Métier : Fabricante de Poudre & Poison - Mercenaire occasionnelle
Inventaire : Pomme empoisonnée, gateau mange moi
Pouvoir : Contrôle des Araignées - Métamorphose en Araignée
En couple avec : Crowe
Autre(s) compte(s) : Jamie H. - Charles K. - Esthef B. - Alec G - Uriel S.
dispo rp : Messages : 216Points de Bonheur : 659Avatar : Yennefer - The Witcher / Emeraude TobiasÂge d'apparence : 29 ansSigne Astro : La FauxRôle : L'Araignée Métier : Fabricante de Poudre & Poison - Mercenaire occasionnelleInventaire : Pomme empoisonnée, gateau mange moiPouvoir : Contrôle des Araignées - Métamorphose en AraignéeEn couple avec : CroweAutre(s) compte(s) : Jamie H. - Charles K. - Esthef B. - Alec G - Uriel S.
Darya Arachnea
Dark Shadows
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Sam 6 Fév - 22:51
No More Forgiveness
Vipère dangereuse et Aliénée Même le diable ne saurait si frotter Dans son antre il n'est pas bon d'y entrer sauf si vous voulez de ses mains être tué
Reste troublée Darya de cette réponse. Pourquoi la soigner si il avait essayé de la tuer ? Aurait-il réalisé qu’il ne le pouvait ? A moins que les remords ne l’ai envahi. C’était peut-être là sa faiblesse finalement, le moyen de voir l’ultime façon de le vaincre à jamais. Il n’avait donc pas stoppé de l’aimer. Sinon il ne l’aurait pas épargné et encore moins soigné. Cet homme était bien étrange, et en même temps si humain. Faiblesse humaine qu’on disait. Faiblesse d’aimer.
Apprécie qu’elle consente néanmoins à se stopper, qu’elle n’aille pas là où tu ne peux aller, profite de la vue offerte, incroyable et délectable, mais que tu ne peux toucher, comme un trésor sous scellé. Fuit l’objet de torture autour du quel elle gravite cependant jusqu’à ce que sa voix, impérieuse, t’oblige à regarder, à la regarder. Glisse tes iris dans les siens, regarde avec avidité le bas qui vient à tomber, déglutti avec difficulté, oubli pendant un instant l’objet de tes peurs, ne voit plus que ton amante, féline qui vers toi se dirige, te laisse de ses bras envelopper, viens à te sentir en sécurité. Ne peut l’expliquer, profite de cette chaleur sensuelle, se détende tes épaules, tes muscles raidit, hume son parfum dans sa nuque, tu n’as jamais été plus ravie d’être plus petite qu’elle.
Jusqu’à ce que les mots qu’elle prononce t’interpelle, sent tes doigts, ses doigts qui s’entrelacent, alors que ton corps semble agir de sa propre volonté, alors que ton esprit ce qui est en train de se passer, tes tremblements ne tardant pas à se montrer, dans tout ton être se glisser, s’installer, telle proie assiégée, ton regard cherchant paniqué par où t’échapper. Sa voix te ramenant à elle, consent paniquée à abdiquer, ferme tes paupières tremblantes.
« Je te fais confiance. Je te fais confiance. Je te fais confiance. »
Comme un mantra à répéter, ta voix brisée, alors que défile d’anciens souvenirs, des flashs de tes peurs les plus cruelles. S’emballe d’abord doucement ton cœur Darya, crée ce nœud terrible dans ta gorge, empêche ta respiration d’être pleine et de l’apprécier, sent les larmes qui sous tes paupières viennent se loger sans couler, plante sans le vouloir tes ongles dans la peau tendre, Focalise tes pensées sur la voix de ton amante, tente de balayer tout ce qui pourrait te faire trembler, alors que ton corps est sous une tension que tu ne peux exprimer. T’as l’impression de mourir Darya, que lentement la mort viens te chercher.
La peur en toi s’immisce, s’insinue dans tes veines comme un poison, mais t’essaye vraiment.
« Ne me lâche pas. »
Mots comme une supplique quand tes jambes tremblent, Hurle ton corps, hurle ton cœur, tout ton être te hurle de t’échapper, de refuser, de violents maux de tête venant à se propager, brouahaha dans ton esprit malade araignée, défile les pensées, maux du passé, ressent, ce sentiment que tant de fois tu as vu te dévorer.
Et comme si ce n’était pas suffisant.
Comme un poignard au creux de ton cœur.
« Non, Non , Non, »
Terreur dans ta voix, douleur dans ton être, tu ne voulais pas faire ça, tu n’étais pas prête, elle avait dit qu’elle n’allait pas te lâcher, et pourtant elle le fait, et D’instinct tu le fais, ouvre tes yeux, ton corps déjà entrain de bouger, dans tes bras, dans votre chute vient vous envelopper, protège son corps du tien, heurte tes jambes le rebords, alors que dans l’eau ton corps vient à être plongé, empêche quoi ce soit de la blesser, pas même l’impact, ton visage rapidement immergé, défile les flash du passé, toi. Qu’on forçait à se noyer. Se brise, se serre ton cœur endommagé, terrorisée, voilà ce que tu es.
Sors la tête de l’eau, souffle coupé, tu n’étais plus que bête terrorisé, proie terrifiée, tremblante, au milieu de l’eau dont l’eau se mêle à tes larmes qui ne font que rouler, esprit à peine connecté. Tu parviens quand même à forcé sur tes derniers éclats de lucidité, vérifie qu’elle n’a rien, vérifie que ton amante n’a pas été dans la chute plus blessée, n’arrive plus à articuler, spasme venant ton corps à parcourir, violence qui ne te rendent que plus frêle à regarder. Se brouille ton esprit des voix qui semblent vouloir l’attaquer, dépose tes mains crispées sur tes oreilles comme si cela allait les stopper. Incapable de bouger, alors que tu n’as qu’une envie de cette baignoire s’échapper.
« Tu m’as laché,.. tu m’as laché »
N’arrive pas ton esprit à plus se concentrer, ne retiens que le fait qu’elle t’a lâché, que tu avais confiance, et que c’était comme si elle t’avait abandonné. Perds ton souffle, vient à suffoquer. Se brise ta voix dans ta gorge, comme si sur ton cœur en miette on venait marcher.
« Je ne veux pas être noyée, s’il te plait, il va me tuer, il va me tuer »
Meurt la barrière entre présent et passé, alors que ton geôlier est déjà décédé, surement déjà enterrer, ici il ne peut en aucun cas te toucher, mais la peur, la panique qui t’habite te font penser qu’il va venir pour t’achever.
