein de qualités.

« J’aime… ta douceur. J’aime… ton audace. J’aime… ta fougue. Je t’aime tout entier, toi, mon homme si cultivé et si ardent qui me surprend tous les jours ! »

« Merci d’avoir toujours été là Otis ! Je sais que je peux compter sur ta bienveillance, ta chaleur, ton empathie. Tu seras toujours mon confident, mon protecteur. C’est bien d’être attentionné, donc ne te punis pas d’être trop sensible ou quoi… Ton sourire à mes côtés, c’est toute la loyauté que chacun rêve de recevoir. »

« Inspecteur Dare ! Je suis honoré de travailler sous vos ordres.
— Voyons, Jim. Nous travaillons ensemble, pas l’un au-dessus de l’autre…
— Je suis encore plus touché alors. Votre discours de tout à l’heure était prenant, vous citez souvent des philosophes ?
— Pas toujours, pas toujours.
— Oh, vous me rassurez…
— Parfois ce sont des dramaturges ou scientifiques que je cite ! J’alterne ha !
— Haha ! En tous cas, je vous félicite pour votre parcours : vous êtes un modèle pour moi ! J’espère avoir une carrière comme la vôtre et être aussi tenace à votre âge et...
— Mais n’appelle pas tout de suite les fossoyeurs, s’il-te-plaît !
— Non non, ce n’est pas… Je voulais dire que… Enfin…
— Je te taquine, James, évidemment. Merci pour tes compliments mais la victime nous attend… et il ne faudrait pas qu’elle refroidisse trop d’ici notre arrivée !
»

Il était ainsi, pleinement à l’écoute et sociable, qu’importe qu’il vous connaisse bien ou mal. Beaucoup l’admiraient et dès les premières rencontres, le charisme dont il faisait preuve (malgré lui) se ressentait. Il était tendre avec ses proches, jovial avec ses voisins, apaisant avec les victimes et tranquille avec les coupables. Sous son apparence calme, il cachait un cerveau méthodique, un feu intrépide, une moralité à toute épreuve et un côté optimiste même dans les pires situations. C’était une âme libre et originale et, même si avec l’âge, il perdait en réactivité, il était toujours le flic qui observe, qui ose, qui fonce, qui sauve. Qui arrive à décrocher un sourire chez la personne la plus désemparée. L’esprit un peu foufou et décalé mais qui jamais ne prenait d’armes sur lui car sa plus grande force était sa parole d’où s’échappait son intelligence et sa bienveillance.

Mais il n’était pas que cela : il était humain. Il avait ses failles et ses faiblesses, ses craintes et ses égarements.

« Otis, arrête… Sérieusement, tu vas perdre ton emploi à force de la jouer solo quand ce n’est pas ces moments où tu insultes tes supérieurs… Et toi comme moi savons que ce n’est pas la solution. Donc fais profil bas pour une fois. Arrête de faire ton rebelle immature : tu te persuades qu’on t’aime comme ça… jusqu’à ce que ça ne soit plus tolérable pour qui que ce soit. »

« Papy Lance, pourquoi je n’ai pas le droit de dire à maman que je t’aide ?
— Parce qu’elle s’inquiéterait beaucoup beaucoup pour toi comme pour moi.
— Mais même ! Maman a dit qu’il fallait pas mentir et pourtant tu le fais, c’est mal !
— Sache mon petit Chris, que la vie est plus compliquée que juste le “vrai” et le “faux”. La vie c’est plus du “marche ou crève”... Du “Dare or Die”. Donc même si ça te paraît imprudent ce qu’on fait… même si on ment à maman pour que tu deviennes un adulte… Le jeu en vaut la chandelle… tu verras ! Maintenant, cesse les questions : place à l’action !
»

« Tu n’es qu’un égoïste, qu’un manipulateur de première ! Tu ne dis rien, tu fais tout dans le dos des gens… tu nies les risques alors qu’ils existent ! Mais bon sang, papa : parle-moi !
— Et pour te dire quoi, for the fuck’s sake ?! … Pour te dire que tu as raison et que je suis le méchant de l’histoire ? Qu’importe ce que je dis pour ma défense, tu ne m’écouteras pas ! Alors reprends tes affaires, et casse-toi Agatha ! On se revoit quand tu pourras me voir sans m’engueuler !
»

Il n’avait pas été sérieux à l’école, il ne le fut pas plus en grandissant : il resta un homme débordé par les dossiers, désorganisé dans son bureau, pas assidu pour deux sous si le sujet l’ennuyait. Il n’avait pas tout fait pour monter les échelons, vu que l’ambition n’était pas dans ses qualités. S’il avait fini par obtenir le poste de ses supérieurs, ce fut avec de la persévérance que l’on pourrait nommer de l’obstination. Il n’était pas poli, si ce n’est même totalement grossier, qu’importe son interlocuteur. Il savait faire avancer les pions et plier les rois avec une imprudence qui marchait pourtant. Plus que manipulateur, ses côtés baratineurs se cachaient dans ses paroles ironiques et sarcastiques. Il n’avait jamais été très créatif, mais s’il voulait quelque chose, il savait imaginer un stratagème pour contrer sa malchance et réussir ses coups. Il n’y avait bien que ses proches (et encore) pour le faire plier quand il devenait trop provocateur et puéril, de sorte de stopper le casse-cou dont l’orgueil le mettait en danger. Possessif envers sa famille, toucher à l’un des siens pouvait le rendre colérique et impulsif, de ce courroux froid que personne ne souhaitait subir.

