AVIS SUR LES BRAVE HEARTS La démocratie est aussi déplaisante, dégoutante que la tyrannie de ce royaume, une fourmilière servile qu'il faudrait bousculer. Belial est convaincu que l'ordre chez ces êtres est comme la gravité. Il y a juste besoin d'un petit coup pour que tout s'écroule en cette dictature narcissique et quoi de mieux qu'un royaume sans leur précieuse reine, un royaume désorganisé.

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AVIS SUR LES HOLY CROWNS L'hypocrisie, un bien dangereux poison. Des biens pensants dont les cadavres et autres mystères doivent s'empiler dans les placards. Il leur faudrait eux aussi un petit coup de main pour basculer dans l'anarchie, pour qu'ils acceptent d'embrasser les abominations qui sommeillent en eux. Tant de façons entre eux et les Brave Hearts alors que tout pourrait exploser si rapidement et majestueusement.

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AVIS SUR LES MASTER PIECES  Un magnifique vivier prometteur qu'importe ce qu'ils pourraient amener en bien ou mal. On ne crache jamais sur un tel potentiel divertissement, on fait juste en sorte que celui-ci se développe comme il le devrait. La candeur laissant doucement mais sûrement le pas au chaos comme on l'espère.

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AVIS SUR LES DARK SHADOWS Des finalités identiques, il n'y a plus qu'à espérer que la nuit éternelle avance de part et d'autres de ce monde, de Wonderland. Que chacun en ce petit groupe fasse son œuvre car tu serais sans doute plus déçu que n'importe qui de voir ce groupement, ton groupement être dépassé. Il n'existe qu'un seul maître le chaos et les Dark Shadows sont ces actuels seuls ambassadeurs.

En quelle année et où a t-il grandi ? En Suède entre la fin du XVIII ème siècle et le début du XIX ème.

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Un souvenir marquant de sa vie d’avant ? Il ne reste que des bribes, aucun souvenir mais une éducation, des manières qui resteront à jamais liées à son être. Un bon goût pour le tabac ou l'alcool, des formules de politesse le tout nimbé d'une insatisfaction. L'insatisfaction d'avoir voulu bien faire les choses pour au final ne rien obtenir. Au final il n'y a que des manières qui sont venues envenimer l'amalgame sans nom qu'était Belial lui donnant une beauté horrifique.

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Comment est-il mort ? Un suicide, lorsque l'honneur d'un homme n'est plus rien, lorsque son nom ne représente plus qu'indifférence c'est là où la vie d'un nouveau noble s'arrête. Une chute aussi brutale que sa merveilleuse ascension. On dit que Faust fut sauvé par les prières de sa tendre aimée de la damnation éternelle. Belial fut lui poussé dans les bras du pire péché que la religion portait en son sein, le crime de s'ôter la vie et de surcroît en partie à cause de son épouse indigne.

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Comment a-t-il réagi à son arrivée ? Il n'a aucun souvenir en son esprit de ceci, son passé en Wonderland ne sera qu'une histoire différente pour chacun. Un mensonge échafaudé sur le moment ou alors considéré comme une vérité là où l'antériorité de son existence n'est qu'inconnu à ses propres yeux. Au mieux ses souvenirs remontent à son arrivée chez les Dark Shadows comme si l'existence l'avait modelée en un unique but, héraut d'une fin des temps.

Ne cherchez pas à sonder son esprit sur ses premiers temps à Wonderland, vous ne trouverez un néant qui n'est qu'une vérité pour lui. Un néant qui n'a pas lieu d'être élucidé même s'il est complexe voir impossible de dire si tout ceci est une omission volontaire ou non.

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Quelle est sa plus grande peur ? Etre un individu « normal. »
Un individu bien trop propre sur lui même, un individu qui n'a connu la beauté d'un monde sans aucune logique. Un individu que l'on juge mentalement stable et vertueux. Une personne sans ses doutes, ce chevalier blanc qui n'a au fond de lui aucune identité, une coquille étincelante mais vide.

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Son objectif à Wonderland ? Brûler jusqu'à ses fondations ce monde, le plonger en une nuit éternelle de chaos, d'anarchie et d'abomination. Souiller cet univers jusqu'à son dernier atome en la déchéance.