Edelweiss Constance de Marmoreal • 30 ans • rôle • Réincarnation • Reine Blanche
-Bouge de façon tellement gracieuse qu’elle semble être constamment en train de danser.
-A le voeu sincère de ne blesser physiquement aucune créature vivante
-Elle fait voler ses robes et ses bijoux à l’aide de papillon pour se décider de comment s’habiller le matin
-Fait des tea party toutes les semaines où elle invite aléatoirement des membres de son royaume à festoyer avec elle.
-Se perd souvent quand elle parle et parle de façon assez sibylline et cryptée.
-Très gourmande, elle possède une petite boîte en cristal et en soie de chat qui conserve ses pâtisseries favorites.
-Naturellement joyeuse, sa bonne humeur ne se fait que rarement assombrie
-En proie à la mélancolie, elle peut rire et pleurer en même temps.
-Très attachée à l’affection et le bien être de ses sujets, elle organise fréquemment des réunions pour discuter de ce qui peut être améliorer à Marmoreal.
-Très attachée à l’amour des siens, elle devient hypocrite et étouffante quand on tente de la fuir.
-Se définit par l’amour que les autres peuvent lui porter, elle complexe énormément de ne pas être capable d’aimer autant qu’elle souhaite être aimée.
-Assez volage, elle se dépassionne aussi vite qu’elle se passionne ce qui mène à environ 30 tenues différentes par jour et autant de nouveaux papillons.
-Se sert de son pouvoir pour pouvoir offrir les parfaits cadeaux et attentions
-Se sert de son pouvoir pour utiliser les plus profondes insécurités et souffrances et les apaiser/exciter artificiellement.
-Douillette, elle se plaint facilement quand elle se fait mal et elle apprécie faire un spectacle de ça pour profiter de l’attention et de la pitié des autres.
-Apprécie aucune odeur, son nez est trop sensible pour trouver plaisir à la moindre odeur.
-Dort profondément et sans aucun mouvement, elle ressemble à une morte dans son sommeil.
-Profondément solitaire, elle aimerait changer ça mais elle n’y arrive pas. Quoi qu’elle fasse, elle finit toujours seule.
-Menteuse pathologique, elle blesse et torture de ses longs mots, de ses sourires et de ses rires délicatement ouvragés. libre