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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini
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Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini S6PPt12
Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Jeu 21 Jan - 22:32
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
La lumière finissant par filtrer de par l’entrebâillement de l’imposante porte de métaux pour s’écraser le long de ce corps maculé de bien de tourments… Un corps que l’on avait travaillé par la flamme et les lames, un corps marqué par un abandon de plusieurs jours totalement à nu sur la pierre froide. Le corps d’un être que l’on avait lié par le fer, les mains scellées en le dos par ces menottes, les chevilles subissant la même peine. Une carcasse parfaitement entravée, le tout se voyant fermement attaché à un des murs de sa prison afin de s’assuré qu’il ne s’échappe, qu’il ne puisse même plus tenter une seule fois cette folie. Il était ainsi en train d’attendre sachant que son châtiment viendrait d’un moment à l’autre, dans la crasse sans le moindre vêtement pour préserver sa dignité, une dignité depuis longtemps balayée. Ses pupilles finissant par se refermer face à la luminosité à laquelle elles n’étaient plus habitué. Exténué par les privations et les sévices, il n’avait que faiblement bougé afin de se mettre du mieux possible sur ses genoux. Qui sait partiellement dompté mais non pas assez encore pour avoir été totalement brisé.  

Une silhouette des plus sveltes finissant par se glisser en la pièce repoussant doucement l’amas de métaux qui servait à clore les lieux laissant malgré tout un peu de luminosité pour éclairer le tout. Elle s’approcha donc féline du pauvre, sa chevelure d’ébène nimbée par l’obscurité ambiante alors que ses deux orbes glaciales brillaient si malicieusement à la vue du malheureux détenu. Sûrement bien plus grande que lui encore plafonnant à une taille rare pour la majorité des femmes, dominante en tous points. Ses lèvres des plus fines finissant par s’étirer en un léger sourire vicieux, la couleur du sang auprès de celles-ci. Une si belle chose finissant par doucement faire naître un soupçon d’effroi plus que prononcé de par sa présence envers l’être à qui elle venait rendre visite. Une terreur contrôlée mais qui ne cessait de croître au final, c’est ainsi que sa gorge commençait à se nouer, celle de cet homme lié par l’acier tandis qu’elle glissait une de ses phalanges sous son menton pour lui faire redresser la tête.

« - Tu vas devoir apprendre à m’aimer car je serais la seule que tu connaîtras. »

Sur ces paroles, elle vint docilement prendre place devant son prisonnier, s’agenouillant face à lui, le dépassant en taille toujours de quelques centimètres.

« - Mais j’ai toute l’éternité pour te l’apprendre mon chère animal. »

Ses lèvres se rapprochant dès lors de celles de sa cible pour lui dérober un léger baiser alors que ses mains féminines, si douces et abjectes étaient venus se loger le long des cuisses masculines de son misérable invité. Le contact charnel rompu plus haut alors qu’étrangement le souffle de l’esclave commença soudainement à lui manquer, son buste se soulevant frénétiquement à la recherche du précieux oxygène. Il était là impuissant, son être tourmenté par l’absence d’air en ses poumons, suffoquant mais maintenu en vie par un faible filet de cette précieuse ressource nécessaire à la vie. Incapable de s’évanouir mais aussi torturé par l’impossibilité de reprendre une respiration tout sauf douloureuse. Une éternelle suffocation, la voix ne pouvant s’élever pour hurler alors que plus bas ses doigts s’approchaient que trop dangereusement de ce qui faisait du torturé un homme dans une tentative des plus abjectes de le faire sien. Une tentative de cette femme, de cette monstruosité de le faire sien.

L’asphyxie ne cessait mais pas assez pour perdre la vie, pour s’échapper via l’inconscience comme si une quelconque sorcellerie faisait son effet. Dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit hormis resserrer les jambes en une vaine protestation face à cette parfaite humiliation, ce supplice sans fin.

Tu te réveillas dès lors en prenant une immense inspiration, haletant malgré l’immense apport que tu avais offert à tes bronches. La sueur dégoulinant le long de ton être alors que tu n’avais pu crier une fois hors des bras de Morphée, toujours persuadé un instant que ta voix n’était toujours plus tienne. Tu tremblais n’arrivant à respirer normalement, un étrange sentiment t’envahissant, une chose que tu pensais avoir refoulé, enfoui depuis plus d’un siècle maintenant. Un vécu dont tu pensais t’être détaché depuis mais que tu n’avais fait qu’enfouir, qu’ignorer jusqu’à ce sommeil précisément.

Tu vins doucement la décrire, celle avec qui tu partageais tes draps actuellement… Blanche. Celle que tu avais réussi à convaincre de rester encore une fois et de profiter ensemble des choses les plus simples. Tu n’avais fait assez de bruit pour l’éveiller pour l’instant et tu ne perdis donc le moindre instant, celle à qui tu avais offert au début de vos retrouvailles une bien belle préparation florale tachetée de ton sang. Un cadeau à votre image tout bonnement… Si simple et pourtant dérangé de par le côté macabre de la composition.

Tu quittas ce lit donc sans guère plus de cérémonie en silence, en ton plus simple apparat alors que tes doigts grelottaient sous une inquiétude sans nom… Une épouvante inhumaine tandis que tes pas te menaient en les abysses de ton manoir tout comme de ton esprit, les verrous s’ôtant un à un, celui des portes tout comme de ta psyché. La bête grondait en pleine panique inexplicable, en pleine crise devant déverser toute sa souffrance. Tu t’étais retenu comme si un soupçon d’humanité t’avait supplié de choisir Blanche en tribut, cette même voix qui l’avait sauvé de tes lugubres envies meurtrières lors de vos premiers ébats il y a maintenant tant d’années.

Tu sortis donc de sa cage une pauvre Alice en les tréfonds de cette cave tout juste éclairée par quelques bougies, de quoi n’être dans la pénombre. Une première esclave qui fut sacrifiée à défaut de chasse sous une folie encore plus ignoble, ses hurlements raisonnants jusqu’à ce que sa voix se taise à jamais, une seconde étant libérée de ses entraves elle aussi sacrifiée alors qu’elle hurla en voyant le sort de sa congénère et le sien qui ne tarda à se réaliser.

Tu étais là au milieu de ce spectacle, de ces deux corps sans vie maculé d’un sang autre que le tien, de la tête aux pieds en une vision démoniaque. L’une égorgée et mutilée de tes crocs en bien des endroits de son être, la seconde éventrée et peut être quelque peu dévorée en d’autres parcelles… Tes muscles à toi anormalement détendus, l’abomination toujours apeurée malgré tout, malgré le lieu familier, malgré les sacrifices qu’elle avait pu s’offrir.

Tu étais là en cette ombre, cette obscurité que tu avais plus qu’adopté, cette obscurité qui t’avait vu grandir dès lors au fur et à mesure de tes premières années en Wonderland… Ta plus fidèle alliée alors que tu entendis la porte de la cave s’ouvrir en un grincement ayant oublié de la verrouiller. Tu tournas donc la tête pour décrire l’entité qui s’y tenait, qui avait sans doute été attirée par les complaintes malgré l’épaisseur des murs.

Tu la décrivis donc cette personne qui venait d’attirer ton attention, passant ta tête par-dessus ton épaule, quelques gouttes pourpres chutant le long de ta chevelure et choyant magnifiquement, horriblement tes lèvres et leur pourtour de façon si large. Il n’y eut qu’un mot prononcé dès lors, un unique en une voix atrocement neutre… Dénuée de la moindre once d’émotion, impersonnelle à l’image de ton être vidé et partagé entre ses angoisses et un si léger soupçon d’humanité même si tu étais toujours cette bête…

Un prénom…

« - Blanche…? »
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 22 Jan - 12:15
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
On pouvait te reprocher beaucoup de choses, mais de toutes, la fuite était de loin celle que tu reniais le plus.
Tu te savais froide. Tu te savais manipulatrice. Tu te savais impulsive. Têtue. Vulgaire même parfois.
Mais tu n'acceptais pas d'être une lâche face à tes propres sentiments.
C'était injuste. Toi qui savait toujours manier tout et tout le monde par le bout du nez...
Tu étais prise au piège de tes propres états d'âme.
Et quand ce n'est pas Judas qu'on quitte, c'est Belial qu'on retrouve.
Et, après qu'il t'ai consumé de son feu, tu cherches désespérément la douceur de l'Alice.
Parce qu'ils étaient l'opposés, et qu'ils te complétaient.
Et pourtant, tu ne peux pas t'empêcher de te sentir indigne de ce qu'ils te portent.
De ce qu'ils t'apportent. Quand on retrouve les draps de Judas, on se se sent sale de le caresser de ces doigts qui, hier encore, fouillait dans le ventre de ton amant empoisonné.
C'est surement pour ça que, ce soir, tu avais accepté.
Tu n'avais pas trouvé le courage de repartir de ce manoir, après une soirée comme toujours mouvementé.
Que, comme pour te faire secrètement pardonner, tu l'avais assommé d'un dernier ébat, même après celui que vous aviez déjà partagé dès que tu avais passé la porte de chez lui.
Chevauchée fiévreuse, s'étirant et laissant vos corps parler, jusqu'à ce que, innocemment, tu laisses Morphée te cueillir de ses bras, pendant que ton corps, lui, repose nu dans ceux de Belial.