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Sam 6 Fév - 23:52
Those who get fooled
are partially at fault
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Confiance absolue. En elle, en ses sentiments. Cruelle Crowe, laisse la gravité l’emporter. Si elle tombe, elle se brise. Et il n’y avait que Darya pour la sauver. Qu’elle pour la rattraper avant qu’il ne soit trop tard.
Même le corps meurtri, même faible ; la bretteuse restait intrépide. Elle n’avait ni peur de souffrir ni peur de briser ses os ni d’ouvrir de nouveau une plaie fraîchement suturée. Mais Darya elle ; oui. Et ça, la traqueuse le savait. En quelques fractions de seconde, Crowe imposa un odieux dilemme à son amante : celui de hiérarchiser ses peurs. Était-elle encore contrôlée par sa phobie du passé ou la hantise de voir celle qu’elle aimait se blesser ?
Ironique… cette façon de manipuler l’araignée, c’était chez « elle » qu’elle avait appris. C’était Esmée qui lui avait montré à quel point la force des sentiments pouvait imposer quiconque à faire les plus grandes folies. Et Crowe le savait pertinemment. Immonde manigance de sa part, qu’elle allait sans doute payer un jour. Mais elle était prête à expier cette machination.
Forçait Darya à lui prouver à quel point elle l’aimait. Suffisamment pour affronter sa peur ? Crowe en était persuadée. Mais il n’y avait aucun doux moyen d’en venir à bout. Il devait être aussi violent que ce qui avait fait naître cette immondice dans son esprit. Un choc psychologique de la même envergure. En quelques instants, la bretteuse avait échafaudé un plan exécrable… mais efficace.
Elle chuta avec le sourire aux lèvres. Avait foi en elle. Et avait eu raison.
Sans hésiter, l’araignée enveloppa son amante dans ses bras, tissa sa toile autour d’elle ; fit rempart de son propre corps pour la protéger du moindre mal qui pouvait lui arriver. Et les deux chutèrent dans une baignoire préalablement remplie : Crowe n’avait négligé aucun détail. Et ainsi, Darya affrontait maintenant sa plus grande peur. Mais cette fois, elle n’était pas seule.
Et la bretteuse n’eut aucun mal à sentir à quel point l’épreuve était éprouvante. Elle avait gardé son sang-froid ; son amante… loin de là. Immergée, puis tête sortie de l’eau en trombe, profitait d’un dernier instant de discernement pour vérifier que la brune aux reflets indigo était saine et sauve. Et elle commença à sombrer. Le corps hurlait d’effroi. Le palpitant à la cadence si rapide qu’il ne manquait d’un rien pour qu’il explose. Et Crowe l’entendait. Mais restait sans pitié.
Je peux l’entendre Darya. Tout ton être qui vocifère son ressentiment, sa peur. Je sais que tu vas m’en vouloir. Mais il n’y a aucun moyen pour faire ça en douceur. N’aie crainte… tu n’es pas seule. Je suis là.
Elle l’avait lâché, elle l’avait lâché répéta la brune apeurée. Les mains sur les oreilles, n’écoutant plus que ce qui la terrifiait, contrôlée par sa peur, manipulée comme une marionnette par son amante. Se sentait-elle trahie ? Probablement. Abandonnée ? Probablement. Avait-elle tort ? Certainement.
« Je ne veux pas être noyée, s’il te plaît, il va me tuer, il va me tuer » Non. Il ne le fera pas.
Puisant dans le peu de force qu’elle avait ; Crowe agrippa les mains de son amante avec fermeté. Impitoyable elle l’était. Mais jamais, ô grand jamais elle ne comptait la laisser se faire consumer ainsi. Alors elle attira son attention en s’égosillant, le front collé contre le sien, déviant les mains de son amante de ses oreilles pour la forcer à l’écouter.
— Tu ne vas pas te noyer Darya. Je suis là, je suis là. S’il doit te faire du mal, il devra me passer sur le corps ! Regarde-moi. Pas de réponse, elle insista : regarde-moi ! Tu ne sombreras pas dans la peur. Tant que je suis là… tu ne risques rien. Et tout en l’enlaçant pour lui faire sentir sa présence, lui faire ressentir la chaleur de son corps, l’incandescence de son être, l’intensité de ses sentiments pour elle, elle reprit : c’est moi qui te protège. Même brisée, même épuisée, tant que j’aurais assez de force, je me battrai. Bas-toi avec moi. À nous deux… le monde n’a aucune chance !
Et toujours avec une fermeté implacable, sans montrer le moindre signe de faiblesse ou de clémence, elle s’agrippait à Darya. S’agrippait à son corps, son âme ; suspendue au-dessus de cet abîme d’effroi… la traqueuse lui tenait la main avec courage et résilience. Et lentement mais sûrement, elle la tirait vers le haut.Vers l’espoir.
Le dernier effort t’appartient Darya. C’est à toi de le faire. Je crois en toi.
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Darya Arachnea
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[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Dim 7 Fév - 2:00
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Force pour ne pas que tes mains de tes oreilles soient pas enlever, comme si le moindre mouvement n’était que douleur comme si ton corps n’était que marbre, statue de pierre au milieu de l’eau chaude, l’âme dévoré, les yeux toujours clos malgré le flot de larme qui en ruissèlent, ne parviens même pas à réaliser son front qui contre le sien se colle, plongé dans cette torpeur qui te dévore, consume ton âme, n’entends pas, ne perçoit pas la voix de ton amante qui parle, jusqu’à ce qu’elle n’hurle, ne te hurle de la regarder, seul ce hurlement semble ramené un peu de toi à la réalité.
Viennent lentement s’ouvrir tes iris ambré, inondé de ces larmes qui ne veulent, ne peuvent plus s’arrêter. Se perds ton regard, ce regard qu’avant tu avais, celui qu’on pensait oublié à l’éclat de la lune éternelle, celle qu’on a plus été depuis qu’on est arrivé.
On a rien de fort. On a rien de stable. On a rien. On est juste un amas de miettes brisées. Jouant le jeu que le lieu nous a exigé. Et même si on appris à l’aimer, cette noirceur, ce poison, il n’est qu’un morceau de notre personnalité, il n’est que ce qu’on veut bien montrer, parce que notre faiblesse au grand jour ne peut pas être exposé. Cette facette terrorisée. Ce coté si plein de fragilité. Celui que tout le monde aurait le loisir d’écraser. Un éclat de porcelaine cassé. Qui désespère qu’un jour on pourra l’aimer. On pourra la sauver.
Voilà ce que tu es.
Sent ses bras qui viennent t’entourer, avec cette force, cette douceur, qui fait ton cœur vaciller, alors que comme libérer, comme si tu le sentais, comme abandonné, tes bras autour d’elle viennent s’agripper. Elle est la seule chose à laquelle tu veux te raccrocher. La seule chose à laquelle tu veux croire. La seule personne en qui ta confiance est placée. Et même si elle t’a lâché, même si elle t’a abandonné, l’espace de ces quelques maigres secondes, elle est la seule à qui tu peux tout pardonner, le centre névralgique de tes pensées, de tes espoirs, de tes émotions venant te submerger.