Mais que se passait-il quand ses proches souffraient et que c’était de sa faute ? Alors là… misère, que faire ? Il s’en voulait terriblement mais se cachait derrière des paroles dures ou douces, selon la gravité. Il alternait entre rejet de la situation par la colère ou par le déni. C’était également le cas face à ses peurs. Sa dernière peur étant sa mémoire imitant le gruyère qui le forçait à relire son carnet de notes de plus en plus souvent. Tant pis si ses souvenirs malheureux revenaient le hanter : au moins les heureux moments revenaient dans sa vieille caboche.

Mais pas ce soir. Ce soir c’était la fois de trop.

(( TW : suicide ))

La voix de Christopher le hantait et ses larmes débordaient sur ses joues. Il remit dans sa poche le carnet et se pencha sur la petite table à ses côtés. Il attrapa le pilulier et en sortit les médicaments de toute sa semaine qu’il fit glisser dans sa paume. Il douta de la réussite de son projet funeste, de son geste soudain, alors il ne s’arrêta pas là. Il mit les cachetons dans sa bouche, se servit un verre de whisky et avala le tout. Il reposa son verre, tira la couverture jusqu’à son menton et ne cessa de pleurer que quand il s’endormit.

Pour toujours, sur cette Terre-ci.

the old that
is strong
does not wither

in a summary

AVIS SUR LES BRAVE HEARTS Quelle énergie ! Peut-être un peu trop, mais il faut bien que jeunesse se fasse...
AVIS SUR LES HOLY CROWNS Ils respirent la tranquillité mais cela manque de rire sincère et il n'aime pas l'hypocrisie.
AVIS SUR LES MASTER PIECES  Des gens de toutes sortes, de futurs bons amis comme de moins bons camarades.
AVIS SUR LES DARK SHADOWS Une secte, ce n'est jamais bon : ça rime avec infect, il y a une bonne raison !

En quelle année et où a-t-il grandi ? Peu de temps avant que les bombes ne cessent de pleuvoir sur le drapeau de l’Union Jack.
Un souvenir marquant de sa vie d’avant ? Trop de souvenirs qui s'effilochent quand il tente de les saisir.
Comment est-il mort ? Le cœur en larmes, à son grand âge, il a rendu les armes. (( TW : suicide ))
Comment a-t-il réagi à son arrivée ? Comme face à une nouvelle énigme à résoudre.
Quelle est sa plus grande peur ? Oublier son passé. Pour de bon.
Son objectif à Wonderland ? Aider son prochain, comme toujours.

SECRET INAVOUABLE : Un peu trop curieux et aventureux, le papy s’en veut. Car son petit-fils l’a accompagné une fois de trop dans ses enquêtes amatrices… et plus dangereuses qu’il ne l’aurait envisagé. Christopher : même s’il te retrouvait, il ne saurait se pardonner.
some fun facts
(and some sad ones)

porte une alliance à son annulaire… et une autre autour du cou ☼ se balade souvent en robe de nuit et chaussons dehors ☼ c’est pas qu’il est idiot… mais il est de plus en plus sénile ☼ il oublie son identité au moins deux fois par jour ☼ à Wonderland, c’est pire ☼ il est capable malgré ça de réciter de longs vers ou citations célèbres ☼ tout en oubliant parfois l’auteur d’origine ☼ il est donc très cultivé mais si c’est inutile ici ☼ il aime faire des grimaces pour faire rire les enfants qu’ils croisent ☼ il pense souvent à son petit-fils dans ces moments et se sent triste sans trop savoir pourquoi ☼ il a une sainte horreur des armes ☼ il a un code moral assez singulier ☼ pouvant aider des coupables s’ils regrettent ☼ tout comme lever les yeux au ciel si une victime en fait trop ☼ voit donc le monde en nuances de gris et non en noir et blanc ☼ et quand ça clignotte vraiment en noir et blanc, c’est que c’est un indice ☼ il aime les devinettes et énigmes ☼ résoudre des problèmes et autres affaires, c’est son dada ☼ il sait très bien cuisiner ☼ dort peu et préfère vagabonder à Neverland ☼ à noter qu’il a longtemps érré dans la forêt de Hollywood à son arrivée ☼ quand sa mémoire est là, il veut tout faire pour revoir sa famille ☼ quand il perd la boule, il veut juste faire sourire son voisin ou sa voisine ☼ « voilà une journée bien accomplie ! » ☼ il a parfois des absences, le regard dans le vide… pendant plusieurs heures et ce n’est pas rassurant ☼ il se présente sous le nom de « Lance » voire « papy Lance » ☼ son prénom Otis éveille chez lui trop de chagrin qu’il tente de fuir ☼ il se met parfois à chanter ☼ et il chante très bien ☼ mais souvent les chants tristes le font pleurer et les chants joyeux… aussi ☼ il pense souvent à Ann alors ☼ et sinon, c’est Gwaine qui lui vient à l’esprit dans ces moments down ☼ il peut facilement passer du rire aux larmes et vice versa ☼ dans une autre vie, il avait été élevé en tant que catholique ☼ pourtant, dès que quelqu’un lui parle de croyances, il agite les mains en forme de bouche, en faisant « blah blah blah » pour ne pas entendre ☼ oui, c’est parfois un gosse dans un corps de vieux ☼ souvent, même ☼ malgré son apparence tranquille, il est encore dynamique pour son âge ☼ et pleins d’autres choses...
i'm still young in my memories
if you could only see...
and i will never fall on my knees
never give up is the key


Immobile. Ses paupières closes étaient salées de larmes. Il reniflait quelque peu et essuya d’un revers d’index l’humidité de ses yeux. Il se força à relever la tête, à faire face à cette nouvelle réalité. Une réalité qui avait perdu en saveurs et senteurs… qui n’était que malheur. Car le bonheur, cet idéal de sérénité, semblait s’effriter dès qu’il le frôlait en pensées.