Mais, la nuit est troublée. Pourtant, pas de cauchemars, ni même de rêve.
Un calme plat, un néant apaisant qui vient se faire rompre par des éclats de voix, provenant du cœur même du manoir. Tes yeux s'ouvrent, mettent quelques secondes à s'habituer au noir.
Et constate de la place vide et humide à tes cotés.
Humidité qui, cette fois, n'était pas de ton ressort.
Alors, tu quittes les draps, et couvre ta nudité. Tu ramasses simplement la chemise de ton amant de la veille, qui jonchait encore le sol. Trop grande pour toi, tu la boutonnes en la laissant couvrir ton corps jusqu'à sous ta croupe. Tes pieds nus sur le plancher ne trahissent à aucun moment tes pas.
L'esprit encore embrumée, tu te laisses guider à l'aveugle.
Tu suis le son de ces voix.
Mais bientôt, elles se meurent,
et te laissent, seule, dans le silence, devant ces marches qui descendent.
Une cave que tu n'avais jamais vu de tes propres yeux.
Les nombreuses fois où tu avais occupé ce manoir.... Ce n'était pas pour visiter. Ou du moins, pas pour les bonnes raisons.
Alors, la curiosité l'emporte sur la raison. C'est surement aussi l'odeur de sang âcre qui finit d'attirer ton odorat de prédateur.
Une à une, tu descends.
Tu t'enfonces un peu plus dans ses tréfonds.

Et finalement, le spectacle se révèlent à toi.
C'est d'abord la silhouette épaisse de ton hôte qui attire ton regard.
Homme aux airs d'animal sauvages, acculé dans ses derniers retranchements.
Il te voit. Il t'appelle.
Va-t-il faire de toi son prochain repas?
Tu constates, autours de lui, le corps des deux femmes.
La première question stupide et égoïste que tu te poses à toi même, sans même être surprise de leur mort (car après tout tu avais toi même participer à plusieurs chasses à l'homme en sa compagnie) ne porte pas sur les blessures qu'elles portent...Ni même les morceaux de chair qui leur manquent.
Mais plutôt sur ce que tu ne peux pas voir.
As-tu abusé d'elle, Belial?
Ne suis donc pas suffisante?
Je ne te satisfait plus?


Un frisson court le long de ton échine. Ce laps de temps semble durer une éternité. Le temps s'amuse à s'allonger. Fait languir Belial, qui n'a aucune réponse de ta part. Trop secouée par ce massacre nocturne. Sans savoir ce qui l'avait poussé à quitter la chaleur de tes bras... Pour plutôt se baigner dans celui du sang de ces pauvres filles qui avaient subit ta rage.
Si tu fut arrivée en bas, ton premier réflexe et de reculer d'un pas. Ta peau trahit une légère chair de poule. Et puis, après quelques secondes, le regard sur les cadavres, puis dans le vide, c'est sur le visage de Belial qu'il échoue. Enfin, ta voix résonne

« Qu'est ce que... »

La confusion se lit sur ton visage. Tu n'es pas prude ni innocente. Tu as, toi même, de tes mains, arracher bien des gorges. Saigner bien des corps. Mais là, tout était différent. Tu le faisais par vengeance. Pour affaire.
Ici, l'envie semblait l'avoir saisit. Pour le plaisir. Par une pulsion étrange.
Une pulsion plus forte que son amour pour toi,
s'il avait préféré descendre ici bas les ravager, plutôt que rester dans tes bras.

Tes sourcils se froncent. Ta gorge se noue. A l'incompréhension qui baigne tes yeux se mêle un jugement étrangement froid. Cassant. Fatal. Elle rouvre ses lèvres, quelques secondes avant de parler. Elle cherche surement ses mots. Avant de dégueuler son ressentit. Son poison.
Assassin.

« Putain mais regarde toi.... »

Tu n'es pas capable, pour le moment, de te montrer compréhensive.
De capter la possible détresse tordue qui le saisit.
Tu réagis sous le coup de l'émotion. De la seule chose que ton cœur et que ton corps constate.
Qu'il était venu se défouler ici, sur ces filles, sans même que tu ne saches tout les plus horribles détails. Il avait préféré leurs corps à elles... Plutôt que le tien, Blanche.
Te rends tu compte?
Comme tu es insignifiante.
Plutôt que de profiter cette nuit avec toi. Lui, qui réclamait toujours ta présence en ses draps.
Il venait de gâcher cet honneur que tu lui avais fait. Il t'avait rejeté, toi, pour les retrouver, elles.
Et ça...
Comment lui pardonner?

« Comment... Peux-tu oser... »
Me faire ça. A moi.
Après tout ce que je concède pour toi.
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Belial A. Faustian
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Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 22 Jan - 13:47
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
Il n’y avait aucun mot pour décrire cette situation, aussi complexe qu’infâme, marquée par la folie, les pires démences. Les secondes passèrent sur ce, trop lentement, si interminables de ton côté tandis que tu n’étais toujours toi. Il n’y avait plus rien de Belial, plus rien du monstre que tu étais normalement, cet individu aux penchants certains étranges mais des plus réguliers, compréhensibles une fois qu’on avait pu le côtoyer et au moins à défaut de l’apprécier entrevoir sa logique. Apeurée, tu sentais ce qui rongeait Blanche en ce moment précis comme si l’inhumain prédateur qui s’était accaparé de ton enveloppe charnelle avait eu le don de décupler ton analyse des réactions de chacun, de l’humain au final qu’elle restait. La peur n’avait-elle pas pour effet d’attirer les chasseurs justement ? Elle était tout aussi travaillée que toi, d’une façon bien différente cependant même si tout tu entendais ses propos, ses reproches. Un enchainement de mots qui sonnait creux comme si tu n’avais jamais appris sa langue, un tout aussi creux que ton âme et ton esprit présentement. Elle parlait le langage ou plutôt un langage des Hommes alors que toi tu n’étais qu’une bête.

Tu n’étais plus maître d’un seul de tes désirs, d’une unique fichue envie, rien… Il ne te restait plus rien alors que tu tentais en vain de te raccrocher à un soupçon de ton humanité, à ton identité et ce que tu pouvais ressentir pour elle. Elle n’avait compris ce qui te tourmentait, ce qui t’avait travaillé et te travaillait encore car au final elle n’avait jamais rien su de ton vécu avant votre rencontre, votre amour. Tu avais toujours su contrôler tes pulsions, les modelant afin d’en être le bourreau, l’artiste et leur donner vie en des œuvres merveilleusement affligées. Ici il n’y avait encore une fois plus rien de toi, juste une créature qui devait répondre à un certain nom baignant en ce sang, nimbé par celui-ci et incapable actuellement de redevenir normale. Au fond Blanche avait raison… Regarde toi n’ayant pu retenir ce retour inattendu de tes fantômes du passé, esclave de tes traumatismes en des années révolues qui avaient fait de toi en partie celui que tu étais aujourd’hui. Qu’allait-il se passer alors qu’aucun de vous ne pouvait comprendre l’autre là ? Ta moitié indignée et choquée pensant que tu l’avais délaissée et toi toujours animal incapable de réfléchir, d’agir humainement alors que ton seul péché fut de massacrer ces Alices pour la préserver elle.

Tu n’arrivais à réfléchir, orienter ton être vers certaines choses à faire. Toujours entravé psychologiquement, la chose encore et toujours en dehors de sa cage ne faisant plus que simplement effleurer ses proies pour leur offrir une mort nette mais belle. Tu aurais aimé au plus profond de toi la rassurer, lui dire que tout ça n’avait rien avoir avec elle… Que peut être les événements de ces dernières semaines avaient eu leur effet mais que non elle n’en était responsable.

Tu étais donc là alors que tes membres tremblaient toujours sous l’adrénaline et la satisfaction du massacre, un massacre juste pour le plaisir sous sa forme la plus horriblement pure. Tu la fixais, elle, Blanche… Ton amour mais d’un regard si vide comme si on avait ôté de toi la moindre étincelle de vie, de joie… De bonheur alors que tu étais censé observer la chose la plus chère à tes yeux. Dénué de vie c’est ce que tu étais présentement tel un objet que l’on pouvait balader mais toujours étrangement dangereux comme en témoignaient les réactions de ton organisme. Parcouru parfois d’un frisson, n’arrivant à calmer les légers mouvements de tes doigts, les muscles toujours noués. Il y avait tant de signes, ceux d’un être carnassier qui s’apprêtait à mordre si on venait que trop s’approcher de son espace si vital.

Tu t’écroulas sur ceci, tes avants bras se heurtant au sol et à sa pierre glaciale alors que ton visage y faisait face aussi. Le dos voûté toujours sur tes genoux. Est-ce que malgré ses remontrances qui cachaient de la détresse elle avait le don de t’apaiser de par sa simple présence ? Difficile à dire mais tu n’avais la force que d’articuler ces mots.

« - Blanche… Ton pouvoir. »

Une requête en ce supplice que tu vivais, une demande qui avait fait preuve du peu de logique humaine qu’il te restait en ta démence bestiale.

« - S’il te plait… »

Ta voix la suppliant alors qu’elle était toujours si déchirée, si atrocement étrange et impersonnelle comparé aux diverses intonations qu’elle avait pu connaître venant de toi en un siècle. Tu avais commencé à ramper vers elle tel un misérable, un prédateur blessé alors que même la synchronisation de tes membres était défaillante, chaotique. Laissant en ton sillage des marques pourpres, une trainée cramoisi alors que même en faisant de ton mieux tu étais pitoyable.

« - Soulage-moi. »

Il n’y avait guère plus à rajouter alors que pour la première fois sûrement, tu l’implorais d’utiliser sa néfaste magie sur toi qu’importe son choc à elle pour te rendre ton humanité. Pour ramener l’individu que tu devais être, pour que tu ne puisses lui faire à coup sûr le moindre mal. C’est de ses mains à elle que tu voulais être sauvé, tiré de cet enfer en lequel tu te noyais alors que tu n’avais la moindre emprise sur ce que ton être désirait sauvagement.