Niche ton visage dans sa nuque humidifiée, comme plus tôt tu l’avais fait, essaye doucement de te calmer, d’apaiser le rythme violent de ton cœur, ne peut t’arrêter de trembler, mais doucement reviens tes poumons à respirer, finisse par lentement se calmer les spasmes qui te parcourait, ne concentre tes sensations que dans la pression de ton corps contre le sien, de ses bras qui t’enserre, comme pour ne plus jamais te laisser échapper, sombrer, comme si jusqu’au bout du monde dans ses bras elle te garderait.
Apaise ton cœur brisé, ton corps écorché, ton esprit dévasté, ton âme bousillée.
Ramène ton âme jusqu’au présent, dans un pénible et long moment. Il ne peut plus te toucher Darya, plus jamais. Et même si tu oubliais, même si un autre que lui venait à essayer, elle serait là pas vrai ? Si t’étais pas assez forte, si tu perdais, elle n’allait pas t’abandonner pas vrai ?
Inspire lentement.
« C’est cruel ce que t’as fait. »
Voix à peine murmuré, alors qu’enfin ta prise se fait plus tendre, pas complètement tranquilisée, mais lentement, reviens la toi que tu es.
« T’aurais pu rouvrir tes plaies. J’aurai été obligé de tout recoudre. »
Refuse encore de bouger. Pointe de vérité, pointe d’une provocation légère, comme pour détendre légèrement cet atmosphère qui aurait pu t’éttoufer.
« Ne me lâche pas tout de suite s’il te plait. »
Parce que à cet instant, t’as besoin d’un peu de temps, encore un peu. Supplique ntre tes lèvres.
« Je devrais t’en vouloir à mort. Mais j’arrive pas, tu fais chier. »
La vérité comme elle. De tes mots, de toute ta sincérité, de toute la passion qui te sied. Desserre ta prise complètement, jette des regards discrets, veut être sur qu’elle ne va pas te lâcher, efface de tes doigts mouillé, le reste des larmes qui ont coulé, bouge doucement corps endolori, juste pour laisser ton visage face au sien faire face, glisse tes doigts sur son visage, sur ses traits. Alors que ton regard épuisé, rougit se glisse dans le sien.
« Je ne pourrais jamais m’arrêter de t’aimer. »
Ne lui laisse pas le temps de répondre, parce que c’est un mot compliqué, mais t’as plus assez de force pour lutter contre tes propres contradictions, contre ton propre déni. Passion, désir, avidité, un baiser comme si c’était le premier, comme si demain n’allait pas exister. Jusqu’à ce votre souffle vienne à manquer.
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Dim 7 Fév - 6:35
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Un moment suspendu dans le temps. Un instant où son amante passa par toutes les émotions ; panique, désespoir, puis elle retrouvait son calme petit à petit. De la chaleur de son corps, de son étreinte, Crowe réchauffait cœur, corps et âme de son amante. Ne lâcha pas prise, resta inflexible, fit rempart de la moindre parcelle de sa peau pour la protéger de tous les maux ; même ceux de son esprit torturé. La méthode avait été violente, cruelle… mais elle portait ses fruits.
Et tandis que l’araignée se réfugiait dans la nuque de son ange gardien, elle s’apaisait. Tandis qu’elle reprenait ses esprits, Crowe elle, ne bougea pas d’un iota ; le corps collé au sien comme si elle voulait fusionner avec elle. À ce moment elle aurait bien voulu lui donner la force qui était la sienne. Cette force de caractère, cette volonté inébranlable, peu importe la situation. Mais la bretteuse n’était pas un exemple à suivre. Sa plus grande peur était ce qui l’excitait le plus. Ce n’était pas le cas de Darya.
Diminua le rythme des battements de son cœur, les saccades de sa respiration, les tremblements. Patiente, l’épéiste attendit sagement les prochains mots à son égard. Oui, ce qu’elle avait fait était cruel, violent, presque immonde. Mais pas un instant elle n’avait douté. Pendant que l’étreinte se faisait plus tendre, tandis qu’elle revenait peu à peu à elle, Darya reprenait les bonnes habitudes : s’inquiétait pour son amante.
Les premiers signes qu’elle prenait le dessus sur sa phobie. Se focalisa sur ce qui désormais la terrifiait encore plus : les blessures de la traqueuse.
Première plaisanterie pour calmer cette atmosphère terrifiante dans laquelle elle avait été plongée. Mais alors qu’elle intimait à Crowe de ne pas défaire son emprise sur elle, celle-ci rétorqua d’une tendre voix :
— Tu rigoles ? Maintenant que je te tiens, tu n’iras nulle part. Faudra me passer sur le corps sinon. Prends ton temps… je ne compte pas m’enfuir.
Elle devrait probablement être plus fâchée, devrait probablement lui en vouloir plus que de raison selon ses dires. Mais elle n’en était pas capable. Crowe avait alors cette « maxime » qu’elle avait entendue auparavant, qui l’avait toujours fait rire : « Il est toujours plus facile de demander pardon que la permission » ; et en cela, Crowe avait même fait très fort.
D’elle-même, Darya défit cette étreinte, pour observer le visage de son amante. Elle l’avait tourmentée, l’avait poussée à bout ; elle avait eu raison. Les joues légèrement rosées, elle lui déclara une fois encore, les sentiments qui l’habitaient avant de lui voler un nouveau baiser.
Oui, Crowe avait été exécrable, c’était un fait. Mais elle avait eu foi en son amante pour surmonter ce qui la terrifiait. Avait eu foi en cette passion qui la dévorait pour elle. Et elle était heureuse d’entendre ses propres mots de la bouche de son amante. Le monde n’avait aucune chance face à elles.
Et bien qu’elle le regretta quelques secondes plus tard, la traqueuse éclata de rire ; avant de grimacer de douleur, réveillant celle de ses côtes encore meurtries par leurs fêlures. Fière de son coup au moins autant que de voir l’araignée de nouveau d’aplomb, elle la regardait comme si son amante venait de remporter un concours. Décidément, il se passait toujours quelque chose avec elle.