— Recommençons, se murmura-t-il de sa voix grave et chevrotante d’émotions.

Il quitta du regard la forêt qui l’environnait pour le petit carnet à la couverture de cuir bleu posé sur ses genoux. À défaut d’autre possibilité dans ce lieu inconnu, il avait fait d’un rocher son siège et de ses jambes fragiles une table. Il appuya le stylo contre le papier, encourageant sa mémoire à déverser son contenu récent… sans succès. Il se résolut à relire les quelques pages manuscrites, comme si elles lui permettraient de poursuivre. Il était inscrit d’une belle écriture penchée :

« Tu te nommes Otis Lancelot Dare. Tu es né le 1er août 1940, dans le Kent. Tu es le fils unique de Julia Olympia Inkman et de Gerald Oakley Dare. Tous deux ayant travaillé pour l’armée. Tous deux décédés de mort naturelle voilà vingt et vingt-cinq ans. »

Il marqua une pause dans sa lecture, se persuadant que ce qu’il lisait était bien de lui. Que c’était véritable. La femme aux boucles brunes dont il avait hérité le regard bleu acier et qu’il revoyait dans ses souvenirs ne semblait jamais avoir pris de l’âge… Et pourtant. Sur la fin, elle n’était plus capable de monter les escaliers de leur ancienne bâtisse car ses genoux étaient devenus trop douloureux. Rappelle-toi Lance ! De même, l’homme aux larges épaules dans son uniforme, aux noirs cheveux comme barbe, avait vieilli et s’était penché au fil des années, son poil avait grisé et son visage s’était ridé. Tu t’en souviens, Lance ?

Néanmoins, tous ces souvenirs étaient vagues. Bien plus flous que ceux de son enfance. Il se replongea dans les traces de ce lointain passé, dans cet autre monde d’où il venait.

Le bruit des bombardements tonnait alors jusque dans son berceau. Petit être qui venait de naître, il découvrait un monde qui se dévastait comme il semblait l’avoir toujours fait. Dès qu’il en eut conscience, il se jura de ne pas participer ni même encourager cette violence programmée. Alors, face aux souhaits de papa et mama qui se pensaient pacifistes en prenant les armes, il se jura de ne jamais s’enrôler. Et il tint parole semblait-il… Il s’observa dans sa drôle de tenue. Une robe de chambre avec un peignoir par-dessus, aux teintes aubergine et lie de vin, et ses chaussons aux pieds étaient assortis. Il n’avait ni l’accoutrement ni la carrure pour être un militaire crédible. Il reprit sa lecture :

« Tu as grandi aux côtés de ta voisine, Ann Hickson. Elle était aussi fille unique et adorait comme toi les énigmes. Votre relation a évolué au fil des années. La bague à ton annulaire, elle en portait une similaire à son propre doigt. »

Il fronça les sourcils à cette dernière phrase : il y avait quelque chose d’étonnant dans ce détail qui, il le voyait bien à sa main gauche, était réel. Quand il repensa à la campagne anglaise, il se revit partir en vadrouille, armé de tout un attirail dans son fidèle sac-à-dos, de la loupe aux jumelles, en passant évidemment par le casse-croûte confectionné en amont par sa mère. Et il n’était pas seul.

La petite rouquine qui l’accompagnait courrait plus vite dans les champs mais tombait plus souvent. Elle riait alors aux éclats et ne pleurait pas, montrant fièrement ses « blessures de guerre » et repartait de plus belle. Elle gambadait en criant des paroles plus qu’en les chantant, révélant ses dents du bonheur. Le mini-Otis tentait de courir à ses côtés et l’embêtait dès qu’elle se trompait dans les vers.

Ann... comment ai-je pu oublier Ann ?

Ils étaient les meilleurs amis du monde et jusqu’à la nuit tombée, ils le réinventaient ce monde. Car tout semblait possible depuis leur âme courageuse et rêveuse. Ils passaient de nombreuses heures à rêver mais également à créer des devinettes et à résoudre des casse-têtes... Le reste du temps, ils parcouraient leur coin perdu pour accomplir de « loyaux services ». Que cela aille de la recherche d’un animal disparu à la cueillette des fruits trop haut dans les arbres.

Et puis, il y a eu ce jour de mai. Celui du premier baiser entre les branches du cerisier.

Des lèvres humides qui se rencontrèrent sans trop savoir pourquoi, après que leurs yeux se fussent perdus dans ceux de l’autre une seconde de trop. Le jeune garçon resta immobile, tentant de savourer cet instant unique. La jeune fille recula la première, un sourire fin qui monta jusque dans ses yeux verts qui brillaient. Et face à ces pupilles dilatées, Otis ne sut dire ce qu’il avait sur le cœur. Son amie d’enfance venait de se déclarer et il l’aimait tellement qu’il ne sût riposter. Ils avaient dix ans et le même laps de temps passa jusqu’à ce qu’il puisse enfin s’exprimer.