Tu ne savais plus quoi faire au fur et à mesure, désemparé plus que jamais alors que tu n’avais même pas la force de relever la tête vers elle pour chercher son regard aussi dur pouvait-il être. Il n’y avait qu’elle qui pouvait te sauver… Chose que tu lui avais fait savoir qu’importe les termes, qu’importe ta dignité alors que le choix des mots était bien là…

« - Aide moi... Je t’en supplie… »
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 22 Jan - 14:46
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
Le voilà finir à la place qu'il ne peut que mériter.
Au sol, tel un animal blessé.
S'étant laissé emporté par sa propre rage qu'il ne pouvait plus contrôler.
Les membres ne lui répondant plus.
Couvert de sang, pas le sien.
Outre ce ventre, qui s'était rouvert.
Comme pour te rappeler Blanche que, oui, tu pouvais le faire souffrir.
Mais tu n'étais pas la seule.
Car il devait y avoir une explication. Quelque chose d'autre, n'importe quoi.
N'importe quoi simplement pour que tu puisses te rassurer, égoïste.
Que le problème ne vient pas de toi.
Que toi, tu es simplement la solution.
La plus belle et horrible des solutions.

Ton corps ne bouge même pas lorsqu'il se traîne jusqu'à tes pieds, nus.
Misérable bête qui attend qu'on l'achève.
Tes yeux, eux, sont sans pitié. Et ils ne ratent rien de ce spectacle.
Normalement, le voir ainsi rampant.
Te supplier.
Tout ça devrait t'offrir un plaisir incomparable.
Et pourtant, tout ça semble si fade.
Même.... Douloureux.
Un instant, tu as envie de le frapper de toute tes forces. Lui donner de bonnes raisons d'être à terre. Lui hurler ton poison au visage.
Mais tu ne fais rien.
Rien, à part, à ton tour, te mettre à genoux.
Lentement, tes mains se glissent sous son menton, pour lui faire relever la tête.
Et alors, étrangement douce, voilà que tu le laisses trouver la chaleur rassurante de ta poitrine contre lequel il peut se reposer.
L'incitant à totalement céder entre tes mains, et s'échouer contre ton buste, tes cuisses que tu met à sa disposition.
Un instant, tu rêves de lui susurrer à l'oreille un
Non, bien fait pour toi.
Mais cette boule occupant ton ventre te force à ne pas pouvoir le laisser dans un tel état.

« Chuuuuut.... Calme toi... Je suis là... »

Dans cette voix, chaleureuse et apaisante, tu fais gonfler ton pouvoir. Ce n'est plus un conseil, mais un ordre. Ta voix devient sa seule raison de vivre. Même si...
N'était-ce pas déjà le cas?
Tes griffes, délicates, glissent dans ses cheveux avec grand soin. Tu le serres contre lui et fait mouvoir tes doigts, pour masser de gestes lents et appliqués son cuir chevelu. Le sang de ses victimes s'écoule au sol, mais ne vous atteint pas.
Hors de question que le sang de ces catins osent souiller ta peau parfaite.

« Laisse toi aller... Tout va bien... »

Lentement, sa joue s'appose contre le haut de sa tête. Tu le tiens là. Possessivement.
Il est tien. Entre tes griffes. Aussi bien littéralement que métaphoriquement.
Et pourtant

« Maintenant dis moi. Donne moi une bonne raison de ne pas te tailler en pièce, mon amour... Pour avoir préférer passer la nuit avec elles... Plutôt qu'avec moi.. »

Et évidemment que ces mots là... Eux aussi, sont déformés par le pouvoir que tu leur insuffle. Après tout, il t'en avait donné le droit, indirectement.

Tu veux comprendre, oui.
Mais tu veux aussi que lui, comprenne le tourment qui était venu te saisir face à la vue d'un si maudit tableau.
Je pensais que maintenant, nous étions au dessus de ça.
Et que tu me parlerais, Belial.
Parle moi.
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Tu la sentais hésitante mais tu ne savais pourquoi ni jusqu’à tel point alors que tu t’étais rabaissé jusqu’à un rare niveau pour elle, pour qu’elle accepte de t’aider, de t’apaiser. Elle qui avait toujours réussi à le faire d’une quelconque façon, tu te demandais si tu allais devoir encore plus la supplier, lui demandé pitié alors que tu ne te rattachais que très fébrilement à ton humanité. Tu avais toujours faim, tu voulais toujours dévorer, déchiqueter, tuer même si ton corps n’était que trop travaillé là où tu n’avais plus de contrôle sur la chose que tu étais. Tu avais placé tellement d’espoir en Blanche en ce moment précis, encore plus qu’à l’accoutumé, autant si ce n’est plus que la première fois où tu lui avais confessé ton amour. Défintivement plus que lorsqu’elle avait fini par t’offrir son tout premier je t’aime. Tu étais pour la première fois depuis si longtemps comme répugné par ce que tu venais de faire, tuer gratuitement tu l’avais fait par amusement, en chasse ou autres mais là… Il n’y avait rien eu de cela, aucun cadre pour justifier le tout juste une pulsion là où tu n’avais même pas été… Créatif, artistique en tes mises à mort. Tu en avais presque la nausée de surcroît d’avoir avalé cette chair alors que d’habitude la viande humaine te plaisait tellement bien préparée.

Tu n'avais même pas entendu le fait qu’elle était venue se mettre à genou alors que ses doigts à elle le long de ton menton auraient dû se montrer salvateur. Ce contact te rappelant un autre plus ancien d’un siècle, un contact qui te terrifiait autrefois malgré le fait qu’il était celui de Blanche… Tu avais suivi son mouvement pour honteusement la décrire jusqu’à ce que tu sentes que ton être avait décidé de réagir à une chose, à une douceur rare et étrange, une attention sans nom qui avait le don de te rendre plus malléable. Tu avais laissé tes mains s’écraser contre ses cuisses pour doucement grimper, t’élever et trouver la place qu’elle t’avait offert en son étreinte. Elle n’avait qu’à doucement te caresser pour percevoir ce tout qui démontrait parfaitement ton malheureux état. Tes muscles en leur totalité entièrement crispés, tout sauf détendus alors que tu tremblais encore et toujours parfois même en ses bras, même en son étreinte qui aurait dû être salvatrice. Son pouvoir faisait bel et bien effet mais tu allais avoir besoin de temps pour retrouver ton état normal après cela…

Elle y avait sûrement porté attention au fait que même si ton être se dénouait, les contractions se faisant de moins en moins présentes. Tes mains s’étaient glissées en son dos ayant chercher à entamer sa peau non pour la blesser mais pour t’assuré qu’elle était bien là et qu’elle le resterait là où plus que jamais tu avais besoin de sa présence qu’importe le poison qu’elle pouvait être. Tu étais entièrement recroquevillé contre elle en une boule de nerfs qui se faisait doucement mais sûrement plus douceâtre, malléable alors que tu avais fermé les yeux pour ne te concentrer que sur une seule et unique chose… Sa voix, fausse de par sa magie mais réconfortante tel une mère rassurant sa progéniture apeurée. Ton souffle avait fini par se faire un peu plus humain et moins chaotique tandis que tu déglutissais avec un peu moins de difficulté, la nausée s’estompant.

Ton corps lui répondait un peu plus chaque seconde acceptant de s’ouvrir à elle, même s’il y avait de la réticence malgré son don… Un signe sans doute de ta profonde douleur, de ce, ces traumatismes et de leur violence. Ton corps guérissait de sa folie même si l’esprit allait avoir besoin de plus de temps malgré toute l’attention qu’il recevait, malgré les sensations fausses mais bonnes de ton organisme qui s’abandonnait à Blanche.

Tu tentais toujours d’un peu mieux te blottir contre elle et sa chaleur supposément aimante malgré ses propos finaux qui auraient pu en terrifier bien d’autres mais en ton état… En ton état cela n’était absolument rien et tu n’avais le choix de lui répondre de par ces phéromones magiques qui faisaient toujours leur effet.

« - Je les ai massacré… Car j’avais besoin… D’apaisement, je ne voulais pas te tuer toi même si tu m’as offert ta vie. Je ne pouvais pas. »

Il n’y avait la moindre once de mensonge et tu avais fait tout cela pour la préserver elle, ta moitié de ta folie qui était revenue de façon inattendue. Tu étais incapable de tout lui expliquer plus en détails dès lors malgré son don alors qu’elle allait devoir demander elle-même les précisions de par sa magie ou te laisser le temps de te recomposer.

« - Il n’y a que toi qui a eu droit à bien plus, seulement toi. »

Toujours toi... Il n’y a qu’avec elle que tu avais laissé vos chairs se mêler plus intimement.

Tu n’avais oublié les reproches en ses propos, la colère sous-jacente dont elle était gorgée face à une telle vision qu’elle ne pouvait comprendre et même si elle t’avait imposé de lui répondre… Tu avais honoré ta part de tout cela et n’étais-tu donc pas libre de lui demander quelque chose à ton tour ?

« - Est-ce que tu es réellement... Jalouse…? »

Elle avait ressenti de la jalousie, elle en transpirait même alors que sur ces dires tu avais enfin osé ramener ton regard auprès du sien de ta propre initiative. Une main fébrile étant venu trouver sa joue pour docilement la caresser. Tu lui avais demandé ca avec une rare candeur étrangement, tout sauf nourri par son éventuel mal être à elle… Tu souhaitais juste qu'elle te comprenne…

Un soupir chaud quittant tes lèvres sur cette pensée là où tu ne voulais aucunement son malheur tu étais toujours partiellement tourmenté mais elle avait fait son effet sur toi… Comme toujours.
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Jeu 28 Jan - 10:11
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
Une explication, une excuse, plus ou moins louable.
Il ne t'était pas inconnu que Belial avait pour vicieuse habitude de trouver de l'apaisement là on pouvait s'y attendre le moins. En l’occurrence, ici, dans les tripes encore chaudes de deux innocentes.
Mais, heureusement pour lui... Il venait se dédouaner en jouant la carte de l'affect.
Ce prétexte louant le fait qu'il ne voulait pas te faire de mal fit naître sur la commissure de tes lèvres un bien étrange sourire. Alors que tes paupières se fermaient, tes doigts, eux, rallongées par ces griffes acérées qui n'étaient propres qu'à toi, continuèrent leur besogne entre ses mèches claires, massant et grattant avec soin et application son cuir chevelu en une attention surement plus qu'agréable.
Pourtant, malgré les mots qui suivaient et qui gonflaient un peu plus ton égo de prédatrice par excellence... Tu ne cherchas pas à  abuser de ton pouvoir à outre mesure. Tu l'avais utiliser simplement car Belial te l'avait demandé... Et ainsi, bien que toujours gorgée d'une étrange sensation le poussant vers le calme et la sérénité... Ta voix résonne à nouveau pour se glisser, pernicieuse, jusqu'aux oreilles de ton amant, là, lové contre toi.