Et puis, elle asséna le coup de grâce. — Hm… y’a un truc qui me gêne là. Un truc qui manque. T’as pas l’impression que y’a quelque chose en trop ? Naturellement, Darya devait sans doute savoir où son amante voulait en venir… mais elle ne lui laissa pas le temps de répondre. Dégrafa les attaches de son soutien-gorge d’une main habile, le jetant de l’autre côté de la pièce au passage. C’est déjà mieux. Ah quoique… normalement dans un bain tu n’as pas besoin de ça non plus. D’un geste, ferme, mais délicat, elle poussa lentement sa partenaire, l’invitant à basculer en arrière, collant son dos contre le rebord de son imposante baignoire. Puis, d’un geste tout aussi vif qu’auparavant, elle enleva le dernier rempart du plus simple appareil de la dame aux araignées.
Pas dans l’optique d’un énième moment coquin. Mais plutôt pour inaugurer comme il se doit cette première baignade ensemble. — La cerise sur le gâteau. Comme tu es belle… flatteries, flatteries, comme pour se faire pardonner. La bretteuse se sépara également du tissu superflu qu’elle portait pour enfin être à égalité avec Darya. Bon, le niveau de l’eau a un peu baissé après cette cascade. Je te demande juste une petite seconde. Tendit le bras vers le robinet, ajusta le flot ainsi que sa chaleur, elle laissa la baignoire se remplir, comblant le vide que leur chute avait laissé. Puis, elle vint s’installer à l’opposé de son amante, collant son dos contre le rebord d’une minutieuse précaution, voulant apaiser son corps endolori. D’un mouvement de son index, elle intima alors sa partenaire de la rejoindre, suppléant son geste d’une déclaration suave : Darya ? Câlin. Maintenant.
Parce que la voir dans sa plus belle tenue n’était pas assez. Elle la voulait dans ses bras, sentir son être contre le sien. Profiter d’un moment suspendu dans le temps. Un instant où une fois encore… elle n’entendait plus ses pensées parasites.
Juste le flot de l’eau qui coulait du robinet, la respiration de son amante, les battements de son cœur. Elle en oubliait presque que quelques heures auparavant… elle gisait dans son salon, se vidait lentement de son sang. Crowe passait vite à autre chose.
Ancrée dans le présent. Ce moment était à elles ; délicieux. Un moment parmi tant d’autres qu’elle avait tout simplement hâte de vivre. Et si c’était aussi simple que ça ? L’amour. Pourquoi n’en serait-elle pas capable ? Qui vivra verra…
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[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Dim 7 Fév - 18:43
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Un sourire arraché par ses mots, cette promesse de ne pas te laisser, de ne pas te lâcher, comme garde-fou du reste de tes pensées. Ce n’était pas en une fois que la partie serait gagné tu le sais, mais tant qu’elle serait avec toi cela devrait aller, tant qu’elle était cela irait. C’est tout ce qui comptait. Ne cherche pas plus que l’apaisement à cet instant, ne cherche rien de plus que la quièté du présent. Comme doucement mélodie venue guérir tes plaies. Comme ange salvateur sur tes péchés.
Arque ton sourcil quand ell vint à annoncer que quelque chose ne lui va pas, comprends bien vite de quoi elle veut parler, parce que t’avais suivi dans ta chute, les vêtements que tu n’avais pas enlevé, ta lingerie en somme, sans en quelque secondes ta poitrine être libérée de sa prison de tissus, l’objet venant à voler jusqu’à l’autre bout de la pièce dans un seul geste vif de ton amante. Sourire amusé, encore fragile mais qui te sied.
« C’est toi qui a dit qu’il n’y avait rien de mieux que d’avoir le loisir de les enlever. »
Et tu n’avais pas prévu que ce serait à l’eau que tu finirais. Te crispe un peu quand elle vient à te faire basculer, même si tu avais réussi à surmonter la première plongée tu n’étais pas vraiment prête du tout à recommencer. Même si tu l’avais compris tant qu’elle était là, cela ne pouvait pas te tuer. S’agrippe tes mains comme elles le peuvent au sol de la baignoire, telle sécurité, ton corps épuisé, si tu te laissais aller, pour sur que tu dormirais Darya. Regarde la dernière barrière de tissu te retirer.
Rosisse tes joues vipère, du compliment qu’elle vient glisser. Ne peut t’empêcher de la regarder quand son dernier rempart à elle aussi viens hors de l’eau s’extirper, rejoignant de temps de vêtement mouillée.
« C’est toi qui es belle. »
Elle l’était, plus que la lune et les étoiles mêlée, d’une beauté sculpturale, le genre de beauté qu’on ne voit jamais. Qu’on ne croise jamais. Même si tu l’avais, rêvée, imaginée, dessinée elle n pourra plus parfait qu’elle ne l’est. C’était comme si tout lui avait été donné. Hoche ta tête quand elle te fait comprendre qu’elle a vraiment besoin de bouger, pas des plus rassuré mais , ce n’est pas comme si elle t’abandonnait seule dans ce grand bassin d’eau. Reste blottie dans ton coin, vient regarder chaque mouvement qu’elle fait. Ses doigts sur les robinets, la regarde s’installer à l’opposé, n’ose pas vraiment bouger, jusqu’à que de son index elle vienne à t’appeler. Inspire. Et viens jusqu’à elle te glisser, te niche contre elle, laisse ton visage dans sa nuque venir se glisser, te laisse par son odeur happer. Ton corps venant à son rythme s’apaiser, trace tes doigts des arabesques sur ses épaules dénudées. Ferme les yeux, laissant le rythme régulier de son cœur te bercer.
« C’est agréable comme ça. »
Laisse ton corps à la faveur du sien, et de l’eau être par la chaleur enveloppé
« Est-ce que tu sais déjà ce que tu voudras faire après ? Je veux dire, st-ce que tu sais où les trouver ? »
Ceux qui l’avaient bousillé. Elle avait parlé d’avancer, et c’était surement le point qui l’en empêchait et tu le savais.
« Crowe, hormis Lilith il y a des gens qui te sont proche ? »
Moment si propice à la promixuité, simple curiosité, mais aussi une envie, un besoin, une envie de ne rien lui cacher, de lui faire savoir ceux qui viennent ton monde faire tourner. Elle les avaient put-être déjà senti chez toi, mais ça ne décrivait pas les liens qui a eux t’unissait.
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Lun 8 Fév - 18:55
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Tout revenait petit à petit à la normale. Darya qui complimentait une Crowe qui dodelinait de la tête en fermant les yeux, acceptant l’éloge, flattée. Pas arrogante pour un sou, elle aimait recevoir ce genre d’attentions, surtout de la part de l’araignée. Et lorsque la bretteuse intima à son amante de venir la rejoindre, celle-ci vint se blottir contre elle. Elle semblait enfin un peu plus à l’aise ; de là à dire qu’elle était comme un poisson dans l’eau, pas vraiment, mais le progrès était satisfaisant.