« Tu lui as offert cette bague à vos vingt ans. Vous avez signé un pacte ainsi, un mariage blanc. Dès la majorité, tu avais rejoint les rangs de la police du comté, voulant faire bouger les choses, et Ann est devenu reporter, dans le même but. Mais au-delà de changer le monde, ce qui t’a métamorphosé toi-même ce fut ta rencontre avec un certain avocat. Gwaine Arthur Young s’est immiscé dans ton cœur, bousculant toutes tes certitudes. »

En fermant les yeux, le visage de Gwaine lui apparut et son cœur s'accélèra, comme à leur première rencontre. C’était lors d’une enquête où l’avocat devait défendre un adolescent qui risquait gros car accusé de meurtre. La tension était palpable dans la salle d’interrogatoire où on lui avait permis d’assister pour observer l’inspecteur d’alors… et il avait insisté énormément pour obtenir cette place d’observateur. Mais une fois dans la salle, Otis ignora superbement l’Inspecteur Nathair, plus impressionné par l’éloquence et l’aisance de Gwaine, à peine plus âgé que lui, malgré son absence de cheveux.

Il était amoureux. Pour la première fois, il comprenait cette inclinaison qui venait de l'électriser par surprise.

Otis n’avait jamais été du genre à regarder les filles… mais pas plus les garçons en réalité. Il croyait que son amitié pour Ann était de l’amour car il ne connaissait tout bonnement pas ce sentiment. Quand il tombait sur des passages romantiques dans ses livres, il pensait que toutes ces réactions physiques étaient exagérées, juste pour faire joli et rendre envieux les lecteurs les plus solitaires... Qu’aimer pouvait se résumer à de la complicité et à de la tendresse sincères.

Son corps semblait ne plus rien contrôler et le seul remède possible résidait dans l’élan vers Gwaine, dans l’espoir de capturer son regard brun. Cette inclinaison le bouscula tellement qu’il ne sut réagir normalement par la suite. L’Inspecteur Nathair lui intima plusieurs fois de quitter la salle, pour laisser seuls l’avocat et l’accusé, mais Otis ne réagit pas avant que son supérieur hausse le ton et jure en gaëlique.

Ce n’était que le début alors.

Les souvenirs apparaissaient devant ses rétines rêveuses, dans un pêle-mêle où maladresses et excitations se bousculaient. Après cette rencontre inappropriée, il fit son possible pour revoir l’avocat et pouvoir discuter avec lui véritablement. Il se sermonait que c’était une admiration étrange et subite, qu’il devait abandonner ce projet ridicule et absurde. Je me disais : pourquoi revoir cet avocat alors que plein d’autres devaient être aussi impressionnants ? Cependant, il ne put taire cette envie irrépressible ; toute autre personne paraissait fade et ennuyeuse en comparaison.

Il se démena pour être présent à chaque fois que l’enquête de l’adolescent — et de son avocat —  évoluait au poste. Et il finit par avoir l’audace d’aller parler à Mr Young quand ce dernier n’était pas avec son client. Gwaine avait remarqué le jeune officier qui agissait bizarrement (même s’il ne semblait pas saisir qu’il en était la cause). Il lui sourit avec gentillesse et lui proposa un café, pensant le détendre.

« Vous êtes une jeune recrue, c’est bien cela ?
— Euh… oui. Oui, tout à fait. Je suis arrivé ici il y a six mois. Et vous… vous…
— Avocat depuis trois ans, je suis encore commis d’office mais j’ai bel espoir de défendre la veuve et l’orphelin, si je puis dire…
— Oh… Votre métier a l’air passionnant en tous cas !
— Eh bien… le vôtre aussi. Je pense que nous devons partager la même envie d’aider notre prochain ?
— Vous lisez en moi comme dans un livre, mister… ?
— Young. Mais appelez moi Gwaine, je vous en prie.
— Otis Lancelot Dare, mais vous pouvez m’appelez par mon prénom aussi. Enchanté ! »

Ils se serrèrent la main et cela créa chez Otis une certitude : il ne devrait jamais lâcher cet homme qui brillait devant lui, qui l’encourageait à briller à son tour.  

Le vieil homme aux yeux fermés coupa les traces humides de ses joues d’un fin sourire mélancolique. Cela ne fut pas une affaire rapide mais les deux jeunes hommes se revirent maintes fois et bientôt, même en dehors des heures de travail. Un an et demi passa et leur relation aux apparences d’amitié fusionnelle devint également de l’amour chez l’avocat solitaire. Il se confia un jour enfin, ce qui fit balbutier le brun, dont les papillons ventraux se déchaînaient plus que jamais :