« Mmh... C'est vrai ça...? »
Car, soit en assuré, Belial, si un jour le contraire est démontré...
Toi, comme l'heureuse élue, en subirez son courroux.


Car tu le savais. Avant de te rencontrer, chaque femme ayant eut l'horreur de connaitre les plaisirs de la chair avec lui... N'avaient jamais survécu assez longtemps pour en témoigner.
Tu fus son évidence.
Sa providence.
La seule à savoir lui survivre.
Et maintenant le voilà, pieds et poings liés,
épris de toi, à en crever.

Mais le mot, il le prononce. Il sonne, résonne, grince. Il peut les sentir, tes griffes, se rétracter faiblement et presque menacer de s'enfoncer en son crâne, sans même connaitre la peine de la résistance que pourrais lui opposer ses os. Un frisson court le long de l'épine de la louve.
J a l o u s e ?
Toi?
Pourquoi le serais-tu ?
Toi, qui obtient toujours ce que tu désires?
Toi, que personne ne surpasse.
Surtout lorsqu'il s'agissait de satisfaire les plus sombres désirs et pulsions de Belial.
Alors, doucement, tes lèvres s'approchent.
Tu te courbes au dessus de ce corps encore en proie à la souffrance.
Et, araignée tissant sa toile autour de sa proie, tu souffles

« ... Ne sous entend plus jamais une chose pareille Belial... »

A moins que...
A moins que...
Lentement, ses griffes se mouvent. Elle quitte leur rôle de douceur pour glisser, soudainement plus menaçantes, vers le visage du Belial. Avec attention, et sans même érafler sa peau, elle saisit le menton de son amant.
La louve sort ses crocs. Ses yeux perçants viennent prendre les siens en otage.

« Du moins... Sauf si tu penses que je devrais l'être... Et si tel est le cas...  »

Le rictus qui habille tes si jolies lèvres s’agrandit.... Mais, paradoxalement, il ne fait que devenir un peu plus menaçant. Louve léchant ses babines avant un fabuleux festin. Ton emprise sur son menton se referme. Se fait plus froide. Et tes yeux, eux, ne quittent pas les siens.

« ... Je n'hésiterai pas à t'ouvrir le ventre en deux pour te rappeler qui est la seule et l'unique capable de maintenir ta triste existence à flot, mon cœur... »
Aussi bien au sens littéral... Qu'au figuré.

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Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini S6PPt12
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini S6PPt12
Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Jeu 28 Jan - 12:49
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
Des paroles soufflées alors que les secondes continuaient à défiler, tu trouvais toujours un peu plus l’apaisement malgré sa toute première parole qui te fit doucement tiquer. Elle avait beau encore et toujours te caresser, t’offrir les plus douces attention tu étais plus attentif et réceptif à ses propos qu’à ses actes tout bonnement. Tu avais beau avoir un esprit ravagé par bien trop de tourments et d’insécurités tu étais encore capable de discerner les émotions des autres, savoir jouer sur celles-ci à défaut de comprendre les tiennes et Blanche ne pourra jamais t’enlever ce fait… Celui que tu avais ressenti, la jalousie en elle, sa simple question ayant suffi à l’enchaîner à ce sentiment néfaste. Bien d’autres auraient pu te menacer et tu aurais répondu mais là tu n’avais rien fait non pas car tu ne voulais la punir pour ces propos mais car tu sais qu’elle ne ferait jamais rien de tel, ce n’était pas sa façon de procéder sur un sujet comme celui-ci. Elle te blesserait physiquement à coup sûr mais au grand jamais elle n’osera te tuer, au mieux elle te privera. Il était si dramatique que tu puisses la connaître si bien, si déplaisant alors qu’au fond vous n’aviez que votre amour à vous et ces moments malsains, quelques nuits par-ci par-là mais guère plus de concret.

Tu n’avais même pas cherché à te défendre, à te protéger lorsqu’elle vint substituer ce délicieux massage à des contacts plus intrusifs et perçants. Elle osait te menacer autant verbalement que physiquement alors que vous saviez vous deux qu’elle ne t’ôtera jamais la vie, une bien faible menace au final. Tu ne lui avais néanmoins directement répondu étrangement, profitant du silence qui venait de s’installer alors que tu avais pu apprécier chacune de ses expressions. Tu ne craignais rien, pas ce sourire carnassier qu’elle t’avait donné, ce regard glacial ou encore ses griffes acérées, rien de physique et dès lors tu te permis de te blottir un peu plus contre elle. Tes mains toujours auprès de son dos commençant à se faire plus douces, encore plus au fur et à mesure tout comme le reste de ton corps se détendait sans cesse. Tu en avais même fini par doucement fermer les yeux pour retrouver cette place chaude auprès d’elle, cette place aimante comme si tu avais accepté ton châtiment éternel avec elle. Sa senteur t’enivrant, loin de l’odeur du sang même si elle se faisait de plus en plus forte. Tu étais comme doucement bercé alors que ton esprit s’endormait comme s’il avait accepté ses dires, sa réprimande.

« Es-tu sûre de ton choix de mots ? »

C’est ce que tu lui avais mielleusement, doucement soufflé, murmuré tout bas alors qu’un léger rictus se permit d’étirer les traits de ton faciès pourtant toujours docile entre ses bras à elle. Tu n’avais rien rajouté de nouveau durant un long moment, silence pesant alors qu’elle pouvait sentir ta tête se mouvoir, comme si tu étais venu encore plus chercher son contact, comme si tu lui avais demandé une nouvelle flatterie charnelle.

« - C’est amusant de te voir, t’entendre, te sentir jalouse tandis que tu te voiles la face comme tu l’as fait lorsque je t’ai dit que je t’aimais. Tu l’étais durant quelques longues secondes. »

Elle ne pouvait te mentir, cacher ses émotions. Sur cette idée tu te redressas finalement alors que ta moitié pouvait sans doute ressentir comme une certaine contrariété tout le long de ton être, de ton échine. Les muscles se nouant de nouveau comme si tu préparais un léger effort, tes doigts cherchant de nouveau à l’labourer son dos sans vergogne. Tu avais repoussé donc repoussé Blanche en arrière, maintenant sur son dos pour bien mieux se saisir de ses poignets, lui dérobant le plaisir d’avoir le pouvoir, la domination. Maintenant au-dessus de sa silhouette que tu n’avais que trop de fois souillé de tes vices, ses mains surplombant sa tête, liée de par tes doigts. Il y eut comme un soudain sursaut en ton âme, en ton fort intérieur alors que toi aussi tu lui donnais ce sourire assassin et malsain.

« - Tu me menaces alors que de nous deux c’est toi qui l’a avoué, c’est toi le problème, c’est toi qui a un problème. »

Te rappelant parfaitement ses dires au casino il y a de cela quelques jours, ces ébats et ce déchainement de colère qui avait donné naissance à cette blessure le long de ton ventre. La douceur qu’elle avait su instaurer s’étant vue bien rapidement balayée par ses propos à elle. Il n’y avait qu’elle qui arrivait à te faire passer ainsi d’une chose à l’autre, d’un sentiment à un autre alors qu’ils étaient si opposés.

« - Tu ne pourras jamais m’ouvrir le ventre en deux, jamais car tu aurais trop peur de me perdre, de voir ce corps flétrir même si cela nous libérerait nous deux n’est-ce pas ? »

Ironique de savoir que ses menaces à elle avaient représenté tout ce que tu avais infligé à un autre… Une chose qui ne plairait à Blanche lorsqu’elle l’apprendra… Bien douce ironie.

« - C’est toi qui est destructrice et incapable même de respecter des choses simples, certes je suis destructeur moi aussi mais je veux bâtir avec toi, en broyant ce qu’il y aura autour de nous. »

Il n’était pas question de cette secte ou autres juste vous, tu te fichais d’y rester ou non tant qu’il y avait elle.

Elle avait sans doute craché du poison, toi le tout était différent comme un mal nécessaire, une vérité nécessaire que tu lui distillerais autant de fois que possible.

« - Fait attention car je sais quoi faire pour tourner chaque once de joie en toi en cendres au creux de tes lèvres alors ne me pousse jamais à en arriver là. Tu n’as pas peur de mourir de mes mains mais… »

Un mais bien inquiétant finissant par se faire ouïr alors que tu étais aussi froid que la mort présentement, tu lui offris la pire conclusion. Esprit tracassé que tu étais alors que tu suintais cette vindicte sentimentale, tu n’avais jamais voulu au fond lui faire de mal émotionnellement cependant elle ne te laissait le choix et t’y pousseras sans doute.

