AVIS SUR LES BRAVE HEARTS : Il les hait eux et tout ce qu'ils représentent mais leur reine plus que tout. Qu'on lui coupe la tête qu'on l'égorge et que jamais elle ne se réincarne. Il ne fait pas dans le détail, pas besoin d'avoir une once de pitié pour des abrutis qui acceptent d'être dirigés par un monstre (dit-il).
AVIS SUR LES HOLY CROWNS : Rien à foutre, il leur fait peur, il fait peur à tout le monde. Ils sont ridicules à se complaire dans leur pacifisme stupide. Qu'ils crèvent avec les autres.
AVIS SUR LES MASTER PIECES : Comment juger tout un peuple ? Balt le fait. Imbéciles heureux et idiots, ça chiale sur un pseudo secret ou sur la vieillesse qui rampe, mais putain qu'est-ce qu'on donnerait nous pour mourir ? Mais heureusement, c'est ici qu'on trouve de l'espoir, la clé dans la poche qui nous rappelle qui on est (un peu).
AVIS SUR LES DARK SHADOWS : S'il n'y avait pas eu ce collier et ce destin maudit, c'est là qu'il serait, debout aux côtés de Dundee, la violence et la liberté roulant dans leurs veines pour vivre le monde. De loin les moins chiants, et c'est ici qu'on se fournit en poudre, plus que tout, leur existence est une nécessité.

They just squeeze my brain, gettin' off on pain

accro à la poudre de fée // tient relativement bien l’alcool // top le monde // s’y connaît en ornithologie // nager le détend // escalader le détend // baiser le détend // s’épuiser à la mort le détend // six, son tatouage, c’est le nombre de ses réincarnations // bouffe pour cinq // s’énerve pour rien // la viande saignante svp // ne rétracte presque plus ses griffes // écrit très mal // dort nu // s'habille en blanc et noir pour agacer la Reine de Cœur // a déjà rendu des gens fous avec la douleur provoquée par son poison // leurs cris et supplications l'empêchent de dormir // le temps passé auprès de la Reine Rouge a floué ses valeurs morales // s’est déjà suicidé pour tenter de lui échapper // un échec évidemment // 1m87 // musclé et rapide // excellent au combat au corps à corps // a quelques tendances masochistes bien cachées // avant, il était beaucoup plus détendu // il souriait plus // radiateur ambulant // peu frileux // mange très (trop) épicé // clope beaucoup (trop) // dort peu et mal // agressif au réveil // boit beaucoup de café // il va chercher la balle quand Juliette lui demande // mais que Juliette // et il déteste ça // ne lui parlez jamais de son collier // conseil d’ami // les enfants le mettent mal à l'aise // de toutes façons, il les terrifie par sa simple existence // giga bordélique // surtout pour faire chier Elias // garde toujours avec lui la clé que Susan lui a donné // il y est écrit qui il est vraiment // mais il évite de plus en plus de la regarder // son masque est un morceau de squelette du Jabberwocky la seule fois où il l'a tué // il le porte autant comme une fierté que comme une provocation

Head meltin' for days, gettin' off on pain

Se souvient-il de sa naissance ? Onzième sur la liste des arrivés, au début, il se prélassait dans ce monde encore vierge, félin lascif et détendu. C'était beau et doux mais personne ne s'en souvient, et même lui vient à douter qu'un jour ce moment ait existé.
Où a-t-il grandi ? À Wonderland, un Wonderland qui n'existe pas puisque tous ses souvenirs d'enfance sont factices, présents mais jamais vraiment vécus, trop lointains et flous pour qu'ils soient encore importants.
Un souvenir marquant ? La fin de sa vie, le début de son enfer, la fin de sa liberté. Victime des caprices d'un tyran en manque d'animal de compagnie, les soldats de la Reine lui sont tombés dessus au matin du Jour Grincheux et il eu beau les fuir toute la journée, en tuer des dizaines de ses griffes terribles, à la tombée de la nuit, vaincu par le terrible Jabberwocky, le métal froid du collier se refermait sur son cou.
Comment est-il arrivé où il en est aujourd’hui ? Des années, des siècles, des mois, on ne sait pas, on ne sait plus, de servitude forcée ont forgé une bête monstrueuse et violente, désespérée et chaotique. Balthazar ne cesse de lutter contre la Reine et le Chasseur mais à la moindre erreur, les décharges qui parcourent son collier le terrassent. Réduit à l'esclavage le plus simple, le Bandersnatch est devenu le jouet des puissants.
Quelle est sa plus grande peur ? Se perdre à tout jamais et devenir le monstre que tous voient en lui désormais. Ne jamais retrouver sa liberté.
Son objectif à Wonderland ? Retrouver sa liberté, se venger. Et après ... il n'y a pas d'après, on ne l'imagine pas, on ne l'envisage peut-être même pas.