« Je suis du genre solitaire, tu le sais… Pourtant… pourtant à tes côtés Otis, discuter des heures me paraît toujours trop court ! Tes départs toujours trop tôt...
— Je… Je ressens la même chose… Même… même avec Ann ce n’est pas… enfin…
— Mais si, tu as Ann. Et c’est très bien. Elle t’aime et tu l’aimes et moi… je…
— Non. C’est différent. Si… si tu partais au bout du monde, je ne saurais m’en remettre. Alors qu’avec Ann… Ann et ses envies de reportage de par le monde… Tous ses plans me donnent envie de l’encourager à réaliser ses rêves, non pas à la retenir par crainte du manque…
— Je te manquerais Otis ?
— Plus que tout.
— Et tu penses que tu me manquerais aussi ?
— Je… je… »
Otis rougissait, perdu. Gwaine glissa sa main sur celle d’Otis.
— La réponse est oui. »

Ce « oui » fut le signal pour que leur regard lise dans l’autre mieux que n’importe quel je t’aime. S’ils finirent par s’embrasser, ce ne fut pas ce jour-ci. Otis était extrêmement coupable à l’égard d’Ann avec qui il vivait et qui était, malgré l’absence du terme officiellement, sa petite-amie. Ils allaient sur leur 20 ans et tout le monde les voyait déjà comme un vieux couple, même leurs parents les rêvant ensemble depuis l’enfance. Il se décida à tout lui avouer, au risque de se faire détester — il croyait le mériter — au risque de la faire souffrir — mais elle ne méritait pas cela.

Pourtant, elle n’exprima aucune haine, aucune surprise. Son soupir fut presque soulagé… bien que suivi d’une certaine inquiétude. Non pour elle mais pour Otis. Car si elle ne niait pas que son amour pour lui était bien réel et qu’elle aurait aimé une réciprocité, le voir se forcer et souffrir pour elle lui aurait fait plus de mal. Mais il n’y avait pas que cela. Elle hésita puis murmura : « Tes parents. Ta mère ne supportera pas que tu officialises ça… Elle a beau t’aimer de tout son cœur, son — excuse-moi du mot — dégoût pour les gens comme toi sera plus fort… » Il avait beau être dans le déni de beaucoup de choses, il se rendit compte qu’elle avait raison. Terriblement raison.

Alors ils réfléchirent à un stratagème, à un accord, à un but commun. Car elle avait beau l’accepter de prime abord, Ann ne semblait pas approuver que l’on lui retire Otis. Alors, en échange d’un ménage secrètement à trois, ils allaient se marier.

« Vous viviez à trois sous le même toit, comme des colocataires… Passé le mariage, ta mère ne comprit pas pourquoi vous ne preniez pas une maison pour Ann et toi uniquement mais le capital sympathie de Gwaine fit taire ses remarques.

Le temps passa et vous preniez de l’assurance et du grade dans vos métiers respectifs. Jusqu’à ce que tu deviennes inspecteur à ton tour, devenant un bourreau du travail malgré toi... Les énigmes étaient plus épineuses qu’auparavant, mais les dossiers difficiles étaient tes favoris.

Ann te faisait parfois des reproches, quand elle avait pris un verre de trop… Mais les années passèrent ainsi et tu étais bien incapable de reprocher quoi que ce soit à ta femme. Cette chère Ann, dont la fidélité te mettait mal à l’aise parfois… Tu aurais presque voulu qu’elle aille voir ailleurs quand tu ne pouvais lui offrir que loyauté et assistance, et non amour. La vie continua ainsi… jusqu’à ce qu’elle te demande une faveur. Et c’est ainsi que naquit Agatha, en 1980.
»

Le vieil homme stoppa sa lecture même s’il était de plus en plus captivé. Cette vie — la sienne en réalité — semblait être celle d’un autre jusqu’à ce qu’il soit frappé par les flashes de sa mémoire en morceaux. Des miettes qui s’envolaient quand ils y pensaient… et d’autres fragments aux bords coupants, qui font souffrir quand on tente de les manipuler.

Ann et toi alliez souffler vos quarante bougies, tu te rappelles très bien cet anniversaire doux-amer. Plus les flammes se multiplient sur le gâteau, moins on a envie de les compter. Si Otis ne se rappelait pas de cette gêne, il était heureux dans sa vie malgré son aspect bancal. Cependant, pour la femme à la chevelure rousse aux filins blancs, c’était autre chose. Elle avait accepté ce mode de vie, qu’importe les difficultés, acceptant son célibat quand Gwaine et Otis pouvaient plus ou moins vivre leur amour caché. Mais à son âge et face aux autres femmes, une douleur, un manque, persistait.

Elle voulait devenir mère et que ce soit moi le père.

Pas un autre, mais lui, toujours lui. Cela ne faisait pas partie du contrat d’origine mais Otis sentait que cette volonté de parentalité trottait également dans son esprit. Après en avoir longuement discuté avec elle et Gwaine, il accepta. Ce fut une période étrange, rythmée par des actes sans amour mais non dénués de tendresse : ils savaient pourquoi ils les faisaient. Et c’est ainsi qu’une petite toute semblable à sa mère vit le jour, rayonnant une joie indicible chez le foyer des Dare. La grand-mère fut ravie, elle ne semblait attendre que cela de son fils unique. La rouquine grandit aux côtés de ses parents et de uncle Gwaine, faisant vivre tout le panel d’émotions que peut ressentir une famille quand elle accueille une enfant pour la première fois.