« - Que ferais-tu si moi je fais en sorte de mourir de tes mains, qu’est-ce que serait la mort pour t’apprendre une leçon et laisser définitivement mon emprunte sur toi. »

Tendances destructrices et suicidaires, le tout était parfois étroitement lié malheureusement.
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Jeu 28 Jan - 13:34
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
Ton corps, malgré la résistance, ne peut que se soumettre au sien. Et bientôt, te voilà à joncher le sol froid de cette cave lugubre, Belial, doigts fermés autour de tes poignets délicats, venant te retirer la moindre chance de t'échapper à sa merci. Il trône, fier, là où il est le plus beau : au dessus de toi. Malheureusement, si, en de biens nombreuses occasions, tu n'aurais pas bouder ton plaisir, ici, il est bien question d'autres choses. Car les sujets que vous frôlez du bout de vos doigts sont bien trop épineux encore. Et ça, enfoncé un peu plus par les mots qu'il prononce.
Qu'il ose prononcer.
Il retourne ces paroles contre toi. Paroles que, si on te questionnait, tu n'avais prononcé que pour apaiser son trouble et calmer ses peines.
Comment pourrais-tu être le problème?
Toi, la plus diabolique et parfaite créature que Wonderland ait pu jamais porté?
Ta mâchoire se serre. Et, malgré cette position peu avantageuse, tu ne manques pas de continuer de le fixer. Ardente. Une flamme qu'on ne peut jamais éteindre. Qui, si on ne la prive pas de toute son oxygène... Continue de brûler et tout dévorer sur son passage.

« Tu regretteras ces mots, Belial... »

Avais-tu d'abord et avant toute chose grogner entre tes crocs acérés. Le voilà, une fois encore, à prôner ses belles idées bien trop belles pour deux êtres comme vous que de faire votre propre empire. Parlait-il intimement, ou sur un sujet plus pudique? Sous entendant possiblement leur émancipation des dark shadow? Dans tout les cas, tu étais encore plus que fidèle à ce groupe et, s'il tentait de te quémander... Tu l'enverrais chier, sans l'ombre d'un doute... Tout en tentant de le raisonner.
Car, aussi chaotique et indépendant qu'il pouvait être... Il était bien trop précieux à votre cause.
Et il était hors de question, de toute façon, qu'il ne trône pas à tes cotés.
Ton dos se cambre, parfois, animé par une nouvelle pulsion de rébellion. Tu mouves tes bras et tes griffes, tentant de gagner un peu de marge, de se libérer, bien que tu te doutes qu'il ne te laisserait pas se plaisir, peut être même si cela devait laisser de nouvelles rougeurs sur la peau albâtre de tes poignets...

C'est bien un éclat de voix, ironique et froid, qui répond à cette provocation, cette question indirecte.
Tu lui avait déjà dit, malgré tes précédentes menaces... Que tu ne mettrais jamais fin à son existence.
Que ce soit pour te défendre, ou par excès de colère.
Car, sans considérer le fait que tu serais éternellement incomplète si un jour il désertait ta vie...
Tu ne voulais pas lui faire ce plaisir. Et, s'il était question que l'un de vous parte avant l'autre... Tu comptait bien faire peser sur son esprit misérable le manque de ta personne, qui lui était indispensable.

« As-tu la mémoire courte... Ou es-tu simplement stupide, mon cœur? Jamais je ne te tuerais. Et puis... Comment compte tu t'y prendre? Tu vas essayer de me forcer? De me convaincre? Ne soit pas idiot... Tes mots n'ont aucune valeur, Belial. »

Tu es sûre de toi. Comment ne pas l'être? Contrairement à toi, où d'autres dotés de pouvoir de contrôle, il n'avait pas la capacité pour t'ordonner directement de le tuer, avec ou sans magie. Le sourire qui habille tes lèvres est toujours si satisfait, si insolent. Ton regard se confronte au sien. Le provoque. Le bout d'une de tes canines se pressent sur l'arrondi rosée de ta lippe inférieur, et un dernier souffle t'échappe.

« Mais vas y.... Brûle moi, Belial. Change ma joie en cendres si ça te chantes... C'est bien la seule chose que tu sais à peu près faire correctement... N'est-ce pas? »
Cruelle provocation.
Et voilà qu'au lieu de l'apaiser,
tu l'embrases.
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Jeu 28 Jan - 19:54
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
Les menaces, toujours des menaces comme si vous ne saviez que vous exprimer comme ça. Un tout qui ne cessait de croître à chaque fois jusqu’à ce qu’un dérapage trop important se produise pour revenir remettre ce terrible décompte à zéro. Un bal éternel et infâme ne cessant, recommençant toujours, le tout s’étant amplifié depuis son retour vers toi. Est-ce que son retour t’était réellement bénéfique ? Tu avais éprouvé de la joie, de la satisfaction, une palette d’émotions positives mais aussi d’autres atrocement négatives et qui finissaient par croître au fur et à mesure en parallèle des choses qui se devaient d’être bonnes. Lequel était le plus malsain de vous deux au final, celle qui te provoquait ou celui qui y répondait, celui qui exprimait sa rage et tentait de se respecter alors qu’au fond il s’enfonçait en ses travers face à la source de tous ses problèmes. Définitivement la boîte de Pandore avait été ouverte alors que toutes ses infamies ne s’étaient encore exprimées, tout juste au début de ton tourment et pourtant déjà bien amoché. Déjà assez détérioré en si peu de temps au point où des fantômes que tu avais chassé depuis plusieurs dizaines d’années avaient refait surface.

Elle avait voulu se défaire de ton étreinte impériale, toujours plus imposante que la sienne alors que son venin fut craché une énième fois. Tu la trouvais si naïve en chacun de ses mots, prônant le fait qu’elle ne pourra jamais te tuer, tu savais que tu aurais à lui donner un coup de mains pour en arriver à cela mais elle en était capable. Au plus profond de toi tu ne doutais point du fait qu’elle en serait capable tout bonnement mais elle semblait douter de son être. Qui sait peut-être se pensait elle moins monstre que toi, ce qui était sûrement le cas même si elle était une abomination à sa manière en jouant que trop bien les cordes les plus sensibles, consciemment ou non. La provocation revenant en sa dernière réplique pour ne pas changer, en bien d’autres contextes ta main se serait abattu sur sa joue en une gifle en ce cycle sans fin où vous sembliez chercher cette punition commune. Un cycle de souffrance et paradoxalement d’amour qui durait depuis bien plus longtemps que votre existence en Wonderland. Ses propos étant de trop, cela était des plus insultants de l’entendre dire cela, de te ramener pour la énième fois à cette image d’anomalie que tu étais dans le pire sens du terme.

Tu n'avais dès lors même pas écrasé ton poing contre le sol à côté de son visage tandis que tes mains avaient fini par offrir une nouvelle liberté aux siennes. Tu avais soupiré si longuement en fermant les yeux, contrôlant que trop bien la rage qu’elle aurait pu faire naître… Allais-tu la blesser d’une autre façon ? Sûrement malheureusement.

« - Tu es si aveugle que ça ? Tu l’as déjà fait. »

Pathétique, voilà le seul mot qui te venait à l’esprit face à cette envie qu’elle avait, cette obsession qu’elle avait de te voir sanglant en tes actions et représailles. Tu t’étais redressé avec une rare nonchalance pour quitter son être, debout non loin d’elle en l’instant qui suivi et surtout dos à sa personne. Tu avais doucement passé ta tête par-dessus ton épaule, la dévisageant une nouvelle fois silencieusement avant d’avouer cela de la façon la plus froide possible.

« - Tu m’as déjà tué une fois. »

En l’abandonnant une fois, le temps distordu n’ayant aidé, en ayant réduit à néant votre relation qui ne sera plus jamais la même. Tu étais glacial, la peau froide malgré votre précédente proximité, ces deux orbes qui t’offraient la vue n’étant que givre. Tu détournas sur ces propos ton regard du sien qu’importe qu’elle soit encore au sol ou non.

« - Et je ne te ferai ce plaisir de nourrir tes déviances… Ou qui sait nos déviances plutôt. »

Distant émotionnellement en ce moment précis, cette conversation n’aurait jamais dû se passer ainsi et pourtant cela venait d’avoir lieu pour une toute première fois. Sans doute un mauvais retour de ta précédente démence, n’arrivant toujours à être toi-même… Tu comprenais éventuellement en parallèle que tout ceci était lié au fait qu’elle était revenue mais en un contexte que trop différent et déplaisant. Une main passant tantôt le long de ton visage pour remarquer que tu étais toujours nimbé du sang des deux pauvres inconnus, encore entièrement sale.

« - Me provoquer marche parfois, je connais ce mécanisme l’utilisant moi-même mais nous aurons à parler, tu sais qu’on ne pourra toujours se cacher derrière tout ce qui est malsain. »

On... Nous... l’incluant en ce tout entre vous, un choix de mots très précis pour signifier malgré ta froideur plus qu’inhabituelle qu’elle comptait. Il fallait croire que ton excès de violence envers ces deux pauvres Alices avaient eu le don de te canaliser et chasser pour quelques minutes ou heures tes déviances qui n’étaient que mal être sans réussir à totalement te satisfaire. Tu ne te sentais toi-même ou peut être l’étais-tu enfin depuis bien trop longtemps… Difficile à dire là où tu ne te connaissais même pas en réalité. Tu étais toujours en pleine tempête, la peau lacérée par tes angoisses. Une anxiété des plus étranges de par sa façon de frapper et ce qu’elle concernait.

Tu avais besoin de remettre tes idées en place même si son pouvoir avait réussi à te calmer, le processus n’était pas complet… Jamais tu ne seras guéri, les plaies n’étant que profondes alors que Blanche en créait de nouvelles, en renouvelait d’autres, tu pouvais juste enfouir le tout. Tu ne pouvais qu’enfouir le tout seul ou avec son aide, une série d’actes qui se voyait parfois corrompu par Blanche elle-même... Même si le tout t’apaisait, te soignait.

« - Libre à toi d’aller te rendormir, je dois prendre une douche puis un peu me poser. Je me sens… Indigne et souillé. »

Deux mots forts pour exprimer ton état d’esprit, tu n’avais attendu sa réponse pour te diriger vers la sortie des lieux ne laissant en ton sillage qu’une sècheresse sentimentale pour celle qui avait toujours su te soigner et plus que tout t’empoisonner.

Tu étais actuellement émotionnellement indisponible, trop retourné par un tout que tu ne pouvais contrôler... Trop brisé et fatigué.
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SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
...
Tu m’as déjà tué une fois.