Peu à peu, la douleur se calmait. Elle était toujours là, latente, mais pas lancinante comme auparavant. La dame aux araignées quant à elle vint se réfugier dans sa nuque, comme si elle cherchait la protection de son amante. Crowe, toujours dans l’optique de la rassurer, posa une main ferme sur son dos comme pour la maintenir, tandis que l’autre vint caresser sa chevelure ébène. Quant à la traqueuse, elle bascula sa tête en arrière, la reposant sur le rebord.
Dans un léger soupir de soulagement, elle ferma les yeux, laissa ses autres sens prendre le relais. Se laissant bercer par les battements du cœur de sa partenaire ; elle se focalisa sur le rythme, s’assurant qu’il ne s’affole pas. La dernière des choses qu’elle voulait était de voir Darya paniquer de nouveau ; manipulée par sa phobie. Crowe n’était pas dupe, elle savait que cela demanderait du temps. Mais tant qu’elle était dans ses bras, elle ne risquait rien. Et ça, l’araignée le savait.
Profitant de la quiétude de cet instant, celle-ci fut interrompue par une curiosité intrusive, formulée par une demande à laquelle Crowe eut une réponse assez claire et concise : — Je m’en fous. Je ne veux rien faire là. T’avoir dans mes bras me suffit. Mais elle prit cependant la peine de répondre à l’une de ses interrogations : je sais où trouver Esmée. Pour l’autre, ça me demandera plus du temps. Plus difficile d’atteindre une cible mouvante.
Elle avait parcouru le monde avec lui. En long, en large, en travers.
Il n’y avait que comme ça qu’elle pouvait découvrir ce que Wonderland avait à offrir. Voilà comment elle traquait ses cibles avec autant d’efficacité. Ses sens ne lui donnaient que de petits coups de pouce de temps en temps. Bon d’accord… parfois ils lui rendaient de gros services, il fallait l’avouer.
Toujours la tête reposée sur le rebord, toujours les yeux clos ; la traqueuse se complaisait étonnamment dans cette accalmie. Pour une fois, aucune préoccupation nauséabonde accaparant son esprit torturé. Au contraire, tout était d’un calme presque effarant. Elle se rappelait alors qu’il n’y avait que dans son bain qu’elle était autant à l’aise. Quant au fait d’y être en si bonne compagnie ; c’était la cerise sur le gâteau.
Bien que la compagnie avait encore des questions à poser. Un chouïa égoïste sur les bords, Crowe voulut faire semblant de s’être endormie ; mais elle se ravisa et répondit finalement au nouveau questionnement qui lui était adressé :
— En dehors de toi, tu veux dire ? Peut-être Judas ? Il sait à propos d’Esmée, j’ai préféré ne pas lui mentir à ce sujet. J’aurais pu être évasive, mais j’ai décidé qu’il méritait que je sois honnête avec lui. Je l’aime bien. Est-ce que le sentiment est réciproque ? Probablement. Disons qu’il puise dans mon savoir sur les arts martiaux. C’est comme qui dirait mon domaine de prédilection avec le maniement des armes blanches. Elle feint alors une réflexion pendant quelques secondes, alors qu’elle savait pertinemment qu’elle n’avait pas tissé d’autres liens. Elle fut honnête à ce sujet, Darya ne méritait rien d’autre que la vérité : et quant aux autres de la secte ? Mystère. Cela ne t’a pas échappé je suppose, mais mon arrivée est récente et je ne suis pas la meilleure des compagnies non plus. Tu bénéficies d’un traitement de faveur, mais on en revient toujours au même problème : j’ai la bougeotte. Difficile de tisser des liens quand tu passes ton temps ailleurs, que ce soit pour des raisons personnelles comme professionnelles. Est-ce que j’aimerais qu’il en soit autrement ? Bien sûr. Mais je dois d’abord faire une croix définitive sur mon passé.
Vérité nue une fois de plus ; pas la moindre fioriture. Elle ne cherchait aucune excuse, se contenta d’être factuelle.
Crowe vint alors saisir la chevelure de son amante dans sa main, refermant ses doigts sur celle-ci pour consolider sa prise. Dans une tendresse impérieuse, elle utilisa la main posée sur son dos pour donner une légère impulsion à son amante, l’invitant à rapprocher son visage du sien, qu’elle montrait enfin de nouveau.
Était-elle fatiguée de causer ? Probablement. Avait-elle une furieuse envie d’embrasser sa délicieuse compagnie ? Plutôt deux fois qu’une. D’un soudain regain d’énergie, comme un second souffle, elle vint emprisonner les lèvres de son amante dans les siennes, lui offrant un baiser d’une délicatesse inédite néanmoins chargé d’une passion débordante.
Une longue rencontre entre ses lippes et les siennes, durant laquelle les langues virent se mêler dans une danse endiablée. Du bout de ses dents, elle mordilla la lèvre inférieure de son amante, l’attirant vers elle comme si elle voulait partir avec. Un sourire mutin aux lèvres une fois sa facétie accomplie. À cet instant, elle était heureuse. Meurtrie, le corps endolori, courbaturé, les côtes fêlées. Mais toutes ces douleurs physiques ne pouvaient pas se comparer à cette félicité qu’elle ressentait.
Elle était plus forte que tout. L’esprit et le cœur dominaient le corps.
Emportée par cette euphorie soudaine, la bretteuse couvrit de succincts baisers le visage de son amante, puis la nuque, avant de mordiller celle-ci pour finalement faire subir le même traitement au lobe de son oreille, comme si celui-ci était jaloux de ne pas avoir été dorloté. Comme un chaton qui s’amusait avec une pelote de laine, féline traqueuse s’amusait avec son amante, se lovant sur elle dans un élan de tendresse provoqué par cette soudaine volupté.
Et puis elle s’amusa de nouveau, vint se réfugier dans la nuque humide de son amante pour de nouveau saisir la peau entre ses dents, s’amusant à jouer avec comme le prédateur avec la chair de sa proie entre les dents.
Une fois que ses pitreries prirent fin, elle saisit le menton de sa belle entre son pouce et son index, l’invitant à la regarder. Dans un sourire d’une douceur inégalée, elle conclut :
— Y’a que moi qui m’amuse ? C’est pas du jeu. Arrêtons un peu avec toutes ces histoires de vengeance, de souffrance, de meurtre et toutes ces réjouissances. Nous aurons tout le temps du monde pour ça. Là maintenant, je veux des câlins, des mamours bref, toutes les cajoleries que tu peux m’offrir. Je le mérite bien après tout… regarde comme j’ai souffert moi aussi.
Dit-elle avec dans une moue cherchant à amadouer sa compagnie. Elle savait vraiment y faire quand elle voulait quelque chose. Le repos de la guerrière, entre tendresse et facétie.