« Tu étais épanoui. Peut-être un peu trop encore dans tes affaires irrésolues, étant souvent demandé par la police du comté, mais présent des premiers pas à l’entrée dans le secondaire de ta fille. Tout allait bien. Trop bien. Et puis… il y a eu l’accident. »

Otis n’eut pas à poursuivre sa lecture pour que des sanglots bruyants fassent leur apparition. C’était le genre de souvenirs qui blessent qui remontait à la surface… Ann rentra du travail un peu plus tard que ses collègues, personne n’en était surpris. Elle prit le même chemin en voiture que d’habitude. Elle s’engagea sur le croisement, ayant comme toujours, la priorité. Elle appuya sur l’accélérateur mais n’atteignit jamais son foyer. Car un camion ne respecta pas la priorité.

Non… Non… Non… Je ne veux pas revoir ça…

L’homme lâcha son carnet et son stylo et se leva avec difficulté, voulant fuir sa mémoire qui fonctionnait uniquement pour le faire souffrir… Il ne voulait pas se rappeler de cet appel des urgences qui l’avait mis au bord de l’évanouissement. Pas de ces questions de la police dont il connaissait trop les condoléances. Pas du procès qui avait suivi et s’était éternisé. Il voulait revoir Ann une dernière fois : elle qui dansait dans la rue sans se soucier des regards ; elle qui riait à gorge déployée et dérangeait les voisins ; elle qui inventait des devinettes à base de private jokes pour que seule sa famille les comprennent… Elle qui était tout et qui laissait son mari et sa fille de 15 ans orphelins.

— Laissez-moi tranquille… Laissez-moi oublier…

Il était perdu dans ce nouveau monde et déambulait entre les arbres, s’éloignant loin de son carnet. Il oubliait à chaque pas des éléments qu’il aurait pu conserver pour se rappeler, qui auraient pu l’aider. Et même si certains souvenirs plus récents allaient réapparaître, il oublierait sa porte de sortie, la clé de tout ceci.

☼☼☼

« Ann est montée au ciel. Et tu ne t’en es jamais remis. Pas plus qu’Agatha ou Gwaine, même si tu semblais le plus bouleversé par les évènements. Qu’importe les dires de ton aimé, tu t’enfermas plusieurs années dans le travail, tentant de fuir le deuil qui t’accablais tant. Le décès de mama s’ajoutant la même année, tu fus encore plus inconsolable…

Finalement, le second millénaire débuta. Et étrangement, même sans l’avoir jamais dit à haute voix, ce fut Agatha qui t’encouragea à officialiser ton union avec Gwaine. Elle était donc au courant que son oncle de cœur était en réalité l’amant de son père… Tu refusas longtemps, croyant bafouer la mémoire d’Ann. Mais tu finis par accepter cette vie homosexuelle au grand jour. « On le savait déjà mon fils… » lui souffla son père, sur son lit d’hôpital, avec ce sourire rassurant qui balaie toutes les fautes car elles n’en sont pas.

Tu n’étais responsable de rien et méritait de connaître le bonheur.
En 2005, tu fus finalement à la retraite, rejoignant Gwaine qui était déjà retraité depuis quelques années. Cette même année, tu guidas jusqu’à l’hôtel ta fille adorée qui épousa un certain Ray East. Tu jouas le
papa protecteur et méfiant mais ce jeu dura peu car ton beau-fils était un futur médecin tout à fait respectable et visiblement très amoureux.

Quatre ans plus tard, le bébé Christopher naquit. Si Agatha avait tout pris d’Ann, elle te souligna que son fils tenait de son « Papy Lance » sauf les yeux verts. Gwaine et toi devinrent les grands-parents les plus joyeux qu’il soit, réclamant la garde de votre petit-fils même quand ses parents prenaient des vacances et voulaient (eux aussi) profiter de leur progéniture. C’est ainsi que tu repartis dans tes travers, à savoir écouter la radio de la police et squatter le poste alors que tu n’avais plus rien à y faire. Gwaine te mit plusieurs fois en garde contre cela, sans succès. Il t’amena de force maintes fois à jouer à des « vieux jeux » alors que tu te croyais encore jeune et dynamique. (C’est faux, accepte-le.)

Mais finalement, Gwaine cessa de t’empêcher de poursuivre ton ancien métier : il n’en avait plus la force. Ce fut à cet instant que tu compris l’urgence qu’il y a de profiter de ceux qu’on aime. Tu tentas de décrocher, te concentrant sur ton aimé qui luttait avec peine mais courage contre un cancer des poumons. La première fois, Gwaine s’en sortit car la maladie fut repérée très tôt. Une seconde fois, il gagna le combat avec fierté. Mais la troisième… malgré toute sa détermination, le cancer gagna en ampleur et gagna la partie de la vie.

Tu tombas de haut. Tu te sentis très seul. Tu pensais ton amant immortel, pourtant la vie t’avait appris que c’était faux, à maintes reprises. Mais tu ne retiens jamais les leçons. Passé quelques années à te replonger dans de vieux cartons, dans les vieux dossiers irrésolus, ce sera ta fille Agatha mais surtout ton petit-fils Chris qui te ramènera dans la vie… sans pour autant te faire complètement quitter les affaires.

Quand Christopher eut dix ans, il exprima son intérêt pour ton (ancien) travail… Il te répétait sans cesse qu’il voulait devenir policier, enquêter sur des affaires et débusquer des méchants. Tu as refusé de prime abord de l’embarquer avec toi dans tes petites « missions ». Mais il était insistant et répondre à tes énigmes en pleine campagne ne semblait pas assouvir ses envies.