Pourquoi est-ce que ces mots te collent à la peau?
Résonnent douloureusement dans ton crâne?
Surement parce qu'il avait raison.
Surement parce qu'en t'éloignant de lui, tu avais emporté avec toi un morceau de son âme, dont tu fut la seule reine.
Le laissant incomplet et insatisfait en ton absence.
La mâchoire se serre, mais étrangement, tu ne trouves rien à dire.
Tes yeux, eux, sont incapables de se détourner de lui. Sa grande silhouette imposante, dos à toi, la simple lueur macabre de son regard perçant l'obscurité de la cave. Ce n'est qu'après ces mots que tu daignes finir de te redresser, pour te relever. Ton cœur bat, là, sous ta poitrine, mais il a des allures de bombe à retardement.

Nous aurons à parler

Pourquoi est-ce que soudainement, tout devenait si sérieux? Si hostère?
Tu es une créature pleine de malice et de vices. Tu te complais dans le volage et le plaisir que tu prends à tourmenter de bien des manières. Mais voilà Belial qui, comme il savait si bien le faire, te ramenait sur terre. Te rappelait que tu ne pourrais pas fuir éternellement la bataille que tu aurais à livrer un jour proche, trop proche, avec tes propres sentiments. La gorge se noue et les muscles se tendent.
Pourquoi ferais-tu ça? Alors que tu te plais tellement dans cet éternel et brouillon chaos qu'était ta vie? A chavirer et naviguer entre les cœurs, sans jamais être sûre de quoi demain serait fait?
Parce qu'en réalité, tu sais, Belial...
Blanche, elle crève de trouille.


Il finissait sa tirade, sombre et sinistre. Se sentait-il indigne et souillé, à raison, du sang souillait sa peau? Où de ce que tu venais de lui cracher au visage? Replaçant une de tes mèches d’albâtre derrière ton oreille, tu te contentes de le fixer... Et d'avancer.
Un pas,
deux pas,
trois pas.
Et bientôt, ses mains atteignent le dos de la Bête pour lui faire sentir ses griffes.
A la fois caresses et menaces.
Rappel éternelle qu'elle est la glace sur tes plaies...
Mais aussi la lame qui les créait.

« Tu as raison. Va laver tes vices, pécheur. Je n'aime pas l'odeur de la mise-à-mort facile. C'est... Répugnant. »

Sourire en demi-lune.
Toi qui es si beau quand tu laisses parler tes démons.
Voilà que tu t'étais abaissé à simplement réduire en charpie deux âmes faibles et perdues. Un combat gagné d'avance, qui ne te rendais pas honneur.
Agilement, à pas de loup, tu le contournes et passe ainsi devant lui, empruntant les escaliers remontant pour le flatter malgré tout d'une vision apaisante (ou ardente... Ou un subtil mélange des deux) de ta croupe se balançant de droite à gauche, soutenue par ta démarche chaloupée, alors que tu quittais la cave. Si tu le laissais retrouver la douche... Toi, pour ta part, avait fait un détour par la cuisine. Après avoir saisit un verre à pied pour l'emplir du reste de la bouteille de rouge de la veille... Tu laisses tes pas te mener jusqu'à une pièce bien particulière, où, déjà, vous aviez partagé un instant hors du temps et intense... Bien à votre image. Tu pousses la porte de la bibliothèque, et observe la vision qui s'offre à toi : baignée à la lueur de la lune, rideau mi-clos, les rangées de livres encadrent à la perfection un piano sobre, et son siège... Que vous aviez, lui aussi, déjà prit soin de baptisé.

Un faible rire s'échappe de ta gorge, alors que tu fais tinter le bout de tes griffes sur le cristal du verre. Après une nouvelle gorgée, voilà que tu finis par poser ta croupe sur le velours du siège. Déposant ta boisson favorite sur le bois obsidienne de l'instrument, il ne faut que quelques minutes supplémentaires à peine pour que, bientôt, le manoir Faustian soit empli d'une mélodie légère, alors que, du bout de tes doigts agiles et léger, tu faisais danser les notes, caresses musicales sur chaque touche appuyée.... Une mélodie qui, sans l'ombre d'un doute, arriverait jusqu'au cette salle de bain habitée par cet homme qui reconnaîtrait à son tour cette  musique qui sonnerait tendrement familière.

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Belial A. Faustian
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Belial A. Faustian
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Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
Tu n’avais que peu de considération pour le choix qu’elle allait faire tandis que tu remontais toujours ces marches dans le seul et unique but que tu lui avais déjà énoncé. Tu avais beau avoir été des plus froids, Blanche était restée des plus fidèles à sa personne alors que tu entendais des pas en ton dos, le tout couronné par un nouveau contact. Tu n’avais dénié porter plus d’attention à ce tout que nécessaire, une caresse parmi tant d’autres et surtout une menace aussi à laquelle tu n’étais que trop habitué. Ton corps n’était-il pas marqué par les cicatrices en partie à cause d’elle ? Un peu plus ou un peu moins tu n’étais plus du tout à ça près. Tu avais tout bonnement longuement soufflé à sa réplique, son choix de mot n’ayant eu le don de te heurter mais quelque peu te fatiguer même si le tout lui correspondait parfaitement à elle. Tu n’avais pas la force ni l’envie d’encore plus pester verbalement ou de la frapper d’une nouvelle vérité occulte. Elle ne prenait que tout légèrement et était incapable de faire autre chose que de montrer les crocs quand on voulait la confronter à être chose. Tout ceci pouvait être qui sait amusant mais non, cela était pesant depuis quelques temps.

Tu n’avais jamais apprécié avancer à l’aveugle et pourtant tu n’avais d’autre choix à défaut de supprimer la source de cette brume. Tu étais concentré sur tout sauf la vision qu’elle se permit de t’offrir, une vision qui aurait plu à plein d’autres mais que tu ne savais apprécier présentement à sa juste valeur. Ta démarche était sans le moindre doute plus lente que la sienne alors que tu te focalisais sur tes pensées, éternellement sinistres mais sans doutes bien moins domptables présentement et plus anarchique qu’à l’accoutumé. Tu n’avais qu’une idée en tête te laver et tu avais continué ton chemin jusqu’à cette salle de bain pour t’engouffrer sous la douche, laissant l’eau chaude, brûlante s’en extirper. Tu avais tantôt apposé tes mains contre les rebords froids l’espace d’un instant, tête baissée alors que tu profitais. Tu ne tardas à nettoyer tout ce sang, frottant parfois à t’en arracher la peau. Tu te trouvais impure, souillé encore une fois alors que d’habitude le tout ne t’avait jamais dérangé. Avoir du sang sur les mains n’avait absolument jamais été un problème mais cette hémoglobine rattachée à ton cauchemar, à un traumatisme que tu étais censé avoir enfoui… Tu ne pouvais tout simplement pas. Encore et encore, ce mouvement mécanique s’exécutant jusqu’à ce que les rougeurs se transforment en plaque, jusqu’à ce que cela en devienne douloureux, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de cela. Tu t’étais même écroulé, adossé au mur pour profiter encore de longues minutes de ce tout ardent.

Peut-être que tu avais abrégé ce moment de pur abandon face à cette musique qui avait fini par raisonner. Ton piano, quelqu’un avait fini par le profaner mais cela était-elle, tu n’en avais le moindre doute. Même si le tout était toujours aussi plaisant à entendre, tu n’avais dénié rejoindre ta bibliothèque… Pour l’instant ayant juste fait un détour pour prendre de quoi te vêtir plus bas, simple sous vêtement. Tu finis donc par rejoindre le lieu d’où venait ce tout, curieux et un peu calmé psychologiquement là où ton physique lui avait trouvé une certaine paix, enfin. Tu n’avais rien dit, tu t’étais contenté de l’écouter sans un mot voguant silencieusement en la pièce pour t’arrêter devant une table basse sur laquelle trônait un verre ainsi qu’une carafe d’eau et une bouteille de Gin. Tu hésitas, l’une des deux solutions était la plus juste et l’autre ne ferait que chasser, anesthésier les problèmes temporairement à défaut d’y faire face en un processus plus long, plus douloureux.

Ta main vint malgré tout se saisir de l’alcool dont tu te versas un ample verre avant de te rapprocher de l’instrument massif dont elle avait joué, d’où elle se trouvait, observant brièvement cette banquette liée à des souvenirs tous aussi plaisants mais différents. Tu ne l’avais pourtant touché elle et tu ne lui avais demandé de te faire place, tu n’avais même pas posé ton verre sur le bois massif.

« - C’était bien comme la dernière fois. »

Un rare compliment de ta part qui ne faisait référence de surcroît à son corps, son enveloppe charnelle que tu avais bien trop souvent complimenté à l’opposé d’autres choses plus simples entre vous. Une gorgée s’en suivant alors qu’il n’y avait toujours que la lune comme unique source de lumière, te tourna doucement les pages de la partition face à Blanche pour lui en soumettre une autre sans guère plus d’ordres ou d’informations. L’absence de mots, de paroles, le tout pesant qui sait mais reposant aussi efficace que bien des sédatifs.

Tu te retournas donc pour rejoindre une autre partie de la salle, tout juste à quelques pas car au final tu savais toi aussi jouer du piano bien sûr mais ce n’est pas ce qui t’intéressait actuellement. Tu souhaitais autre chose et tu ne tardas à sortir de son écrin un violon pour t’asseoir sur un tabouret non loin d’elle. Tu plaças le tout t’apprêtant à jouer mais ce n’était pas à toi de commencer le morceau.

Tu n’avais jamais commencé la moindre partition au final car c’est toujours elle qui avait été la source de tout, absolument tout.

Les yeux clos, tu allais enfin te satisfaire d’un peu plus de quiétude au travers de la musique. Vous aviez déjà joués ensemble sur ce même instrument mais chacun avec ses propres moyens le tout était une première, une première si elle venait à l’accepter alors que cela allait être qui sait ton processus pour te soigner.