Crowe était bien difficile à suivre par moment. Esprit frivole et mutin. Laisse toujours son interlocuteur sur le qui-vive s’il ne veut pas perdre le fil.
Métier : Fabricante de Poudre & Poison - Mercenaire occasionnelle
Inventaire : Pomme empoisonnée, gateau mange moi
Pouvoir : Contrôle des Araignées - Métamorphose en Araignée
En couple avec : Crowe
Autre(s) compte(s) : Jamie H. - Charles K. - Esthef B. - Alec G - Uriel S.
dispo rp : Messages : 216Points de Bonheur : 659Avatar : Yennefer - The Witcher / Emeraude TobiasÂge d'apparence : 29 ansSigne Astro : La FauxRôle : L'Araignée Métier : Fabricante de Poudre & Poison - Mercenaire occasionnelleInventaire : Pomme empoisonnée, gateau mange moiPouvoir : Contrôle des Araignées - Métamorphose en AraignéeEn couple avec : CroweAutre(s) compte(s) : Jamie H. - Charles K. - Esthef B. - Alec G - Uriel S.
Darya Arachnea
Dark Shadows
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Lun 8 Fév - 20:23
No More Forgiveness
Vipère dangereuse et Aliénée Même le diable ne saurait si frotter Dans son antre il n'est pas bon d'y entrer sauf si vous voulez de ses mains être tué
Un soupir d’aise quand elle vient t’entourer, sa main dans tes cheveux mouillés, l’autre dans ton dos comme pour te confirmer ce que déjà tu sais, mais qu’il est toujours plaisant de ressentir, elle est là, elle ne va pas te laisser, personne ne peut dans ses bras te blesser, telle berceuse, une douceur, qui te permet de tout oublier, la regarde nuque déployée avec sa tête contre le bord, telle déesse, tu te demande si elle a la moindre idée, de tout l’effet qu’elle te fait, de tout ce que tu donnerai pour continuer de l’admirer, encore et encore. Tu replongerai presque la tête sous l’eau, juste pour te délecter une fois encore de cette vue, d’elle ainsi à ta merci.
Ne retiens pas quelques baisers délicatement déposés dans sa nuque, tels baiser papillons, dans cette douceur presque exacerbée, alors que sonne sa voix, contre ton oreille depuis son poitrail, aime le son que cela fait, écoute, viens te délecter, de toutes les réponses qu’elle vient t’apporter, sa voix qui finit de t’apaiser, au point que tu pourrais presque ici, sombrer, dans ses bras t’endormir pour une durée indéterminée.
Regrette presque d’avoir posé une énième question, d’avoir brisé le silence dans lequel elle semblait se complaire. Viens culpabiliser Darya, t’en veux d’avoir laissé ta curiosité s’exprimer, alors qu’elle aurait surement aimé juste de se reposer, se relaxer. T’apprécie le temps qu’elle prend pour te répondre, confirme ce que déjà tu savais en quelque sorte, hormis Lilith dont elle t’avait déjà parlé, et Judas dont tu savais qu’ils se connaissaient, personne d’autre ne semblait graviter autour de ta belle amante. Pas pour te déplaire araignée, ta jalousie et ta possessivité se trouvant ravie de la confirmation, cependant aussi égoïste sois tu par moment, t’espérais que si elle le souhaitait elle trouvait des gens, dans la secte bien entendu, qui saurait l’apprécier.
Parce que très sincèrement une part de toi avait du mal à comprendre pourquoi elle ne croulait pas sous la popularité. Crowe avait ses propres priorités, c’était peut-être ça qui faisait qu’elle n’avait que peu d’attache et pas une foule de prétendant à ses pieds. Pas pour te déplaire araignée. C’est quand tu envisages d’ouvrir tes lèvres pour parler, que ses doigts viennent agripper ta chevelure ébène, sait exactement ce qui vient juste après. Message parfaitement passé.
Viens ton corps au sien se coller, glisse tes bras autour de sa nuque, tes mains dans ses cheveux mouillés, alors qu’avide tes lèvres et les siennes viennent enfin se sceller. Oublie l’eau, oublie la baignoire, plus rien n’a d’importance désormais, que le gout salvateur de sa langue à la rencontre de la tienne, jamais encore elle ne t’avais offert une telle douceur, de passion mélangée. Crowe était dans l’action pas les mots, se délecte ton âme de ce baiser qui pour toi à mille saveurs, n’a pas besoin de plus d’une seconde pour t’accorder à son esprit frivole.
Sent ses dents sur tes lèvres, comme pour un peu plus t’attiré, vient à ton tour, cette peau délicate qu’st ses lèvres mordiller, ne put rater son sourire, ne peut cacher le tien, dans cette éclats de douceur et sensualité mêlée. Elle savait dans les moindres détails comment te faire sombrer, laisse ses lèvres parcourir ta peau de baiser, ne retient pas un soupir d’aise quand elle vient ta nuque mordiller, sent ton jeu sur ta peau mouillé, te laisse enivrer.
Regard brumeux quand elle vient à te faire la regarder, elle avait ce don pour toujours appuyer là où il le fallait, sourire doux, sourire dévorant sur tes lèvres violacée.
« Excuse moi, je vais me rattraper »
Glisse tes mots, tels un murmure, quand tu viens près de son oreille déposé un premier baiser, descend le long de sa nuque, douceur inégalée, sensualité exacerbée, parce que c’est ainsi que tu es. Mordille sa nuque, revient impérieuse l’embrasser, quand tes mains sur sa poitrine se permettent de glisser, ni trop ni pas assez, voilà ce qu’il en était, calme tes ardeurs pour ne pas déraper, Glisse ton corps pour t’asseoir à coté d’elle, prend sur toi, pour lui offrir tout ce qu’elle a bien mérité.
« Viens, sauf si c’est trop douloureux de bouger, je vais te masser. »
Attends qu’elle vienne contre toi se glisser, le dos contre ton ventre, sa tête sur ta poitrine bien installée. Laisse tes doigts sur son visage se déplacer, masser, détendre et cajoler. Dépose sur front de doux baisers, avec une douceur inégalée, n’ose pas parler pour la laisser profiter. Glisse tes doigts dans ses cheveux mouillé. Si elle voulait être cajolé elle ne serait.
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Mar 9 Fév - 13:04
Those who get fooled
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Impérieuse la traqueuse, imposa à son amante d’être dorlotée. Crowe avait beau dire qu’elle ne demandait aucun traitement de faveur, aucune pitié de la part de l’araignée, c’était bien elle qui demandait à être cajolée. Toujours difficile à suivre, avec elle on ne sait jamais sur quel pied danser. Et si elle en avait tout simplement juste assez ? Assez de parler d’une vengeance qu’elle voulait obtenir, assez de parler de découper tout ce qu’il y avait sur son chemin.