Alors tu as craqué. Tu l’as emmené au commissariat, lui montrant un peu comment ton métier fonctionnait… Il n’avait fallu que de cette fois-ci pour qu’Agatha débarque et te hurle son mécontentement : « Il est bien trop jeune pour voir les horreurs de ton travail ! Je t’interdis de le garder si c’est pour l’emmener voir ça avec toi ! » Tu lui as assuré que cela ne recommencerait plus… et tu pensais tenir ta promesse. Mais un an plus tard, découvrir Christopher dans tes vieux cartons du grenier quand ce n’était pas t’espionner en train d’écouter la radio de police, tout cela te fit changer d’avis.

Tu finis par te persuader qu’il vallait mieux être là et non qu’il tentât de jouer au « justicier » en ton absence. Tu te reconnaissais en ton petit-fils, tu voyais en lui un complice malin et discret. Tu commenças gentiment par des interrogatoires de victimes ayant ton grand âge, puis tu poursuivis – prenant trop confiance — par des explorations dans des lieux abandonnés, à la recherche d’explications pour des meurtres aux coupables encore inconnus.

Cependant, plus les mois passaient, plus vous vous éloigniez du Kent plus tranquille pour la capitale anglaise plus animée… et dangereuse. Un jour, suivant la piste d’un témoin, vous êtes entré dans une usine désaffectée. Tu pensais épater le petit dans ce décor de film d’épouvante, comme un cadeau de noël en avance. Ce que tu ignorais c’était que le lieu était encore occupé et ce, par une bande de trafiquants armés. Tu pensas faire marche arrière dès que tu entendis les criminels, envoyant un message d’urgence à la vraie police, mais Christopher n’était plus à tes côtés.

Angoissé, tu le cherchas jusqu’à ce que tu entendes des paroles nerveuses puis des coups de feu. Tu n’avais jamais aimé les armes mais ta crainte pour ton petit-fils était trop grande : tu te précipitas au devant du danger, plus au centre de l’usine. Soulagé, tu trouvas Christopher caché derrière des machines. Tu voulus encourager le gamin à sortir, profitant du bruit des balles perdues pour s’enfuir sans se faire voir. Mais Christopher eut des difficultés à te suivre, toi, le papy calme et lent. Dans la pénombre, tu ne repéras pas immédiatement que Chris était blessé à la poitrine. Assez gravement pour lui intimer de ne pas faire un pas de plus.

Tu lui murmuras que la police arrivait, que les secours aussi… que tout allait bien se passer. Tu lui comprimais la plaie et ignorais tes larmes qui montaient, tes excuses en boucle que tu déversais. Il te disait qu’ils voulaient juste arrêter les méchants, qu’ils voulaient les prendre par surprise pour que… que... « Chris… Christopher… Chris ! Parle-moi ! Chris… Je t’en supplie, Christopher ! »

Les sirènes retentissaient de partout alors que l’usine se faisait peu à peu cerner par les équipes compétentes.
Tu n’en faisais pas partie. Tu fixais le corps inanimé dans tes bras, pâle comme la Lune qui se dressait dehors à travers les fenêtres.

On dut user de force pour te détacher du corps sans vie de Christopher. Et plusieurs policiers intervinrent pour que tu ne suives pas le légiste. On t’interrogea sur ta présence sur ces lieux et tu répondis par monosyllabes, le regard vide.

Coupable. Tu n’es que cela et tu penses mériter la prison si ce n’est pire. Mais à ton grand âge — mais aussi pour tes services passés — on a abandonné les poursuites contre toi. Mais il y a Agatha… et Ray. Ta fille et son mari t’en veulent et dans leur regard de haine, tu vois qu’ils souhaitent que leur fils revive en échange de ta mort… Tu entends encore les cris d’Agatha, ses mains agitées de spasmes contre ton col qu’elle secoue pour te faire réagir. Mais tu ne peux pas te défendre : tu es juste coupable et les excuses ne ramèneront pas Christopher à la vie.

Tu en es là Otis. N’oublie pas ta peine, ta culpabilité, tes mauvais choix.
Ne nie pas qui tu es : un vieil homme encore en vie, entouré de cadavres.
»
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 19:22
UN PAPY ohyou

Déjà le codage est fou et ensuite j'adore le concept du perso, je le trouve super original ?? et comment ça on est infects

Rebienvenue bibou ✨
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 19:34
AH JE OOF
je suis giga admirative des gens qui arrivent à jouer des personnes âgée ou des enfants, genre vraiment jpp je te tire mon chapeau ???

Sinon ce papy je double oof, je veux qu'il m'adopte ? Vraiment une crème oskour, vraiment adopte nous ? Viens boire le thé ? Raconte nous des histoires ?

