En couple avec : L’incarnation de l’anarchie, Blanche
Autre(s) compte(s) : Aucun
dispo rp : Messages : 265Points de Bonheur : 894Avatar : Higgs ▬ Death Stranding | Troy BakerÂge d'apparence : La quarantaine Signe Astro : -Rôle : FaustMétier : Directeur du CasinoInventaire : -Pouvoir : Amplification d'émotions | sentimentsEn couple avec : L’incarnation de l’anarchie, BlancheAutre(s) compte(s) : Aucun
Belial A. Faustian
coin coin sadique
(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Lun 1 Mar - 22:06
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman Play here OST ►► ♫
Une danse charnelle si semblable à tant d’autres et pourtant tout à fait différente. Une première sans nom dont tu ne pouvais te lasser, une première qui finira par t’en faire réclamer plus un autre jour. Il n’y avait pas besoin de mots, de paroles parfois inutiles en tout cela. Juste des regards, des caresses plus obscènes certaines que d’autres qui se voulaient douceâtres. On appelait cela donc l’Amour, du moins le faire, cet acte où tout était si différent là où de par le passé vous n’aviez su être que des bêtes qui passaient du bon temps ensemble. Tout avait donc bel et bien pris une toute autre saveur alors que des mouvements étaient pourtant si identiques à d’autres… Un baiser parfois venant se coupler à tout cela alors que tu pouvais la ressentir entièrement tout auprès de toi. Tu te délectais à un rare niveau de tout cela alors que chaque sensation était toujours comme connue et à la fois nouvelle en une découverte aussi étrange que grisante. Il vous avait fallu tant de temps en ces terres, en ce monde damné pour que vous en arriviez enfin à cela là où tout ceci était normalement inné à bien d’autres relations. Il n’y avait la moindre douleur en ces minutes qui défilaient alors que d’habitude cette sensation accompagnait vos ébats.
Il y avait à la fois tant de mots et aucun pour décrire ce que tu ressentais même si pour une fois tu te sentais enfin comme aimé. Vous vous étiez déjà échangé des preuves de vos émotions, de vos sentiments mais là il ne pouvait y avoir définitivement de mensonge à tes yeux. Un je t’aime souffler encore une fois, bien plus pure et à la fois quelque peu perverti que les autres de par l’action qui se déroulait. Une demande s’en suivant tout simplement que tu ne pourras jamais lui refuser en ce contexte alors que les mots commençaient à manquer.
« - Moi aussi je t’aime Blanche. »
Une simple phrase qui ne brûlait plus du tout les lèvres bien au contraire, qui les réchauffait comme tout votre être encore et encore. Tes mains se faisaient vagabondes pour venir entourer tantôt son corps, ses formes, ses épaules pour se perdre contre ses joues ou sa chevelure. Une redécouverte perpétuelle que tu aurais aimé apprécier de si longues minutes. Que tu aurais voulu suspendre en le temps sans la moindre concession car cet instant aurait pu durer éternellement que cela ne saurait te déranger.
Ton souffle se faisait donc plus chaud à chaque assaut que tu lui offrais alors que les lieux étaient toujours un peu plus nimbés de votre luxure, une luxure différente de d’habitude. Il y avait les soupirs, les complaintes de plaisir, les mots doux et les secondes se changèrent en minutes, s’écoulèrent doucement mais sûrement. La satisfaction de la chair se faisant croissante elle aussi alors vous approchiez de l’apogée de ce lien tant charnel que d’émotions alors que tu la gorgeais toujours de ton bienveillant pouvoir pour une fois. Il y eut un soupir bien plus marqué, bien plus que les autres signant après de longues minutes la fin de votre danse charnelle lui concédant ce qui offrirait la vie potentiellement.
Tes doigts vinrent donc s’ancrer avec une rare ferveur auprès de sa peau, ta respiration tapissant son être de façon bien plus marquée dès lors. Tu les glissas contre son cou, sa nuque pour les y perdre encore une fois en sa crinière d’ivoire le corps marqué par l’effort tout comme le plaisir sous sa forme la plus ampli de luxure. Chaque parcelle de ton être était des plus détendus, tout sauf crispé comparé à ce qu’il s’était passé bien plus tôt en le sang et la mort.
« - Je ne pourrais plus jamais me passer de toi, pas après cela Blanche. »
Alors qu’il vous restait sans doute beaucoup à vivre en bien comme en mal. Tu te mettais toujours plus à nu pour elle, lui donnant toujours plus ton cœur sans la moindre once de gêne.