« - Peux-tu commencer à jouer ? S’il te plait Blanche. »

Des mots doux alors que ta respiration était douce, tu en avais besoin autant pour toujours un peu plus effacer le passé que peut être construire un nouveau moment… Un moment… À vous.

Spoiler:
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 29 Jan - 12:56
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
Les notes dansent. Sous tes griffes, elles se balancent. La mélodie berce la bâtisse toute entière qui, comme apaisée par la mélodie, semble trouver le repos. Le bois ne grince plus. Tout sommeil. En suspens, pendu au doigté de toi, louve improvisée pianiste.
Bientôt, la présence de Belial, tu la ressens. Son odeur, tu ne la connais que trop bien. Et pourtant, tes doigts, eux, continuent leur office. Hors de question de troubler cette parfaite mélodie. Au contraire, maintenant que ton hôte te faisait honneur de sa présence nouvelle et lavée, propre, tu ne pouvais que mieux t'appliquer.

Yeux clos, et visage dénué d'imperfections, concentré sur ses notes et paisible, tu laisses le son se mourir à vos oreilles alors que quand tu rouvres les yeux... Tu trouves Belial, soufflait cette flatterie, à différents sens, tout en faisant défiler quelques pages jusqu'à trouver la partition qu'il désirait.
D'un œil rapide et curieux, tu l'observes en diagonale. Pour entendre mentalement le rythme, la sonorité, le ton. Quand il se levait pour aller s'installer plus loin, tes doigts, Blanche, mimaient déjà quelques croches élégantes qui mettrait à l'épreuve ton jeu de doigts... Que tu comptais malgré tout réaliser sans le moindre accro. Il ne fut qu'un léger coup d’œil, au dessus de son épaule, pour qu'un bien singulier portrait se dresse à toi. Belial, armé d'un violon. Instrument qu'on ne pouvait que difficilement lié à lui. La violence armé du plus bel et élégant des instrument. Entre ses doigts de maître, il semblait presque trop petit, trop fragile. Et pourtant, il saurait faire chanter de ces cordes la plus belle des mélodies.

Sans un mot, tu acquiesces. Tu n'avais pas besoin d'une telle demande, tu étais déjà prête à t'y plier... Mais ces mots finissent de te convaincre. Il ne faut que quelques secondes supplémentaires pour que tes griffes se mettent alors à danser sur les touches blanches et noires du piano qui, docile, chante pour toi. Les yeux rivés sur la partition, tu te laissais guider par ces notes dessinées à la plume... Avant de frémir quand le violon résonne entre les doigts de son amant.
Où était passé le temps où, autrefois, vous ne vous retrouviez que pour vous arracher, et mieux vous recoller.
Où il n'y avait pas le temps pour la romance.
Où vous n'étiez qu'affamé du corps de l'autre,
peut importe le reste?

Oui, les choses avaient changés.
Oui, les choses ne seraient plus jamais comme avant.
Mais, peut être était-ce... Pour donner naissance à quelque chose de plus beau.
Un peu moins vous.... Un peu plus eux.

Le temps défile et s’éclipse. Malicieux qu'il est. Il décide surement que ce moment est bien trop beau pour durer. Trop idyllique.
Que deux bêtes comme vous n'ont pas le droit de profiter trop longtemps de ce petit bout de paradis.
Alors bientôt la partition se meurt, et votre mélodie aussi. Tes yeux étaient peut être rivés sur le livre mais, intérieurement, tu les avaient clos pour savourer chacune de tes note qui s’entremêlaient avec les siennes, à l'image de vos deux âmes noircies. Tes doigts glissent des touches, s'échouent sur tes cuisses. Immobile. Baignée par la lueur laiteuse que vous offre l'astre roi d'Halloween City.

« Plus d'un siècle ensemble... Et tu continues de me surprendre. »

Tendresse glissée à son oreille. Tu oses briser le silence qui s'était réinstallé.
Il y avait, ironiquement, encore bien des choses que vous ignoriez l'un de l'autre.
Que vous n'aviez jamais prit le temps de découvrir.
Comme le fait que Belial savait aussi bien faire chanter son violon qu'il ne savait te faire chanter toi, Blanche.

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Belial A. Faustian
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Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 29 Jan - 13:54
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments malgré elle
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
Les notes commencèrent donc à s’échouer, le piano se faisant ouïr en tout premier durant de très longues minutes. Tu finis donc par faire chanter avec vigueur le violon à ton tour, les sonorités se recouvrant, s’entremêlant, l’un éclipsant parfois l’autre. La musique adoucissait les mœurs, effectivement elle avait bel et bien cet effet alors que tu te défoulais toujours un peu plus mais avec expertise le long du fragile instrument. Les yeux clos alors que tu avais profité de ces dernières notes et de sa voix enfin des plus douces, de cette voix qui avait énoncé de si merveilleux mots, une rare parole réconfortante en une absence de mauvaise tournure, de sous-entendus. Tu avais doucement déposé l’instrument sur ces propos, le plaçant soigneusement à côté de toi, bien trop précieux même s’il était aisé de le remplacer. Il était un petit témoignage de ce moment qui resterait jusqu’à ce qu’on le casse, qu’il brûle, qu’il soit détruit en un quelconque contexte… Une relique à l’image du piano. Tu ne lui avais donc répondu directement, légèrement pensif alors que le morceau faisait toujours écho en ton esprit. Tu avais cependant fait l’effort de doucement ramener tes pupilles auprès des siennes, la fixant.

« - Merci et j’espère toujours pouvoir te surprendre, je n’ai pas envie de devenir inintéressant, que notre relation soit morose. »

L’originalité, tu en avais à revendre mais étais-tu capable de l’orienter vers des pratiques plus normales et moins barbares que celles que tu exerçais au quotidien. Tu descendis donc un peu plus ton verre en deux amples gorgées avant de quitter ce tabouret non pas spécialement confortable. Tu avais enfin fini par doucement sourire l’espace d’un instant, sans doute l’avait-elle décelé, elle qui appréciait épier parfois tout comme toi. Elle se nourrissait des mimiques, des émotions, des réactions de chacun mais pour le coup tu étais convaincu qu’elle n’allait s’en nourrir de la pire des façons. Le tout allait finir sans doute en une pensée positive, une pensée propre à vous mais en bien.

« - Merci pour tout, de ce qui s’est passé à la cave à ici. »

De son pouvoir à ces notes jouées, échangées, qui sait ce que tu aurais pu fini par faire de pierre à défaut que Blanche ait su te canaliser… Un rituel qu’elle ne connaissait que trop bien, celui de tenté de calmer la Bête même si le tout était dangereux et si complexe. Elle aimait prendre des risques tu le savais et tu ne pourras jamais la changer sur cela tandis que parfois tu aurais aimé qu’elle reste à l’écart pour ne pas la blesser. Tout comme soigner tes blessures elle savait si bien faire don de soi pour que tu la martyrises de tes vices, pour que tu puisses enfin te sentir mieux.

« - Mais… Je pense que je t’ai surpris de trop de façons différentes ces dernières heures non ? »

Tu étais convaincu que le tout avait un double sens si on creusait, un double sens qu’elle n’avait pas nécessairement elle-même considéré. Ce n’est qu’enfin que tu dénias te rapprocher d’elle pour t’offrir une petite place à ses côtés sur cette banquette, visage instinctivement orienté vers le sien là où une main avait su trouver sa hanche en une délicate attention. Toujours amusé sans doute de voir à quel point tes chemises lui allaient à la perfection en ces moments.

Tu étais doux, chose rare, comme il le fut lui aussi de son vivant.

Tu étais étonné néanmoins que Blanche ne se soit déjà permise de te demander des explications sur ce qui c’était passé plus bas… Le pourquoi du comment de cette affaire en cette cave toujours trempée en le sang, les organes et les corps mutilés. Qui sait peut-être cela voulait-il dire qu’elle t’aimait tel que tu étais, sans avoir la nécessité de chercher. Une potentialité sur laquelle tu n’avais épilogué voulant profiter de cette exceptionnelle quiétude. Tu n’allais pas être intrusif tout bonnement, tu souhaitais juste amener les choses et voir si elle avait envie de réponses ni plus ni moins.

« - Tu ne m’as pas questionné sur ce qui s’était passé en la cave, du moins guère plus… C’est que tu ne veux pas savoir ? Ou alors que tu comptais y venir ? »

Tu lui devais bien des explications un peu plus détaillées maintenant que le tout avait commencé à passer seulement voulait elle les entendre ?

« - Toi et moi Blanche, on ne naît pas comme on est actuellement on le devient. Autant comme bien d’autres je n’ai plus le moindre souvenir de qui j’étais avant mais… Je sais qu’une fois arrivé à Wonderland je n’étais pas encore totalement comme ça, je devais avoir des travers mais pas aussi imposants qu’actuellement. »

C’est le vécu, la société, les rencontres qui faisaient les êtres que vous étiez actuellement.

« - En cette douceur j’ai l’impression de redécouvrir quelque chose que j’avais enfoui… En cette douceur qu’on s’offre. »

Enfin… Comme en les terres enneigées de la Scandinavie alors que vous vous aimiez car cela était nécessaire… Avant que l’absence d’enfant, de grossesse ne commence à s’étirer en le temps…
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Ven 29 Jan - 14:20
SES CARESSES EN GUISE DE SALUT
En écho à son verre, qui se fait lentement vider par ses lèvres... Les tiennes aussi s'attardent sur le tien. Plus haut. Plus rempli. Moins alcoolisé. Le rouge du vin teint l'espace d'un instant tes lèvres démaquillées, pour lentement, disparaître et les laisser revêtir leur éternelle tente rosée naturelle.
Belial s'approche.
Et tu ne bouges pas.
L'un à coté de l'autre.
Vous formez le plus beau et le plus terribles des duos.