Jl'aime déjà si fort vient embellir nos vies stp
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 19:54
AAAAA IL EST LA

Déjà, je tiens à dire chapeau pour jouer un vieux, c'est vraiment de moins en moins commun alors j'suis admirative comme Malone. ET DEUXIEMEMENT, quel délice de retrouver ta plume aimant broder, le cara est vraiment génial et nuancé, ça le rend direct attachant et vivant ♥ Surtout la manière de le présenter qui mélange plusieurs procédés perf
Un excellent personnage, hâte de le voir en jeu héhé

REBIENVENUE ♥
Baba Ya'bitch
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Aliocha Tkatchenko
Baba Ya'bitch
the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 20:05
oooooooof
IAN
IAAAAAN
(mais où est patrick stewart svp ?)
mais que j'aime cet acteur irl, il est époustanflant
et c'est beaucoup trop bien et jouissif de le voir ici
en feat -> surtout avec un personnage aussi bien construit et haut en couleurs
je suis déjà mordu jpp

monsieur le sage a écrit:
C’était une âme libre et originale et, même si avec l’âge, il perdait en réactivité, il était toujours le flic qui observe, qui ose, qui fonce, qui sauve. Qui arrive à décrocher un sourire chez la personne la plus désemparée. L’esprit un peu foufou et décalé mais qui jamais ne prenait d’armes sur lui car sa plus grande force était sa parole d’où s’échappait son intelligence et sa bienveillance.
c'est b e a u

j'aime beaucoup la manière dont tu as écris son caractère
et son secret inavouable aaaaah  the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) 1f62d

CETTE FICHE EST TROP BELLE AUSSI STP
zegoizhgeohgeogihze
the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) 1f499 the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) 1f49a the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) 1f499 the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) 1f49a

vraiment, amour, gloire et rides sur toi
(sisisisi) & la rebienvenue bg oh no
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Afea0c3c84a2321abd14fc5d710ccd23
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 20:21
Autant j'tavais dis que j'étais fan de Joanne mais aussi de toi, bah ce dc accentue totalement ce que j'avais dis.

Fan de toi.

Je trouve l'idée excellente, en plus le fait de jouer un papy ??? Goal. Le pouvoir est juste trop pipou, le cara me donne envie de quote beaucoup trop de passage. bref jsui ??????????


Par contre, ton code a fait disparaître la barre overflow du forum et pour ça je te pardonnerait jamais. couto (jsuis tj aussi dramatique)
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 21:23
Oooh déjà le codage il est fou omg, cette fiche est si belle je ???
Et les feat ????
J'avais tellement envie de voir quelqu'un jouer un papy, merci
Hâte de lire les rp
Re-bienvenue ! dokidoki
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Ven 26 Mar - 21:55
UN PAPY OMG
c'est si rare, franchement chapeau pour jouer un perso aussi âgé, j'ai si hâte de le voir en action
il est si doux omg donnez lui des câlins ouin

Et cette phrase :
Citation :
Le cœur en larmes, à son grand âge, il a rendu les armes.
voilà je la trouve juste giga belle aled ???

Bref archi fan je veux trop des liens avec (quoi, jsp, mais on va trouver)
REBIENVENUE et courage pour terminer ❤
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O. Lancelot Dare
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Sam 27 Mar - 21:18
J'ai fini de rusher l'histoire (et les facts) : j'espère que ça tient la route ._.
(Désolée pour la longueur et bravo aux courageux qui s'y collent.)

MERCI GENERAL et voici mes mercis particuliers :

@Lenore Astray : Oui, bon, peut-être pas infect... à vous de prouver à mon papy que vous pouvez être sauvés /o/ Merci en tous cas de ton enthousiasme n,n

@Malone J. McBeans : Lis l'histoire et avise après pour l'adoption /paf/ mais en vrai, il sera ravi d'adopter tout Wonderland, Malone compris ! Sinon merci : je crois que c'est la première fois que je vise aussi vieux donc contente que le défi fonctionne !

@Zacharias J. Nutcracker : Merci ma Flore blblblb Je doute beaucoup sur l'histoire donc heureuse que le cara passe en revanche /o/ A très vite, en rps !

@Aliocha Tkatchenko : SIR IAN MCKELLEN IS THE BEST RIIIIIGHT !!! (Imagine Patrick Stewart dans le rôle de Gwaine, j'ai pensé à tout. Et Christopher est une sorte de Harry Potter btw) Merci de tant de joie en tous cas : je blblblbl de contentement que ce perso (et cette fiche en général) te plaise !

@Braxton R. Bia : OWI une fan ! (En vrai, ça me paraît absurde mais merci du soutien /o/) Heureuse que le concept te plaise ! Désolée pour le overflow >_< ça marchait bien sur l'ancien fow, je comprends pas ce qu'il se passe TT

@Stella Lunafall : Jouer un papy [X] Done ! Merci pour ton retour blbl !

@Ace D. Finnley : MERCI !! Et ouiii : des câlins /o/ On va trouver des liens, j'suis sûre !
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the old that is strong does not wither ☼ papy Lance (fini) Dim 28 Mar - 14:37
Bravo, Tu es validé !
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH nyoom
bon tu savais déjà combien j'étais hype et me tarde tellement qu'il devienne Mr Marple vraiment oh la la 👀 ET SON HISTOIRE JE- snif vraiment OOF et la fin la dernière phrase j'suis juste choquée... trop beau et ta plume toujours aussi magnifique ** et et et dans le cara, Papy Lance appelle l'officier avec Jim et après James... 🤔 Alzheimer toussa toussa
en tout je l'aime de fouuuuu j'ai un amour dingue pour les papy et les mamy ptn donc là je- oh nouwu et j'espère que tu vas t'amuser avec lui, amour sur toi hug


Maintenant que tu es validé.e, tu peux créer ta fiche de liens (www), entretenir une correspondance (www) et faire une demande pour trouver des RP (www). Amuse-toi bien sur Sandman !

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