« - Ne me quitte plus s’il te plait... »
Une demande qui aurait pu paraître sans concession, une demande incomplète.
« - Promets le moi car moi je ferai mon possible pour ne jamais t’abandonner de nouveau. »
Car définitivement tu ne pouvais te passer d’elle et tu en voulais toujours plus, ce désir de descendance commençant déjà à être supplanté par d’autres idées en la même continuité. Dire qu’en réalité votre tourment ne faisait que commencer, votre amour dépravé et aussi catastrophique que merveilleux.
« - Je ne pourrai construire le reste de mon existence sans toi. »
Car au fond Edelweiss avait raison, car au fond vous étiez des monstres et tu ne pouvais être aimé que par ceux de ton espèce mais… Vous aviez une vie à rattraper, une vie à vous pardonner, une vie que vous aviez gâché de par le passé alors inconsciemment tu vins te saisir de cette chance.
Invité
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 5 Mar - 16:31
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
Et ces mots qu'il t'offre en retour, alors que pour une fois, c'est bien toi la première qui les lui donne. Ces mots que tu lui as refusé tant de temps. Ces sentiments qui tu as démentit tant de temps. Voilà qu'ils s'étaient échappés de tes lèvres, presque sans aucun contrôle possible de ta part. Comme si tout ton corps entier, ton âme entière, tout en toi voulait le lui crier. Le lui rappeler. Qu'il ne l'oublie jamais.
Et c'est donc, après ces mots formulés, Que vous finissez de consumer ce feu qui vous dévore. Les souffles s'alourdissent. La peau s'embrase. Et c'est bientôt en cœur que vous rejoignez ce septième ciel que vous aviez déjà tant parcourut ensemble. Les muscles se tendent, les membres se crispent. La voix se coupe un instant, pour résonner de plus belles quelques secondes après, avec ce besoin d'hurler à l'oreille de ta moitié à quel point entre ses bras, tu te sens complète. Satisfaite. En vie.
cette fois, de ces ébats, il ne reste aucune plaie, aucune trace de sang, pas même un bleu. Ce soir, il n'y a que votre sueur qui témoigne de la passion que vous vous êtes échangé ce soir pour la première fois sans avoir besoin de plus que votre amour pour vous complaire. Et pourtant... Tu ne ressens le manque de rien. Comme si cette soirée avait été parfaite, là où vous vous étiez déjà donné bien plus que cela auparavant, en pensant ne jamais pouvoir faire mieux. Et pourtant vous voilà. A reprendre votre souffle difficilement, dans l'euphorie de cet instant qui peinait à redescendre, lentement. Et, comme si les caresses de vos corps entremêlés qui tentaient de se remettre au mieux de leur émotion ne suffisaient pas... Voilà que la bouche de ton amant empoisonné t'offrait de nouvelles paroles qui ne connaissaient leur égales. Véritable douceur à tes oreilles, ce genre de mots qu'on ne peut que désirer entendre... Surtout de la bouche qui avait le plus d'importances parmi toutes les autres de ce pays de fous.
« Comment pourrais-je te quitter? »
C'est d'abord cette réponse que tu glisses au creux de son oreille, Blanche. C'est vrai, pourquoi faire une chose pareille? Toi, qui avait tant besoin de lui. Maintenant, tout irait mieux. Maintenant, il n'y avait plus que vous. Qu'est-ce qui pourrait bien gâcher une si belle promesse, hein? Pourtant... Il ne fallait pas oublier que vous n'étiez fait que pour vous faire du mal l'un à l'autre.
Alors que tes bras entourent un peu plus, un peu mieux son torse, ton visage lui trouve refuge contre son épaule. De son odeur, tu te nourris. Sa chaleur apaise tout les maux qui peuvent parfois te troubler. Pour la première fois de ta non-vie... Tu te sens bien. Si seulement ce moment pouvait durer pour l'éternité.
« Tu es la seule chose qui me donne envie de prolonger cette vie damnée stupide... »
Et si un jour, on te l'enlevait, Blanche? Qui sait ce que tu serais capable de faire? Quand la raison n'est plus.