Oui c’était une guerrière, une épéiste d’un talent rare, presque inégalé ; une traqueuse expérimentée, patin-couffin. C’était surtout une femme, forte et vulnérable à la fois ; d’aucune façon elle était invincible, elle le savait pertinemment. Est-ce que cela l’empêchait d’être intrépide pour autant ? Bien évidemment que non. À cet instant cependant, elle n’avait qu’une idée en tête : rester dans les bras de son amante et en profiter le plus possible.
Darya quant à elle ; après avoir été « implorée » par la traqueuse, acquiesça à sa requête et s’occupa d’elle comme il se doit pendant que celle-ci, un sourire amusé aux lèvres se laissa faire sans faire d’histoire. Elle sentait chez son amante une certaine ardeur ; elle retrouvait petit à petit son aplomb après avoir été méchamment secouée.
Et lorsqu’elle lui proposa une nouvelle démonstration de tendresse, Crowe n’eut bien évidemment pas le cœur à refuser : — T’en fais pas pour moi va, je ne manquerais ça pour rien au monde.
Vint contre son amante s’installer, tête reposée sur sa poitrine, jambes allongées. Elle ressentit une petite douleur lorsqu’elle bougea, mais fit de son mieux pour l’ignorer, se contenta d’une petite grimace pour ne pas alarmer sa charmante compagnie. Avec la ferme intention de profiter de ce moment d’une volupté rare. Comme si l’espace de quelques minutes, quelques heures, elle voyageait dans un autre monde.
Comme si Wonderland n’était finalement qu’une parenthèse et pas la réalité dans laquelle elle vivait, s’était même embourbé. Les yeux clos, les sens focalisés sur ce à quoi Darya s’attelait, elle sentait l’eau lui caresser la peau au même rythme que les câlineries de son amante. Une main dans sa chevelure ébène aux reflets indigo, l’autre sur son visage, effleurant son épiderme blanchâtre. Crowe était transportée ailleurs, sur un petit nuage.
Elle remarqua surtout une chose : son esprit, totalement vide. Dénué de pensées parasites ; focalisé sur ce moment qu’elle partageait avec Darya. Sans dire un mot, pas même une syllabe, elle fit semblant de ronronner, encourageant au passage sa compagnie de continuer ce qu’elle faisait ; avec toutefois la ferme intention de lui rendre la pareille. Elle le méritait elle aussi après tout.
Et comme pour la remercier de cette délicate attention, elle saisit la main de la dame aux araignées avant d’y déposer un baiser sur son dos. Avec lenteur et précaution, elle se redressa en prenant appui sur la paume de ses mains, posées sur le fond de la baignoire, avant de se retourner en direction de son amante. Elle déposa alors un baiser sur ses lèvres et prit également la peine de lui dire ô combien elle était reconnaissante pour ce moment :
— Merci ma belle. C’était délicieux. Mais je peux m’empêcher de penser que par souci d’équité, je dois aussi m’occuper de toi. Après tout… tu mon invitée, je suis ton hôte ; je manquerais cruellement à mes devoirs d’hospitalité si je ne te rendais pas la pareille. Tu vois… on peut dire ce que l’on veut de mon mentor. Mais s’il y a bien une chose sur laquelle il était pointilleux, c’était le respect des bonnes manières. Viens-là.
Et la traqueuse n’accepta aucun refus, ni même une once de contestation de la part de son amante. Elle y voyait là comme une façon de s’excuser pour son traitement de choc de tout à l’heure, mais aussi, et surtout : pour faire durer cet instant. Très vite, Darya comprit qu’il n’y aurait point de débat possible et vint s’installer contre elle.
Crowe de son côté, une fois la tête de sa compagnie déposée sur sa poitrine, s’attela à lui offrir une ribambelle de caresses toute plus délicates les unes que les autres. D’une douceur qui n’avait pas son pareil. Elle parcourait sa peau comme un peintre parcourrait sa toile de son pinceau, dessinant la plus parfaite de toutes les muses. Elle s’attarda parfois sur sa poitrine galbée, dessinant ses courbes affriolantes, avant d’exercer de longs mouvements réguliers le long de son bras. Elle déposa des baisers sur son front, le sommet de son crâne, avant de passer une main dans sa chevelure, exerçant une série de papouilles, comme une gamine. Nous étions loin de la tueuse assoiffée de sang qu’on décrivait souvent d’elle.
Dans cette intimité qui était la leur, elle était d’une telle douceur que Darya se demandait probablement si c’était les mêmes mains qui brisaient les os, tranchaient les corps et qui paradoxalement prodiguaient une telle tendresse.
Et puis elle se mit à fredonner, toujours ce petit air que son mentor lui avait appris. Un air dans une langue étrangère à Wonderland - langue natale de celui qui lui avait tout appris - qu’elle finit par chanter dans le creux de l’oreille de son amante. D’une voix douce et enjouée. Sans être une chanteuse émérite, elle avait au moins la décence de ne pas chanter trop fort.
— Si la chanson te gêne et que tu veux dormir, tu me le dis. Loin de moi l’idée de gâcher ce moment.
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En couple avec : Crowe
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Darya Arachnea
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[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Mar 9 Fév - 18:57
No More Forgiveness
Vipère dangereuse et Aliénée Même le diable ne saurait si frotter Dans son antre il n'est pas bon d'y entrer sauf si vous voulez de ses mains être tué
A cet instant. Elle n’est plus, tu n’es plus, le monstre que vous êtes, avez été, serez juste après. Ne reste de vous que la douceur, que votre humanité, dans cette grande cuve d’eau chaude, dans laquelle vos corps sont plongé, apaisés. La douceur d’un rêve sans avoir les yeux fermés, aussi loin que tu te souvenais, jamais encore une telle quiété tu n’avais ressenti Darya, comme si toutes ces souffrances, tout ce sens versé, c’était pour arriver à cet instant précis que c’était arrivé.
Tu pourrais passer des heures, ainsi à la dorloter, passer tes doigts sur peau mouillés, perdre tes doigts dans ses cheveux emmêlés, entre son souffle entre ses lèvres fines, sentir le rythme régulier de son cœur, t’abreuver de ses ronronnements particuliers, te noyer sous votre bonheur partagé. Tu aimerais que le temps ne reprenne jamais, qu’on vous laisse ici, pour l’éternité, qu’à jamais sa tête sur ta poitrine soit parfaitement calée, seul le bruit de l’eau pour vous bercer, les vapeurs d’eau chaude pour venir détendre vos muscles fatiguée, enivrer vos esprits bousillé, vos âmes écorchés, par ce que la vie vous a fait, par les conséquences des choix que vous avez un jour fait.