Ce remerciement, même si quelque chose t'échappe, tu l'acceptes. Tu sais que tu n'es pas l'amante rêvée. Que tu as tendance à attiser le feu au lieu de l'étouffer. Que tu ne sais que rarement trouver les bons mots. Tu es bonne pour offrir un orgasme, bien moins pour consoler les âmes en peine.
Du moins, pas lorsqu'il s'agissait d'être sincère. Hors de ton travail.

« Ne me remercie pas. »

C'est bien les seuls mots, murmurés, que tu arrives à lui rendre. Un simple et léger haussement d'épaule accompagne cette réponse alors que tu détournes l'espace de quelques instants ton regard du sien pour le reporter sur ton verre... Et en boire à nouveau une gorgée, laissant le récipient à moitié plein.
Ou plutôt, à tes yeux,
à moitié vide.

Et le voilà qui s'avance de lui même sur le sujet houleux.
D'un coté, tu es contente qu'il le fasse de lui même.
Signifiant que, peut être, il était prêt à s'exprimer.
Si, peut importe ses travers, tu le prenais tel qu'il était... Tu ne pouvais nier désirer en savoir plus. C'était bien là après tout la source même de ce que tu étais. Les secrets des autres étaient ton plus beau trésor.
Mais Belial n'était pas les autres

« En réalité, crois le ou non... Je doutais que tu sois en état de t'exprimer clairement sur ce qui pouvait te tourmenter. J'ai préféré attendre. Histoire de ne pas te... Brusquer. »

Quelle ironie.
Toi qui étais la première à le repousser dans ses retranchements... Voilà que tu te trouve des élans d'attention et de délicatesse.
Peut-être car, au fond de toi, tu savais que le sujet était sérieux. Et important.
Lentement, l'une de tes mains se lève pour glisser sur sa joue. Joue que tu découvres et caresse du bout de tes doigts.
Le sujet qui fâche. Avant.
Avant cette vie. Et avant qu'on se découvre, qu'on se redécouvre, ici.

« Tout cela. Ce n'est que du passé. Ca ne sert à rien de le remuer.... Il nous est perdu, à jamais. C'est bien le présent qui importe. »

Mais tu ne veux pas le laisser filer. Le laisser profiter de cette ouverture pour te faire perdre le fil.
Tu veux savoir.
Parce que c'est tout ce qui importe.
Alors, à nouveau, les griffures se muent en caresses. Tes mains se glissent jusqu'à sa nuque, pour mieux t'attirer à lui. Vos cuisses se touchent, partagent leur chaleur.
Ta bouche vient trouver la sienne.
Une,
deux,
trois secondes.
Et tu la libères, à nouveau. Car tu veux l'entendre.
Tu veux savoir.
Tu veux savoir.

« Dis moi, maintenant. Qu'est-ce qui t'a troublé suffisamment pour que tu quittes mes bras, nos draps... Et que tu passes tes nerfs sur ces créatures insignifiantes? »

Doucement, tes lèvres glissent. Elles ne se tiennent plus en face de leur jumelle, mais elles trouvent refuge auprès de l'oreille de Belial. Mains toujours derrière son crâne, tu l'incites à poser son front sur ton épaule. Attention tendre, presque maternelle. Tu le laisses se gorger de ton odeur. De ta chaleur. Qu'il prenne confiance et qu'il se libère de ses chaines.
Parce que tu seras sa seule et unique salvation.

« Quels maux te troublent, mon ange? »
Dis les moi, et je les détruirai, Belial.
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Belial A. Faustian
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(tw: érotisme, violence+18) | ❝ ses caresses en guise de salut ❞ | ft. blanche | fini Dim 31 Jan - 0:29
Et il se noya une nouvelle fois en ses tourments... Malgré elle...
Les dieux n'avaient pas fait ce monde à cette image... C'était eux qui l'avaient rendu ainsi @Blanche B. Wolfman
Il n’y eut que le silence en réponse au fait que tu n’avais à la remercier alors que ton regard s’était lui détourné quelques secondes. Les mots te manquaient pour lui répondre et tu la laissais donc énoncer la suite, ce point sur le fait qu’il t’avait fallu du temps. Tu te demandais si même ce temps suffirait pour te permettre de formuler une réponse assez efficace, pour lui offrir un récit acceptable et non pas amputé de certains points essentiels. Son toucher auprès de ton corps pour la énième fois en toutes ces années, voguant auprès de ton visage, seule parcelle intacte de ton être. Tu l’accueillis volontiers une nouvelle fois venant même peut être inconsciemment le chercher, un peu plus le quémander en un imperceptible mouvement de tête. Un baiser s’en suivant, il avait une saveur différente de tous les autres, non pas un goût plutôt une sensation bien différente qu’importe sa durée. Il venait sans doute de réchauffer ta carcasse et doucement anesthésier certaines de tes craintes propres, cette et déplaisante sensation qu’était celle de venir repiocher en des souvenirs douloureux. Elle était si douce, si aimante avec toi de la façon la plus pure possible entre deux êtres comme vous que finalement tu étais inapte de lui refuser quelque chose en cet instant, encore plus que jamais.

Sans le moindre doute elle allait encore plus refermer son emprise sur toi, te faire encore plus sien que tu ne l’étais déjà comme si tout ne suffisait pas. N’était-elle pas de toute façon la seule chose que tu supposais avoir ? La seule vraie chose que tu convoitais encore plus que voir ce monde sombrer ? Tu avais donc bel et bien apposé ta tête contre son épaule, les mains le long de ses flancs se perdant auprès de ses omoplates en guise d’ultime refuge. Tu humais son parfum, son odeur, une senteur délicieuse et enivrante tout comme elle, comme l’entièreté de son être. Tu savais que Blanche n’avait jamais rien laissé au hasard tout comme toi et en ce moment précis, entièrement entre ses griffes, auprès d’elle… Elle devait avoir perçu le fait que tu étais un peu plus tendu malgré tout le réconfort signe que tu allais tenter de lui offrir la vérité. Une vérité blessante pour ton amour propre, pour ton honneur même si c’était notre vécu qui nous définissait chacun, qui constituait l’être que l’on était. N’y avait il pas qu’un monstre pour en engendrer un autre ? Tu pris donc une grande inspiration sur cette idée, la gorge un peu trop sèche.

« - Quand je suis arrivé à Wonderland j’ai été amené au royaume de la Reine Blanche comme d’autres Alices et comme biens d’autres elle m’a jugé impure d’être un habitant de ses terres. Rejeté c’est d’autres marchands d’Alice qui m’ont mis la main dessus et qui m’ont vendu en esclave... »

Stoppant ton aveu sur ce dernier mot, la rancœur te prenant, la mâchoire se serrant alors que tu te choyais toujours plus auprès de la belle. Tu avais beau sentir ses attentions le tout était toujours déplaisant à évoquer alors que cela n’était que le début du traumatisme. Tu ne savais si cela te ferait du bien de détailler le tout, de ne rien omettre mais maintenant que le tout était débuté tu souhaitais mettre un point d’honneur à aller jusqu’au bout.

« - Bien sûr on m’a acheté, une femme d’Halloween City mais pas dans le simple but d’assurer des tâches basiques. »

Car le travail forcé fut bel et bien là mais sans le moindre doute la partie la plus plaisante de tout cela. Il n’y avait pas de mots pour décrire les sévices, la brutalité, ce tout sans nom… Un tout encore pire que ce que tu infligeas à Judas quelques jours plus tard en guise de vengeance.

« - Bien sûr inutile de préciser que même un vulgaire clebs aurait été mieux traité. La violence physique, on finit toujours par s’y faire mais celle psychologique… On est bien placé nous deux pour savoir qu’il suffit un peu d’imagination pour que jamais une proie ne puisse s’y habituer. »

Et malheureusement elle en avait eu, sans doute trop et présentement les mots que tu avais prononcé plus tôt concernant le fait de prendre une douche prenaient tout leur sens. Tu avais été indigne, souillé durant tout ce temps, il n’y avait pas que les hommes qui étaient aptes à prendre la dignité d’un autre. Les cicatrices de cette époque étant toujours là auprès de ton être, Blanche pouvait les connaître, celles qui correspondaient à cela là où les autres étaient majoritairement issues de ses griffures. Il lui suffisait de faire la soustraction en son esprit.

« - C’est sans doute là que j’ai appris que la pire chose n’était pas la mort mais le fait que l’on tente de te prendre ce qui fait de toi une personne… Ton identité… Chose qu’elle a sans doute réussi en un sens vu que j’ai oublié en cette époque tout ce qui faisait de moi un Alice. À défaut une chose servile, elle a donné naissance à un monstre. »

Une chose servile… Le choix des mots fut très précis d’ailleurs soulignant le fait de n’être même plus humain. Tu avais un peu plus encore enfoncé ton visage au creux de son cou, te sentant sale au bas mot. C’est machinalement qu’un rire s’extirpa d’entre tes lèvres par la suite, un rire clairement névrosé, un rire qui n’avait rien de normal, même pas moqueur ou taquin, tout simplement dérangeant.

« - Cela doit être pour ça que je suis… Un peu… Conflictuel avec les femmes. »

Comme si chacune devait payer les méfaits d’une autre. Inutile de rajouter quoi que ce soit convaincu que ta moitié réussirait à recoller les pièces du puzzle, de ce qui s’était passé il y a peu de temps et ton vécu. Le regard vide sur ces dernières paroles, tu n’osais n’ayant que trop besoin de Blanche, de sa chaleur, de sa présence alors que tu venais de rouvrir tes plaies pour elle. Tu n’attendais pas des mots doux, du réconfort, de la pitié, juste de la compréhension car tu n’avais honte de l’abomination que tu étais. Tu voulais juste qu’on te comprenne sans trop te juger.

Tu souhaitais juste qu’elle t’aime pour ce que tu étais et ce que tu ne pourras jamais changer…
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