Alors, tes lèvres abandonnent un baiser sur sa peau encore chaude. Comme si tu voulais le goûter, une dernière fois. Il est tard, même pour Halloween City... Et la fatigue revenait te couvrir de son voile comme pour te ramener dans les bras de morphée. Comme s'il te fallait du temps pour digérer toute ces nouvelles émotions. Ces derniers instants. D'une main qui quitte à contre coeur ce corps si désirable, tu viens saisir la couverture, pour vous couvrir tout les deux. Malgré tout, tu te refuses à quitter ses bras. Tu t'assures qu'il te tienne... Et qu'il ne te lâche pas. Tes yeux se ferment. Et dans un soupire, tu murmures
« Garde moi tienne à jamais... » Et tu le sais, Belial, Qu'elle n'est pas du genre à demander de telles choses. Alors, ne gâche pas tout.
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Belial A. Faustian
coin coin sadique
(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Sam 6 Mar - 15:16
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman Play here OST ►► ♫
Une toute première réponse qui te fut offerte sous un mont merveilleux d’attentions que tu ne connaissais que trop bien et qui pourtant tu ne cessais d’apprécier au plus haut point. Une question qui n’attendait de réponse alors qu’elle l’avait déjà fait une fois même si le tout était drastiquement différent avant. Il n’y avait pas de malice pour une fois entre vous, entre vos propos qui pouvaient parfois être interprétés de milles et une façons. Combien de fois vous vous étiez bernés à travers des paroles mielleuses mais fausses ? Combien de fois vous vous étiez poignardés sans le moindre remords en plus de marquer définitivement le corps de l’autre. Pour chaque pas en avant que vous faisiez il y avait toujours un mais, un contre temps qui finissait par se profiler tout bonnement afin de vous rappeler à l’ordre. Vous ne viviez que pour vous faire mal et au grand jamais perpétuellement vous apporter ce bien salvateur, cette quiétude qui ne vous ressemblait absolument pas. Au final tout ceci n’était pas qu’un juste retour des choses finalement ? Qu’un réapprentissage de votre vie d’avant oubliée et enterrée, les souvenirs n’existant plus alors qu’il ne restait que des témoignages étranges pour vous rappeler cela, ceux qu’une reine blanche t’avait porté.
De nouvelles paroles s’enchaînant d’ailleurs comme pour un peu plus vous enchaîner vous l’un à l’autre alors qu’il y avait encore tellement à faire. Une progression merveilleuse s’étant profilée néanmoins en si peu de temps entre vous car vous ne pouviez éternellement refouler ce qui siégeait en vos cœurs souillés et malformés ou plutôt déformés par votre vécu. Les draps finissant par vous recouvrir à son initiative entre quelques nouvelles offrandes charnelles toujours aussi délectable malgré la rare extase dont vous aviez pu bénéficier. Tu soufflas chaudement à sa dernière parole en l’enlaçant toujours plus comme si tu avais souhaité exhausser d’ores et déjà sa demande.
Si seulement savait elle les secrets que tu avais encore à lui avouer, que tu avais soigneusement enterré, que cela soit par rapport à Judas ou encore à ce qu’Edelweiss t’avait avoué. Le premier cas étant un détail qui ne méritait d’être énoncé alors que le second lui se noyait en un déni toujours caractéristique à ta personne.
Tu passas tantôt encore une fois comme tu l’avais déjà fait à maintes reprises une de tes mains en sa chevelure, douceur qui avait toujours le don de te conquérir. Tes phalanges se reportant ensuite envieusement auprès des traits fins de son visage que tu avais tant de fois marquée en le passé.
« - À jamais Blanche. »
De simples paroles reprises dans l’unique but de faire écho à ses propos, de ne point les déformer et surtout être le plus honnête possible. Tu la sentais doucement se faire plus douce en son étreinte signe que Morphée reprenait ses droits sur son être. N’était-il pas normal que même les pires abominations aient leurs faiblesses, le besoin de se reposer loin de ce monde et des tourments étranges qu’il pouvait leur apporter. Il s’agissait tout simplement d’un repos bien mérité alors que tu ne cesserais de lui faire don de ton être pour apaiser chacun de ses mots, ta précieuse et durable carrure entre ses griffes douceâtres.
Quelques mots doux fortement pensés mais qui ne franchirent tes lèvres, repose toi bien ou encore je t’aime. Des non-dits pour ne calmer sa quiétude naissante et croissante.
Il n’y avait rien que tu pouvais gâcher. Pour l’instant malheureusement. Toujours de par des non-dits.
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