Arrache un sourire à tes lèvres quand elle vient sur le dos de ta main déposer un baiser, la regarde avec lenteur bouger, pince tes lèvres, presque déçue qu’elle veuille déjà arrêter, aurait voulu prolonger encore un peu ce moment si particulier.
« Tu sais que je ne t’en voudrais jamais de ne pas m’offrir l’équité. J’aime te dorloter. »
Parce qu’il est plus aisé pour toi araignée, de tout contrôler, parce que tu n’as pas été habitué, à l’équité, à laisser quelqu’un d’autres les rennes diriger, mais tu ne pouvais nier qu’avec Crowe ça avait commencé à rentrer, commencé dans ton esprit à merger, qu’il y avait peut-être quelqu’un en ce monde capable de te protéger. Sait aussi que de vous deux, même si tu refuse de l’admettre, en cas de conflits, en cas de rapport de force, à moins qu’elle ne le décide, c’était toujours elle qui gagnait. Terrible pour quelqu’un qui aime à tout contrôler, et en même temps c’est ça qui pour elle te fais toujours plus sombrer.
Ne t’échine pas à rechigner, inflexible est ton amante quand elle a décidé, elle est diablement buté. Inspire doucement avant de t’installer, depose ta tête sur sa poitrine galbée, cale ton dos sans risquer de la blesser, laisse l rythme régulier de son cœur te bercer, ferme doucement les yeux Darya comme pour oublier.
Laisse des soupirs d’aise s’échapper de tes lèvres, se détendent tes muscles sous le passage de ses doigts expérimentés, elle fait preuve d’une douceur que tu n’as encore jamais pu expérimenter, du moins pas à ce dégré, cela te donne cet impression qu’elle veut se faire pardonner, que par ses gestes elle te transmet tout ce que ses mots, ses lèvres ne peuvent exprimer, si différente en ce point que vous êtes, mais cela ne t’empêche en aucun cas d’apprécier, de te délecter, de ce doux chatiment qu’elle est en train de t’infliger.
Ouvre lentement tes yeux quand sa voix tel un murmure vient à tes oreilles se nicher, surprise agréable, alors que tu ne connais rien de la langue qu’elle est en train d’employer, sonne bien loin de ton russe natal, ou du lituanien que tu connais, si différent et pourtant tout aussi délectable. Parcourt ton corps de frisson, de cet éclat particulier, te transporte un peu plus dans son univers.
« Non continue, s’il te plait. Chante encore. »
Tu veux l’entendre. Encore et encore. À tout jamais.
« J’ai l’impression d’être plus proche de toi quand je t’entends la chanter. »
Ton âme. La Sienne. Mêlée. Pour toujours et à jamais.
[end] no more forgiveness ▬ feat darya. Mer 10 Fév - 17:19
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Crowe le savait ; Darya aimait s’occuper d’elle. Elle se fichait bien de la voir lui rendre la pareille, la dame aux araignées voulait la satisfaire, la rendre heureuse. Pour la traqueuse, c’était presque inhabituel, elle avait connu bien plus d’ingrats qu’autre chose. Elle-même était normalement un monstre d’égoïsme. Mais pas cette fois. Au contraire, elle mettait même un point d’honneur à cette question d’équité.
Et son amante l’avait compris très vite : il n’était pas question de négocier avec la bretteuse. C’était même une très mauvaise idée. L’araignée en aurait été stupide, d’oser refuser une proposition pareille… sachant pertinemment que Crowe ne prendra pas un « non » pour une réponse envisageable. Alors acceptable ? Jamais de la vie. Lorsqu’elle avait décidé quelque chose, elle s’y tenait. Et si dans sa tempête elle devait tout emporter sur son passage… ainsi soit-il.
Et les réactions de la brune furent aux rendez-vous. Comme musique à ses oreilles, l’épéiste se délectait d’entendre que ses caresses plaisaient à son amante. C’était pourtant d’une simplicité infantile ; mais d’une délicatesse inédite. Quelque chose que Darya n’avait probablement jamais envisagé chez elle alors le vivre ? D’autant plus invraisemblable. Et pourtant. Point de chimère, mais une réalité. Elle était bien dans les bras de cette monstruosité raffinée, comme elle aimait le rappeler au monde.
Elle était bien dorlotée par elle ; dans des caresses d’une douceur que peu sauraient égaler. Le don de son amante n’était pas là uniquement que pour faire joli ; pour traquer ou combattre. Il était aussi diablement efficace dans d’autres détails bien plus subtils. Et c’était même un plaisir pour la traqueuse que de démontrer ce qu’elle pouvait faire de son toucher. Rien de magique, juste une précision faramineuse. Une orfèvre dans ses œuvres.
Le chant quant à lui n’était pas sa spécialité, elle chantait des comptines que son mentor lui avait apprises. Des chansons qu’il avait lui-même chantées à sa propre fille ; Crowe s’étonnait de l’avoir vu capable d’une telle tendresse chez lui. Elle se souvint alors qu’il n’y avait pas de manichéisme dans ce monde. Pas de mal ou de bien absolu. Il n’y avait que des gens ; normaux, excentriques, fous. Il y avait de tout. Mais l’absolu n’existait pas… bien que parfois c’était plus facile.
C’est toujours plus simple quand il y a un gentil et un méchant. Toujours plus simple quand on est du bon côté. Mais souvent, on ne fait que se persuader. La vérité est tellement plus complexe.
Tellement complexe que pendant que Crowe chantait, elle réfléchissait à la suite. Et si… et si ça ne valait vraiment pas le coup de se venger ? Et s’il n’était pas plus simple de trancher ce qui la retenait à son passé. Rien que de l’envisager, cela la débectait. Mais parfois il fallait faire ce qui nous rebute. Pour le bien des autres. Pour son bien à elle. Celle qu’elle tenait fermement dans ses bras. Celle qu’elle aimait ? C’était vraiment aussi simple ?
Pouvait-elle vraiment pardonner ? Et si c’était tout simplement trop tard maintenant que Darya était mêlée à ça ? Et Judas ? Crowe avait mis en branle des forces et des individus qu’elle souhaitait épargner de son passé. Mais il était sans doute trop tard. Le mal était probablement déjà fait.
D’un coup, elle s’arrêta de chanter. Sa prise se resserra sur son amante tandis qu’elle-même colla son corps au sien. Comme une promesse, elle déclara :
─ Tu es à moi. Je ne laisserai personne te faire du mal… et si je dois détruire le monde pour te protéger, je le ferai. Il n’y a plus de pardon qui tienne. Nous avancerons ensemble… et cette fois, le monstre parla à sa place : et nous exterminerons tous nos ennemis sur notre chemin.
Le ton était donné. Crowe liée à Darya et vice versa. Avec elle et le reste des ombres… le monde n’avait aucune chance.