Anecdotes de surface ;
— Avant le jour Solidaire, Vorpaline existait uniquement sous la forme d’une épée. Elle ne parlait pas, ne pensait pas, ne se mouvait pas seule. Elle a commencé à exister en tant que personne dès lors qu’elle a pris forme humaine.
— Elle dit avoir des souvenirs vagues et fantasmés de quand elle était sous sa forme d’épée et que son esprit arrive à identifier ses anciens porteurs.
— Elle voue une dévotion sans faille envers la Reine blanche.
— Elle vit non loin de la fontaine aux vœux, là où se trouve son fourreau. Elle se sent extrêmement mal à l’aise à l’idée d’y retourner - mais ne peut pas s’empêcher d’être attirée par cet endroit.
— Ne se sent à sa place nulle part, et à du mal à être légitime d’aimer être seule.
— Se déplace dans un silence absolu.
— Son visage est lisse et son grain de peau si parfait qu’il donne l’impression de ne pas être humain.
— Elle ne cligne quasiment jamais des yeux. Ils sont grands et bleus profonds.
— Ses cheveux sont dans une matière étrange, qui donne l’impression d’être du cristal. Ils donnent l’apparence d’être normaux à la lumière.
— Personne ne l’a jamais vu avec une expression de tristesse ou de colère.

Anecdotes personnelles ;
— N’arrive toujours pas à correctement se nourrir, ni à bien dormir.  Tous les besoins élémentaires sont devenus des mécaniques de survie. Elle n’y prend aucun plaisir.
— N’a pas la sensation du goût et ne discerne pas les saveurs.
— La seule odeur qu’elle comprend est celle du sang. Elle l’apprécie.
— Voue une haine programmée envers le Jabberwocky. Elle ne vit que pour l’anéantir. — Elle s’imagine parfois ce que serait le but de son existence s’il n’existait pas.
— Opal s’est rapproché d’elle dans le but que le Blanc la contamine. Il s’avère qu’elle n’est pas un hôte parfait pour cette couleur, ne représentant que le côté pur du blanc.
— A besoin d’écouter de l’opéra pour se sentir totalement en phase.
— Ne boit pas de thé.
— N’a quasiment aucun avis sur les autres réincarnations, hormis ceux du royaume d’Ivoire, qu’elle respecte.
— Donne son avis tranché sur tout, et généralement d’un ton moralisateur et cassant.
— A souvent (toujours) raison sur les intentions des gens.